Isabelle Levraud - Les racines du coeur

Isabelle Levraud - Les racines du coeur Être à l'écoute active de Soi pour panser et repenser ses blessures...une version 2.0 de Vous existe

26/11/2025

Le viol conjugal chez les adolescentes
« Si tu n’as pas envie, tu te forces, parce que moi j’en ai envie »
Une violence que l’on ne sait même pas nommer

Elles ont 14 et 16 ans. Elles sont en troisième, en lycée technologique ou à la fac. Elles croient vivre leur premier grand amour. En réalité, elles subissent des viols répétés de la part de leur compagnon. Et la plupart ne le comprennent que des années plus t**d.

Capucine : « Je devais être à sa disposition »

Capucine a 14 ans quand elle tombe follement amoureuse d’un garçon plus âgé, en internat à Saint-Nazaire. Les débuts sont idylliques. Puis la mécanique s’installe.
« Il ne supportait pas la frustration. Il me disait : “Si tu n’as pas envie, tu dois te forcer, parce que moi j’en ai envie.” »
Quand elle refuse, il boude pendant des heures, la menace de rompre, devient agressif. Il la punit : elle doit rester au pied du lit, sans oreiller, sans couverture, sans rien, jusqu’à ce qu’elle « change d’avis ».
« J’étais épuisée, je finissais toujours par céder pour avoir la paix. »
Trois ans durant, Capucine vit cela. Trois ans sans jamais entendre le mot « viol ». Pour elle, un viol, c’est une inconnue agressée la nuit dans une ruelle sombre. Pas son petit copain qui l’aime.
Même en pleine vague , elle ne fait pas le lien. Les campagnes de prévention montrent des femmes plus âgées, mariées, avec un œil au beurre noir. Rien qui ressemble à une ado en couple.

Clémentine : « Je me suis figée »

Le 4 décembre 2016, Clémentine a 16 ans. C’est son anniversaire. Son copain de 18 ans, avec qui elle est en relation à distance depuis cinq mois, vient enfin la voir. L’après-midi est parfait : marché de Noël, petits cadeaux, photos. Le soir, les parents partent travailler. Ils se retrouvent seuls.
Depuis des mois, il la presse : « Les couples, ça doit le faire. » Elle répète qu’elle n’est pas prête. Ce soir-là, il tranche : « On le fait. »
« Il a commencé à me déshabiller. Je me suis figée. Je n’ai pas bougé, j’ai eu très mal, j’étais comme hors de mon corps. »
Ensuite, elle se sent « extrêmement sale ». Elle reste une heure sous la do**he à se frotter. Au moment de dormir, elle se colle tout au bord du lit, le plus loin possible de lui.
Cette scène se répétera tout au long de leur relation d’un an. Clémentine la résume aujourd’hui d’une phrase qui glace le sang : « Un bouquet de fleurs pour une claque. »

Une violence que l’on ne sait pas voir

Une enquête du collectif NousToutes (février 2020, plus de 96 000 répondantes) est accablante : une femme sur six a fait ses premiers pas dans la sexualité par un rapport non désiré et non consenti.
Louise Delavier, directrice des programmes de l’association En avant toute(s), l’explique simplement :
« Les adolescentes sont particulièrement vulnérables. C’est souvent leur première relation, elles n’ont aucun repère sur ce qui est sain ou non. Tout ce que fait leur copain est vu comme normal, surtout s’il est plus âgé et a déjà eu des expériences. »

Sur le tchat anonyme « Comment on s’aime », les messages arrivent par centaines :
« Est-ce que c’est normal ce que je vis ? »
« Il dit que tous les couples font des fellations tous les matins, c’est vrai ? »
« Je finis toujours par accepter parce qu’il boude sinon, je suis trop sensible ? »
Les écoutantes posent alors les mots que les jeunes filles n’osent pas dire : viol, contrainte, chantage affectif, pression.

L’école absente

La loi du 4 juillet 2001 impose pourtant trois séances annuelles d’éducation à la vie affective et sexuelle dans tous les collèges et lycées.
Dans les faits ?
Clémentine : « J’ai eu un seul cours au collège : un prof a mis un préservatif sur une banane. Rien sur le consentement, rien sur le viol. »
C’est seulement des années plus t**d, lors d’un cours de psycho à l’université sur le viol conjugal, qu’elle a fondu en larmes et quitté la salle.

