France-Denturiste

France-Denturiste Formations professionnelles adultes prothèses dentaire Formation de Denturistes en France

🌍🦷 𝐎𝐌𝐒 : 𝐋𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐛𝐮𝐜𝐜𝐨-𝐝𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥’𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝’𝐚𝐠𝐢𝐫 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞L’Organisation mondiale de la...
20/11/2025

🌍🦷 𝐎𝐌𝐒 : 𝐋𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐛𝐮𝐜𝐜𝐨-𝐝𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥’𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝’𝐚𝐠𝐢𝐫 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞

L’Organisation mondiale de la santé a posé un diagnostic sans ambiguïté : les maladies bucco-dentaires sont aujourd’hui l’un des problèmes de santé les plus répandus… et les plus négligés.
Caries non traitées, édentements, inégalités territoriales, accès limité aux dispositifs médicaux dentaires : la situation exige une transformation profonde.

🔎 L’OMS identifie 5 axes majeurs pour les pays membres :

1️⃣ Réduire la charge mondiale des maladies bucco-dentaires
2️⃣ Faciliter l’accès aux dispositifs médicaux, notamment les prothèses amovibles
3️⃣ Diversifier les ressources humaines (nouveaux profils, innovation professionnelle)
4️⃣ Déployer les soins de proximité
5️⃣ Combattre les inégalités sociales et géographiques
➡️ Ces recommandations s’appliquent pleinement à la France, où les déserts médicaux s’étendent, où les EHPAD manquent de solutions, et où 65–70 % des prothèses sont encore importées.

💡 Et si la France s’inspirait enfin des pays qui ont déjà réformé ?
Dans de nombreux États (Canada, Australie, Royaume-Uni, Suisse, Scandinavie…), l’intégration d’un professionnel spécialisé dans la prise en charge prothétique, le denturiste a permis :

✔ une réduction massive des délais d’accès
✔ un désengorgement des cabinets dentaires
✔ une baisse des coûts pour les patients et les systèmes de santé
✔ des soins de proximité pour les personnes âgées, dépendantes ou isolées

🇫🇷 La France peut rattraper son re**rd
La stratégie OMS 2023-2030 montre très clairement que :
👉 Diversifier les ressources humaines n'est pas une option, c’est une nécessité.
👉 Les dispositifs médicaux dentaires doivent être accessibles, abordables et locaux.
👉 Les modèles trop centralisés ne répondent plus aux besoins du public.
La denturologie s’inscrit exactement dans ces axes :

➡️ profession dédiée à la prothèse amovible
➡️ formation spécialisée, pratique directe du patient
➡️ proximité, qualité, efficacité
➡️ réduction des dépenses de transports médicaux et meilleure couverture RAC0

📘 Pour aller plus loin :
🔗 Article complet : « OMS – Enjeux mondiaux & constats »
https://france-denturiste.org/oms-enjeux-mondiaux-constats/

Prothèses dentaires : opacité, marges excessives… et si la solution existait déjà ?Le rapport du Sénat sur le PLFSS 2026...
18/11/2025

Prothèses dentaires : opacité, marges excessives… et si la solution existait déjà ?

Le rapport du Sénat sur le PLFSS 2026 est très clair :

🟥 hors nomenclature opaque

🟥 absence totale de transparence pour les patients

🟥 marges impossibles à contrôler

🟥 aucune réforme structurelle pour améliorer l’accès aux soins

Les articles 24, 25 et 25 bis confirment un modèle à bout de souffle :

on parle de taxer la “rentabilité excessive”, mais on ne traite pas ce qui la génère.

Pendant ce temps :

les seniors restent sans solutions,

les EHPAD multiplient les transports médicaux,

les cabinets débordent,

les patients paient… sans comprendre ce qu’ils paient.

✔️ Et si la vraie solution était simple, déjà existante, et déjà reconnue en Europe ?

👉 Le denturiste.

Dans tous les pays qui l’ont intégré (Canada, Norvège, Suisse, Australie…), on observe :

✔️ baisse massive des coûts,

✔️ transparence totale fabrication–prix,

✔️ traçabilité complète,

✔️ accès direct pour les patients édentés,

✔️ prise en charge adaptée en EHPAD,

✔️ délestage des cabinets dentaires,

✔️ relocalisation de la fabrication.

