Rafaelle Djian Coach en développement personnel

Rafaelle Djian Coach en développement personnel Le coaching est une invitation à la réflexion, à la remise en question et à la prise de conscien

🔹 Pourquoi ça arrive ?Quand une situation active une vieille blessure émotionnelle, notre cerveau réagit comme si on rev...
16/02/2025

🔹 Pourquoi ça arrive ?
Quand une situation active une vieille blessure émotionnelle, notre cerveau réagit comme si on revivait l’événement passé. Ce sont les déclencheurs émotionnels.

🔹 Exemples de déclencheurs courants :
• Un ton de voix qui rappelle une dispute passée
• Une sensation d’abandon quand quelqu’un ne répond pas tout de suite
• Une critique qui réveille une blessure d’enfance
• Une attitude où une remarque qui fait écho à des expériences douloureuses antérieures
• Un lieu ou une musique associée à un souvenir négatif
• Des comportements perçus comme injustes ou dévalorisants

🔹 Alors que faire ?
1️⃣ Identifier le déclencheur (quelle situation a provoqué cette émotion ?)
2️⃣ Nommer l’émotion (colère, tristesse, peur, frustration ?)
3️⃣ Prendre du recul (est-ce que ma réaction appartient à ici et maintenant ou est-ce une réaction liée au passé ?)
4️⃣ Appliquer une régulation émotionnelle (respiration, relecture cognitive, ancrage)
➡️ outils de régulation émotionnelle à venir

J’ai appris à lâcher prise. J’ai appris à lâcher prise en observant le sens du mot inverse : s’accrocher.« Se tenir avec...
25/02/2024

J’ai appris à lâcher prise.

J’ai appris à lâcher prise en observant le sens du mot inverse : s’accrocher.
« Se tenir avec force »
« Ne pas céder »
J’ai appris à lâcher prise quand j’ai réalisé ce que ça coûte de s’acharner.
De maintenir. Coûte que coûte.
Comme si la nature me poussait dans une direction, comme si la vie m’ouvrait la voie, mais que je m’agrippais, de toutes mes forces, encore et encore, à ce que je connais.
À ce en quoi je crois.
À ce que je veux, ou crois vouloir.
J’ai appris à lâcher prise quand j’ai compris que parfois il est salvateur d’arrêter de s’accrocher.
Que batailler est souvent synonyme d’acharnement. D’épuisement.
D’une quête obsessionnelle de maitrise.
J’ai appris à lâcher prise quand j’ai cessé de me démener pour obtenir quelque chose de quelqu’un.
Quelque chose dont je pensais avoir cruellement besoin.
J’ai appris à lâcher prise quand j’ai compris qu’il s’agissait de ma liberté et de mon autonomie.
De mon droit à suivre ma route, même si elle n’est pas celle que j’avais imaginée ou celle qu’on avait dessinée pour moi.
J’ai appris à lâcher prise quand mon moteur n’a plus été la peur mais la foi.
J’ai appris à lâcher prise quand j’ai compris que mes attentes m’emprisonnaient.
Et que personne sur terre n’était né pour y répondre.
J’ai appris que lâcher prise, c’était dire oui à autre chose. À la nouveauté.
Que c’était accepter les fluctuations de la vie, que c’était choisir de s’incliner pour ne pas se briser.
Oui, j’ai appris que lâcher prise, c’est simplement accepter :
Ce qui est et ce qui n’est plus.
L’inconnu, la suite, le changement, le mouvement, l’inconfort, l’autre.
J’ai appris que lâcher prise, c’était me faire confiance.
C’était avoir la certitude que, quoi que je lâche, c’est pour mieux saisir ce qui se présentera à moi.



Crédit 📷: gradyseese

J’ai appris la tendresse. Ce cadeau universel qui se reçoit sans langage. Sans adage. J’ai appris la tendresse comme une...
11/02/2024

J’ai appris la tendresse.

Ce cadeau universel qui se reçoit sans langage. Sans adage.
J’ai appris la tendresse comme une caresse sur la joue, comme une main sur mon épaule, comme un regard aux yeux rieurs.
J’ai appris la tendresse comme une vague de douceur offerte par cet autre.
Tout autres qui me sourit.
J’ai appris la tendresse comme le plus beau des partages .
Comme la quintessence de l’humanité.
Comme l’optimisme d’un instant T.
J’ai appris la tendresse comme on apprend le soutien.
Ce don qui n’attend rien.
J’ai appris la tendresse comme symbole d’un amour pur et sincère.
Même s’il est éphémère.
J’ai appris la tendresse nourrie de compassion et de bienveillance.
J’ai appris la tendresse comme l’espoir infini d’une humanité plus belle.
Moins sombre.
J’ai appris la tendresse comme un monde dans le monde, un instant hors du temps.
J’ai appris la tendresse sans mot et sans explication.
Sans contexte, ni justification.
J’ai aussi appris la tendresse parlée, criée, chantée, collée, respirée.
J’ai appris que la tendresse s’oppose à la violence.
J’ai appris la tendresse comme apaisement de mes douleurs.
J’ai appris la tendresse comme un pansement sur mes faiblesses.
J’ai appris que la tendresse était appelée par mes failles et qu’il devenait alors judicieux d’oser les partager.
J’ai appris comme la tendresse se reçoit quand elle se donne et
Comme elle invalide la croyance que moi, je n’ai besoin de personne.



Crédit 📷: alexnika

J’ai appris à dire. Dire « je t’aime ». Dire « pardon ». Dire « est-ce que ça va ? ». J’ai appris à dire « je ». Appris ...
04/02/2024

J’ai appris à dire.

Dire « je t’aime ».
Dire « pardon ».
Dire « est-ce que ça va ? ».
J’ai appris à dire « je ».
Appris à dire « non ».
J’ai appris à dire « pourquoi ? » et à dire « je ne sais pas ».
J’ai aussi appris à dire « je ne peux pas », « je ne veux pas ».
J’ai appris que dire c’était exister.
Prendre sa place.
Et parfois même se sauver.
J’ai appris à dire qui j’étais.
À dire ma vulnérabilité.
Mon besoin. Mon émotion.
J’ai appris comme dire est un partage.
Comme c’est un cadeau.
J’ai appris que dire peut guérir.
Guérir les colères et les manques.
Les incompréhensions et les doutes.
Les peurs et les ruptures.
J’ai appris que dire ce n’est pas seulement affirmer c’est aussi écouter, et changer d’avis parfois.
J’ai appris que dire c’est laisser exister cette musique en nous, cette voix qui hurle.
J’ai appris que dire enlève la frustration.
Qu’il suffit parfois de dire une douleur ou une colère pour qu’elle disparaisse.
J’ai appris que dire c’était laisser exister ce qu’il se passe en moi. Ce qui m’anime.
J’ai appris à dire pour être transparente parfois et honnête souvent.
J’ai appris comme dire pouvait être poétique, artistique, créateur, salvateur.
J’ai appris que dire peut créer ma réalité ou la débâtir.
J’ai appris qu’avoir peur de dire c’est avoir peur d’être soi.
« Tout ce qui ne s’exprime pas, imprime »
J’ai appris comme dire me libérais du passé, de mes angoisses.
À force de dire j’ai appris la force qui se dégageait de moi.
J’ai appris comme dire qui j’étais, me permettais d’être authentique et aimable.
Alignée et à ma place.
Débarrassée de tout ce qui, finalement, n’était que surface.



Crédit 📷: Casarsa

J’ai appris la douleur. J’ai eu mal. Si mal. J’ai eu le ventre retourné, le cœur serré, le souffle coupé. J’ai appris la...
28/01/2024

J’ai appris la douleur.

J’ai eu mal. Si mal.
J’ai eu le ventre retourné, le cœur serré, le souffle coupé.
J’ai appris la douleur en l’observant passive, prostrée, osciller de mes pensées à mon âme.
J’ai appris la douleur dans mon corps.
Ce si puissant messager symptomatique.
J’ai aussi appris à voir le beau dans la douleur.
La vie dans la douleur.
Le mouvement dans la douleur.
Par la douleur j’ai appris l’impermanence des choses.De toutes choses.
Car aussi violente soit la douleur, aussi puissantes soient ses manifestations, il est important de constater qu’elle n’est qu’éphémère.
Un jour la douleur disparaît.
La douleur est un message qu’il nous convient d’accepter, de recevoir, d’interpréter.
J’ai appris la douleur comme différente de la souffrance.
La douleur est un coup porté à notre sécurité, à notre bien être, à notre état normal, mais elle n’est pas un état de fait.
Elle ne dure pas, si tant est qu’on la regarde, qu’on la reconnaisse.
Qu’on la considère et Qu’on l’écoute.
J’ai appris la douleur comme condition à la vie, au risque, à l’amour et à l’aventure.
Comme revers de beaucoup de médailles.
J’ai appris la douleur comme un tuteur qui peux aussi aider à mûrir.
J’ai appris la douleur comme thermostat de ma force et de ma ténacité.
J’ai appris la douleur en découvrant ma combativité et tous ses aspects.
Avec le temps, j’ai appris la douleur comme révélateur de résilience.
Comme précurseur d’indépendance et de solidité.
J’ai appris la douleur comme on apprend à marcher: je suis tant de fois tombée, je me suis aussi blessée mais j’ai finalement toujours su me relever.



Crédit 📷: Kangah

J’ai appris la limite.Cette ligne invisible qui lorsqu’elle est transgressée abîme. J’ai appris la limite parfois par la...
21/01/2024

J’ai appris la limite.

Cette ligne invisible qui lorsqu’elle est transgressée abîme.
J’ai appris la limite parfois par la colère, qui anime quand on se sent intrusé ou que nos besoins ne sont pas respectés.
J’ai appris la limite comme salvatrice de mon intégrité.
Comme bulle de protection, comme garantie d’oxygène.
J’ai appris la limite comme un profond respect de moi-même.
J’ai appris la limite comme un apprentissage de l’importance des places.
Que chacun soit enfin à sa JUSTE place.
J’ai appris la limite en intégrant l’idée d’une posture juste.
Adulte.
Assertive.
Assumée.
J’ai appris la limite comme un apprentissage du refus. Comme l’expérience du non.
Explorer ce NON fut un véritable parcours. Mais j’ai appris que dire non à l’autre, c’est souvent se dire oui à soi.
J’ai appris la limite saine.
Celle qui induit : « je sais maintenant ce qui est bon pour moi, ce que je peux et ne peux pas faire pour toi. »
J’ai appris que la limite n’enlève rien à l’amour, à l’altruisme, à la générosité.
Et qu’au contraire elle nourrit ces valeurs parce qu’elle leur assure authenticité et véracité.
J’ai appris que la limite est un don qu’on se fait à soi-même.
J’ai appris comme elle est fragile et précieuse.
Infime et mouvante.
Indispensable mais souvent ignorée.
J’ai appris la limite comme un exercice qui se présente encore et encore.
J’ai appris comme parfois elle est difficile à placer, à tenir et qu’il est acceptable, aussi, de la faire tomber.
J’ai appris la limite comme un choix conscient, comme une auto-préservation, comme une ode à mon individualité et non pas un encensement de l’individualisme.
J’ai appris les limites qui sauvent et les limites qui fâchent.
Mais surtout, j’ai appris qu’au bon endroit, elles sont la garantie du respect de chacun.



Crédits 📷 : blackwaterimages

J’ai appris la solitude Cet instant où l’on se sent vide, comme perdu face à l’immensité du monde. Comme figé dans une f...
07/01/2024

J’ai appris la solitude

Cet instant où l’on se sent vide, comme perdu face à l’immensité du monde.
Comme figé dans une foule en mouvement.
Comme terriblement vulnérable, attentiste, fébrile.
Avec le temps, j’ai appris la solitude comme une force. Comme une amie. Comme une alliée.
J’ai appris la solitude comme une lumière sur mes capacités.
Comme un rééquilibrage de mes priorités.
J’ai appris la solitude comme salvatrice de mes peines.
Comme guérisseuse de mes dépendances.
J’ai appris la solitude par respect pour moi et pour mes valeurs.
J’ai appris la solitude heureuse comme condition sine qua non à des relations saines.
J’ai appris la solitude choisie.
J’ai appris comme elle était belle comme ça, comme elle m’était précieuse.
Comme elle me permettait d’être libre.
J’ai appris qu’être bien toute seule permettait d’être mieux à deux.
J’ai appris que la solitude construisait les âmes et les rêves.
J’ai appris qu’elle donnait une dimension particulière à l’autre, car il devenait un plus et non pas une nécessité.
J’ai appris qu’elle me donnait une dimension particulière à moi, parce qu’elle m’autorisais à explorer qui je suis.
J’ai appris à aimer ce vide, ce temps où je suis là face au monde, où mon rythme détonne, ou le décalage se fait sentir.
J’ai appris la solitude dans mes choix et dans mes tripes.
J’ai appris comme la solitude est un cadeau pour quiconque s’autorise à être soi-même.

Adresse

Rue De La Faisanderie 75116
Paris
75016

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 19:00
Mardi 09:00 - 19:00
Mercredi 09:00 - 19:00
Jeudi 09:00 - 19:00
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