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Ce qui est insupportable c’est le mépris affiché à l’égard de ceux qui s’y opposent à la loi Duplomb. Des politiques et ...
22/07/2025

Ce qui est insupportable c’est le mépris affiché à l’égard de ceux qui s’y opposent à la loi Duplomb. Des politiques et des représentants de l’agro-industrie tentent de discréditer les 1,6 million de signataires de la pétition citoyenne, en les décrivant comme des ignorants influencés par des peurs irrationnelles. Eux seraient les sachants, les rationnels, les modernes.
Ce mépris de classe, ce rejet du débat citoyen, ce renversement des rôles où les lanceurs d’alerte deviennent des "hystériques" et les lobbyistes des "experts", dit tout de la crise démocratique que nous traversons. Ce ne sont pas les citoyens qui ne comprennent pas la loi Duplomb. Ce sont les élus qui refusent de voir ce qu’elle implique.
Le sens de l’histoire est clair : renforcer les protections, accompagner les transitions. Une sortie progressive des pesticides les plus dangereux s’imposent. Le principe de précaution, inscrit dans le droit européen et le droit français, commande de limiter l’exposition de la population à des substances suspectées de provoquer cancers, troubles neurodéveloppementaux ou infertilité.

Je m'appelle Eléonore PATTERY, j’ai 23 ans, et je suis actuellement en Master QSE et RSE (Qualité, Sécurité, Environnement / Responsabilité Sociétale des Entreprises). En tant que future professionnelle de la santé environnementale et de la responsabilité collective, j’apprends chaque jo...

Que vaut la   des citoyens face aux intérêts de l’agro-industrie ? Visiblement peu, à en croire les 316 députés qui ont ...
20/07/2025

Que vaut la des citoyens face aux intérêts de l’agro-industrie ? Visiblement peu, à en croire les 316 députés qui ont validé la loi . Derrière un discours sur le soutien au monde agricole, cette loi réintroduit des , aggrave la pression sur l’eau et accélère la fuite en avant productiviste.

Mais les ne sont pas dupes. Nous constatons au quotidien les effets délétères de l’environnement dégradé sur la santé : troubles neurodéveloppementaux, cancers, pathologies chroniques. L’ , réautorisé par ce texte, fait justement l’objet d’une alerte de l’ depuis 2014 pour ses risques sur le développement neurologique des enfants.

C’est une loi toxique. Pas seulement pour nos sols et nos eaux. Toxique pour notre démocratie, pour notre santé, pour le contrat social qui nous lie. La loi Duplomb, c’est la légalisation du renoncement : renoncement à protéger, à prévenir, à écouter.

Et pourtant, la société civile s’est levée. Un million de citoyens ont déjà signé une pétition lancée par une étudiante de 23 ans. Vous pouvez encore le faire sur le site de l'Assemblée nationale : https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014

Les 640.000 infirmiers généralistes de France ne peuvent rester silencieux. Certains se forment aujourd’hui à la santé environnementale, deviennent éco-infirmiers, sensibilisent les familles et les territoires. Mais que peuvent-ils faire si le législateur détricote les maigres protections existantes ?

Nous avons une responsabilité : alerter. Exiger mieux. Et refuser de soigner demain ce qu’on aurait pu prévenir aujourd’hui.

Lisez l'article complet, et mettez en commentaires votre avis ou votre expérience. Signez la pétition ! Agissons chacun à notre niveau !
https://syndicat-infirmier.com/Duplomb-une-loi-toxique-pour-la-democratie-l-environnement-et-la-sante.html

Je m'appelle Eléonore PATTERY, j’ai 23 ans, et je suis actuellement en Master QSE et RSE (Qualité, Sécurité, Environnement / Responsabilité Sociétale des Entreprises). En tant que future professionnelle de la santé environnementale et de la responsabilité collective, j’apprends chaque jo...

Les annonces de François Bayrou ne laissent aucun doute : ce sont les malades et les précaires qui vont payer les 44 mil...
16/07/2025

Les annonces de François Bayrou ne laissent aucun doute : ce sont les malades et les précaires qui vont payer les 44 milliards d’économies exigés.

Derrière des mots feutrés – « responsabilisation », « rééquilibrage », « réforme des » – se profile un retour en arrière sans précédent. Le gouvernement prévoit de restreindre la prise en charge des affections de longue durée, de doubler les médicales, de rogner les indemnités journalières et de rallonger les délais de .

