
11/04/2025
Le burn-out parental n’a pas de genre
On parle souvent des mamans (à juste titre)…
Mais il est temps de dire aussi que les papas peuvent s’effondrer.
Un père peut aimer ses enfants de tout son cœur ❤️
Et pourtant se sentir épuisé, dépassé, vidé.
Parce que la charge mentale ne s’arrête pas à la maternité.
Parce que de plus en plus de pères s’investissent dans l’éducation, dans la logistique, dans le quotidien…
Et que ça aussi, c’est lourd.
💭 Mais pour beaucoup d’hommes, c’est encore plus difficile d’en parler.
La société les a longtemps invités à être « forts », « solides », « les piliers ».
Pas ceux qui doutent...Pas ceux qui craquent...
Alors ils gardent pour eux, serrent les dents, font comme si.
Et pourtant…
👉 Certains ne dorment plus.
👉 D'autres n’arrivent plus à profiter.
👉 Ils s’énervent pour un rien, culpabilisent, se sentent absents même en étant présents.
Ce n’est pas un manque d’amour.
Ce n’est pas un caprice.
C’est un appel à l’aide, souvent silencieux.
🎯 Le burn-out parental ne concerne pas que les mères.
Il touche tous les parents, quels que soient leur genre, leur rôle ou leur histoire.
Et tous méritent d’être écoutés, soutenus, accompagnés.
📍 Mon cabinet est un lieu d’accueil pour les mères, les pères, les co-parents.
Un lieu pour déposer ce qui pèse, retrouver de l’air, remettre du sens, sans jugement.