Stephane Wioland Psychothérapie et Hypnose Paris

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Le pardon, une sortie de la lutte intérieure et un choix possible vers la maturité et une forme de sagesse intérieure. T...
15/05/2025

Le pardon, une sortie de la lutte intérieure et un choix possible vers la maturité et une forme de sagesse intérieure.

Tant que je n’ai pas pardonné, je reste possiblement en lutte à l’intérieur de moi.

Je rejoue les scènes, je rumine les mots, je ravive la douleur. Une part de moi refuse ce qui a été vécu, espérant que le passé puisse changer. Cette lutte me garde prisonnier, elle me fatigue, elle me coupe de ma paix intérieure, parfois revenir dans le silence et se reconnecter à soi est nécessaire.

Pardonner, ce n’est pas excuser ni oublier.
C’est cesser de me battre contre ce qui est déjà arrivé.

C’est un chemin de transformation, qui traverse plusieurs étapes, à l’image d’un deuil.

Il commence souvent par une phase de déni protecteur, qui m’empêche de ressentir toute la douleur d’un seul coup. Mais ce déni peut devenir une belle et grande prison dorée. Il m’empêche de grandir et d évoluer.

Vient ensuite l’acceptation, non pas pour justifier, justifier c est se ‘ bananer ‘ mais pour reconnaître ce qui s’est passé et honorer la personne que j’étais. Puis vient l’apprentissage, la capacité à comprendre ce que cette blessure m’a obligé à rencontrer en moi, ce qu’elle m’a poussé ou forcé à transformer.

Pardonner devient alors un acte de maturité :
• Une maturité émotionnelle, en accueillant pleinement ce que j’ai ressenti sans m’y enfermer.
• Une maturité psychique, en arrêtant de nourrir les mêmes pensées qui m’enferment dans le passé.
• Une maturité physique, en relâchant les tensions de mon corps et en laissant circuler à nouveau l’énergie de vie.

Le pardon, c’est lâcher le fardeau, non pour l’autre, mais pour moi.
C’est trouver la paix en moi, même si l’autre ne change jamais.
C’est remercier la vie, non pour ce qui m’a blessé, mais pour la transformation que j’ai su en faire.

Quand je peux remercier la situation — et non les personnes à l’origine de ma blessure — pour ce qu’elle m’a appris, alors je transcende.
Je deviens à nouveau libre, vivant et entier

Peut-on vraiment remplacer un thérapeute par une intelligence artificielle ?Certains imaginent déjà des IA augmentées : ...
10/05/2025

Peut-on vraiment remplacer un thérapeute par une intelligence artificielle ?

Certains imaginent déjà des IA augmentées : équipées de caméras, de capteurs émotionnels, capables d’analyser en temps réel vos gestes, vos mimiques, votre voix.

Personnellement, je crois beaucoup aux progrès technologiques, qui ont toujours été ma première passion, et notamment à l’intelligence artificielle.
Une IA sera probablement, un jour, capable d’observer aussi finement qu’un être humain, voire mieux que l’humain lui-même.
Le test de Turing en est une preuve évidente.

Dans le domaine médical, l’IA commence déjà à faire des prouesses.

Mais atteindre le niveau d’analyse d’un être humain impliquerait de traiter non plus 128 000 tokens, comme le font aujourd’hui les meilleures IA grand public (ChatGPT, Gemini Pro…),
soit 128 000 demi-mots en mémoire vive interactionnelle,
mais des milliards, voire des centaines de milliards d’unités d’information en simultané.

À ce jour, cela représenterait :
• Un coût estimé entre 30 000€ et 3 millions d’euros par séance, selon les calculs actuels.
• Une infrastructure technologique démesurée : supercalculateurs, centres de données spécialisés, milliers de GPU ultra-performants.
• Une latence encore difficilement compatible avec la fluidité d’une vraie relation humaine.

