Cabinet infirmier Alcoverro & Denimal

Cabinet infirmier Alcoverro & Denimal Soins infirmiers à domicile et Soins au cabinet, 39 rue de la République à Pernes : 7 jours sur 7 Nous sommes une équipe d'infirmiers.

Nous nous relayons pour vous proposer des soins à domicile sur rendez-vous tous les jours (dimanches et jours fériés compris). Nous assurons nos consultations sur les communes de Pernes-les-Fontaines et Monteux (autres communes proches, nous consulter).

26/07/2025
24/07/2025

Ce n'est pas parce-que tu es différent que tu n'as pas de place dans la vie...🌈☀️

24/07/2025

Papa ne se plaint plus… mais il ne sourit plus comme avant.
Il se lève tôt, rentre t**d, et parle à peine.
Il a le regard fatigué, les épaules affaissées… et l’âme… qui sait où.
Mais personne ne le remarque.

Parce que papa, c’est le fort.
Celui qui ne flanche pas.
Celui qui « ne pleure pas », qui « encaisse », qui « ne se fatigue jamais ».

Mais il se fatigue, lui aussi.
Il ne le dit simplement pas.
Parce qu’il a appris, depuis petit,
que les hommes ne s’arrêtent pas pour parler de ce qu’ils ressentent.
Il a appris à ravaler sa peur, sa colère, sa douleur…
et à continuer comme si de rien n’était.

Papa a aussi ses crises.
Il a aussi ses doutes.
Il se sent seul, parfois.
Il regarde le plafond en pleine nuit,
et il se demande s’il a été un bon père,
s’il a déçu comme mari,
s’il a perdu l’essence de celui qu’il rêvait d’être un jour.

Et pourtant, il continue.
Il continue de travailler, de réparer, de payer les factures,
de porter ce que personne d’autre ne voit.
Sans rien demander.
Sans pleurer devant qui que ce soit.
Sans montrer que, à l’intérieur… il s’éteint doucement.

Est-ce qu’on croit vraiment que, parce qu’il est un homme,
il n’a pas besoin de tendresse ?
Que parce qu’il est père, il ne mérite pas d’être entouré, écouté ?
Que son silence signifie que tout va bien ?

Non.
Papa mérite aussi qu’on lui demande comment il va.
Qu’on s’assoie près de lui, sans urgence, et qu’on lui dise :
« Tu n’as pas à tout porter tout seul. »

Parce qu’il y a des pères qui sont vivants…
mais qui, à l’intérieur, se sentent absents.
Et si on ne les voit pas aujourd’hui,
il se peut que demain, ils ne soient plus là.

24/07/2025

𝗦𝗶 𝘂𝗻 𝗷𝗼𝘂𝗿 𝗷𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘀 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗶𝗻𝘁·𝗲 𝗱𝗲 𝗱𝗲́𝗺𝗲𝗻𝗰𝗲, je souhaite que ma famille et mes proches affichent ce texte là où je vis. Qu’ils s’en souviennent, qu’ils s’en imprègnent, et qu’ils s’y réfèrent chaque fois que les repères vacillent.

𝟭. 𝗔𝗻𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲𝘇 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗱𝗼𝘂𝗰𝗲𝘂𝗿.

Chaque fois que vous entrez dans la pièce, présentez-vous simplement : « Bonjour, c’est [votre prénom] ». Ne me demandez pas si je sais qui vous êtes. Ce genre de question peut me troubler profondément, me faire douter, ou me plonger dans l’angoisse.

𝟮. 𝗘𝗻𝘁𝗿𝗲𝘇 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗺𝗮 𝗿𝗲́𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́.

Si je parle de rendre visite à mes parents ou d’attendre quelqu’un qui n’est plus là, inutile de me corriger. Accompagnez-moi dans cette réalité, même si elle ne vous appartient pas. Elle est peut-être floue, mais elle me rassure.

𝟯. 𝗡𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗲𝘀𝘁𝗲𝘇 𝗽𝗮𝘀 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗷𝗲 𝗰𝗿𝗼𝗶𝘀.

