Gilbert Élodie Psychopraticienne

Gilbert Élodie Psychopraticienne Accompagnement en développement personnel. GILBERT Elodie psychopraticienne, professionnelle certifiée de la santé mentale.

Professionnelle de santé certifiée qui utilise une méthode de thérapie reconnue afin de traiter une difficulté psychologique ou relationnelle rencontrée par le patient qui le consulte. Je vous aide à explorer vos pensées, émotions et comportements. Mon rôle est de vous soutenir dans votre parcours de développement personnel, de gestion du stress, de résolution de conflits ou de surmonter des diffi

cultés émotionnelles. Pour cela j’utiliserai différentes approches thérapeutiques, qui peuvent inclure la thérapie cognitivo-comportementale, la psychanalyse, l'approche systémique, la psychologie positive, La Gestalt ou d'autres méthodes adaptées aux besoins spécifiques de chaque patient.

« Je pensais que ma mère aimait plus mon frère… »Et non… ce n’était pas du favoritisme.C’était une blessure que je ne co...
05/08/2025

« Je pensais que ma mère aimait plus mon frère… »
Et non… ce n’était pas du favoritisme.
C’était une blessure que je ne connaissais pas.

Chaque enfant connaît une version différente de sa mère.
L’un l’a connue forte… un autre, épuisée.
L’un l’a faite rire… un autre pleurer.
L’un est arrivé quand elle rêvait encore…
Et un autre, quand on voyait déjà dans son regard les rêves qu’elle avait abandonnés.

Ce n’est pas qu’elle aimait plus l’un que l’autre…
C’est que chacun a occupé un coin différent de son âme.

🧩 L’un avait besoin de plus de temps.
🧩 Un autre, de plus de patience.
🧩 Et il y en a un qui avait seulement besoin qu’elle ne s’effondre pas…
Et c’est pour ça qu’elle faisait semblant d’aller bien.

Parfois, on croit que maman a un préféré parce qu’on voit le câlin…
Mais pas l’histoire.
On voit le silence…
Mais pas tout ce qu’elle a dû taire.
On voit qu’elle donne plus…
Sans voir à qui cela a coûté le plus.

Parce que oui :
L’enfant qui a reçu le plus de câlins était peut-être celui qui était le plus brisé.
Celui qui semblait avoir tout facilement,
Était peut-être celui qui s’était le plus perdu en chemin.
Et celui qui ne demandait jamais rien…
Était celui qui avait appris à ne pas avoir besoin.

Une mère n’aime pas avec une justice mathématique.
Elle aime avec ce qu’elle a.
Avec ce qu’il lui reste.
Elle aime depuis la fatigue,
Depuis son intuition,
Depuis sa peur d’échouer.

T’es-tu déjà demandé pourquoi elle ne t’a pas pris plus souvent dans ses bras ?
Peut-être qu’elle pensait que tu étais fort.
Peut-être qu’elle n’avait plus la force.
Peut-être qu’elle attendait, elle aussi, un câlin de toi…

Elle a été femme avant d’être mère.
Fille avant d’être guide.
Et elle a dû apprendre seule à répartir son âme entre plusieurs enfants
Sans se briser entièrement.

Ne juge pas son amour à ce qu’elle a fait.
Reconnais-le à ce qu’elle a sacrifié en silence.
Aux larmes qu’elle a séchées sans que tu le voies.
Aux fois où elle a préféré souffrir seule,
Pour que tu ne te sentes pas coupable.

Et si tu l’as encore près de toi… regarde-la à nouveau.
Ce n’était peut-être pas un manque d’amour.
C’était une façon de te protéger… à sa manière.

N’attends pas de la perdre pour la comprendre.
N’attends pas d’être parent pour lui pardonner.
Et n’attends plus pour lui dire ce qu’elle a toujours voulu entendre :
« Merci, maman. De m’avoir aimé… même quand je ne l’ai pas compris. »

Chaque enfant occupe une place différente dans le cœur de sa maman…
Et même si tous ne le comprennent pas de la même façon, cet amour a toujours été là.
Il parlait simplement un langage différent.