Les conséquences invisibles

Les séquelles sont immenses :

- Clémentine n’a plus approché un garçon pendant cinq ans. Au début de sa relation actuelle, elle paniquait dès qu’on la touchait.

- Capucine a mis des années à comprendre qu’elle n’était pas coupable.

Elles transforment leur douleur en lutte

Aujourd’hui, elles refusent le silence :

- Clémentine parcourt les lycées de son département pour parler consentement et violences. « Beaucoup de filles me demandent si ce qu’elles vivent est normal et si elles peuvent porter plainte. »

- Capucine anime le compte Instagram (près de 120 000 abonnés) avec des vidéos pédagogiques sur les violences sexuelles et la culture du viol.

Le consentement n’est pas négociable

Comme le dit Clémentine : « J’ai eu de la chance d’être tombée plus t**d sur un homme doux et patient. »
Avoir « de la chance » pour ne pas être violée par son compagnon.
Voilà où nous en sommes.

Tant qu’on continuera d’éduquer les filles à « faire plaisir » et les garçons à penser qu’un « non » est une invitation à insister, le viol conjugal restera cette violence ordinaire, quotidienne, qui détruit des milliers d’adolescentes avant même qu’elles entrent dans la vie adulte.

Il est urgent que l’école, les familles, les médias, la société entière cessent de fermer les yeux.
Le consentement enthousiaste n’est pas un luxe.
C’est un droit fondamental.
Et il commence dès le premier ba**er.

Ressources d’urgence

- Tchat « Comment on s’aime » (En avant toute(s)) : anonyme, gratuit – lundi-jeudi 10 h-minuit, vendredi-samedi 10 h-21 h

- Viols femmes info : 0 800 05 95 95 (anonyme et gratuit)

- Violences femmes info : 3919 (24 h/24, anonyme et gratuit)

Source : 20 minutes

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Le chemin démarre souvent par un symptôme, une souffrance devenue insupportable, une quête pour retrouver ce qui hurle s...
21/11/2025

Le chemin démarre souvent par un symptôme, une souffrance devenue insupportable, une quête pour retrouver ce qui hurle sans bruit à l'interieur de Soi...
L'amnésie dissociative qui a protégé jusque-là s'altère et devient un mécanisme de défense obsolète et défaillant...commence alors le travail pour retrouver cet Enfant en Soi qui appelle au secours et souhaite témoigner de Sa Vérité pour être reconnu ! Reprendre son plein pouvoir pour se libérer des schémas toxiques et limitants est le plus bel acte d'Amour à s'offrir.

L’un des états émotionnels les plus épuisants, c’est la cognitive empathie. Cette faculté rare qui empêche de haïr total...
09/11/2025

L’un des états émotionnels les plus épuisants, c’est la cognitive empathie. Cette faculté rare qui empêche de haïr totalement quelqu’un, même quand il t’a détruit. Parce que toi, au lieu de rester bloqué sur le geste, tu vois l’histoire derrière. Tu comprends les blessures qui l’ont façonné, les manques qui l’ont poussé, les failles qui l’ont conduit à t’abîmer.

Alors que beaucoup diraient : « Il m’a fait mal, point », toi tu rajoutes : « Oui, mais je comprends pourquoi ». Et c’est là que ça devient un fardeau. Parce que tu portes deux poids à la fois : la douleur de ce qu’on t’a fait, et la lucidité de comprendre pourquoi on te l’a fait.

Ça paraît noble, mais dans le quotidien, c’est un piège. Tu pardonnes trop vite. Tu restes trop longtemps dans des relations qui ne te respectent pas. Tu trouves des excuses à tes parents, à ton partenaire, à tes amis, aux gens qui te déçoivent… parce que tu vois au-delà de leurs actes, tu vois leurs blessures.

Mais voilà le paradoxe : comprendre ne signifie pas excuser. Oui, un père violent a peut-être été brisé dans son enfance. Oui, une partenaire infidèle cache peut-être un vide intérieur. Oui, un ami toxique est sûrement lui-même perdu. Tout ça peut avoir du sens. Mais avoir une explication ne transforme jamais une blessure en quelque chose de juste.

