Marie Labruyère - Intégration Réflexes Primitifs et Hypersensibilités

Marie Labruyère - Intégration Réflexes Primitifs et Hypersensibilités Intégration Réflexes primitifs et Hypersensibilités : Les clés Sensorielles, Émotionnelles et Motrices.

18/07/2025
09/07/2025

🦴 “La vertèbre déplacée : mythe ou réalité ?” 🤔

➡ Spoiler : Elle ne s’est pas fait la malle toute seule. 🧳

Ce mythe, on l’entend tous les jours. Et c’est normal : Le bon vieux jargon de pépé Camille 👴

Tu ressens un blocage, une douleur vive, une perte de mobilité…
Et tout de suite, tu te dis :

« C’est ma vertèbre. Elle a dû sauter. » 🫣

Mais en réalité, le corps est beaucoup plus complexe… et plus intelligent que ça. 💪

👉 Une vertèbre, ce n’est pas une pièce de LEGO qu’on repositionne 🤏
👉 Ce n’est pas un os qui se balade au hasard dans ton dos 😮‍💨
👉 Et NON, un ostéo ne te “remet pas en place” comme on monte une étagère IKEA 🤦‍♂️

Ce que tu ressens, ce sont souvent :
• Des tensions musculaires ou ligamentaires,
• Un manque de mobilité articulaire,
• Un stress mécanique ou postural,
• Ou simplement un message que ton corps essaie de faire passer… à sa manière.

Mon travail, c’est justement d’écouter ce message,
de comprendre ce qui coince,
et de t’accompagner pour que ton corps retrouve du mouvement et du confort.

💡 Pas de magie. Pas de bricolage. Retrouver de la mobilité : y’a que ça de vrai ✅

Et si tu ne veux pas rester dans le doute, tu sais ce qu’il te reste à faire 👇

👨‍💻 doctolib.fr/osteopathe/vacqueyras/pierre-niel
☎️ 07 70 95 20 11
📍 Vacqueyras

09/07/2025

𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗳𝗼𝗹𝗹𝗲… 𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗼𝗻𝗱𝗲́𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗯𝗹𝗲𝘀𝘀𝗲́𝗲.
Elle a traversé une tempête silencieuse que personne n’a vue, que personne n’a nommée. Elle a appris à se replier dans des coins discrets des pièces où elle aurait dû être protégée, choyée, et aimée sans condition. Elle a appris à survivre à un amour qui ressemblait plus à un champ de bataille qu’à un sanctuaire — où chaque mot pouvait devenir une arme, chaque toucher était incertain.
Elle n’est pas irrationnelle ou déséquilibrée… elle porte le lourd fardeau d’une douleur qui n’a jamais été reconnue, jamais excusée. Une douleur si profonde qu’elle en a brisé sa perception du réel, l’a poussée à douter de sa propre vérité — simplement parce que quelqu’un d’autre voulait en prendre le contrôle.

𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗻𝗮𝗶̈𝘃𝗲… 𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗺𝗮𝗻𝗶𝗽𝘂𝗹𝗲́𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻.
Il y a une différence immense. On l’a inondée d’amour jusqu’à faire gonfler son cœur, puis on l’a fait douter d’elle-même jusqu’à ce que sa confiance disparaisse. On lui a menti, on l’a tordue, enchevêtrée dans les fils du mal-être et des besoins inassouvis d’un autre. Elle s’est accrochée aux mots plutôt qu’aux actes parce qu’elle voulait croire en l’amour, même quand l’amour ressemblait à de l’endurance.
On lui a appris que l’amour signifiait souffrir en silence, alors elle a porté l’insupportable. On lui a dit que ses peurs étaient imaginaires, alors qu’elles étaient en réalité les conséquences du contrôle, du silence, et des punitions cachées de l’autre. Ce n’était pas de la bêtise — c’était de l’espoir utilisé comme une arme, une lumière fragile dans une obscurité dévorante.

𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝘁𝗶𝗺𝗶𝗱𝗲… 𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗲̀𝗴𝗲 𝗳𝗲́𝗿𝗼𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝗼𝗻 𝗮̂𝗺𝗲.
Elle n’accorde plus sa confiance à la légère, parce que la chaleur qu’elle cherchait est devenue le froid qui l’a trahie. Elle est méfiante non par choix, mais par instinct de survie. Son silence n’est pas une faiblesse ; c’est l’armure patiente d’un cœur qu’on a ignoré et négligé. Elle écoute attentivement, elle observe, elle apprend à discerner qui est réellement digne de confiance, et qui cache des intentions blessantes derrière un masque de gentillesse.
Son silence est son bouclier, pas un défaut.

𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗮𝗺𝗲̀𝗿𝗲… 𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗮 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗱𝗶𝗿𝗲 𝘀𝗮 𝘃𝗲́𝗿𝗶𝘁𝗲́.
Nommer le mal qui lui a été fait, ce n’est pas de l’amertume, c’est du courage. Mettre des mots sur sa douleur est un acte de guérison, une façon de reprendre le contrôle de son histoire. Tenir les autres pour responsables, ce n’est pas cultiver la haine — c’est refuser de cacher les cicatrices profondes qu’on lui a infligées. Elle n’est pas en colère sans raison ; elle est éveillée, consciente, et elle refuse désormais de se rétrécir pour que les autres soient à l’aise avec leurs torts.

𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗰𝗼𝗶𝗻𝗰𝗲́𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲́… 𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲 𝗹𝗲 𝗽𝗼𝗶𝗱𝘀 𝗱𝘂 𝘁𝗿𝗮𝘂𝗺𝗮𝘁𝗶𝘀𝗺𝗲.
Le traumatisme ne suit pas le calendrier, et la guérison n’est jamais une ligne droite. Parfois, des souvenirs surgissent comme des ombres non invitées, brisant la paix fragile qu’elle a construite. Elle n’est pas “bloquée” ou “obsédée” — elle reconstruit courageusement sa vie à partir des morceaux brisés. On ne peut pas forcer un cœur à redevenir entier, surtout lorsqu’il a été brisé par les mains mêmes qui avaient promis de le protéger.

𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲́𝗹𝗶𝗿𝗮𝗻𝘁𝗲… 𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗮 𝘀𝘂𝗿𝘃𝗲́𝗰𝘂 𝗮̀ 𝘂𝗻 𝗰𝗮𝘂𝗰𝗵𝗲𝗺𝗮𝗿 𝗱𝗲́𝗴𝘂𝗶𝘀𝗲́ 𝗲𝗻 𝗹𝘂𝗺𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗷𝗼𝘂𝗿.
Un cauchemar où les sourires masquaient la cruauté, et où le charme en public dissimulait la torture en privé. Un cauchemar que personne ne croyait, parce que lui semblait gentil, tandis qu’elle avait l’air épuisée et détruite. Elle n’exagère pas — elle a enduré plus que les mots ne peuvent le dire. Elle n’est pas dramatique — elle a survécu.

𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗳𝗮𝗶𝗯𝗹𝗲… 𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗹𝗲𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲.
Elle a donné aux autres le bénéfice du doute encore et encore. Elle a cru que l’amour suffisait à guérir toutes les blessures. Elle a pardonné plus qu’elle n’aurait dû, est restée plus longtemps qu’elle ne le méritait, et a aimé plus fort qu’elle n’a jamais été aimée en retour. Ce n’est pas de la faiblesse — c’est l’essence même de l’humanité. Elle a porté son cœur à découvert dans un monde qui a essayé maintes fois de le lui arracher.

𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗻’𝗮𝗯𝗮𝗻𝗱𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗽𝗮𝘀…
𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗴𝘂𝗲́𝗿𝗶𝘁.

Et la guérison ? Ce n’est jamais propre.
C’est désordonné, bruyant parfois, douloureusement silencieux à d’autres moments. Cela ressemble à des éloignements de personnes qu’elle appelait autrefois des amis. Cela ressemble à des larmes versées sous la do**he, puis à un sourire courageux offert à un inconnu dans la rue. Mais c’est réel. C’est en cours.

𝗔𝗹𝗼𝗿𝘀 𝗻𝗲 𝗷𝘂𝗴𝗲𝘇 𝗽𝗮𝘀 𝘀𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗲𝘀𝘀𝘂𝘀.
𝗡𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗼𝗻𝗱𝗲𝘇 𝗽𝗮𝘀 𝘀𝗼𝗻 𝘀𝗶𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗳𝗮𝗶𝘁𝗲, 𝗻𝗶 𝘀𝗲𝘀 𝗹𝗮𝗿𝗺𝗲𝘀 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗳𝗮𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀𝘀𝗲.
𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗯𝗿𝗶𝘀𝗲́𝗲… 𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗲𝗻 𝘁𝗿𝗮𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝗱𝗲𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿.
𝗗𝗲𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗳𝗼𝗿𝘁𝗲, 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱𝗼𝘂𝗰𝗲, 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘀𝗮𝗴𝗲, 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗮𝗳𝗳𝗶𝗿𝗺𝗲́𝗲, 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗺𝗲́𝗳𝗶𝗮𝗻𝘁𝗲, 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗽𝘂𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲.
𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗾𝘂’𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 — 𝗲𝘁 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮̀ 𝘀𝗮 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗴𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗰𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲.

- Credits to owner -

03/07/2025

Je suis une maman mouton noir.
Et je le dis sans honte.

Je suis celle qui refuse de transmettre les chaînes du transgénerationnel.

Refus à une éducation qui étouffe, aux règles dictées par la peur, le silence…
J’ai choisi de marcher à contre courant.

J’ai choisi de me regarder en face.
D’oser plonger dans mes blessures anciennes, pour mieux devenir femme et mère.
Je me dis que cela doit s’arrêter avec moi.

Je suis une maman que l’on a critiquée pour être « trop » à l’écoute ou « pas assez » punitive. Je ne donne pas de punitions à contre sens.
Trop sensible. Trop sauvage.Trop intuitive.
Pas assez conforme.

Mais j’ai appris à écouter ce qui rayonne en moi :
l’instinct, l’intuition, mon intérieur.

Pas de femme parfaite, pas de mère parfaite… juste essayer de faire de son mieux ❤️

Marie Labruyère

Voici Joaquim 6 ans en CP. Début du suivi en septembre 2024 pour des troubles de l’oralité, des chutes à répétition, dis...
27/06/2025

Voici Joaquim 6 ans en CP. Début du suivi en septembre 2024 pour des troubles de l’oralité, des chutes à répétition, distraction à l’école. Il me dit « je cours et bam je tombe ». Mange ses ongles, ses tee-shirts, se mord la lèvre, met la main à la bouche.
Pas de graphisme en place, manque de précision, saute des lignes.
Sensibilité tactile.

Retour de la maman au fur et à mesure des séances:
- Ralentissement des chutes,
- S’est mis à faire des dessins : champs de fleurs, environnement…
- Arrêt de la main à la bouche,
- Saute des murets seul sans l’aide de la main de la maman,
- Façon différente « d’habiter » son corps,
- Plus de patience (ex: coiffeur, voiture…)
- Apaisement dans la façon d’aborder la difficulté (acceptation de l’échec),
- Amélioration nette des mouvements des yeux, il n’y a plus de sauts dans les yeux.
- L’écriture s’améliore.
- Est moins fatigué à la sortie de l’école.
- Prise d’autonomie : « je ferme la porte de la do**he tout seul ! », « je débarrasse la table », « je prépare mes vêtements pour la semaine », « je deviens plus autonome Marie ! ».

Évolution de ses dessins :

23/06/2025
18/06/2025

Lorsqu’un homard grandit, sa carapace devient trop étroite. Elle le serre, l’oppresse, l’étouffe. Alors, il se retire, se cache quelque part, abandonne cette armure qui l’avait protégé… et en façonne une nouvelle, plus grande, à la mesure de celui qu’il est devenu, au-dedans.

Ce n’est pas un événement unique. Il recommence, encore et encore. À chaque pression, à chaque douleur, il ne se croit pas en échec… il comprend qu’il est en train de grandir.

La vie n’est pas différente.
Les enfants qui apprennent à tolérer la frustration,
à chercher des solutions plutôt que baisser les bras,
à se relever même en tremblant,
ce sont eux qui vont le plus loin.

Non pas grâce au talent. Mais grâce au caractère.
Non pas par chance. Mais par habitude.

Si tu veux que ton enfant devienne riche — pas seulement en argent, mais en courage, en âme, en liberté —
ne lui apprends pas à chercher la facilité.
Apprends-lui à trouver de la valeur dans l’inconfort.
À comprendre que la douleur n’est pas un ennemi,
mais le signal qu’il est sur le point de dépasser ses limites.

Quand la vie le serrera trop fort,
ne lui donne pas des excuses.
Offre-lui des outils. Donne-lui ton exemple.

Parce qu’à chaque fois qu’il brisera sa carapace,
le monde s’élargira un peu plus…
et lui aussi.
Le monde littéraire

Finalement un peu de répit…
18/06/2025

Finalement un peu de répit…

Adresse

Pernes-les-Fontaines

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Mardi 09:00 - 19:00
Mercredi 09:00 - 20:00
Jeudi 09:00 - 20:00
Vendredi 09:00 - 20:00

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A propos de Marie Labruyère

Je suis titulaire du diplôme d’Etat de Conseillère en Economie Social et Familial. L’activité de la conseillère vise à soutenir des personnes ou des familles qui ont besoin à un moment de leur vie d’ un soutien, d’ une écoute, de trouver des solutions pour l’équilibre de la famille. Ce diplôme forme des spécialistes de l’organisation de la vie familiale (Éducation/Parentalité, santé, logement, budget, alimentation…)

J’ai occupé mon premier poste dans un service d’Accueil d’Urgence pour Demandeurs d’Asile. Puis, j’ai travaillé sur un chantier d’insertion avec des jeunes ayant perdu des repères : famille, emploi, santé…

Mon 3ème emploi, en tant que Référente de Parcours de Réussite Educative, m’a permis de travailler avec un public plus jeune : 2 ans à 16 ans. Ma mission principale était de proposer aux enfants des parcours individualisés dit « sur mesure » permettant de leur faire découvrir la culture, de mettre en place un parcours santé ou encore éducatif tout cela en lien et en accord avec les parents.

Puis, j’ai changé de nouveau de travail, pour cette fois, me consacrer uniquement à la famille.