Sophie Macrez

22/09/2025

12/09/2025

12/09/2025

Merci à l’école sainte Élisabeth de Douarnenez de sa confiance.
Un atelier riche en émotions , en surprises, en découvertes, en rires et bonne humeur..
Des exercices pour gérer le stress, retrouver confiance en soi, cohésion d’équipe, determination, clarifier leurs objectifs en vue des examens de 2026..
Merci à eux tous de leur implication et détermination leur retour touchant de gratitude et de remerciement..
Merci à mes chevaux si justes ..
C’est si précieux de pouvoir transmettre et aider nos jeunes à se construire positivement dans leur « À venir »😜.
Rdv en juin pour les résultats!!

25/08/2025

À vendre 4000 euros vanBOCKMANN pour poulinière large bon état très robuste .piur plus de renseignements appelez le 0608828288
À voir dans le Finistère 29

25/08/2025

25/08/2025

Très juste d’où son rôle en thérapie

Ton cheval te “voit” pour de vrai. Pas juste l’image que tu veux donner, pas juste la posture que tu t’appliques à montrer. Il voit derrière la façade, derrière la fausse décontraction, derrière la fausse assurance. Monter la main, baisser la main… ça change peu de choses si, à l’intérieur, tu n’es pas alignée avec ce que tu veux vraiment. Il n’a pas besoin que tu joues la scène, il a besoin que tu vives vraiment ce que tu demandes.

Quand tu sais exactement ce que tu veux, ça se lit dans tout ton corps. Ta posture, ta respiration, ton regard, ta façon de bouger… tout part dans la même direction. Et là, ton message est clair. Du coup, il peut se concentrer sur la réponse, sans avoir à passer son temps à deviner ce que tu attends.

Mais le jour où tu doutes, il le sait aussi. Tu peux être impeccable techniquement, s’il y a ce petit flottement dans ton intention, il le capte. Alors il teste, il observe, il attend de voir si ton idée est solide ou si elle peut se discuter. Ce n’est pas qu’il “profite” de toi, c’est juste qu’il répond moins à tes gestes qu’à ton état intérieur.

C’est pour ça qu’avec un cheval, la clarté et la cohérence comptent plus que la perfection technique. Tu n’es pas obligée de tout savoir tout de suite, mais ce que tu demandes doit être clair dans ta tête avant de sortir de ton corps. Un “en avant” un peu maladroit mais décidé passera toujours mieux qu’un geste parfait avec un corps qui dit “je ne suis pas sûre”. Ta confiance devient la sienne.

Et la bonne nouvelle, c’est que ça se cultive. Plus tu t’entraînes à décider avant d’agir, plus tu deviens lisible pour lui. Ça peut être répéter un geste, clarifier une intention, ou juste prendre une seconde pour visualiser le résultat avant de bouger. Ce qui compte, c’est que chaque demande parte d’une intention assumée. Parce qu’au final, ton cheval ne cherche pas la cavalière parfaite, mais celle qui est claire, fiable et vraie.

Valérie

24/08/2025

Merci Walter

20/08/2025

03/06/2025

Ceci n'est pas qu'une simple photographie.
C'est un adieu.
Un adieu entre deux êtres dont le lien défiait les espèces, les langues et la perte.

Elle s'appelait Ndakasi.
Un gorille de montagne orphelin par la cruauté, élevé par la compassion, et dont on se souvient aujourd'hui dans les bras de l'homme qui est devenu son monde.

Il y a treize ans, dans les profondeurs obscures du parc national des Virunga, en République démocratique du Congo, des gardes forestiers ont trouvé un minuscule bébé gorille – tremblant, orphelin de mère, silencieux – toujours accroché au corps sans vie de sa mère, tuée par des braconniers pour sa viande de brousse et sa brutalité.

Elle n'avait que deux mois.

Cette nuit-là, André Bauma, un jeune garde forestier, a fait la seule chose qu'il pouvait : il l'a serrée contre sa poitrine et l'a tenue dans ses bras pendant la nuit froide et sombre, laissant la chaleur de son corps combattre la mort.

Et ça a fonctionné.

À partir de cet instant, elle était à lui. Et il était à elle.

Ndakasi a grandi sous les soins d'André au Centre Senkwekwe, le seul orphelinat pour gorilles de montagne au monde. Elle riait. Elle jouait. Elle posait, devenant virale en 2019 pour avoir pris avec insolence le selfie d'un garde forestier, debout comme une personne, le visage illuminé de malice.

Des millions de personnes ont souri à cette photo.
Mais peu connaissaient la véritable histoire.

Elle n'était pas qu'un gorille.
Elle avait survécu à la guerre, au braconnage, à la perte de son habitat et au deuil.
Elle était la preuve que l'amour pouvait ressusciter ce que la violence tentait d'effacer.

Et puis, treize ans plus t**d, elle est tombée malade. Son cœur courageux a commencé à flancher.

André est resté à ses côtés. Chaque heure. Chaque respiration.

Et lorsque son corps n'a plus pu lutter, elle a fait la seule chose qu'elle ait jamais connue : elle a posé sa tête sur la poitrine d'André et s'est laissée aller dans les bras de l'homme qui lui avait autrefois sauvé la vie.

Imaginez-vous ?
Le son de son dernier souffle ?
Le poids de sa tête contre son cœur ?
Le silence qui a suivi ?

Voilà à quoi ressemble l'amour.
Voilà à quoi ressemble le chagrin lorsqu'on a ressuscité une âme des tréfonds de la mort et qu'on l'a vue y retourner.

Elle n'était pas qu'un animal.
C'était une enfant.
Une sœur.
Une amie.
Un fil rayonnant dans la fragile toile de la vie que nous brisons si souvent sans réfléchir.

Disons son nom :
Ndakasi.
Le gorille qui a souri au monde et est mort dans les bras de l'homme qui n'a jamais cessé de l'aimer.

Que son souvenir brûle comme une bougie dans l'obscurité.
Que son histoire nous rappelle que chaque créature mérite protection, paix et quelqu'un pour la soutenir, même à la toute fin.

14/05/2025

☀️☀️☀️belle semaine à vous ☀️☀️☀️.