Même avec un serveur local dédié, des LLM ( Large Language Model ) et des agents open source autonomes, sans connexion à Internet,
même avec des bases de données contenant des milliers de livres, d’articles, de jurisprudences,
qu’il s’agisse de métiers comme avocat, juriste, conseiller financier, économiste, scénariste, écrivain, ou médecin,
une requête complexe prend encore aujourd’hui plusieurs heures, voire une nuit entière de traitement, pour produire un résultat pertinent et fiable.

En clair : ni accessible, ni humainement comparable.

Et même si cela devenait techniquement possible, une IA n’a pas encore de vécu suffisant en mémoire,
pas de mémoire émotionnelle,
pas de corps,
pas de sensations,
pas de terminaisons nerveuses capables de capter ce qui se joue ici et maintenant.

Elle ne fait aujourd’hui que prédire, calculer, simuler, écrire, dessiner, parler, créer des vidéos,
grâce à une logique de prompts, d’agents IA, et de MCP (Memory Context Processing) de plus en plus sophistiqués.

Elle est déjà capable d’automatiser efficacement certaines tâches répétitives complexes,
à condition de savoir bien la programmer.

Mais elle ne ressent rien.
Pas encore.

Le thérapeute, lui, est là avec son corps, ses émotions, son vécu,
dans une relation vivante, unique à chaque rencontre,
sans limitation de mémoire ni de ressenti.

L’accompagnement thérapeutique reste avant tout un art du vivant,
une rencontre humaine,
irremplaçable par des lignes de code, aussi avancées soient-elles

Pouvoirs intériorisés : sortir des rôles, retrouver la relation. On parle souvent du patriarcat comme d’un système extér...
07/04/2025

Pouvoirs intériorisés : sortir des rôles, retrouver la relation.

On parle souvent du patriarcat comme d’un système extérieur, social, visible.
Mais en thérapie, il se révèle autrement : comme un système intériorisé, un ensemble de réflexes, de postures, d’automatismes incorporés. Il se joue dans la manière de se tenir, de donner, de décider, d’aimer ou de se taire.
Et face à lui — ou plutôt, en miroir — existe aussi une forme de matriarcat intérieur, souvent plus silencieuse, mais tout aussi structurante : affective, fusionnelle, nourricière, parfois sacrificielle.

Ces deux systèmes ne sont pas limités aux genres.
Ils traversent tous les individus, quel que soit leur sexe ou leur histoire.
Ils sont les héritages de générations, de survies, de stratégies adaptatives.
Ils se rejouent dans le couple, la famille, le travail, le soin, la séduction, la prise de décision, la parentalité, le collectif.
Et souvent… dans la manière dont on cherche à s’en libérer.



1. Le patriarcat intérieur : tenir, prouver, contrôler

Le patriarcat intériorisé se manifeste par :
• La performance comme condition d’estime,
• La maîtrise comme sécurité,
• Le rôle comme identité.

Il pousse à “tenir bon”, à réussir, à assurer. On veut être fort, fiable, solide.
Mais derrière cela se cache souvent une peur ancienne :
Et si je ne suffisais pas ? Et si je n’étais pas aimé sans fonction ?

Alors on devient ce partenaire distant, ce collègue irréprochable, ce père silencieux — alors qu’au fond, on cherche à être vu, aimé, touché.



2. Le matriarcat intérieur : prendre soin, fusionner, s’effacer

Le matriarcat intériorisé s’ancre dans :
• Le besoin d’exister à travers le lien,
• Le réflexe de se sacrifier,
• La capacité à sentir, deviner, absorber.

On se rend indispensable. On prend sur soi. On s’efface pour que le lien tienne.
Mais ce don n’est pas neutre. Il attend quelque chose en retour.
Et quand il n’y a pas de retour, le chagrin devient rancœur, la douceur devient reproche.

On a appris à aimer en donnant tout — en espérant que ce “tout” serait vu, reconnu, honoré.
Et parfois… on s’oublie en espérant être choisi.