— Make Me Read ©️✍️

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04/08/2025
À tous ces hommes qui élèvent leurs enfants seuls,Qui font de leur mieux, même quand ils doutent,Qui assurent les devoir...
16/07/2025

À tous ces hommes qui élèvent leurs enfants seuls,
Qui font de leur mieux, même quand ils doutent,
Qui assurent les devoirs, les repas, les câlins et les levers trop tôt…

À ceux qui n’ont pas toujours les mots,
Mais dont la présence dit tout.
À ceux qui jonglent entre le boulot, la fatigue, les émotions et l’envie de bien faire.

Être un père solo, ce n’est pas être « une maman de secours ».
C’est être un repère, une épaule, un pilier.
C’est inventer chaque jour une nouvelle façon d’aimer,
Avec pudeur, courage et tendresse.

Alors si personne ne te l’a dit aujourd’hui :
Tu fais un travail immense.
Et tu es profondément important.

Pour ton enfant, tu es déjà tout un monde.

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Être maman célibataire, ce n’est pas seulement élever des enfants et tenir une maison.C’est se réveiller fatiguée et qua...
14/07/2025

Être maman célibataire, ce n’est pas seulement élever des enfants et tenir une maison.
C’est se réveiller fatiguée et quand même se lever,
c’est jongler avec les horaires, les devoirs, les cartables et la vaisselle sale,
tout en portant ses propres silences, ses propres vides.

Être maman célibataire, c’est devoir décider seule,
résoudre les imprévus sans filet de sécurité,
et supporter les jugements de ceux qui ne regardent que de l’extérieur.

C’est consoler tes enfants sans avoir quelqu’un pour te consoler toi.
C’est ne pas avoir avec qui partager les beaux moments…
ni parfois avec qui pleurer les difficiles.

C’est faire face à des cœurs brisés, guérir de relations qui t’ont épuisée,
endurer les « tu devrais » que te lancent les autres,
et malgré tout, te présenter avec le sourire aux réunions d’école,
au travail, au supermarché… dans la vie.

C’est vivre avec la peur de ne pas en faire assez,
et en même temps te rendre compte que tu fais bien plus que ce que les autres voient.

Et oui, c’est un combat permanent…
mais tu es là, chaque jour.
Debout.
À tout donner.

— Make Me Read ©️✍️

À FORCE DE SE TAIRE 😶Crier, c’était son arme. Pas pour se faire comprendre, mais pour dominer. Pour faire peur. Pour te ...
05/07/2025

À FORCE DE SE TAIRE 😶

Crier, c’était son arme. Pas pour se faire comprendre, mais pour dominer. Pour faire peur. Pour te faire sentir petit·e, idiot·e, coupable. Et toi, tu te taisais. Pas parce que tu n’avais rien à dire. Mais parce qu’à chaque tentative, tu te faisais pulvériser. Parce qu’un mot de travers suffisait pour déclencher l’orage. Parce que tu as compris que dans cette “relation”, ta voix n’avait jamais été la bienvenue.

Tu t’es tu pour éviter le pire. Pour ne pas attiser la colère. Pour préserver un semblant de calme. Mais en vérité, tu n’as pas évité le conflit. Tu l’as juste encaissé. Tu l’as pris dans les tripes, dans le cœur, dans la gorge. Et tu t’es effacé·e un peu plus chaque fois. Parce que quand quelqu’un te hurle dessus jour après jour, tu ne t’éloignes pas seulement de cette personne. Tu t’éloignes aussi de toi-même.

T’as fini par croire que ton silence était noble. Que t’étais fort·e de ne pas répondre. Mais c’est faux. Ce n’était pas du courage, c’était de l’usure. Le genre de fatigue qui te fait oublier ce que tu vaux. Parce qu’à force de se faire écraser, on finit par ramper sans même s’en rendre compte. Tu ne t’es pas protégé·e, tu t’es trahi·e. Tu t’es laissé·e convaincre que ton calme valait moins que sa fureur.

Et pendant qu’il ou elle hurlait, toi tu te taisais. Tu encaissais les humiliations, les mots qui blessent, les gestes qui dépassent, les regards qui écrasent. Et personne ne le voyait. Parce que tu faisais en sorte que ça ne paraisse pas. Parce que tu voulais juste que ça passe. Mais la vérité, c’est que tu crèves à petit feu quand on t’agresse verbalement et que tu dois rester digne pendant que l’autre pète un câble.

Ce genre de personne, elle ne veut pas parler. Elle veut gagner. Elle ne veut pas entendre. Elle veut avoir raison. Et si tu continues à te taire, tu valides ça. Tu valides l’inacceptable. Tu légitimes cette violence qu’on ne voit pas toujours de l’extérieur, mais qui laisse des bleus à l’intérieur. Tu crois que tu tiens bon. Mais tu t’éteins. Tu crois que tu laisses couler. Mais c’est toi que tu laisses couler.

Et un jour, t’es juste plus là. T’as le regard vide. Le cœur en veille. La voix enterrée. T’es devenu·e une version effacée de toi-même. Et ce jour-là, même s’il ou elle continue de crier… il n’y a plus personne en face. Parce que ton silence, il a fini par t’emporter. Et personne ne t’a entendu partir.

À force de se taire, on disparaît. Pas d’un coup. Mais lentement. Et c’est souvent ce que le bourreau voulait depuis le début : ton silence. Ta soumission. Ta disparition. Maintenant, il ne tient qu’à toi de revenir. Et pour ça, il va falloir briser quelque chose : pas toi… le silence.

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Quand l’espoir d’aimer à nouveau semble s’éteindre...Il existe des moments dans la vie où l’on ne croit plus à l’amour.P...
01/07/2025

Quand l’espoir d’aimer à nouveau semble s’éteindre...
Il existe des moments dans la vie où l’on ne croit plus à l’amour.

Pas par cynisme. Pas par manque d’envie.
Mais parce que les pertes ont laissé des traces trop profondes. Parce que les déceptions se sont accumulées.
Parce que le lien qui faisait sens, celui qui donnait chaleur, stabilité, confiance a disparu, emporté par le temps, la rupture ou le deuil.

On ne "choisit" pas de perdre espoir.
Cela arrive quand, à force d’attendre, de souffrir, de s’ouvrir sans retour, on se ferme un peu malgré soi.
On s’ancre dans une forme de résignation douce, parfois digne, parfois douloureuse, mais souvent solitaire.

Et pourtant…
Ce n’est pas forcément la fin d’un chemin affectif.
C’est la traversée d’une zone intérieure qui demande à être entendue avant d’être dépassée.

🔹 Que se passe-t-il vraiment quand on perd espoir en l’amour ?
On projette l’avenir à travers les filtres du passé : blessures, abandons, échecs.

On se coupe de l’énergie du désir, de la curiosité, du jeu qui sont pourtant les portes de l’élan amoureux.

On finit par croire que ce n’est plus pour soi, que le cœur s’est trop usé, ou que les vraies rencontres n’existent plus.

Ce n’est pas la vérité.
C’est l’écho d’une fatigue émotionnelle, d’une protection devenue rigide.

🔸 Comment réouvrir l’espace de l’amour en soi ?
Commencez par ne plus viser "une relation"… mais un état intérieur :
la légèreté, la joie partagée, la tendresse simple, le regard bienveillant.
L’amour commence par ces instants-là, souvent minuscules, mais vivants.

Revenez à votre désir pas sexuel, mais existentiel :
Qu’est-ce qui vous donne envie ? Qu’est-ce qui vous touche encore ?
L’amour renaît souvent à la marge du lien, dans la redécouverte de ce qui vous émeut.

Faites de la place sans attendre :
Pas pour "trouver" quelqu’un, mais pour laisser l’énergie relationnelle circuler à nouveau.
Cela peut passer par des liens amicaux profonds, par du contact humain sincère, par une présence différente à l’autre.

Faites le deuil de l’amour “d’avant” :
Celui qu’on a connu, espéré, idéalisé. L’amour adulte, celui qu’on retrouve après les blessures, est souvent moins spectaculaire, mais plus juste.
Il vient quand on cesse de vouloir être comblé, et qu’on choisit plutôt d’être rencontré.

💬 En conclusion
Perdre l’espoir d’aimer, ce n’est pas la fin.
C’est souvent un appel à aimer autrement, avec plus de conscience, de lenteur, de sincérité.

Ce n’est pas l’amour qui disparaît.
C’est notre capacité à y croire qu’il faut parfois réapprivoiser, un pas après l’autre.

Et il suffit parfois d’un regard, d’une présence, d’un geste, pour que quelque chose se remette doucement à battre.

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Perdre quelqu’un, ce n’est pas seulement lui dire adieu… c’est apprendre à vivre avec son absence.C’est regarder l’endro...
30/06/2025

Perdre quelqu’un, ce n’est pas seulement lui dire adieu… c’est apprendre à vivre avec son absence.
C’est regarder l’endroit où cette personne se tenait autrefois et sentir qu’un morceau de ton âme s’en est allé avec elle.

Le deuil n’a pas d’horloge.
Il n’y a pas de date précise à laquelle tout cesse de faire mal.
Il y a des jours où tu as l’impression d’avancer, et d’autres où tu te brises rien qu’en te souvenant.
Et c’est normal. Tu n’es pas en train d’échouer, tu es en train de ressentir.

L’amour que tu as donné, l’amour que tu as reçu… ne disparaît pas avec la mort.
Il se transforme.
Il devient mémoire, il devient parfum qui te surprend sans prévenir, chanson qui te le rappelle, larme qui coule sans permission.

Parfois, tu ressens de la culpabilité de rire, de continuer, de vivre.
Mais vivre, ce n’est pas oublier.
Vivre, c’est aussi honorer.
C’est continuer à construire à partir de l’amour qu’il ou elle a semé dans ton cœur.

Parle de celui ou celle qui est parti(e).
Souviens-toi. Pleure si tu en as besoin.
Mais permets-toi aussi de guérir.
Parce que même si ton histoire avec cette personne a changé, elle ne s’est pas terminée.
Vis de telle manière que, où qu’elle soit, elle puisse être fière de toi.

Et quand tu sentiras que tu ne peux plus avancer, lève les yeux.
Parce que même au milieu de la douleur… il y a encore de la lumière.

Ce que tu fuis te poursuit.Ce que tu refuses persiste.Ce que tu caches s’enracine plus profondément encore.Mais ce que t...
26/06/2025

Ce que tu fuis te poursuit.
Ce que tu refuses persiste.
Ce que tu caches s’enracine plus profondément encore.

Mais ce que tu regardes en face… se transforme.
Car la vraie libération ne vient pas de la fuite,
Elle naît du courage de plonger au cœur de ce qui fait mal.

La douleur n’est pas ton ennemie.
Elle est un portail.
Une initiation.
Un passage obligé vers une version plus libre de toi-même.

Tu crois peut-être que l’éviter t’épargnera.
Mais en vérité, c’est en l’accueillant,
En l’embrassant, en la traversant de tout ton être,
Que tu reprends ton pouvoir.

Traverser, c’est sentir.
C’est comprendre.
C’est laisser mourir une part de soi pour en faire renaître une autre, plus vraie, plus alignée.

Ne cherche pas à contourner l’obscurité.
Entre dedans avec confiance.
Tu y découvriras ta lumière.

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Site Web

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