On aime, l'autre nous aime, nous vivons heureux, épanoui,tranquils: c'est la vie en rose. D'autre fois, on aime quelqu'un qui nous aime pas, qui ne sait même pas qu'on existe ou alors qui le sait mais qui s'en fout ou simplement il le sait mais il ne veut pas faire le premier pas. Beaucoup de cas dans ce sentiment si beau, mais si aigre. Certains pensent qu'ils ne trouveront jamais l'âme-soeur parce qu'ils se trouvent tant de défauts qu'ils n'ont plus confiance en eux. D'autres ont le trac d'aller voir les personnes qu'ils aiment parce qu'elles n'ont pas le même milieu social, les mêmes amis ou autre .. Ou alors, vous croyez que cette personne que vous aimez vous trouve lamentable alors que vous ne savez même pas ce qu'elle se dit au fond de son âme ..Ceux-ci sont des obstacles de l'amour... ne vous laissez pas hanter par ces pensées. Vous seriez passer à côté d'une belle histoire d'amour pour des choses banales. Même si vous aimez de tout votre coeur, ne pleurez pas pour l'amour. Restez forts et soyez toujours optimistes, parce que c'est en se battant pour la personne que l'on aime, qu'on arrive à ses fins. L'amour est un sentiment compliqué, qui nous fait faire des choses inexplicables, incompréhensibles; des choses que nous aurions jamais pu faire dans notre vie, des choses quie nous nous surprenons à faire, pourquoi ? Faciliter ce sentiment ne dépend que de vous, amplifier les choses ne vous arrange pas. Si vous êtes en couple, en cas de problème .. agissez en mode "peace and love", laissez vous le temps de réfléchir chacun de son côté, et puis vous vous retrouvez pour en discuter. Pleurer et déprimer vous emmène à quoi ? Moi, je ne sais pas mais ça vous pousse à commettre des bêtises, d'où le suicide ( article ci-dessus ), ou d'autres conséquences négatives. Alors qu'importe le souci, agis en grande personne responsable et laisse-toi le temps de réfléchir, chercher où le problème se trouve, comprendre ce qui se passe pour ensuite voir comment vas-tu en finir sinon tu risques de te démoraliser, et de t'accabler sur ton sort .
À un moment, la vie nous force à faire un choix, un choix important. Quelques fois, ce choix est difficiles, d'autres fois il est évident. C'est le genre de choix qui pourrait tout changer, soit pour le mieux soit pour le pire...
Des fois, ce choix te fait renoncer à certaines choses, des choses auxquelles tu tiens énormément mais de meilleures arriveront... Crois-moi, je sais de quoi je parle. Je sais de quoi je parle parce qu'il n'y a pas longtemps, j'ai eu à faire un de ces choix...
Ça été dur, j'ai pensé longtemps avant de compléter ce choix. J'ai essayer de trouver un autre issus mais j'ai pas réussis... Maintenant, je sais que j'ai fais le bon choix, que je suis à ma place et que pour rien au monde, je reviendrai en arrière. Je vais être honnête, je trouve ridicule de te dire je t'aime. Attends, laisse moi finir...
Si je trouve ça ridicule c'est que ces trois mots ont tellement été dit, ils sont usés maintenant. De plus, tant de gens les ont prononcés sans les pensés, sans les ressentir. Ce sont trois mots qui, au départ, étaient si jolis, trois mots qui signifiaient tout. Ils étaient forts, tout simplement. Maintenant, il n'ont plus tellement de sens...
Les gens on abimé ces mots, ils ont détruit leur sens. Si j'en était capable, j'inventerais de nouveaux mots qui voudrait dire la même chose ou plus encore. Ou alors, je changerais la psychologie de l'Homme et j'y enregistrerais trois mots que l'on pourrais prononcer que si on les penses vraiment. Mais je ne suis capable de ni l'un ni l'autre alors pour l'instant je me contente de te dire que je t'aime...
Quand j'avais 5 ans, je rêvais de pouvoir voler. Non pas comme un oiseau et encore moins comme un criminel mais comme un super héros. Avec une cape et des supers pouvoirs... Je me suis inventé pleins d'histoire à cet âge avec mon doudou noué autour du coup. Quand j'ai eu 8 ans, on m'a dit qu'il fallait absolument être un oiseau ou bien un avion pour voler... On m'a dit aussi que les supers héros n'existaient pas. Je savais bien que je ne pouvais être ni l'un ni l'autre, j'ai alors voulu devenir pilote d'avion...
Quand j'ai eu 13 ans, voler m'a sembler inutile, sauf pour les voyages...
Aujourd'hui, j'ai 41 ans et je sais que je n'ai ni besoin d'ailes ni besoin de réacteur pour voler. Seulement le fait d'être dans tes bras me donne l'impression de planer au dessus des nuages...
Un jour ou l'autre, tout se brise. Peut importe ce que ça peut être. Qu'il puisse s'agir d'amour comme d'amitié, d'une assiette comme d'une vitre. Tout se casse. Tout à une fin. Et à quelque part, c'est peut-être mieux comme ça. De tout façon, au bout du compte, le chemin se terminera pour tout le monde. DR MCHO