Exactement ce qui manque aujourd’hui en France.

🇫🇷 La denturologie n’est pas une dépense : c’est une réforme structurelle d’intérêt public.

Elle répond :

🟩 aux problèmes identifiés par le Sénat,

🟩 aux besoins des patients,

🟩 aux enjeux budgétaires,

🟩 et à la transparence que la France réclame depuis 20 ans.

👉 La denturologie n’est pas une alternative : c’est la solution logique.

“Hors nomenclature dentaire : opacité, marges excessives et absence totale de mesures pour les patients”Le rapport du Sé...
18/11/2025

“Hors nomenclature dentaire : opacité, marges excessives et absence totale de mesures pour les patients”

Le rapport du Sénat sur le PLFSS 2026 confirme enfin un problème que le terrain dénonce depuis des années :

Les actes et prothèses hors nomenclature (HN) sont totalement opaques.
Ni la Sécurité sociale, ni les patients ne peuvent connaître :
– les coûts réels,
– l’origine des prothèses,
– la sous-traitance,
– les marges appliquées.
Cette opacité est telle que le Gouvernement envisage désormais…
➡️ une taxation des marges jugées “excessives” (articles 24 et 24 bis).
Même si le texte ne nomme pas directement le secteur dentaire, la description correspond exactement à sa réalité.

❗ Et pour les patients ? Toujours rien.
Le rapport du Sénat est explicite : aucune mesure structurelle n’améliore l’accès aux soins dentaires.

🔎 Articles 25 et 25 bis : un cadre opaque… qui le reste

➡️ Article 25 – “Mieux réguler les dépenses dans le secteur des soins dentaires”
Ce point reconnaît un problème de maîtrise des dépenses dentaires, mais ne traite absolument pas la question centrale : l’opacité du hors nomenclature.
Pas de transparence obligatoire.
Pas de contrôle des marges.
Pas de traçabilité des prothèses.
Rien pour les patients, rien pour les EHPAD, rien pour les zones sous-dotées.

➡️ Article 25 bis – intégration de l’optique et du dentaire dans les accords de maîtrise des dépenses
Sur le papier : une mise sous surveillance de la dépense.
Dans les faits : un encadrement administratif, mais aucune réforme de fond, aucune transparence imposée, aucun changement pour l’accès aux soins.

On surveille les dépenses…
❌ mais on n’agit pas sur la cause :
l’architecture opaque du hors nomenclature.
❗ Une représentativité très faible… mais qui verrouille tout
On parle souvent du “secteur prothétique” comme d’un bloc homogène.

La réalité est tout autre :
📌 450 laboratoires adhèrent à l’UNPPD, sur 3 000 à 3 500 en activité.
➡️ Moins de 15 % du secteur influence les discussions nationales.
➡️ 85 % des prothésistes n’ont aucune voix.
➡️ Résultat : statu quo assuré.

🔍 Pourquoi continuer à financer un système opaque et incontrôlé ?
Aujourd’hui, la France accepte :
– des prothèses importées à bas coût revendues plusieurs milliers d’euros,
– un hors nomenclature impossible à auditer,
– l’absence totale de transparence pour les patients,
– une dérive des coûts sans amélioration de l’accès aux soins.

Dans d’autres pays, la transparence est la règle, les coûts sont encadrés, et des modèles intermédiaires existent (denturologie) pour répondre aux besoins réels.

👉 La réforme peut commencer dès maintenant.
Les patients n’ont plus le luxe d’attendre.

PLFSS 2026 : enseignements provisoires pour le secteur dentaireLe dernier état du PLFSS 2026 apporte plusieurs éléments ...
17/11/2025

PLFSS 2026 : enseignements provisoires pour le secteur dentaire
Le dernier état du PLFSS 2026 apporte plusieurs éléments utiles pour comprendre les évolutions en cours dans le secteur dentaire sans tirer de conclusions définitives.

🔎 Constats principaux
Pas de dérive de dépenses : le Sénat estime que les soins dentaires ne présentent pas de risque de hausse incontrôlée.
Inégalités territoriales record : les soins dentaires sont ceux où l’accès est le plus inégal en France.
Baisse de l’activité libérale au profit des centres de santé.
Financiarisation rapide du secteur (90 % des grands groupes dentaires européens sont détenus par des fonds).
Prothèse : angle mort statistique avec des actes hors CCAM mal mesurés.

🔎 Difficultés rencontrées
Désertification de nombreux territoires
Fragilisation des petites structures
Offre concentrée dans les zones rentables
Dépendance accrue aux modèles financiers
Manque de solutions adaptées aux personnes âgées et aux publics fragiles

🔎 Pistes potentielles à explorer
Sans anticiper les arbitrages parlementaires, plusieurs axes émergent :
renforcer l’offre de proximité,
diversifier les modes d’organisation,
mieux structurer la filière prothétique locale,
introduire des compétences intermédiaires spécialisées, comme dans plusieurs pays,
améliorer la traçabilité des dispositifs dentaires.

Conclusion
Le PLFSS 2026 met en lumière un secteur qui évolue rapidement et qui doit s’adapter à de nouveaux enjeux : proximité, souveraineté, équité et continuité des soins.
L’objectif est simple : observer, analyser et proposer des solutions opérationnelles pour améliorer l’accès aux soins dentaires partout en France.

𝐏𝐚𝐫𝐢𝐭𝐚𝐫𝐢𝐬𝐦𝐞 : 𝐥’𝐔𝐍𝐏𝐒 𝐭𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐝’𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞. 𝐄𝐭 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐟𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫.L’amendement du PLFSS 2026 conf...
13/11/2025

𝐏𝐚𝐫𝐢𝐭𝐚𝐫𝐢𝐬𝐦𝐞 : 𝐥’𝐔𝐍𝐏𝐒 𝐭𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐝’𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞. 𝐄𝐭 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐟𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫.

L’amendement du PLFSS 2026 confiant la négociation des accords conventionnels à des structures plutôt qu’aux représentants des professionnels marque un tournant majeur.

Ce n’est pas un détail technique :
👉 c’est la remise en cause d’un principe fondateur de notre système de santé.

Le paritarisme n’a jamais été le problème.
Ce qui pose difficulté, ce sont :
-des syndicats verrouillés depuis 20 ans,
-une perte de légitimité démocratique,
-une absence de renouvellement,
-une déconnexion croissante du terrain.

Ce vide a permis une recentralisation massive par l’administration :
DGOS, UNCAM, labels “France Santé”, gouvernance par appels à projets…
Résultat ?
-Les professionnels ne sont plus entendus.
-Les patients n’y gagnent rien.
-Le terrain reste sous-doté.

Et dans ce contexte, la situation de la denturologie illustre parfaitement cette dérive :
des solutions existantes, conformes au droit européen, ignorées sans débat.

L’UNPS alerte.
Les professionnels alertent.
Les acteurs du terrain alertent.

Il est temps d’entendre le message :
👉 Renouveler le paritarisme.
👉 Ouvrir la concertation.
👉 Recentrer le système sur l’accès réel aux soins.

📄 Analyse complète publiée sur France-Denturiste :

https://france-denturiste.org/unps-paritarisme-fin-du-dialogue-social/

L’UNPS dénonce un tournant majeur du PLFSS 2026 : contournement du paritarisme, décisions centralisées et perte de représentativité. Analyse France-Denturiste.

12/11/2025

⚖️ « France Santé » : alerte sur le futur du système de santé libéral.

L’UNPS (Union Nationale des Professionnels de Santé) dénonce une réforme du PLFSS 2026 qui centralise le pouvoir, complique le terrain et fragilise les soignants.

Le Sénat, dans son rapport MECSS, parle d’un “millefeuille administratif et financier illisible”.

Et pendant ce temps, des solutions concrètes — comme la denturologie, reconnue partout en Europe — restent bloquées par des intérêts corporatistes.

🗣️ La santé ne doit pas être une rente.