La société adore te dire : « Mets-toi à sa place, sois compréhensif ». Mais rarement on te dit : « Et toi, qui se met à ta place ? » Tu passes ta vie à comprendre les autres, et au fond, ton plus grand rêve serait qu’un jour, quelqu’un te comprenne avec la même intensité.

L’empathie cognitive, c’est donc un don, mais aussi une croix. Elle t’élève au-dessus du jugement binaire, mais elle te condamne aussi à vivre avec des douleurs que tu n’arrives jamais à transformer en colère libératrice. Tu restes suspendu entre le pardon et la cicatrice.

La vérité, c’est qu’il faut apprendre à poser une frontière : comprendre, oui. Mais se respecter, d’abord.
une messagère

06/11/2025

Saviez-vous que l’Alzheimer débute dans le cerveau 20 à 30 ans avant l’apparition des premiers symptômes ?!

Vous comprendrez que cela se fabrique sur la durée.

Les symptômes sont très clairs :
– Atteinte du langage et de la mémoire.
– Le raisonnement n’est plus toujours très clair.
– Les capacités d’orientation dans le temps et dans l’espace sont diminuées.
– On aura du mal à reconnaître des objets ou des personnes.

Avec les lésions cérébrales (au niveau du système nerveux central), l’autonomie du patient va diminuer progressivement.

Le premier lieu touché dans le cerveau, c’est l’hippocampe, qui est le siège de la mémoire. Ensuite, d’autres zones seront touchées, dont le cortex cérébral. Plus la maladie avance et plus les lésions cérébrales sont importantes.

Comment cela se passe-t-il pour les personnes autour du patient ?
– Il y a de grandes sautes d’humeur, passant d’un extrême à l’autre.
– Des personnes atteintes d’Alzheimer peuvent devenir paranoïaques.
– Le dernier point est le détachement du patient qui prendra de la distance avec ceux qu’il aime, tout comme il se détachera des activités qui le passionnaient avant.

Les recherches les plus récentes montrent que la maladie Alzheimer est liée à un état d’inflammation chronique de l’organisme. En mots clairs, elle est causée par un mode de vie qui laisse à désirer.

Qu’est-ce qui peut favoriser cette maladie ?
– Trop de sucre.
– Pas assez de végétaux.
– Ne pas bouger suffisamment.
– Manque de sommeil.
– Stress chronique
– Nous savons maintenant avec certitude que la prise de médicaments et l’évolution de la maladie sont en forte corrélation.

Qu’est-ce qui peut aider à ralentir la maladie ?
– La vitamine E.
– Le safran
– Un autre produit dont vous pouvez abuser est : le bleuet (la myrtille) !
– Pratiquez 30 minutes d’activité sportive par jour. Cela signifie d’augmenter légèrement l’activité cardiaque et de bouger l’ensemble du corps.
– Prenez aussi de la vitamine B8.

En terminant, ce n’est pas demain qu’il faudra s’occuper de son Alzheimer, mais bien aujourd’hui !

"Derrière chaque personne forte, il y a un moment précis où elle s’est écroulée... Ce n’est pas une force née dans le co...
12/09/2025

"Derrière chaque personne forte, il y a un moment précis où elle s’est écroulée... Ce n’est pas une force née dans le confort, mais forgée dans l’urgence de survivre... Tu crois qu’elle est née solide mais non… elle l’est devenue... Parce qu’à un moment donné, elle n’avait tout simplement pas d’autre option... Elle n’a pas demandé d’être forte, elle a dû l’être... Elle aurait préféré la douceur, la tendresse, la main qui rassure... Mais à la place, elle a eu le silence, les absences, ou pire les trahisons... Alors elle a appris à ne compter que sur elle-même et à se relever, encore et encore... Tu la vois sourire, briller, inspirer... Mais tu ne vois pas les nuits sans sommeil, les tempêtes intérieures, les larmes retenues... Elle a connu l’abandon, la peur, la déception... Et au lieu de s’effondrer pour de bon, elle a décidé de se reconstruire... À sa manière... À son rythme... Elle ne veut pas qu’on la plaigne, juste qu’on comprenne... Être forte, ce n’est pas toujours un choix... C’est souvent une réponse à un monde qui ne laisse pas le droit à la fragilité".

Jéjé Kuypers

01/09/2025

Chers Tous,

MERCI de PARTAGER pour que ce message arrive à CEUX qui en aurait BESOIN 🙏

Votre Psy 🥰 ouvre de nouveaux espaces de partages et d'écoute !
Dès le mois d'août, tous les mercredis de 18h à 19h15, je vais vous proposer des ATELIERS sur ZOOM 🥳 pour permettre d'en profiter où que vous soyez ! Ces temps seront des moments d'introspection et de compréhension composés d'un temps conceptuel, d'un temps d'exercice d'intégration et/ou d'un temps de partage et questions.
Si certains thèmes🙏 vous tiennent à Cœur plus particulièrement, n'hésitez pas à me le faire savoir et à me contacter en mp pour connaître les modalités de ces rencontres.
Un bel été à Tous d'ici là !
Rendez-vous Mercredi pour le 1er atelier 💫

L’orage de tes jours a passé sur ma vie ;J’ai plié sous ton sort, j’ai pleuré de tes pleurs ;Où ton âme a monté mon âme ...
30/08/2025

L’orage de tes jours a passé sur ma vie ;
J’ai plié sous ton sort,
j’ai pleuré de tes pleurs ;
Où ton âme a monté mon âme l’a suivie ;
Pour aider tes chagrins, j’en ai fait mes douleurs.

Mais, que peut l’amitié ? l’amour prend toute une âme !
Je n’ai rien obtenu ; rien changé ; rien guéri :
L’onde ne verdit plus ce qu’a séché la flamme,
Et le coeur poignardé reste froid et meurtri.

Moi, je ne suis pas morte : allons ! moi, j’aime encore ;
J’écarte devant toi les ombres du chemin :
Comme un pâle reflet descendu de l’aurore,
Moi, j’éclaire tes yeux ; moi, j’échauffe ta main.

Le malade assoupi ne sent pas de la brise
L’haleine ravivante étancher ses sueurs ;
Mais un songe a fléchi la fièvre qui le brise ;
Dors ! ma vie est le songe où Dieu met ses lueurs.

Comme un ange accablé qui n’étend plus ses ailes,
Enferme ses rayons dans sa blanche beauté,
Cache ton auréole aux vives étincelles :
Moi je suis l’humble lampe émue à ton côté.

Marceline Desbordes-Valmore
Recueil : Elégies

Ce que tu ressens après une relation toxique, ce n’est pas "juste une rupture". C’est un 𝐜𝐡𝐨𝐜 𝐧𝐞𝐮𝐫𝐨-𝐞𝐦𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥. Un effon...
26/08/2025

Ce que tu ressens après une relation toxique, ce n’est pas "juste une rupture".
C’est un 𝐜𝐡𝐨𝐜 𝐧𝐞𝐮𝐫𝐨-𝐞𝐦𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥.
Un effondrement intérieur.
Ton corps qui ne comprend plus ce qui lui arrive.

D’ailleurs, de loin, ça ressemble à une dépression :
Tu n’as plus d’énergie.
Tu n’arrives plus à te concentrer.
Tu pleures sans comprendre pourquoi.
Tu te sens vide. Inexistant-e. Comme arraché-e à toi-même.

Mais si on te posait un vrai 𝐝𝐢𝐚𝐠𝐧𝐨𝐬𝐭𝐢𝐜 𝐧𝐞𝐮𝐫𝐨-𝐚𝐟𝐟𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟(issu des dernières recherches en neurosciences), on écrirait plutôt ceci :
"𝐒𝐞𝐯𝐫𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐨𝐩𝐚𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐢é à 𝐥𝐚 𝐫𝐮𝐩𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 à 𝐟𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐮𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐭𝐭𝐞𝐧𝐭𝐞." (relis s’il te plaît)

Autrement dit :
𝐓𝐮 𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐦𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞.
Pas d’amour.
Mais de 𝐝𝐨𝐩𝐚𝐦𝐢𝐧𝐞.

𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 ?
Parce que dans cette relation toxique, on te donnait juste assez de moments "magiques" (gentillesse, sexe, compliments, attention…) pour te garder accroché-e, ce qui provoquait des pics de dopamine.
Et ton cerveau, lui, enregistrait chaque "retour" comme une 𝐫é𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞 𝐢𝐦𝐩𝐫é𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞.