3. “Je te donne tout… reconnais-moi” : le cri silencieux

Cette phrase habite beaucoup de relations :
“Je te donne tout… reconnais-moi.”

Elle contient :
• Un geste d’amour,
• Une attente cachée,
• Une blessure ancienne.

Elle dit l’enfant intérieur qui a appris qu’il fallait donner, s’adapter, se rendre utile pour être aimé.
Et quand la reconnaissance ne vient pas, la douleur surgit :
• Injustice,
• Fatigue,
• Retrait,
• Amertume.

Et parfois, l’autre ne comprend pas : car il ne sait pas qu’un contrat invisible a été passé.



4. L’analyse transactionnelle : qui parle en moi ?

Ce type de lien n’est pas régulé par notre Adulte. Il est souvent dirigé par :
• Notre Enfant (qui veut être choisi, aimé, rassuré),
• Ou notre Parent (qui protège, qui juge, qui prend en charge).

Dans la relation, cela crée des transactions croisées :
• L’un donne pour éviter d’être abandonné,
• L’autre se sent contrôlé, puis se retire,
• L’un parle depuis sa blessure,
• L’autre répond depuis sa peur.

Et la scène se rejoue. Encore.
Sans que personne ne sache vraiment pourquoi.



5. Dans la parentalité, le couple, le travail : mêmes scénarios, autres formes
• Le père “qui assure” mais se sent inutile émotionnellement.
• La mère “qui fusionne” et s’épuise dans le lien avec l’enfant.
• Le partenaire qui surfonctionne dans le soin, sans jamais être reconnu.
• Le professionnel qui donne tout, mais n’est jamais valorisé.
• La séduction douce qui cherche un amour inconditionnel, mais rencontre l’indifférence.

Chacun agit pour garder le lien, mais parfois s’y enferme.

Et plus on fait d’efforts, plus on attend.
Et plus on attend, plus on risque d’être blessé.



6. L’effort comme monnaie affective

L’effort devient une manière d’aimer.
Le sacrifice, une tentative d’obtenir l’amour ou la reconnaissance.
Et peu à peu, le lien devient transaction :
• Je fais tout ça, donc tu dois m’aimer.
• Je me rends utile, donc tu dois me choisir.
• Je me tais, donc tu dois deviner.

Mais la reconnaissance attendue ne vient pas toujours.
Parce que l’autre ne sait pas. Parce qu’il ne vit pas la même scène intérieure.
Et alors… le lien se transforme en dette.



7. Sortir du contrat silencieux : revenir à l’Adulte

Revenir à soi, c’est pouvoir dire :
• “Je crois que j’attends quelque chose de toi sans te le dire.”
• “Je donne pour être aimé, et j’ai peur de le reconnaître.”
• “Je sens que je te parle comme si tu étais mon parent ou mon enfant.”

Ce n’est pas se corriger. C’est se révéler.
Et à partir de là, revenir au lien vivant, libre, ajusté, incarné.



8. Recréer du lien : co-protection, co-décision, co-construction

La seule sortie durable de ces jeux de pouvoir intérieurs, c’est la relation consciente, basée non sur la dette, mais sur la responsabilité mutuelle.

Co-protection

Veiller l’un sur l’autre, sans se rendre indispensable.
Être là, sans dominer, sans s’effacer.
Créer un lien qui rassure sans enfermer.

Co-décision

Revenir, à chaque pas, à ce qui est important pour moi… et pour toi.
Identifier nos accords possibles, même partiels.
Ne pas imposer ni renoncer : ajuster ensemble.

Co-construction

Créer un espace commun, mouvant, imparfait mais sincère.
Sortir des modèles hérités. Tenter. Ajuster. Créer.
Faire de la relation un espace vivant — non un rôle à tenir.