🔗 Lire l’analyse complète :
👉 https://france-denturiste.org/france-sante-unps-systeme-dentaire/

𝐋𝐞 𝐯𝐫𝐚𝐢 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐥𝐞̀𝐦𝐞 𝐝𝐮 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞… 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐚̀ 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞Aujourd’hui encore, un chirurgien-dentiste déplore l’augmenta...
28/10/2025

𝐋𝐞 𝐯𝐫𝐚𝐢 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐥𝐞̀𝐦𝐞 𝐝𝐮 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞… 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐚̀ 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞

Aujourd’hui encore, un chirurgien-dentiste déplore l’augmentation du reste à charge, expliquant que cela “pénalise les plus pauvres”.
C’est vrai… mais 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐢𝐧𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞𝐭.
Car le cœur du problème, ce n’est pas le remboursement, c’est le modèle verrouillé de l’exercice dentaire en France.

👉 Depuis 70 ans, le champ dentaire est bloqué :
-aucune profession intermédiaire n’a le droit d’exister,
-𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞 𝐚𝐜𝐜𝐚𝐩𝐚𝐫𝐞 𝟕𝟎 % 𝐝𝐮 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬,
-les patients modestes ou âgés 𝐧’𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝’𝐚𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬.

Pendant ce temps :
-les prothèses importées inondent le marché sans contrôle,
-les transports sanitaires dentaires explosent dans les EHPAD,
-l’État dépense des millions d’euros dans des dispositifs sans traçabilité réelle.

Dans 14 pays européens, les denturistes existent déjà.
Ils réalisent les prothèses amovibles simples, soulagent les cabinets dentaires, réduisent les coûts publics et garantissent un suivi de proximité.

⚖️ En France, rien n’empêche légalement cette évolution sauf la résistance d’un modèle qui refuse de s’adapter.

Le débat sur le reste à charge est donc un écran de fumée.

Le vrai enjeu, c’est de moderniser la chaîne de soins, pas de la défendre à tout prix.

🏭 𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐥’𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐭𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞En France, plus de 70 % des prothèses dentaires fixées (couronnes, brid...
24/10/2025

🏭 𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐥’𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐭𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞

En France, plus de 70 % des prothèses dentaires fixées (couronnes, bridges, implants) sont importées.
Chine, Maroc, Portugal, Turquie, Europe de l’Est… le monde entier fabrique pour la France.

Les chirurgiens-dentistes envoient leurs fichiers numériques à des plateformes industrielles à bas coût,
pendant que des milliers de laboratoires français ferment, faute de commandes.

🔍 En moins de 20 ans, le nombre de laboratoires indépendants a été divisé par deux.
Les techniciens restants n’ont plus de marge sur la prothèse fixée :
leur seule survie passe par l’amovible inadaptée au numérique.

Mais face à la baisse des tarifs et à l’absence de reconnaissance,
certains laboratoires n’ont plus le choix : ils ouvrent leurs portes au public,
proposent des réparations, ajustements ou fabrications « direct fabricant ».

Ce n’est pas de la fraude, c’est de la survie.
Et c’est précisément là que commence la dérive :
👉 sans cadre médical, sans formation clinique, et sans encadrement juridique clair.

Comment en est-on arrivé là ?
Parce que le système français a refusé d’évoluer.
Parce qu’au lieu de créer un métier intermédiaire moderne et réglementé,
on a laissé s’installer un vide entre la technique et le soin.

📉 Résultat :
– des prothésistes en détresse ;
– des laboratoires qui bricolent des solutions pour exister ;
– des patients livrés à un système opaque ;
– et toujours aucune réforme structurelle.

💡 Ce vide, ailleurs, a un nom : le Denturiste.
Un professionnel reconnu, formé à la fois à la fabrication et à la prise en charge clinique.
Là où la France laisse mourir sa filière, le monde forme, encadre et protège.

👉 Dans le prochain post : “Laboratoires ouverts au public : zone grise ou danger sanitaire ?”

🇫🇷 𝐔𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 🇫🇷𝐋’𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐅𝐞𝐝𝐞𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐨𝐟 𝐃𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐬 (𝐈𝐅𝐃) 𝐎𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐮𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞...
22/10/2025

🇫🇷 𝐔𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 🇫🇷

𝐋’𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐅𝐞𝐝𝐞𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐨𝐟 𝐃𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐬 (𝐈𝐅𝐃)
𝐎𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐮𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐍𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐔𝐧𝐢𝐞𝐬 (𝐄𝐂𝐎𝐒𝐎𝐂) a choisi 𝐥𝐚 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 pour accueillir son 𝐀𝐬𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞́𝐞 𝐆𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐥𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟕 !

➡️ Cet événement mondial rassemblera des représentants de plus de 𝟐𝟎 𝐩𝐚𝐲𝐬 autour d’un même objectif :
𝐀𝐦𝐞́𝐥𝐢𝐨𝐫𝐞𝐫 𝐥’𝐚𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬, 𝐥𝐚 𝐪𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐮 𝐦𝐞́𝐭𝐢𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞.

📍 𝐌𝐚𝐫𝐧𝐞-𝐥𝐚-𝐕𝐚𝐥𝐥𝐞́𝐞, 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞
📅 𝟐𝟎𝟐𝟕
🔗 international-denturists.org/ifd-agm-france

Une étape majeure pour la profession, la santé publique et l’innovation en Europe.

Les détails du programme seront publiés prochainement.

« 𝐋’𝐎𝐫𝐝𝐫𝐞 𝐧’𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 : 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐱𝐭𝐞𝐬 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭 »Depuis plusieurs années, l’Ordre des chirurgie...
21/10/2025

« 𝐋’𝐎𝐫𝐝𝐫𝐞 𝐧’𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 : 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐱𝐭𝐞𝐬 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭 »

Depuis plusieurs années, l’Ordre des chirurgiens-dentistes s’exprime publiquement sur la denturologie et sur les professionnels européens exerçant par accès partiel.
Mais un fait demeure : 𝐥’𝐎𝐫𝐝𝐫𝐞 𝐧’𝐚 𝐚𝐮𝐜𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐥𝐞́𝐠𝐚𝐥𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬, ni sur les formations qui ne relèvent pas de la profession de chirurgien-dentiste.

👉 𝐋𝐞 𝐂𝐨𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐱𝐩𝐥𝐢𝐜𝐢𝐭𝐞 :
Article L.4121-2 : L’Ordre veille au respect des lois et règlements qui régissent la profession de chirurgien-dentiste.

Autrement dit :
✔️ L’Ordre n’a compétence que sur ses membres,
✔️ Il ne peut ni interdire ni contrôler les professionnels qui ne relèvent pas de son champ d’exercice.

🔹 En France, le métier de denturiste est en attente d’un cadre réglementaire clair.
Les formations existent, elles sont enregistrées auprès de l’État, c𝐨𝐧𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞𝐬 𝐚𝐮 𝐫𝐞̀𝐠𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧 (𝐔𝐄) 𝟐𝟎𝟏𝟕/𝟕𝟒𝟓, et respectent 𝐥𝐞 𝐂𝐨𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 sur les dispositifs médicaux sur mesure (art. L.5211-1 et suivants).
Mais l’État n’a pas encore désigné 𝐥’𝐚𝐮𝐭𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞́𝐭𝐞𝐧𝐭𝐞 chargée d’en assurer le suivi et la régulation.

💬 En pratique, les denturistes français agissent donc :
1-dans la transparence,
2-sous le contrôle général des lois existantes,
3-en attente d’un cadre juridique adapté que seul l’État peut établir.

L’Ordre, quant à lui, ne peut se substituer à cette autorité ni prétendre à un rôle qui ne lui appartient pas.
Il doit, comme tout organisme public, respecter la loi et la hiérarchie des normes.

En France, le métier de denturiste est aujourd’hui en attente d’un cadre réglementaire clair.

La formation professionnelle est autorisée et validée par la DREETS, dans le respect des obligations légales françaises et européennes.
Elle s’inscrit pleinement dans le cadre du Règlement (UE) 2017/745 sur les dispositifs médicaux sur mesure et du Code de la santé publique (art. L.5211-1 et suivants).

Tant que l’État n’a pas désigné d’autorité spécifique pour encadrer cette activité, aucun organisme ordinal ne peut s’en arroger le contrôle.

« 𝐋’𝐚𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐥 : 𝐮𝐧 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧, 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐞𝐱𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 »Beaucoup l’ignorent encore : 𝐥’𝐚𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐥 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 ...
21/10/2025

« 𝐋’𝐚𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐥 : 𝐮𝐧 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧, 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐞𝐱𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 »

Beaucoup l’ignorent encore : 𝐥’𝐚𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐥 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐟𝐚𝐯𝐞𝐮𝐫, ni une tolérance.
C’est 𝐮𝐧 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐠𝐚𝐫𝐚𝐧𝐭𝐢 𝐩𝐚𝐫 𝐥’𝐔𝐧𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧𝐧𝐞, inscrit dans la directive 2005/36/CE (art. 4f) et 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞́ 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐚 𝐂𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐔𝐧𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧𝐧𝐞 (affaire C-940/19).

Ce droit permet à un professionnel qualifié dans un autre État membre 𝐨𝐮 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞́ 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐜𝐚𝐝𝐫𝐞 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧𝐫𝐞𝐠𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞́𝐞 𝐚𝐮𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐝𝐞 𝐥’𝐄́𝐭𝐚𝐭 d’exercer une partie des activités correspondant à ses compétences, lorsque celles-ci sont clairement définies et reconnues par les autorités publiques.

➡️ En France, ce principe est 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐨𝐬𝐞́ 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐂𝐨𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 (art. L.4002-3 et R.4002-1).
➡️ Il 𝐬’𝐢𝐦𝐩𝐨𝐬𝐞 𝐚̀ 𝐭𝐨𝐮𝐭𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞𝐬, y compris ordinales.

Et rappelons-le : selon 𝐥’𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐥𝐞 𝐋.𝟒𝟏𝟐𝟏-𝟐 𝐝𝐮 𝐂𝐨𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞,
𝘓’𝘖𝑟𝘥𝑟𝘦 𝘥𝑒𝘴 𝘤ℎ𝘪𝑟𝘶𝑟𝘨𝑖𝘦𝑛𝘴-𝘥𝑒𝘯𝑡𝘪𝑠𝘵𝑒𝘴 𝘷𝑒𝘪𝑙𝘭𝑒 𝑎𝘶 𝘳𝑒𝘴𝑝𝘦𝑐𝘵 𝘥𝑒𝘴 𝘭𝑜𝘪𝑠 𝑒𝘵 𝘳𝑒̀𝘨𝑙𝘦𝑚𝘦𝑛𝘵𝑠 𝑞𝘶𝑖 𝑟𝘦́𝑔𝘪𝑠𝘴𝑒𝘯𝑡 𝑙𝘢 𝘱𝑟𝘰𝑓𝘦𝑠𝘴𝑖𝘰𝑛 𝑑𝘦 𝘤ℎ𝘪𝑟𝘶𝑟𝘨𝑖𝘦𝑛-𝑑𝘦𝑛𝘵𝑖𝘴𝑡𝘦.

Autrement dit :
✔️ L’Ordre a le 𝐝𝐞𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝’𝐚𝐩𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐥𝐨𝐢, pas de s’y opposer.
✔️ Et il n’a compétence 𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐢𝐫𝐮𝐫𝐠𝐢𝐞𝐧𝐬-𝐝𝐞𝐧𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬,pas sur les professionnels européens ou français exerçant légalement dans le cadre d’un 𝐚𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐥 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐮 𝐩𝐚𝐫 𝐥’𝐄́𝐭𝐚𝐭.

Les denturistes européens qui exercent dans ce cadre sont donc 𝐩𝐥𝐞𝐢𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞́𝐠𝐚𝐮𝐱, 𝐞𝐧𝐫𝐞𝐠𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞́𝐬, 𝐞𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐨̂𝐥𝐞́𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐚𝐝𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 compétentes (DREETS, DGCCRF, ARS).

Ce n’est pas une tolérance :
➡️ 𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭.
➡️ 𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚 𝐥𝐨𝐢.

🔍 𝐀𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐝 : 𝐆𝐘𝐒𝐈 𝐯𝐬 𝐍𝐮𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞1️⃣ 𝐋𝐞 𝐧𝐮𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐦𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐚 𝐛𝐢𝐨𝐦𝐞́𝐜𝐚𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞Les scanners intraoraux, les log...
19/10/2025

🔍 𝐀𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐝 : 𝐆𝐘𝐒𝐈 𝐯𝐬 𝐍𝐮𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞

1️⃣ 𝐋𝐞 𝐧𝐮𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐦𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐚 𝐛𝐢𝐨𝐦𝐞́𝐜𝐚𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞
Les scanners intraoraux, les logiciels de CAD/CAM et les articulateurs virtuels permettent de reproduire des formes,
mais pas de comprendre ni de corriger la fonction mandibulaire.