Le Syndicat National des Professionnels Infirmiers SNPI alerte : cette stratégie est dangereuse. On parle ici de millions de , qui devront choisir entre leur traitement, leur alimentation ou leur logement. De salariés qui iront travailler malades.

Le SNPI dénonce cette logique profondément injuste, économiquement myope et humainement inacceptable. Il propose une alternative : des protocoles de soins renforcé, un de co-construit avec le patient, intégrant éducation thérapeutique, activité physique adaptée et accompagnement personnalisé. Une voie de prévention, d’anticipation, d’humanité.

L’article complet ci-dessous analyse, propose, alerte. Et vous ?Partagez votre avis en commentaire

Franchises doublées, ALD rabotées, arrêts maladie dans le viseur : le SNPI dénonce un projet injuste, brutal, et dangereux pour la santé des plus fragiles. Un à un, les garde-fous tombent. Ce 15 juillet, le Premier ministre François Bayrou a dévoilé les grandes lignes de son plan d’écono...

Supprimer 2 jours fériés ? Pour les soignants c’est moins de repos, moins de reconnaissance, et une charge de travail ac...
15/07/2025

Supprimer 2 jours fériés ?
Pour les soignants c’est moins de repos, moins de reconnaissance, et une charge de travail accrue sans compensation. Et 150 euros de moins par an !
Encore un recul silencieux pour une profession infirmière déjà à bout
Détails sur

Travailler plus, sans être mieux payé. C’est la logique brutale qui se cache derrière la proposition de supprimer deux jours fériés. Une mesure d’apparence anodine, présentée comme un levier de productivité ou une réponse budgétaire, mais qui, dans les faits, se traduirait par un alour...

Quand le MEDEF pense santé, il pense flux, indicateurs, productivité.Les   ? Juste là pour « accroître les consultations...
11/07/2025

Quand le MEDEF pense santé, il pense flux, indicateurs, productivité.
Les ? Juste là pour « accroître les consultations ».
Un système hors-sol. Une santé industrielle, sans concertation, sans vision humaine.
Notre décryptage complet sur

Déficits, vieillissement de la population, explosion des maladies chroniques : les constats du MEDEF sur notre système de santé sont connus, partagés, et bien réels. Mais les solutions qu’il propose relèvent d’une logique purement gestionnaire, axée sur la traque des coûts, la performanc...

INDIGNATION ! Les soignants ont porté le système à bout de bras pendant la pandémie. Les infirmières retraitées ont répo...
09/07/2025

INDIGNATION ! Les soignants ont porté le système à bout de bras pendant la pandémie. Les infirmières retraitées ont répondu à l’appel de l’État, en pleine crise, quand les soignants manquaient, quand la peur gagnait, quand il fallait du courage.

Des qui, aujourd’hui encore, acceptent des missions ponctuelles ou reprennent un emploi pour survivre, face à des pensions insuffisantes. Et pour les remercier ? On les sanctionne. On les traque.

La dernière affaire en date est édifiante : une infirmière de Côte-d’Or sommée de rembourser sa … pour un jour de travail en trop. Le SNPI exprime tout son à notre consœur. Elle a soigné, elle a servi. Elle mérite du respect, pas des .

Les infirmières ont porté le système à bout de bras pendant la pandémie. Les infirmières retraitées ont répondu à l’appel de l’État, en pleine crise, quand les soignants manquaient, quand la peur gagnait, quand il fallait du courage. Des infirmières retraitées qui, aujourd’hui enco...

Dans un hôpital à bout de souffle, le rôle du     ne se limite pas à remplir des plannings. Il est leader clinique, sout...
07/07/2025

Dans un hôpital à bout de souffle, le rôle du ne se limite pas à remplir des plannings. Il est leader clinique, soutien moral, expert organisationnel. Il veille à la sécurité des soins, soutient les jeunes diplômés, amortit les conflits, stabilise les collectifs. Sans lui, les services se vident.

Leur rôle est aussi crucial que méconnu. Chaque jour, ils tiennent à bout de bras des unités exsangues, orchestrent des moyens insuffisants, amortissent la souffrance des . Mais leur fonction, pourtant stratégique, n’apparaît nulle part dans la loi infirmière du 27 juin 2025.

Pas un mot sur leur mission de clinique. Rien sur leur rôle dans la fidélisation des équipes. Aucune revalorisation, ni salariale, ni statutaire. Invisibles dans les textes, mais indispensables sur le terrain. Si l’on veut sauver les établissements de santé (publics ou privés), il faut enfin regarder en face cette réalité : sans reconnaissance de leur fonction, les cadres eux aussi partiront. Et alors, il ne restera plus personne pour tenir debout ce qui vacille.