𝐂𝐞 𝐭𝐲𝐩𝐞 𝐝𝐞 𝐫é𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐚𝐝𝐝𝐢𝐜𝐭𝐢𝐟 𝐪𝐮𝐢 𝐞𝐱𝐢𝐬𝐭𝐞 (bien plus que le sucre, l’alcool ou les likes) et si ton cerveau y a succombé, ce n’est peut-être pas pour rien.

Alors quand la relation s’arrête, c’est brutal.
Tu ne perds pas 𝑙’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒,
Tu perds 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐞𝐬𝐬𝐞, 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭.
Tu perds l’𝐢𝐥𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝’𝐮𝐧 𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐚𝐢𝐦é-𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐭𝐮 𝐥𝐞 𝐦é𝐫𝐢𝐭𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞 (comme tu as attendus d'être aimé-e enfant).
Et avec elle, tu perds l’un de tes rares régulateurs émotionnels : la dopamine.

𝐂𝐞 𝐯𝐢𝐝𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐭𝐮 𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞𝐧𝐬 ?
Ce n’est pas un manque d’amour.
C’est un 𝐝𝐞𝐮𝐢𝐥 𝐝𝐞 𝐥’𝐢𝐥𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧,
et un 𝐞𝐟𝐟𝐨𝐧𝐝𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐡𝐢𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞.

Tu n’étais pas "trop" sensible.
Tu n’étais pas "trop" émotive/if.
Tu n’étais pas "trop" fusionnel-le.
Tu as juste été 𝐚𝐜𝐜𝐫𝐨𝐜𝐡é-𝐞 à 𝐮𝐧 𝐥𝐢𝐞𝐧 𝐪𝐮𝐢 𝐭’𝐚 𝐝é𝐫é𝐠𝐮𝐥é,
puis 𝐚𝐛𝐚𝐧𝐝𝐨𝐧𝐧é-𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐟𝐢𝐥𝐞𝐭.

𝐂𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐭𝐮 𝐯𝐢𝐬 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐠𝐢𝐥𝐢𝐭é.
C’est une réaction 𝐧𝐨𝐫𝐦𝐚𝐥𝐞 à un 𝐞𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐧𝐨𝐫𝐦𝐚𝐥.

Et tu peux en sortir.
Mais pas avec des conseils bateaux du type "tourne la page",
ni avec des traitements qui ne s’attaquent qu’aux symptômes.

Tu as besoin :
de 𝐫é𝐩𝐚𝐫𝐞𝐫 𝐭𝐨𝐧 𝐬𝐲𝐬𝐭ê𝐦𝐞 𝐧𝐞𝐫𝐯𝐞𝐮𝐱,
de 𝐝é𝐬𝐚𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞𝐫 𝐥’𝐞𝐦𝐩𝐫𝐞𝐢𝐧𝐭𝐞 é𝐦𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞,
de 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 (enfin) pourquoi tu ressens autant,
et surtout : de 𝐭𝐞 𝐫𝐞𝐭𝐫𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫, après t’être oublié-e dans une illusion.

Tu n’es pas cassé-e.
Tu as juste besoin de revenir à toi,
💫Et Moi, je suis là pour t'aider à comprendre et à sortir des dépendances qui relèvent de l'attachement et non de l'Amour !

Plus simple est aussi puissant :" Tout tourne en ma Faveur !"
24/08/2025

Plus simple est aussi puissant :" Tout tourne en ma Faveur !"

24/08/2025

Cher(e)s ami(e)s,

Je vous souhaite un beau dimanche avec ces mots de la philosophe Simone Weil.

Frédéric

Adresse

Piré-sur-Seiche
35150

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Mardi 09:00 - 17:00
Mercredi 09:00 - 17:00
Jeudi 09:00 - 17:00
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Téléphone

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Généreux Bouleau

Dans une magnifique forêt de bouleau, j’étais fascinée par l’inter-connexion des arbres entre eux. En regardant au sol, je me suis aperçue qu’il y avait au sol quelques bourgeons non éclos. Heureuse de ma trouvaille, la personne présente à mes côtés a souhaité les collecter pour en faire un macérat (afin d’en faire usage en gemmothérapie). Rapidement, je me suis aperçue que la petite dizaine récoltée ne serait pas suffisante. Je me suis alors reliée à l’un d’entre eux, en demandant si il serait ok pour me faire un don. Dans l’instant qui a suivi, vous me croirez ou pas, des centaines de bourgeons nous sont tombés sur la tête !

CADEAU. GRATITUDE !