Or, la méthode 𝐆𝐘𝐒𝐈, basée sur la cinématique réelle, enseigne :
-la position centrée physiologique (pas celle imposée par le scanner)
-les trajectoires condyliennes
-les courbes de Spee, Wilson, Monson
-l’équilibre bilatéral dynamique

👉 Sans cette compréhension, le numérique n’est qu’un 𝐨𝐮𝐭𝐢𝐥 𝐠𝐫𝐚𝐩𝐡𝐢𝐪𝐮𝐞, pas un garant de la fonction.

Beaucoup de laboratoires réalisent des prothèses esthétiques mais instables, faute d’analyse cinématique.

2️⃣ 𝐋𝐞𝐬 𝐥𝐨𝐠𝐢𝐜𝐢𝐞𝐥𝐬 𝐬𝐞 𝐛𝐚𝐬𝐞𝐧𝐭… 𝐬𝐮𝐫 𝐆𝐲𝐬𝐢
La quasi-totalité des systèmes numériques de simulation (𝐄𝐱𝐨𝐜𝐚𝐝, 𝟑𝐒𝐡𝐚𝐩𝐞, 𝐙𝐢𝐫𝐤𝐨𝐧𝐳𝐚𝐡𝐧) sont fondés sur les modèles théoriques de 𝐆𝐲𝐬𝐢, 𝐆𝐞𝐫𝐛𝐞𝐫, 𝐏𝐨𝐬𝐬𝐞𝐥𝐭 𝐞𝐭 𝐇𝐚𝐧𝐚𝐮.
Le numérique ne fait que transcrire mathématiquement ce que Gysi avait modélisé mécaniquement.

➡️ Ne pas comprendre Gysi, c’est utiliser un système dont on ignore les bases un peu comme 𝐩𝐢𝐥𝐨𝐭𝐞𝐫 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐬𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐥𝐢𝐫𝐞 𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐝𝐮𝐢𝐫𝐞.

3️⃣ Former à la cinématique, c’est protéger la qualité du geste
Le montage Gysi oblige à :

-lire les empreintes et comprendre la physiologie
-interpréter la musculature (buccinato-dynamique)
-ajuster la dimension verticale, les plans et l’occlusion

Ces compétences sont humaines, sensorielles et analytiques.
Elles garantissent la stabilité fonctionnelle et le confort du patient,
et constituent le socle commun entre la prothèse artisanale et la conception numérique.

4️⃣ 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐜’𝐞𝐬𝐭 “𝐮𝐭𝐢𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐨𝐛𝐥𝐢𝐠𝐚𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞” 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢
𝐔𝐭𝐢𝐥𝐞 : parce qu’un professionnel formé à la cinématique mandibulaire comprend ce que le numérique calcule.
𝐎𝐛𝐥𝐢𝐠𝐚𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 : parce que le Code de la santé publique impose la conformité fonctionnelle des dispositifs médicaux sur mesure (Règlement UE 2017/745, annexe I, §5).

Une prothèse non équilibrée ou mal adaptée est donc 𝐣𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐧𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞.

👉 Connaître Gysi, c’est aussi assurer la traçabilité et la conformité légale du travail réalisé.

💬 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞
➡️ Le numérique n’a pas supprimé le besoin du savoir Gysi : 𝐢𝐥 𝐞𝐧 𝐝𝐞́𝐩𝐞𝐧𝐝.
➡️ Cette formation n’est pas “du passé” : c’est 𝐥𝐞 𝐥𝐚𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐛𝐚𝐬𝐞 𝐝𝐮 𝐟𝐮𝐭𝐮𝐫 𝐧𝐮𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢𝐠𝐞𝐧𝐭.
➡️ En la réintroduisant, 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞-𝐃𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐥𝐞 𝐮𝐧 𝐯𝐢𝐝𝐞 que les écoles et CFA ont laissé s’installer.

https://www.france-denturiste.fr

Adresse

14 Bis Avenue Des Fougeres
Pontault-Combault
77340

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 17:00
Mardi 09:00 - 13:00
Mercredi 09:00 - 17:00
Jeudi 09:00 - 13:00
Vendredi 09:00 - 17:00

Téléphone

+33160285632

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque France-Denturiste publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram