Frankono Moussolou " Mankono djiguiya: espoir de mankono"

Frankono Moussolou " Mankono djiguiya: espoir de mankono" FRANKONO MOUSSOLOU " MANKONO DJIGUIYA" a pour but de promouvoir les valeurs authentiques de Mankono et faire de son développement une priorité...

26/08/2015

le sons de l'émergence lors de la conférence des ministres Moussa Dosso et Cisse Bacongo

Sogbe Dosso venez apprendre l'histoire de mankono avec Fima karamoko
25/08/2015

Sogbe Dosso venez apprendre l'histoire de mankono avec Fima karamoko

L'espoir renaît avec la jeunesse féminine de la diaspora face au développement du berré.
24/08/2015

L'espoir renaît avec la jeunesse féminine de la diaspora face au développement du berré.

Fils de Mankono, toi qui t'es toujours battu pour ta commune , qui l'a tant aimé, merci pour tout ce que vous faites dan...
22/08/2015

Fils de Mankono, toi qui t'es toujours battu pour ta commune , qui l'a tant aimé, merci pour tout ce que vous faites dans l'ombre et de façon visible. Nous sommes reconnaissant et vous encourageons a ne pas baisser les bras, a en faire d'avantage afin que notre ville émerge . Merci Moussa Dosso maire de mankono

Merci papa ADO pour tout ce que tu as promis, entrepris et déjà réalisé pour notre département
22/08/2015

Merci papa ADO pour tout ce que tu as promis, entrepris et déjà réalisé pour notre département

21/08/2015

Mankono
Administration
Pays Côte d'Ivoire
Région Béré
Maire M. Dosso Moussa

Démographie:
Gentilé Mankonoka
Population 23 724 hab. (2010)
Densité 2,2 hab./km2

Géographie:
Coordonnées 8° 04′ Nord 6° 11′ Ouest / 8.06, -6.19
Superficie 1 066 000 ha = 10 660 km2

Divers:
Langue(s) parlée(s) français, Malinké(koyaka) , Malinké(Dioula)

Localisation:
Mankono est une ville Mandé,Malinké de la Côte d'Ivoire qui se situe au centre-nord du pays, dans le district administratif du woroba plus précisément dans la région du béré, à 455 km au nord d'Abidjan et à 212 km au nord de Yamoussoukro. La ville de ""Mankono"" est limitée au sud par les départements de Béoumi, Zuénoula et Vavoua, au nord par Boundiali et Korhogo, à l'est par Katiola et à l'ouest par Séguéla. Le département de Mankono couvre sept (07) sous-préfectures dont Kongasso, Konahiri, Tiéningboulé, Marandala, Sarhala, Dianra et Mankono même.

Erigé en poste administratif en 1898 puis en Subdivision en 1902, c'est en 1979 que Mankono est devenu chef-lieu de département qui porte son nom. Le département de Mankono était auparavant dans la région administrative du worodougou(pays de la kola)en Malinké, mais depuis le décret du 27 mars 2012 portant nouveau découpage administrative de la Côte d'Ivoire le département de mankono se situe dans la region administrative du béré.

Le département de Mankono compte 210 000 habitants, selon le dernier recensement organisé dans le pays, et couvre une surface de 10 660 km2, ce qui en fait un des plus étendus du pays.

La ville est habitée par les populations Mandé, Malinké (koyaka) qui sont en majorité des musulmans. Ils sont pour la plupart des marabouts et commerçants, guérisseurs ou cultivateurs.

La nuit et le lendemain de la fête de la Tabaski, il y a une fête coutumière appelée DOH à laquelle seuls les hommes participent.

Une loi de 1978[1] a institué 27 communes de plein exercice sur le territoire du pays, dont celle de Mankono.

Représentation politique:
Députés de Mankono:
2001 Mme Eniss Kanaté FPI Femme politique élu
Le mandat de l’Assemblée nationale élue en 2001 s'achevait le 16 décembre 2005. Mais, en raison de la crise politico-militaire de 2002, les élections législatives n'ont pas eu lieu et l’Assemblée nationale en place est demeurée en fonction et a conservé ses pouvoirs.
Aujourd'hui c'est son fils moussa Dosso qui est député

Liste des maires successifs
1980 KONE . M PDCI-RDA
1985 Amara KARAMOKO PDCI-RDA
1990 Amara KARAMOKO PDCI-RDA
1995 Mme ENNIS KANATÉ RDR
2001 Mme ENNIS KANATÉ RDR
Maire actuel moussa Dosso

Le département compte les sous-préfectures de Kongasso et Marandala.

Après les évènements de 2002, la ville, comme toutes les localités du nord du pays, a été placée sous l'administration du MPCI puis des Forces nouvelles de Côte d'Ivoire et se trouvait de fait sous l'autorité unique d'un « commandant de zone » ( « com-zone » ). Ce « commandant de zone » est désigné par le secrétaire général des Forces nouvelles de Côte d'Ivoire, Guillaume Soro, comme pour chacun des dix (10) secteurs de la zone nord ivoirienne, Mankono étant désignée depuis 2006 sous le terme de Zone no.Actuellement, il s'agit de Capi Bakayogo. Cette autorité existe toujours en 2008 et cohabite avec les fonctionnaires de l'état, préfet et sous-préfet, revenus dans la région.

Société:

Les monan et ouan sont de petits groupes ethniques localisés à Kongasso ( kongopla en langue Monan et Kounahiri pour le Ouan). Ces deux peuples ont les mêmes coutumes. Les monan s'apparentent beaucoup aux yacoubas. Le chef-lieu de canton des Monan est Bambalouma dont le premier chef de canton a été BOH Yahiri, village situé à 9 km de la sous-préfecture de Kongasso et celui des Ouan est Kounahiri.

Éducation:

primaires islamique
daroul moustôpha Paix et Salut sur Lui.
sabil fatihi.
nour karamoko vakassa.
hidayatou nashiina.
sabil falaahi.

Enseignement secondaire lycée Public
lycée municipale
des collèges privées

collège islamique daroul moustopha
collège iblo fofana
collège gruan carlos
collège technique
C.E.T

C'est à Elima, au sud du pays, qu'est créée la première école officielle le 8 août 1887 avec pour instituteur Fritz-Émile Jeand'heur venu d'Algérie. Elle comptait alors 33 élèves africains qui seront les premiers lecteurs en langue française. Elle fonctionna pendant 3 ans avant d'être transférée en 1890 à Assinie par Marcel Treich-Laplène, le nouveau résident de France. Le premier mars 1904, il y avait 896 élèves en Cote d'Ivoire pour une population estimée un peu supérieure à 2 millions d'habitants. Mankono accueille l'une des 18 écoles de village créées en 1903. Elle comportait 46 élèves encadrés par 2 instituteurs.

Santé:
La ville est dotée d'un hôpital central.

Infrastructures :

Aucune des voies reliant Mankono aux villes voisines, Boundiali, Séguéla, Zuénoula, Bouaké, n’est bitumée. Cette situation rend le département totalement enclavé

Personnalité liée à la ville:

Youssouf Falikou Fofana, footballeur
Moussa Dosso, ministre de l'emploi.
Ibrahim Bacongo Cissé, ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative

Villes voisines :

Bouaké à l'est, à 162 km. le bitumée est a 59 km de MANKONO
Séguéla à l'ouest, à 65 km. il n ya pas de bitumée entre MANKONO et SEGUELA
Boundiali au nord, à 229 km.IL N YA PAS AUSSI
Zuénoula au sud, à 79 km. IL N YA PAS AUSSI

21/08/2015

L'espace occupé aujourd'hui par les Koyaka est une zone de peuplement Sénoufo. Il s'agissait d'une multitude de sous-groupes dont les traditions orales gardent quelque souvenir : les Somorho, les N'gulé, les Sonnon, etc.

Ces populations vivaient essentiellement d'agriculture, de chasse et d'artisanat. Les Somorho sont ainsi reconnus comme d'excellents métallurgistes dont on retrouve les vestiges sous forme de gros amas de scories du travail du fer (Fizanlouman, Kogolo, Mankono, Toulé, etc.)

En raison de sa situation géographique et de la richesse de son sous-sol (zone d'orpaillage), il semble que la région ait attiré très tôt les populations Mandingues intégrées dans le trafic commercial connu sous le nom de commerce transsaharien.

Les premiers mandingues semblent être les Ligbi qui parcourent la zone dès la fin du XIIème et le début du XIIIème siècle, à l'instar des Ligbi du Nord-Est de la Côte d'Ivoire (Kong, Bouna, Bondoukou).

Ce premier peuplement mandingue se renforce à partir du XIIIème siècle par une seconde vague.

La configuration ethnosociologique actuelle de Mankono remonterait au 14e -15e siècle.

C'est à cette époque en effet, que les Koyaka, comme tous les Malinké, primitivement issus des bords du Niger, ont dû partir de l'empire du Mali en pleine déconfiture à cause des nombreuses guerres de succession.

Une fois parvenus à leur emplacement actuel après parfois des décennies de périple, les Koyaka ont d'abord créé plusieurs villages disséminés dans la zone pré-forestière.

Le mot Mankono, selon une version de l'histoire, serait issu des premiers contacts avec le colonisateur européen.

En effet, rencontré dans la région par un groupe d'européens qui souhaitaient savoir le nom de la localité, un indigène Koyaka, apeuré et ne comprenant rien aux propos de ses interlocuteurs, héla son compagnon qui avait des mètres de distance sur lui, en ces termes : man-kônon ! C'est à dire attends-moi ! Les Européens qui prirent ces propos comme la réponse à leur interrogation, conclurent qu'ils étaient à Mankono.

Une autre source, sans remettre en cause la véracité des faits du premier récit, dit qu'avant les premiers contacts avec l'occident, l'appellation Mankono existait déjà.

En effet, les premières peuplades qui seraient les Karamoko et les Fofana, après plusieurs installations temporaires dans les encablures du cite actuel de Mankono, se seraient fixés définitivement sur conseil des oracles qui prédisaient à cet espace, abondance et prospérité.

C'est dans l'attente de cette prophétie, de ce bonheur promis, que l'endroit fût baptisé ''Mankono'', l'abrégé de ''hèrè Mankono'' qui signifie, en attendant ou dans l'attente du bonheur.

Erigé en poste administratif en 1898 puis en subdivision en 1902, c'est en 1979 que Mankono est devenu chef-lieu du département qui porte son nom.

L'espace occupé aujourd'hui par les Koyaka est une zone de peuplement Sénoufo. Il s'agissait d'une multitude de sous-gro...
21/08/2015

L'espace occupé aujourd'hui par les Koyaka est une zone de peuplement Sénoufo. Il s'agissait d'une multitude de sous-groupes dont les traditions orales gardent quelque souvenir : les Somorho, les N'gulé, les Sonnon, etc.

Ces populations vivaient essentiellement d'agriculture, de chasse et d'artisanat. Les Somorho sont ainsi reconnus comme d'excellents métallurgistes dont on retrouve les vestiges sous forme de gros amas de scories du travail du fer (Fizanlouman, Kogolo, Mankono, Toulé, etc.)

En raison de sa situation géographique et de la richesse de son sous-sol (zone d'orpaillage), il semble que la région ait attiré très tôt les populations Mandingues intégrées dans le trafic commercial connu sous le nom de commerce transsaharien.

Les premiers mandingues semblent être les Ligbi qui parcourent la zone dès la fin du XIIème et le début du XIIIème siècle, à l'instar des Ligbi du Nord-Est de la Côte d'Ivoire (Kong, Bouna, Bondoukou).

Ce premier peuplement mandingue se renforce à partir du XIIIème siècle par une seconde vague.

La configuration ethnosociologique actuelle de Mankono remonterait au 14e -15e siècle.

C'est à cette époque en effet, que les Koyaka, comme tous les Malinké, primitivement issus des bords du Niger, ont dû partir de l'empire du Mali en pleine déconfiture à cause des nombreuses guerres de succession.

Une fois parvenus à leur emplacement actuel après parfois des décennies de périple, les Koyaka ont d'abord créé plusieurs villages disséminés dans la zone pré-forestière.

Le mot Mankono, selon une version de l'histoire, serait issu des premiers contacts avec le colonisateur européen.

En effet, rencontré dans la région par un groupe d'européens qui souhaitaient savoir le nom de la localité, un indigène Koyaka, apeuré et ne comprenant rien aux propos de ses interlocuteurs, héla son compagnon qui avait des mètres de distance sur lui, en ces termes : man-kônon ! C'est à dire attends-moi ! Les Européens qui prirent ces propos comme la réponse à leur interrogation, conclurent qu'ils étaient à Mankono.

Une autre source, sans remettre en cause la véracité des faits du premier récit, dit qu'avant les premiers contacts avec l'occident, l'appellation Mankono existait déjà.

En effet, les premières peuplades qui seraient les Karamoko et les Fofana, après plusieurs installations temporaires dans les encablures du cite actuel de Mankono, se seraient fixés définitivement sur conseil des oracles qui prédisaient à cet espace, abondance et prospérité.

C'est dans l'attente de cette prophétie, de ce bonheur promis, que l'endroit fût baptisé ''Mankono'', l'abrégé de ''hèrè Mankono'' qui signifie, en attendant ou dans l'attente du bonheur.

Erigé en poste administratif en 1898 puis en subdivision en 1902, c'est en 1979 que Mankono est devenu chef-lieu du département qui porte son nom.

21/08/2015

FRANKONO MOUSSOLOU "Mankono djiguiyalou " qui signifie espoir de mankono est une organisation féminine basé en France qui a pour but de promouvoir les valeurs authentiques de la ville de Mankono, de ses fils et cadres .....
De primer le développement de la région:
en posant des actes primaire
dans le domaine scolaire, et autres
Prise en charge aux orphelins et assistance et aide
au mère et femme en détresse
En sensibilisant les fils de la région exilé a embrasser le train du développement par des actes nobles et magnanimes....
De choisir , pousser et aider celui qui fera de leur région, une région émergente...

Adresse

Paris
75020

Téléphone

0684487542

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