🔗 Découvrez notre article complet sur le rôle, la souffrance et les revendications des cadres infirmiers aujourd’hui. Partagez votre avis ou votre expérience en commentaires.

Ils tiennent les services à bout de bras. Absents des projecteurs médiatiques, oubliés des textes législatifs, rarement associés aux décisions, les cadres infirmiers assurent pourtant chaque jour l’équilibre fragile des établissements de santé (hôpitaux, cliniques, EHPAD). Dans le chaos ...

Le Planning familial est en train de s’effondrer à petit feu. Dans l’indifférence générale. Partout, les budgets sont ge...
06/07/2025

Le Planning familial est en train de s’effondrer à petit feu. Dans l’indifférence générale. Partout, les budgets sont gelés, les primes non versées, les charges insoutenables.

Ces centres sont pourtant des . Pour les isolées, pour les en détresse, pour les de violences. Les fermer, c’est refermer la porte à des milliers de vies en construction ou en danger.

Ce que révèle cette crise, ce n’est pas seulement le désintérêt de l’État. C’est une faillite politique. Une régression sociale. Car pendant ce temps, les besoins explosent. C'est souvent le seul lieu qui accueille sans condition. Le seul qui écoute sans jugement. Le seul qui tient bon quand tout vacille. Mais aujourd’hui, il craque.

Derrière ce désengagement, ce sont des milliers de femmes, de jeunes, qui voient leurs droits fragilisés. Car quand l’État se retire, ce n’est pas le vide qui s’installe. C’est la violence, l’isolement, la rupture de soins.

Fermer un centre, ce n’est pas une simple ligne budgétaire. C’est une perte de chance. Une fracture sociale. Et si rien ne change, ce sont les femmes qui paieront. Comme toujours.

👉 Ci-dessous, un article à lire, et à partager largement, pour alerter ! Republiez sur votre réseau ! Agissons chacun à notre niveau.

Partout en France, les structures du Planning familial sont à l’os. Budgets gelés, subventions retardées, charges qui explosent : les signaux d’alerte se multiplient. Et l’État, lui, regarde ailleurs. La santé sexuelle et reproductive n’est pas un supplément d’âme. C’est un droit....

Des chambres à 35°C, des patients à bout de souffle, des   en surchauffe, des   sans ventilation : l’été n’est plus une ...
02/07/2025

Des chambres à 35°C, des patients à bout de souffle, des en surchauffe, des sans ventilation : l’été n’est plus une saison tranquille, c’est un marathon climatique. Les français ne sont pas faits pour résister à la chaleur. Et les , eux, n’en peuvent plus de colmater les brèches d’un système qui s’effondre à chaque vague de chaleur.

Chaque été, la frappe nos territoires, alourdit les services d’urgence, et tue en silence dans les EHPAD, les hôpitaux, les domiciles. Mais que fait-on pour s’adapter ? Pas grand-chose. Moins de 15 % des établissements pour personnes âgées disposent de systèmes de rafraîchissement adaptés. Des hôpitaux surchauffent dès 28°C extérieurs. Et les soignants se débrouillent, avec des moyens dérisoires, dans des conditions souvent indignes.

Face à un risque désormais structurel, il faut une réponse systémique. sans tenir compte du , c’est ignorer le réel.

L'article ci-dessous explore les blocages, les pistes, les solutions. Lisez le, et partagez votre avis et votre expérience en commentaires.

Chaque été, la chaleur revient. Et avec elle, les morts évitables. Malgré les alertes, la France n’est toujours pas prête. Pourquoi nos hôpitaux ne tiennent-ils pas face à la canicule ? Et comment y remédier ? Ventilateurs bruyants, climatisations vétustes, soignants épuisés, chambres s...

La loi infirmière a été publiée ! Mais aujourd’hui, cette loi n’est pas applicable. Car sans textes réglementaires, elle...
29/06/2025

La loi infirmière a été publiée ! Mais aujourd’hui, cette loi n’est pas applicable. Car sans textes réglementaires, elle ne produit aucun effet. Pas de décret, pas d’arrêté = pas de changement pour les patients.

Ce n’est pas une hypothèse, c’est un scénario déjà vu. La loi sur les , votée à l’unanimité en janvier, est elle aussi depuis cinq mois. Et ce ne sont ni les parlementaires ni les professionnels qui freinent, mais l’administration centrale. Une simple lettre de saisine de la Haute Autorité de Santé n’a toujours pas été envoyée. Silence radio.

Sans impulsion rapide, la loi pourrait subir le même sort. Entre et , les promesses de plus accessibles risquent de rester dans les tiroirs.

Le infirmier est reconnu dans la loi. L’accès direct, les consultations, la prescription, la coordination,… tous ces éléments sont désormais inscrits dans le Code de la santé publique. Mais rien ne changera tant que les décrets et arrêtés ne seront pas publiés. Et sur ce point, la est de mise. Nous savons que les lobbys médicaux veillent à freiner l’émancipation des autres professions de santé.

Alors merci aux députés et aux sénateurs. La loi est publiée. Il faut maintenant l’appliquer. Les patients n’ont pas le temps d’attendre. Les infirmières non plus.

Lisez l'article complet, et partagez votre avis en commentaires !

Loi infirmière : merci pour la loi, mais sans les décrets, les patients attendront. Car une loi sans textes d’application reste une promesse. La loi est publiée. Maintenant, elle doit vivre. Les soignants sont prêts. Les patients en ont besoin. Il appartient désormais aux autorités de tradui...

Dans bien des établissements, la pression du sous-effectif pousse à confier des actes   à des aides-soignantes. Un   de ...
25/06/2025

Dans bien des établissements, la pression du sous-effectif pousse à confier des actes à des aides-soignantes. Un de qui met tout le monde en danger : les d’abord, mais aussi les elles-mêmes.

Car ce n’est pas une question de bonne volonté. C’est une question de . L’aide-soignante est de niveau 4, formée à des soins d’hygiène et de confort. L’infirmière est de niveau 6, formée à la clinique, au diagnostic, à la coordination, à la prescription. Ce ne sont pas des variantes d’un même métier, mais des fonctions distinctes, complémentaires et non interchangeables.

Dans notre système de santé sous tension, chaque professionnel compte. Mais encore faut-il savoir qui fait quoi, et pourquoi.

Depuis 2021, le décret sur les aides-soignantes a clarifié leurs missions autour des de la vie . Une avancée attendue, notamment dans les . Mais cette clarification ne doit pas masquer une exigence essentielle : le respect du .

Alors que la loi de juin 2025 renforce l’ infirmière, il devient urgent de tracer une ligne claire entre complémentarité et confusion. Valoriser chaque métier, c’est reconnaître les de chacun sans les diluer.

📰 À lire : notre article complet pour mieux comprendre ce qui distingue fondamentalement les rôles et les formations. Et pourquoi la sécurité des patients dépend de cette frontière respectée.

Depuis l’entrée en vigueur du décret n° 2021-980 du 23 juillet 2021, le périmètre d’intervention des aides-soignantes a été redéfini dans un souci de clarification et de valorisation. Cette évolution était attendue, notamment dans les structures médico-sociales, où l’absence d’en...

L’eau du robinet contient aujourd’hui plus de     que de pesticides. Antidépresseurs, anticancéreux, hormones ou analgés...
22/06/2025

L’eau du robinet contient aujourd’hui plus de que de pesticides. Antidépresseurs, anticancéreux, hormones ou analgésiques franchissent les filtres des stations d’épuration. Certains sont excrétés par les patients. D’autres sont rejetés directement par l’industrie. Ces molécules ne guérissent plus. Elles circulent.

À Lausanne, lors du dernier Congrès mondial du SIDIIEF, et experts ont confronté cette invisible à leurs pratiques quotidiennes. , éco-prescription, arbitrage des examens inutiles, préférence pour la voie orale : la profession invente une écologie du .

Dans certains , le changement est déjà engagé. À Genève, la stratégie climat-santé est pilotée par une infirmière. À Bordeaux, des services ont obtenu le label « éco-unité ».

Et une nouvelle figure émerge : l’éco-infirmier, interface entre santé humaine et santé environnementale. le rôle infirmier évolue. Il devient écologique, au sens le plus concret du terme. L’ n’est pas un militant. C’est un professionnel qui relie qualité des soins et impact environnemental. Et qui replace la prévention au cœur du système.

📌 À découvrir dans l'article complet ci-dessous : chiffres, exemples, solutions concrètes.

L’eau du robinet contient aujourd’hui plus de résidus médicamenteux que de pesticides. Et tout le monde en boit. Ces dernières années, plusieurs études ont révélé la présence constante de médicaments dans les réseaux d’eau potable : antibiotiques, antidépresseurs, antidiabétiques,...

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