Audrey Simon - Thérapie - Être & Parents

Audrey Simon - Thérapie - Être & Parents Epanouissement de la relation à soi et à l'autre. Thérapie - Accompagnement individuel, familial. Formation - Conférences

25/09/2025

✨ La culpabilité parentale : et si elle n’était pas ton ennemie ?

Beaucoup de parents se sentent coupables : d’avoir crié, d’avoir été trop stricts, ou au contraire trop laxistes.
Mais la vérité, c’est que la culpabilité est un signal, pas une condamnation.

👉 Voici 3 clés pour en sortir :
Accueille : reconnais ce qui dans ton comportement n'était pas en accord avec tes valeurs,
Accepte que ça existe et que ça ne te définit pas,
Contextualise, il y a une "bonne" raison pour laquelle tu as réagit comme ça et que tu n'as pas su/pu faire autrement.

Répare : excuse-toi auprès de ton enfant, ça n'est pas un aveu de faiblesse ni un renoncement. Tu peux continuer à refuser la situation qui t'as fait vriller il s'agit seulement de reconnaitre que la violence n'est pas une façon d'obtenir quoi que ce soit
Accepte tes responsabilités, l'impact de ton comportement sur lui (peur, tristesse, colère, incompréhension...)
Engage toi au changement
Propose une réparation pour restaurer votre relation et la confiance qui vous unit.

Transforme : demande-toi et trouves comment tu peux faire différemment la prochaine fois.

Pour toutes ces étapes je suis là si tu as besoin d'un coup de pouce pour trouver ce qui est juste pour toi, pour votre famille.

💡 Être un "bon parent" ne veut pas dire être parfait.
Ça veut dire savoir revenir vers son enfant après la tempête, ne pas lâcher, faire de son mieux, toujours.
Être parent c'est un apprentissage de chaque instant et on n'apprend pas seul 💕

➡️ Et toi, quel est le moment où tu culpabilises le plus ?

contact@audrey-simon.fr

25/09/2025

Inscription aux ateliers dès le 1er septembre au Relais Familles Rurales Ambierle ou par téléphone au : 0477656050.
A très vite 😉

24/09/2025

Devenir adulte, ce n’est pas seulement quitter l’enfance.
C’est en faire le deuil.

Le deuil de nos parents réels parfois, avec leurs forces… et leurs failles.
Ceux d'aujourd'hui, ceux d'hier.
Ceux qui n'ont pas compris, vu, entendu, accueilli l'enfant que nous étions.
Le deuil des parents que nous aurions rêvé d’avoir, et qui n’ont jamais existé.
Le deuil des espoirs et des illusions de l'enfant qui attend encore ce qui n'est pas venu et ne viendra pas.

Ce deuil n'est pas le procès de ceux qui nous ont mis au monde, c'est un chemin où l’on reconnaît ce qui a manqué, ce qui a blessé… mais aussi ce qui nous a construit.
Parce que c’est seulement une fois ce deuil traversé que l’adulte peut vivre libre.
Libre d’aimer, de choisir, de se construire autrement.

Dans cette liberté de l'adulte il y a enfin la place pour la joie, la légèreté et l'insouciance.
C’est là que l’adulte que nous sommes et l’enfant que nous étions peuvent enfin marcher ensemble. ✨

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23/09/2025

Moi ce qui me pique, parfois, ça n'est pas l'étiquette, c'est le fil avec lequel elle est cousue...

Ca m'est venu en formation autour d'un échange sur la psychopathologie et les diagnostic...

Tu vois où je veux en venir?

Souvent on consière un diagnostic comme une étiquette.
Et c'en est une, une indication qui classe quelqu'un (cf. définition du Larousse).
Comme toute étiquette, il y a 2 faces :

🔒 Une qui enferme
Qui réduit la personne à un mot, une catégorie limitante dont il devient impossible de s'extraire.
Qui limite l'humain à son diag., comme si toute l’identité se résumait à ça.
Qui stigmatise parce que la société a une représentation erronnée du trouble, de la pathologie... (t'es pas autiste tu regardes dans les yeux, t'es schizophrène c'est dangereux ça...)

Et pourtant, il y a une autre dimension,

✨ La face qui ouvre
Le soulagement de nommer ce que l'on vit, de ne pas se sentir "fou". Ca existe et je me sens plus légitime à vivre et exprimer mon expérience.
Le besoin de compréhension nourri : savoir que ce qu’on traverse est reconnu.
Le besoin de construction identitaire : se situer, comprendre une part de soi, de ses potentiels, de ses limites.
Le besoin d’appartenance : rejoindre une communauté de personnes qui partagent une réalité similaire.
Le besoin de pistes d’évolution : savoir par où commencer pour avancer, trouver des ressources adaptées, des accompagnements pertinents.

En fait, le problème n’est pas tant l’étiquette que la manière dont elle est cousue.
👉 Est-ce qu’elle est plaquée brutalement, sans explication, au risque de blesser ?
👉 Ou est-ce qu’elle est déposée avec soin, comme un point de repère, une information parmi d’autres pour avancer ?
👉 Le diagnostic est il une fin en soi, une étape ou un point de départ ?

Sur nos vêtements les étiquettes sont des indications qui éclairent, sur le processus de fabrication, la provenance, les particularités, le soin à apporter.
Chez les humains le diagnostic peut être un mot qui ouvre une conversation, provoque des rencontres, génère de nouvelles perspectives plutôt qu’un mur qui se dresse, qui clive et qui isole.

Tout dépend qui, comment et avec quoi on pose l'étiquette 😊

23/09/2025

Bonne journée à tou.te.s !

22/09/2025

Educatrice spécialisée et psychopraticienne, je travaille depuis plus de 20 ans à rendre les relations humaines plus simples, plus fluides et plus épanouissantes.

En groupe et à tout âge, en entreprise, établissement scolaire, association, EASH, foyer... on peut aborder les sujets qui vous intéresse, de façon ludique, dynamique et apprenante.

www.audrey-simon.fr
contact@audrey-simon.fr

20/09/2025

Je vous rassure, il va bien !

On a tous vu des vidéos d’accidents aux conséquences terribles.
Le niveau d’eau trop bas, les rochers, la hauteur…
Mon fils lui a juste vu le côté fun et a voulu se lancer
😱😱😱😱😱

La question est présente partout, dès la petite enfance :
👉 Comment j’accompagne mon enfant face au danger ?

Deux questions en réalité :
C’est quoi, le danger ?
Et qu’est-ce que j’en fais ?

Comme d’habitude, deux extrêmes :
Je laisse faire.
Ou j’interdis.

Et comme d’habitude, je choisis la troisième voie.
La plus relou, la plus exigeante : celle qui demande de m’impliquer, de réfléchir, de travailler sur moi.

Je choisis d’accompagner mon enfant selon son stade de développement.
Je l’équipe, je lui montre, je lui explique, je l’encourage à tester… et à observer.
Petit à petit, il apprend à évaluer par lui-même : “Est-ce trop haut ? Assez profond ? Assez large ? Trop rapide ? Trop risqué ?”

Car le vrai enjeu n’est pas d’éviter tout danger.
Le vrai enjeu, c’est de l’aider à développer du discernement, pour qu’un jour, sans moi, il sache faire ses propres choix.

Et pour ça, il me faut aussi regarder mes propres peurs.
Est-ce que je protège vraiment mon enfant ?
Ou est-ce que je cherche à calmer mes angoisses ?
Car si je transmets uniquement mes peurs, il grandira dans la crainte.
Mais si je l’accompagne, il grandira dans la confiance, avec des repères solides pour se protéger par lui-même.

👉 Le danger ne disparaît jamais.
Mais la capacité à l’évaluer, elle, s’apprend.
Et c’est le plus beau cadeau qu’on puisse leur transmettre.

contact@audrey-simon.fr
https://audrey-simon.fr/comdos/

19/09/2025

Sur cette vidéo ma fille a 3 ans.

A cet âge, nombreux sont les parents (gds-parents, éducateurs, instits, taties Jeanines...) qui se plaignent des CAPRICES des enfants.

On entend tellement souvent :
"il m'a encore fait un caprice" ("je l'ai puni")
"c'est un caprice ça va passer"
"ne cède pas à ses caprices" (tu vas te faire bouffer!!!)

Dans le langage courant "il fait un caprice" semble signifier : "il voulait un truc que je ne voulais pas lui donner, du coup il s'est mis à hurler/pleurer/bouder/se rouler par terre (de préférence devant tout le monde) pour que je change d'avis."
En général donc, c'est un rapport de force et l'issue glorieuse est : "je n'ai pas cédé !"

STOOOP !
S'il vous plaît, stop.

D'après le CNRTL, un caprice =
"Une manifestation irréfléchie de la volonté, généralement soudaine, obstinée et sujette à de brusques revirements."
Ce n’est donc pas une manœuvre préméditée pour vous faire honte ou vous épuiser.

C'est la manifestation d'un désir dans un cerveau immature, frustré par la limite posée (à juste titre) par l'adulte.

La décharge émotionnelle qui s'en suit n'est pas le stratagème d'un cerveau machiavélique (regardez la vidéo pour vous convaincre du niveau de machiavélisme d’un enfant de 3 ans).

Elle est liée à l'immaturité du cerveau de votre enfant qui n'a pas encore les capacités de se projeter, de différer, de comprendre les (bonnes) raisons qui vous poussent à entraver la satisfaction de son désir.
Elle est peut-être aussi amplifiée par votre agacement, votre évaluation de la situation, le regard des autres.
Résultat : il se sent incompris.

👉 Alors, que faire ?
Il n’a pas besoin d’être puni.
Ni qu’on le raisonne.
Il n’a pas besoin qu’on l’accuse de manipulation.
Ni que tu cèdes (envie ≠ besoin).

Ce dont il a besoin, c’est de toi.
De ton regard qui lui dit : "Je sais que c’est dur."
De ton calme qui lui offre un cadre stable et rassurant.
De tes bras, parfois, pour contenir cette tempête qui le dépasse.

De tes mots, pour nommer ce qu’il vit.
💡 Ainsi tu lui apprends que ses émotions sont légitimes, que la frustration peut être traversée, et que l’amour ne disparaît pas même dans les moments de colère.

18/09/2025

👉 Elle rentre d’un déplacement.
Tous les deux, vous attendiez tellement cette soirée !

Tu te réjouis de retrouver enfin ton couple!

Pour l'accueillir tu as préparé un magnifique bouquet.
Elle, en passant la porte, ne voit qu’une chose : l’appartement en désordre.

Au final, au lieu de vous retrouver, vous vous disputez, la soirée est gâchée.
Elle se sent incomprise, tu te sens rejeté.

Bonne nouvelle!
Ce n’est pas de l’indifférence, ni du manque d’amour.
C’est juste que vous ne parlez pas le même langage.

Pour elle, l’amour passe par les actes concrets du quotidien : une maison rangée, un espace qui respire.
Pour toi, il s’exprime par le geste symbolique : offrir, surprendre, faire plaisir.

D'après Gary Chapman, les langages de l’amour sont:
les paroles valorisantes,
les cadeaux,
le temps de qualité,
les services rendus,
le toucher

Ceux qu'on connait le mieux sont comme une langue maternelle, on les pratique presque inconsciemment et on a tendance à croire que c'est facile, voir normal.

Sauf que ton partenaire n'a pas grandi dans le même envirronnement que toi,
Peut être qu'il ne parle pas le même langage

🌱 Et si vous appreniez à les découvrir ensemble ?
Car aimer, ce n’est pas seulement donner comme on sait…
C’est aussi apprendre à donner comme l’autre peut recevoir.
Et pui qui sait, ensemble vous pourriez multiplier les langages d'amour 🩷💕

17/09/2025

Une phase de développement ?
Un besoin physiologique ?
Un environnement stressant ?
Un problème affectif ?
Un souci de communication ?
Une règle iréaliste ou incompréhensible ?

Derrière tous les comportements de nos enfants se cachent des besoins insatisfaits.
répondre à ses besoins n'est pas céder à un caprice, c'est respecter l'intégrité de notre enfant et lui apprendre petit à petit l'autonomie.

Ton fils refuse d’aller dormir, il sort de son lit 10 fois, s’accroche à ton bras.
👉 Il ne cherche pas à te pourrir ta soirée !
Il a besoin de sécurité avant la séparation de la nuit.

Après une journée chargée, tu envoies un dernier message à ton ami, tu regardes une série pour te sentir accompagné avant de t’endormir et d'ailleurs, tu ne dors pas seul.e ?
👉 Toi aussi, tu réponds à ton besoin de lien pour trouver le calme.

Ta fille te colle, demande “regarde-moi !”, “viens jouer avec moi !”, encore et encore.
👉 Elle n'est pas égoïste, elle a besoin de reconnaissance et d’attention pour construire son identité.

Adulte : Tu postes une photo sur Instagram, tu attends un message de retour, un “ça me fait plaisir de te voir”.
👉 Tu as le même besoin de te sentir vu et important, encore une fois d'être en lien, d'appartenir à un groupe qui reconnais qui tu es, ce que tu aimes...

Ton enfant ne tient pas en place à table, il refuse de manger, se lève sans cesse...
A-t-il suffisament bougé aujourd'hui ?
A-t-il besoin de se défouler en rentrant de l'école ?

Souvent, c'est une question de timing, et nourrir les besoins de nos enfants permet d'éviter bien des crises et des moments gachés.
Un enfant qui ne coopère pas, c'est qu'il n'en a pas ou plus les moyens et c'est à nous de l'aider à construire les ressources ou à les remobiliser.

ça vous parait fou ? Exagéré ?
On en parle ?

Vous êtes ok sur le principe mais trouvez ça galère en pratique?

Et si vous osiez demandé un coup de pouce ?
En scéance individuelle ou en groupe, je vous propose un accompagnement sur mesure pour rendre votre parentalité (ou votre exercice professionnel) plus zen.

contact@audrey-simon.fr

16/09/2025

Quelque soit votre demande, nous travaillerons ensemble, dans le respect de votre rythme et de vos besoins, au service de votre croissance et de votre épanouissement.

La théorie de l’attachement et la thérapie intégrative servent de base à mon travail.
Ce qui signifie considérer l’être humain comme un être de besoins et de relation.

Prendre le temps de traverser, de comprendre, ce qui vous pèse et ce à quoi vous aspirez nous permettra de trouver ce dont vous avez besoin pour atteindre vos objectifs et vous sentir en harmonie dans une vie choisie.

"C'est en sachant d'où on vient et où on va qu'on se sent bien où on est"
contact@audrey-simon.fr

15/09/2025

Il y a quelque temps, un inconfort dans ma vie s'est traduit ainsi:
"Est ce que j'apprends à danser sous la pluie ou est ce que je me barre à Arica ?"

(Si toi aussi tu l'ignorais jusquà aujourd'hui Arica est une ville portuaire du désert d'Acatama, au nord du Chili)

Dans cette question il y a au moins deux aspects en fait.
A quel moment l'espoir de voir les choses changer devient une illusion à laquelle renoncer ?
Si je ne peux pas changer les choses que puis je faire pour les vivre mieux ?

Parce que, danser sous la pluie, c'est cool si t'aimes danser, si tu sais que tu peux te sécher et cocooner après parce que sinon ça rime à quoi ?
En tout cas moi, j'ai pas vocation à être martyre.

Dans cette situation j'ai trouvé mes réponses, j'ai vérifié ce qui était réellement possible comme évolution, et si je pouvais vivre le quotidien hors de l'attente, dans quelque chose de suffisament bon pour moi.

C'est ce que je vous propose de faire ensemble si vous vous sentez coincé.e.s sous "la pluie".
Je ne vous donne pas de clefs ni même de piste ici parce que c'est un voyage à faire à partir de vous même, de votre situation et de la façon dont vous la percevez, de vos attentes, de vos priorités...
C'est votre chemin et vous le ferez comme vous l'entendez.

Je pourrai vous accompagner pour clarifier, comprendre, sentir, traverser, vous proposer un éclairage, des raccourcis, un thé, une nouvelle paire de chaussures ou un abri temporaire, ce dont vous aurez besoin pour prendre le temps et trouver votre réponse.

Bref je serai là pour vous, juste le temps nécessaire.

contact@audrey-simon.fr

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105 Petite Rue De La Gare
Pouilly-Sous-Charlieu
42720

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