Mon esprit peut m’emporter dans des lieux et des temps incertains. M’opposer une vérité brutale ne fera qu’ajouter à ma confusion. Accordez-moi le droit à mes repères, aussi dissonants soient-ils.

𝟰. 𝗡𝗲 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘇 𝗿𝗶𝗲𝗻 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁.

Si je ne vous reconnais pas, ce n’est pas un rejet. C’est ma mémoire qui me trahit. Même si mes mots vous déconcertent, sachez que mon affection, elle, reste vivace – quelque part en moi.

𝟱. 𝗔𝗶𝗱𝗲𝘇-𝗺𝗼𝗶 𝗮̀ 𝗴𝗮𝗿𝗱𝗲𝗿 𝗺𝗮 𝗱𝗶𝗴𝗻𝗶𝘁𝗲́.

Si je n’arrive plus à me servir de couverts, ne me nourrissez pas tout de suite. Essayez d’abord des aliments que je peux prendre avec les doigts. Peut-être puis-je encore me débrouiller, à ma façon.

𝟲. 𝗢𝗳𝗳𝗿𝗲𝘇-𝗺𝗼𝗶 𝗱’𝗮𝗯𝗼𝗿𝗱 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗺𝗮𝗶𝗻, 𝗽𝗮𝘀 𝘃𝗼𝘀 𝗲𝘅𝗽𝗹𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀.

Quand je suis anxieux·se, triste ou perdu·e, écoutez sans minimiser, sans rationaliser. Tenez ma main. Restez près de moi. Ce geste en dit plus que mille paroles.

𝟳. 𝗔𝗱𝗿𝗲𝘀𝘀𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗮̀ 𝗺𝗼𝗶 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁.

Même malade, je ne suis pas un·e enfant. Parlez-moi avec délicatesse, mais sans condescendance. Je reste un·e adulte digne d’attention et de considération.

𝟴. 𝗙𝗮𝗶𝘁𝗲𝘀 𝘃𝗶𝘃𝗿𝗲 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗷’𝗮𝗶𝗺𝗮𝗶𝘀.

Même avec la démence, certaines passions peuvent subsister : lire, écouter de la musique, marcher, chanter… Aidez-moi à retrouver un chemin, aussi fragile soit-il, vers ces plaisirs anciens.

𝟵. 𝗙𝗮𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮̀ 𝗺𝗮 𝗺𝗲́𝗺𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗵𝗲𝘂𝗿𝗲𝘂𝘀𝗲.

Demandez-moi de vous raconter une histoire, un souvenir marquant, une anecdote. Vous pourriez être surpris·e par la précision de mes évocations, même si le présent m’échappe.

𝟭𝟬. 𝗣𝗿𝗲𝗻𝗲𝘇 𝗹𝗲 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗺𝗼𝗻 𝗮𝗴𝗶𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻.

Si je deviens nerveux·se ou agité·e, ce n’est pas sans raison. Essayez de deviner ce qui me trouble : un inconfort, une douleur, un besoin mal exprimé. L’agitation est souvent une manière de dire ce que je ne peux plus formuler.

𝟭𝟭. 𝗧𝗿𝗮𝗶𝘁𝗲𝘇-𝗺𝗼𝗶 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗼𝘂𝗱𝗿𝗶𝗲𝘇 𝗹’𝗲̂𝘁𝗿𝗲.

Je reste une personne à part entière. Ce que je traverse pourrait aussi vous arriver. Entourez-moi de la patience, de la tendresse et du respect que vous aimeriez recevoir.

𝟭𝟮. 𝗔𝗻𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲𝘇 𝗺𝗲𝘀 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻𝘀 𝘀𝗶𝗹𝗲𝗻𝗰𝗶𝗲𝘂𝘅.

Je peux avoir faim sans savoir comment le dire. L’irritabilité ou l’angoisse en sont parfois les seuls signes. Prévoyez des collations. Ce simple geste peut éviter bien des malaises.

𝟭𝟯. 𝗡𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲𝘇 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗶 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲 𝘀𝗶 𝗷𝗲 𝗻’𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝗹𝗮̀.

