Marie Tichadou Kinésiologue Spécialisée 66

25/11/2025

25/11/2025

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23/11/2025

Kinésiologue (kinésiologie) : c'est quoi, que fait-il ?
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17/11/2025

26/10/2025

La goutte d’eau qui fait déborder le vase, c’est rarement la plus grosse.
C’est souvent la plus discrète.
La plus sournoise.
Celle que personne ne voit.
Celle qui arrive après des centaines d’autres,
acceptées, tolérées, refoulées.
Elle arrive un jour comme un rien.
Une phrase en trop.
Un oubli qui pique.
Un silence mal placé.
Une micro-trahison de plus.
Un sourire de façade.
Et là…
Vous sentez que ça y est.
Ça déborde.
Mais ce n’est pas elle, la goutte, le vrai problème.
C’est le vase.
Ce vase qu’on a laissé se remplir pendant des mois,
des années parfois,
au nom de l’amour, du compromis, de la paix, du pardon,
ou pire : au nom de l’espoir que ça change.
Ce vase, c’est nous.
Notre seuil de tolérance.
Notre capacité à nous trahir.
Notre refus de mettre une limite claire.
Notre besoin d’être aimé, quitte à être écrasé.
Alors cette goutte-là,
ce n’est pas une ennemie.
C’est une alliée.
Elle vous libère.
Elle montre que c’est terminé.
Que l’illusion ne tient plus.
Que le mensonge ne passe plus.
Que votre système d’alerte s’est enfin réveillé.
Alors ne maudissez pas la goutte.
Remerciez-la.
Elle est le signal.
Le dernier.
Le bon.
Celui qui dit :
Maintenant, tu te choisis.

Rafael Arieli

19/10/2025

Cette année 9 touche bientôt à sa fin.
Et avec elle, un cycle se termine.
Tu as traversé des tempêtes, laissé derrière toi des morceaux d’histoires, de croyances, de relations, de peurs…
Tout ce qui ne résonnait plus avec la personne que tu es en train de devenir.

Ce n’était pas une année facile , c’était une année de nettoyage, de libération, de vérités parfois douloureuses.
Mais regarde-toi maintenant : plus clair, plus lucide, plus ancré dans ce que ton cœur veut vraiment.

L’année 9 t’a appris à lâcher.
À faire confiance à la vie, même quand tout semblait s’effondrer.
À comprendre que la fin n’est jamais une perte, mais une préparation silencieuse pour un nouveau départ.

Et pourtant, elle n’est pas encore tout à fait finie.
Il te reste encore un peu de temps , du temps précieux.
Ce temps, tu peux l’utiliser pour faire la paix avec ce qui pèse encore dans ton cœur.
Pour pardonner, sincèrement aux autres, à la vie, à toi-même.
Pour libérer les dernières attaches, les dernières peurs, les regrets qui t’empêchent de respirer pleinement.
Pour remercier aussi : chaque épreuve, chaque leçon, chaque rencontre.

Avant que la page ne se tourne, offre-toi ce cadeau : terminer cette année en conscience.
Fais le tri dans ton espace, dans ton cœur, dans tes pensées.
Écris ce que tu veux vraiment laisser derrière toi et ce que tu veux inviter dans ton nouveau cycle.

Bientôt, une énergie nouvelle t’attend , celle du 1, celle des commencements.
Une page blanche, prête à accueillir tes intentions, tes rêves, ta lumière.

Alors, avant de tourner la page, prends un moment pour remercier cette année 9.
Remercie-la pour tout ce qu’elle t’a aidé à purifier, pour tout ce qu’elle a révélé, pour tout ce qu’elle t’a rendu plus fort(e).

Tu es prêt(e).
Tu entres dans la suite avec un cœur plus léger, un regard plus sage, et une âme prête à créer.
La fin n’est qu’un passage et le meilleur est sur le point de naître.

Charlotte Cellier

12/10/2025

10/10/2025

Il arrive un moment où, malgré toute ta patience, tu dois hausser le ton. Pas pour dominer. Pas pour blesser. Mais simplement pour être entendu. Quand tu répètes les mêmes choses depuis des semaines, que ton respect est pris pour acquis, ton ton finit par traduire ce que tes mots disaient déjà : assez.

Et pourtant, il y a des gens qui ne supportent pas ça. Ils ne fuient pas parce que tu as crié, mais parce que tu as cessé de te taire. Tant que tu restais calme, conciliant, docile, ils se sentaient confortables. Le jour où tu poses une limite, tu mets fin à ce déséquilibre silencieux : tu redeviens ton propre centre. Et pour certains, ça, c’est inacceptable.

Une personne émotionnellement mature ne fuit pas la fermeté. Elle comprend qu’une limite, ce n’est pas une barrière contre elle, c’est une protection pour la relation. Mais une personne qui fuit, elle, révèle souvent trois choses : une intolérance à la remise en question, une immaturité émotionnelle, et parfois un besoin de contrôle déguisé en fragilité.

Ce n’est pas ton ton qu’elle rejette, c’est ton affirmation. Elle ne veut pas d’une relation équilibrée, mais d’une relation où elle garde le pouvoir. Quand tu dis « stop », tu brises la dynamique où elle se nourrissait de ton silence. Et c’est à ce moment précis que la vérité se dévoile : ta fermeté n’a pas détruit la relation, elle l’a simplement mise à nu.

Être ferme, ce n’est pas être agressif. C’est dire : « Ma paix compte autant que la tienne. » C’est refuser de te laisser couper la parole, diminuer ou invalider. C’est choisir la clarté plutôt que la tension refoulée. Et oui, parfois, la voix monte, non pas par colère, mais par saturation. Parce que tu n’en peux plus d’expliquer ce que le respect devrait déjà faire comprendre.

Alors si quelqu’un s’en va parce que tu t’es affirmé, ne le vois pas comme une perte. Vois-le comme une révélation. Ce n’est pas toi qui étais trop, c’est l’autre qui ne voulait pas d’un lien vrai. Et dans ce genre de relation, ta paix vaut plus que sa présence.

© Francis Machabée

P.S. Si tu as déjà vécu ce genre de situation où poser une limite t’a coûté une relation, ne le vois pas comme un échec. C’est souvent le signe que tu commences à te choisir. J’ai créé une série d’exercices pour t’aider à retrouver ton calme intérieur après ce genre de rupture — le lien est en commentaire.