Conclusion : un pouvoir de présence

Ce texte ne cherche pas à accuser. Ni à trancher.
Il cherche à mettre en lumière des mouvements intérieurs qui gouvernent souvent nos relations sans que nous le sachions.

Le patriarcat et le matriarcat intérieurs ne sont pas des fautes.
Ce sont des formes d’ajustement, de survie, de loyauté.

Mais aujourd’hui, nous pouvons les reconnaître, sans les subir.
Et choisir un autre pouvoir :
non pas celui de tenir ou de sauver,
mais celui d’être là, simplement, avec, en lien.

Un pouvoir de présence, qui ne cherche ni à plaire, ni à convaincre,
mais qui ose rencontrer l’autre depuis un lieu vrai.
Et c’est peut-être ça, au fond, la transformation.

05/04/2025

Les extrêmes comme symptôme : une lecture thérapeutique et éthique du malaise social.

Dans un monde de plus en plus polarisé, la tentation est grande de voir les extrêmes comme une menace.

Qu’ils soient politiques, idéologiques, comportementaux ou émotionnels, ils inquiètent, divisent, provoquent. Et si, au lieu de les combattre ou de les condamner trop vite, nous choisissions de les écouter ?
Et si, comme en thérapie, nous considérions ces extrêmes comme les symptômes d’un malaise plus profond ?

1. Le symptôme n’est pas l’ennemi

En thérapie, un symptôme – qu’il s’agisse d’une crise d’angoisse, d’un repli, d’une addiction ou d’une colère – est toujours porteur d’un message. Il traduit une tentative de l’organisme pour restaurer un équilibre, pour s’adapter à une réalité intérieure ou extérieure devenue insoutenable. Le symptôme n’est pas l’ennemi ; il est une solution… parfois coûteuse.

De la même manière, les formes extrêmes que nous observons dans la société peuvent être comprises comme des expressions de détresse collective. Elles disent un besoin non entendu, une souffrance ignorée, un désir vital de reconnaissance, de protection, de justice ou de sens.

2. Une société non contenante fabrique de l’extrême

En thérapie, lorsqu’un enfant grandit dans un environnement qui ne sait ni entendre ni contenir ses émotions, il développe des mécanismes de défense parfois extrêmes : agressivité, suradaptation, retrait, dissociation.
Dans une société qui ne contient plus ses tensions, ses inégalités, ses blessures historiques ou ses tabous, c’est la même dynamique qui se joue.

Le corps social, non écouté, produit ses propres symptômes : rejet des institutions, votes de rupture, radicalisation, désengagement ou violence. Non parce qu’il est “malade”, mais parce qu’il ne se sent plus inclus.

3. Le contact figé : une lecture Gestaltiste

En Gestalt-thérapie, la santé psychique se mesure à la qualité du contact entre un individu et son environnement. Ce contact, s’il est fluide, permet la créativité, l’adaptation, la transformation. Mais s’il est figé – parce que l’environnement est perçu comme intrusif, froid ou indifférent – alors l’organisme réagit de façon rigide, parfois extrême.

Les extrêmes sociaux peuvent être lus comme des tentatives, souvent désespérées, de rétablir un contact vital avec ce qui a été perdu : le lien, la reconnaissance, l’appartenance.

4. Quelle posture thérapeutique pour le politique ?

Imaginer une société thérapeutique ne signifie pas médicaliser le politique. Cela signifie rêver d’un système capable d’écouter, de contenir, de réguler – non pas dans le sens du contrôle, mais dans celui de l’accompagnement.

Comme un thérapeute, une société mature pourrait :
• Accueillir la colère sans la juger.
• Reconnaître la souffrance sans l’instrumentaliser.
• Offrir des espaces de parole, de régulation, de réparation.
• Voir l’extrême comme un signal d’alerte, et non comme un simple écart à réprimer.

5. Accueillir sans se confondre : l’éthique du tiers

Mais cette posture d’écoute soulève une question centrale : jusqu’où peut-on accueillir l’extrême sans trahir nos repères éthiques ?

L’éthique commence par le regard. Accueillir un discours extrême ne signifie pas s’y aligner, mais refuser de le réduire à une caricature. C’est se positionner dans un espace tiers : ni fusionnel, ni surplombant.
C’est entendre le souffle vital derrière la déformation, sans en être emporté.

Comme en thérapie : je peux accueillir une parole clivante ou violente, sans la légitimer, mais sans non plus la mépriser.

6. Poser un cadre clair : contenir sans exclure

Le cadre thérapeutique permet l’exploration sans débordement. Il protège, structure, sécurise.
Dans la sphère sociale, l’éthique du cadre, c’est poser des limites fermes mais humaines : non à la haine, non aux violences, mais oui à l’écoute du besoin sous-jacent.

Ce qui est inacceptable dans la forme peut révéler une douleur que l’on ne peut pas, éthiquement, ignorer.
C’est là qu’une société se distingue : par sa capacité à soutenir le lien sans encourager la destruction.

7. Refuser le bouc émissaire : responsabilité partagée

Il est tentant de désigner les porteurs d’extrêmes comme les seuls responsables. Pourtant, si l’on prend au sérieux la lecture thérapeutique, on ne peut pas séparer l’individu de son contexte.

L’éthique nous invite à une lucidité collective :
Qu’avons-nous collectivement manqué pour qu’autant de personnes se sentent poussées à ces extrêmes ?

Ce n’est pas excuser, c’est s’inclure. Et ça, c’est profondément thérapeutique.
Une société adulte est celle qui sait se remettre en question avant de désigner des coupables.

8. Rester en lien, même dans la divergence

Peut-on dialoguer avec l’intolérance ? Pas toujours.
Mais peut-on rester humain face à ce qui nous dérange, nous choque, nous fait peur ? Là est l’enjeu.

L’éthique du lien, c’est refuser la déshumanisation. C’est continuer de voir un être humain, même derrière une posture intenable.
Car ce que nous détruisons en l’autre, nous risquons tôt ou t**d de le perdre en nous.

9. Éthique, émotion, indignation : un trio à réconcilier

L’éthique ne doit pas exclure l’émotion ni l’indignation — au contraire.
Elle a besoin d’elles pour ne pas devenir froide, abstraite ou complice.
• L’émotion nous relie : elle est ce qui vibre en nous face à l’injustice, à la peur, à l’incompréhensible.
• L’indignation nous réveille : elle est un sursaut de conscience, un refus du silence.
• L’éthique nous guide : elle nous empêche de répondre à la haine par la haine, ou à la peur par la violence.

Sans émotion, l’éthique devient glaciale.
Sans éthique, l’indignation devient destructrice.
Sans indignation, l’éthique devient complice.

Réconcilier ces trois forces, c’est construire une société plus lucide, plus forte, plus humaine.

Conclusion : une éthique du vivant

Accueillir l’extrême sans se trahir soi-même, c’est marcher sur une ligne fine.
C’est une posture exigeante, mais essentielle : une posture de présence, de discernement, de courage.

Comme en thérapie, il ne s’agit pas d’avoir raison, ni d’imposer une vérité.
Il s’agit d’être là. D’ouvrir un espace. De tenir l’humain en tension entre ses blessures et ses possibilités de transformation.

Et peut-être qu’en écoutant les extrêmes autrement, avec notre intelligence émotionnelle, notre indignation vive et notre éthique incarnée,
nous pourrons guérir ce qui, en nous, appelle si fort à la rupture

La thérapie version Star Wars
20/03/2025

La thérapie version Star Wars

If you enjoyed this video, please leave a like, write a comment, and consider subscribing for more funny content ;)You can clone your own AI voices here: (Af...

28/06/2024

Le syndrome de l'imposteur, vous connaissez?

Mon regard sur ce syndrome repose sur une imposture, une forme d’illusion de ce qu'est la réussite.

La question serait, comment pouvez vous être l imposteur de votre propre imposture ?

Comment vous faites et comment vous pourriez déjouer l imposture de votre syndrome de l’ imposteur?

Dans cela Il est essentiel de reconsidérer la définition de la réussite.

Je vous donne une piste, si votre réussite dépend d autres personnes alors vous êtes dans une imposture.

La différence entre une posture et une imposture relève souvent d une émotion qu’est la peur !

Il est assez facile de se faire peur si le résultat ne dépend pas de vous et si votre réussite dépend du regard ou du retour de l autre/ des autres, c est souvent le cas dans les métiers de contacts …

Que va/vont penser la/les personnes de moi ?

Vais je être à la hauteur de l attente ou des attentes de l autre ?

Suis je légitime de faire ce métier ? Ou à ce poste ? Dans cette relation?

Quand vous vous posez toutes ses questions, vous donnez un pouvoir énorme à l autre ou aux autres et à son ou ces regards sur vous…..

Votre légitimité ne dépend ni d un diplôme ni d une entreprise, ni s une ou plusieurs personnes, votre légitimité réside en vous et dans votre capacité à aller à l expérience nouvelle, vous serez davantage légitime demain que hier à condition d aller à l expérience.

Bien sûr dans l expérience l évaluation du risque est fonction de vos connaissances et vos compétences.

Albert Einstein disait ‘ la connaissance passe par l expérience, le reste c est de l information’

Alors si vous n avez pas lu le livre l art de s en fo**re ….

Si l idée de l art de s en fo**re crée une résistance en vous, c est justement que vous êtes dans ce piège là.

L art de s en fo**re est loin d être l idée de s en fo**re de tout mais davantage de ce que vous ne maîtrisez pas.

Vous ne pouvez maîtriser ce qui ne vous appartient pas !

Et tout ce qui concerne la réaction de votre environnement ne peut être controlé.

Au contraire plus vous essayez de le contrôler, plus vous vous sentirez en tension.

Ça se caractérise par du stress, de l anxiété, de l évitement, de la renonciation et il y a tellement de choses que cela génère que la liste ne peut être exhaustive.

Maintenant je vous invite à vous re focaliser sur ce que vous contrôler réellement.

Vous vous apercevrez que vous ne contrôlez pas grand chose, une belle grande désillusion…

La vous sortez de l illusion !

Vous pouvez contrôler seulement ce qui vous appartient, à savoir d être de fournir les efforts qui sont fonction de votre état d esprit de fatigue et de vos compétences acquises du moment, de votre respiration si vous y prêtez attention et de votre regard sur ce qui se passe dans votre expérience.

Le reste étant superflue, laissez-vous aller à l expérience pour gagner en expérience.

Après l expérience je vous propose d observer ce que vous avez appris(e) et le pas que vous avez pu faire.

Le reste ne vous appartient pas !

Et pour tout le reste je peux vous amener à l expérience….

18/06/2024

La confiance en soi un thème que j affectionne particulièrement.

C est avant tout une forme de lutte entre une partie de nous anxieuse et une partie de nous ambitieuse.

Plus nous sommes ambitieux plus nous pouvons être anxieux.

Nous n avons pas confiance en nous à 100% ou pas confiance en nous à 100%.

Cela dépend de nos capacités à faire de nouvelles expériences pas à pas qui viennent donc rassurer ou asseoir notre partie ambitieuse et nous donner l énergie d aller plus loin encore.

Plus nous faisons de nouvelles expériences avec prise en compte des réussites ( dans toute expérience nous pouvons regarder les réussites et les apprentissages) plus nous gagnons confiance en nous.

Le problème est que souvent nous ne regardons pas ce que nous réussissons et regardons ce qui manque ou négligeons les pas effectués, la partie ambitieuse est parfois trop focalisée sur le résultat final ( ego ) et non sur les petits pas.
Plus on se polarisé sur un objectif ambitieux plus la partie anxieuse est grande et plus l effet de procrastination sera important.

Dans le cerveau selon la théorie de Maclean, le neocortex va analyser en une dizaine de secondes l énergie que va prendre une tâche et le mode survie va envoyer des peurs projetées pour ne pas faire les choses, d ou la méthode des 5 secondes de Mel Robbins d agir en moins de 5 secondes qui vient by-passer ce phénomène.

Comme le neocortex fini son stade développement vers 25 ans, cela explique pourquoi les enfants sont davantage poussés à expérimenter dans une certaine insouciance comparé aux adultes.

Nous pouvons toutes et tous gagner davantage de confiance en nous chaque jours en faisant des choses nouvelles qui vont créer des connexions synaptiques nouvelles et une capacité à réagir différemment face à du nouveau de manière créative.

Pour le cela il s agit pas à pas de changer nos routines pour faire grandir nos compétences et capacités ainsi que prendre en compte chaque apprentissages et réussites, c est aussi le principe de gratitude envers nous même et fêter les victoires.

Chaque victoires aussi petites soient elles s intègrent en nous et viennent réduire la part anxieuse en nous.

Ainsi nous gagnons en compétences et en confiance nous.

Il y a 10 ans maintenant, Romain Pellegrinelli et moi nous nous sommes lancé dans cette formidable aventure qu'est, l'hy...
30/05/2024

Il y a 10 ans maintenant, Romain Pellegrinelli et moi nous nous sommes lancé dans cette formidable aventure qu'est, l'hypnose thérapeutique. ❤
Notre objectif était d'être capable d'aider les gens en souffrance à changer et à devenir une version satisfaisante d'eux-mêmes. ��
Mais ça ne fut pas simple, le parcours était semé d'embûches, entre désir et réalité, il a fallu se faire connaître pour en faire un métier. 📣
Heureusement nous y sommes arrivés avec patience et détermination à une époque où le marché n'était pas aussi saturé qu'aujourd'hui. 🧐
A l'époque, nous avons vu beaucoup de nos co-stagiaires s'installer. Malheureusement nombre d'entre eux ont aujourd'hui rendu les clés de leurs cabinets. 🔑
Le monde de la thérapie c'est aussi le monde de l'entreprenariat, et ça n'est pas facile de le reconnaître et surtout de l'accepter. 💰
Souvent les valeurs s'entrechoquent (humanisme/business) et se disputent la première place... mais elles sont souvent les 2 faces d'une même pièce ☯.
Nous avons réussit à mener notre barque bonnant malant jusqu'à trouver aujourd'hui chacun notre équilibre. 🛶

Cette quête il nous a fallu plusieurs années pour l'atteindre. Avec le recul nous nous disons que nous aurions pu y arriver beaucoup plus vite si nous avions su ce que très peu savent pour reussir leur vie de thérapeute ⏰
Ce savoir et cette expérience acquis au cours de ces 10 années, nous désirons aujourd'hui vous les partager avec un objectif très concret... 🤫

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Jeudi 6 juin à 19h nous vous offrons un webinaire pour découvrir tout ce que nous avons mis 10 ans à découvrir. 🎁
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Webinaire Changer d'ère 360 Il y a 10 ans Stéphane et moi nous nous sommes lancés dans cette formidable aventure qu'est, l'hypnotherapie. ❤️Notre objectif était d'être capable d'aider les gens en souffrance à changer et à devenir une version satisfaisante d'eux-mêmes. 🎭Mais ça ne fut...

29/02/2024

Adresse

82 Rue Du Faubourg Saint Antoine
Paris
75012

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 21:00
Mardi 09:00 - 21:00
Mercredi 09:00 - 21:00

Site Web

https://calendly.com/stephane-wioland

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