Même silencieux·se, même absent·e en apparence, je peux encore vous entendre. Parlez avec moi, pas sur moi. Mon humanité mérite votre regard direct et votre voix claire.

𝟭𝟰. 𝗡𝗲 𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝘇 𝗽𝗮𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗹𝗲 𝗳𝗮𝗿𝗱𝗲𝗮𝘂.

Si vous ne pouvez pas m’assister à chaque instant, ce n’est pas une faute. Ce n’est pas de votre fait. Reposez-vous, demandez de l’aide. Trouvez un lieu adapté. Vous faites déjà beaucoup.

𝟭𝟱. 𝗥𝗲𝗻𝗱𝗲𝘇-𝗺𝗼𝗶 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲, 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝘀𝗼𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇.

Si je vis en institution, votre présence est précieuse, même si je ne la reconnais pas toujours. Elle m’ancre, me rassure, me relie au monde.

𝟭𝟲. 𝗦𝗼𝘆𝗲𝘇 𝗶𝗻𝗱𝘂𝗹𝗴𝗲𝗻𝘁·𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗿𝗿𝗲𝘂𝗿𝘀.

Je peux confondre des noms, des visages, des lieux. Ce n’est pas par négligence. C’est ma mémoire qui flanche. Respirez profondément. Pardonnez-moi, en silence.

𝟭𝟳. 𝗙𝗮𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗺𝗮 𝗺𝘂𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲.

Les chansons que j’aimais autrefois peuvent ranimer une étincelle. Mettez-les à portée d’oreille. Elles me parlent un langage que la démence n’efface pas.

𝟭𝟴. 𝗥𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗲𝘇 𝗺𝗲𝘀 𝗴𝗲𝘀𝘁𝗲𝘀, 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝗮𝗯𝘀𝘂𝗿𝗱𝗲𝘀.

Si je ramasse des objets, les déplace ou les serre contre moi, ne m’en privez pas. Aidez-moi à les replacer sans me frustrer. Ces rituels me structurent.

𝟭𝟵. 𝗡𝗲 𝗺’𝗲́𝗹𝗼𝗶𝗴𝗻𝗲𝘇 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲.

J’ai peut-être du mal à suivre, mais je ressens encore la chaleur d’une fête, la joie d’un rire, la douceur d’un repas en famille. Ne m’excluez pas. Incluez-moi, autrement.

𝟮𝟬. 𝗨𝗻 𝘀𝗶𝗺𝗽𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗮𝗰𝘁 𝗽𝗲𝘂𝘁 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿.

Un regard tendre, une main sur mon épaule, un sourire sincère… Ces gestes parlent encore à mon cœur, même si mes mots se sont égarés.

𝟮𝟭. 𝗦𝗼𝘂𝘃𝗲𝗻𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗷𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘀.

Derrière le trouble, derrière les absences, je suis toujours moi. Peut-être plus lent·e, plus fragile, plus silencieux·se… mais toujours cette personne que vous avez connue, et que vous aimez.

Auteur anonyme

𝘊𝘰𝘱𝘪𝘦𝘻 𝘦𝘵 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘢𝘨𝘦𝘻 𝘤𝘦 𝘵𝘦𝘹𝘵𝘦 𝘦𝘯 𝘩𝘰𝘮𝘮𝘢𝘨𝘦 𝘢̀ 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘰𝘯𝘯𝘦 𝘢𝘵𝘵𝘦𝘪𝘯𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘥𝘦́𝘮𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘰𝘶 𝘥’𝘈𝘭𝘻𝘩𝘦𝘪𝘮𝘦𝘳, 𝘦𝘵 𝘦𝘯 𝘴𝘰𝘶𝘵𝘪𝘦𝘯 𝘢̀ 𝘤𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘤𝘦𝘶𝘹 𝘲𝘶𝘪 𝘭𝘦𝘴 𝘢𝘤𝘤𝘰𝘮𝘱𝘢𝘨𝘯𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘤𝘰𝘶𝘳𝘢𝘨𝘦, 𝘵𝘦𝘯𝘥𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦 𝘦𝘵 𝘩𝘶𝘮𝘢𝘯𝘪𝘵𝘦́.

24/07/2025

Je m'appelle Antoine.

Je suis infirmier.

Et aujourd’hui… j’ai pleuré dans le couloir. Personne ne l’a vu. Personne ne m’a demandé si j’allais bien.

Ce matin, j’ai accompagné deux patients dans leur dernier souffle.
J’ai tenu dans mes bras un père qui venait de perdre son fils.
J’ai lavé les cheveux d’un vieil homme qui, dans un souffle, m’a dit en souriant :
« Au moins, je partirai propre. »
Il m’a serré la main si fort.
Personne de sa famille n’est venu lui dire au revoir.

Chaque jour, je donne tout.
Des soins, de l’attention, de l’écoute, des gestes doux, des silences pleins.
Mais je m’oublie trop souvent.
Je ne me donne rien. Pas même une pause. Pas même un mot doux.

Je ne demande pas d’applaudissements.
Je ne veux pas de médailles.
Juste… que quelqu’un, parfois, me voie.
Qu’on me dise : « Bonjour, Antoine. Comment tu vas ? »

Peut-être que je me sentirais un peu moins seul...

❤️

24/07/2025

"Même si mon corps vieillit, mon cœur, lui, reste jeune. Notre âme, elle, ne prend pas d’âge. Chaque année est précieuse et a sa propre valeur. Vieillir n’est pas une chose à regretter, c’est un privilège que tout le monde n’a pas la chance de connaître. Le véritable secret du bonheur est de garder un esprit jeune jusqu’au dernier jour."
Richard Gere

Le tablier de ma grand-mère…Il ne servait pas qu’à protéger sa robe.Il était mille choses à la fois.Un gant de cuisine p...
23/07/2025

Le tablier de ma grand-mère…
Il ne servait pas qu’à protéger sa robe.
Il était mille choses à la fois.
Un gant de cuisine pour sortir un plat chaud du four.
Un mouchoir pour sécher les larmes d’un enfant.
Un torchon improvisé pour essuyer une frimousse pleine de confiture.

Il transportait les œufs du poulailler, parfois même un poussin blessé ou un œuf fêlé.
Il servait à ramasser les pommes de terre du jardin, les petits pois, les pommes tombées au sol.
Il portait du bois sec pour la cheminée… et un peu de tendresse avec chaque brassée.

Quand il faisait froid, elle s’en couvrait les bras.
Quand des visiteurs arrivaient, il devenait une cachette pour les petits timides.
Et parfois, d’un geste rapide, il faisait disparaître la poussière d’un coin de meuble avant qu’on frappe à la porte.

Il signalait l’heure du repas : un petit coup de tablier agité sur le perron,
et les hommes aux champs savaient qu’il était temps de rentrer.

Ce tablier, c’était bien plus qu’un morceau de tissu.
C’était un outil, un refuge, un lien.
Et aucun objet moderne ne le remplacera jamais.

Parce qu’il portait tout…
les légumes, les miettes, les baisers…
et l’amour d’une grand-mère.

22/07/2025

En 1961, le médecin soviétique Leonid Rogozov s'est retrouvé à la croisée des chemins : il était sûr d'avoir une appendicite qu'il devait se faire soigner d'urgence, mais il y avait un énorme problème : il se trouvait au beau milieu d'une expédition de deux ans en Antarctique... et il était le seul médecin présent. Et comme les conditions météorologiques ne permettaient pas l'arrivée d'avions, Rogozov a dû s'opérer lui-même pour pouvoir survivre. Avec l'aide d'un chauffeur et d'un météorologue, le médecin a réussi à se faire une auto-appendicectomie en deux heures d'opération... et en deux semaines, il était de nouveau opérationnel comme si rien ne s'était passé.

Adresse

Pernes-les-Fontaines

Heures d'ouverture

Lundi 06:00 - 21:05
Mardi 06:00 - 21:05
Mercredi 06:00 - 21:05
Jeudi 06:00 - 21:05
Vendredi 06:00 - 21:05
Samedi 06:00 - 21:05
Dimanche 06:00 - 21:05

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Cabinet infirmier Alcoverro & Denimal publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager