Murielle Ricordel, Artisane de Lumière

10/10/2025

Une approche simple et lucide pour passer ce super portail 😃

✨✨✨✨✨PORTAIL 10/10 ✨✨✨✨✨

🌌 C’est quoi un “portail énergétique” ?

Dans le monde magique du New Age, un portail, c’est un peu comme une mise à jour spirituelle gratuite de l’univers.
Un moment où les énergies cosmiques disent :

> “Bon, t’as téléchargé la dernière version de ton âme, ou t’es encore en mode 2017 ?”

C’est une période où les voiles entre le visible et l’invisible sont plus fins.
Résultat : on capte plus facilement les signes, les synchronicités, et les guides spirituels qui tentent désespérément de nous envoyer des messages subtils du genre :

> “Non, ce n’est pas ton ex le signe que tu attends.”

Bref, c’est un moment parfait pour libérer, méditer, manifester ou juste rebooter ton Wi-Fi intérieur.

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❓ Pourquoi le 10/10 est si spécial ?

Ahhh, le 10/10. Ce n’est pas juste une date, c’est le double combo cosmique.

Le chiffre 1, c’est le commencement, la graine, le “je me lance”.

Le chiffre 0, c’est le grand Tout, le néant créateur, le “je flotte dans le vide cosmique en pyjama énergétique”.

Ensemble, 10, c’est : je passe du potentiel à la manifestation.
Et quand tu le doubles (10/10), l’univers crie :

> “OK, reboot spirituel complet, tout le monde en position de lotus !”

C’est le genre de journée où tout te pousse à commencer un nouveau cycle.
Finies les vieilles casseroles émotionnelles, les schémas toxiques, et les réunions karmiques sans fin.
On sort les valises, on trie les énergies, on repart léger.

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✨ L’énergie du 10/10 en 2025

En 2025, ce portail est annoncé comme une giga-vague de clarté cosmique.
Genre “grand nettoyage de printemps” mais pour ton aura.

Les textes New Age annoncent un alignement entre la Terre, la Balance et l’étoile Arcturus (le genre de trio qui ferait danser même ton chakra du cœur).

Autrement dit :

> on nous sert un cocktail d’équilibre, d’amour de soi et de renaissance intérieure.

Mais attention — avant de briller façon LED spirituelle, il faut parfois passer par un petit ménage dans l’ombre.
Oui, tes blocages, ton passé, tes “non-dits émotionnels de 2014” vont peut-être remonter pour dire bonjour.
Mais c’est bon signe : ils sortent pour être transmutés, pas pour t’embêter.

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🔮 Comment surfer sur le portail sans perdre une aile d’ange

Le 10/10, ne cours pas dans tous les sens à la recherche de la “meilleure méditation d’activation galactique”.
Respire. Reste simple. Sois aligné. Et si tu veux te la jouer rituel-chic, voici quelques idées Renard-style :

★ Méditation minimaliste : assieds-toi, ferme les yeux, et dis mentalement :
> “Je reboot mon âme, merci le cloud cosmique.”

★ Écriture libératrice : note ce que tu veux laisser partir (ex : “culpabilité, peur, abonnement émotionnel à mon ex”) et brûle le papier en mode purification.
Pas besoin d’un chaudron, une coupelle suffit — on n’est pas dans Harry Potter.

★ Pierres amies : quartz clair, améthyste, sélénite… ou toute pierre qui brille autant que ta future version alignée.

★ Rituel 10:10 : à 10h10 ou 22h10, ferme les yeux, fais ton vœu cosmique, et visualise ton futur “toi” danser sur du st**dust.

★ Nettoyage énergétique : bain au sel, fumigation, playlist vibratoire ou juste une bonne do**he en répétant :
> “Je me décrasse énergétiquement, inside & outside.”

★Ancrage : marche pieds nus (facultatif si il y a de la boue), respire, touche un arbre (il adore ça).
Rappelle-toi : sans racines, pas d’illumination durable — juste un planage astral sans GPS.

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🌠 Le message du portail 10/10 version 2025

Ce portail t’invite à un grand :

> “RESET INTÉRIEUR.”

À lâcher le passé, les doutes, les “je ne suis pas prêt(e)”.
À incarner ton prochain niveau d’énergie.
À dire oui à la clarté, à la confiance et à la paix intérieure.

C’est une fenêtre de manifestation, un ascenseur énergétique qui dit :

> “Monte si tu veux vibrer plus haut… mais laisse ton bagage émotionnel au rez-de-chaussée.”

Et cerise cosmique : cette année, le 10/10 tombe en pleine saison de la Balance.
Résultat ? Équilibre, harmonie, mais aussi miroir spirituel géant.
Tu risques de te regarder en face — vraiment. Et de te dire :

> “Ok, j’ai du taf, mais j’suis pas mal quand même.”

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🧠 Petit rappel du renard lucide

Oui, tout ça est magique, poétique, vibrant…
Mais reste les pattes sur Terre : c’est ton état intérieur qui fait la différence.
Un portail n’a de pouvoir que si tu y mets de la conscience.
Et même si tu rates la méditation de 22h10, t’inquiète : l’univers n’a pas d’agenda Google.
Il te rattrapera au prochain portail avec un clin d’œil cosmique. 😉

Le Renard Chic

(Tous droits réservés.🦊)

05/10/2025

Le bonheur c'est ça, voir une chouette prendre son bain et son envol dans toute sa simplicité et sa grâce

22/09/2025

Le module 1 était sous le signe de la pierre
Notre structure, notre base, notre histoire...
Cet élément a soudé le groupe, la soutenu dans sa transformation, dans son chemin de progrès.
Merci pour les merveilleux cadeaux de la Vie qui nous ont été offerts durant tout ce week-end chamanique 🎁💚💞

21/09/2025

19/09/2025

Voir une baleine, c'est un moment de grâce, une représentation d'amour et un sentiment d'humilité envahit mon coeur, le temps est suspendu. Ce souvenir indélébile reste dans mon coeur, mon âme, mon esprit. Gratitude à cette immense baleine qui est venue me saluer 🐋

Quand une baleine meurt… ce n’est pas la fin. C’est le commencement.
Le corps d’une baleine ne flotte pas éternellement. Finalement, il coule — lentement, silencieusement — vers le fond de l’océan.
On appelle cela une « chute de baleine ».
Et là, dans les profondeurs, se produit quelque chose d’étonnant.

Le corps d’une seule baleine devient un refuge de vie.
Pendant des décennies, il nourrit des centaines de créatures marines : requins, crabes, petits charognards et formes de vie uniques qui n’existent nulle part ailleurs.
D’une mort naît un écosystème entier.
De la mort jaillit la vie. Silencieuse. Abondante. Sacrée.

Mais il y a plus.
Tout au long de leur vie, les baleines absorbent du carbone de l’atmosphère.
Et lorsqu’elles meurent et sombrent, ce carbone descend avec elles au fond de l’océan, où il reste piégé pendant des siècles.
Même dans la mort, elles contribuent à rafraîchir une planète qui se réchauffe.
Même dans le silence, elles nous protègent.

Et tant qu’elles vivent… elles chantent.
Pas avec des mots, mais avec des sons si puissants qu’ils peuvent voyager sur des milliers de kilomètres sous la mer.
Les mères chantent à leurs petits.
Certains groupes se souviennent de ceux qu’ils ont perdus.
D’autres attendent ceux qui restent en arrière.
Leurs chants ne sont pas seulement de la communication.
Ce sont des liens.

Le cœur d’une baleine bleue a la taille d’une petite voiture.
Et lorsqu’elle plonge dans les abysses…
il ne bat que deux fois par minute.
Comme pour nous murmurer :
Reste calme.
Plonge en profondeur.
Avance avec grâce.

Autrefois, les marins craignaient les baleines comme des monstres.
Aujourd’hui, nous connaissons la vérité :
Ce sont des géants doux.
Des gardiens des océans.
Des porteurs de mémoire.

Tout comme les éléphants enseignent la compassion sur la terre,
les baleines la murmurent dans l’eau.
Et toutes deux nous enseignent :
La grandeur ne crie pas.
Elle chante. Elle guide. Et quand le moment arrive… elle se donne, se transformant en quelque chose d’encore plus grand… 🧡

14/09/2025

Quand nos stagiaires retransmettent les enseignements que je porte si fort dans mon cœurs et que je vois cette chaîne humaine se transformer, ouvrir son coeur et sa conscience, je me dis que je dois continuer dans ma Foi pour la création du nouveau Monde. Merci Edwige 🙏

09/09/2025

La bienveillance et l'attention données même un petit peu est déjà beaucoup pour certains hommes et animaux, plantes et minéraux. Ne négligeons pas les petits gestes 💞

❤️ APPRENDRE À RECEVOIR SEULEMENT CE QUI EST DONNÉ  ❤️

Extrait d’une communication animale avec un chat de 6 ans , dont la propriétaire voulait connaître son passé après son adoption en refuge.

Peux-tu me parler de ton passé ?

J’ai vécu beaucoup de choses… De belles expériences, mais aussi des moments bien plus difficiles.
J’ai connu la faim, la soif, le manque de soins et cette peur qui me tétanisait et me terrorisait. J’étais constamment en vigilance intérieure, toujours sur mes gardes. Ce qui me manquait le plus, c’était la sécurité.

Où vivais-tu ?
Je vivais principalement dans la rue. Je revois une grande ruelle pavée, un peu étroite, bordée de boutiques. Je me réfugiais là où je pouvais, mais c’était souvent compliqué : la concurrence avec les autres animaux, et l’envers du décor de la ville la nuit, me faisaient très peur. Alors j’ai appris… appris à me contenir, à me canaliser, à me contenter de ce que j’avais.

Il y avait d’autres chats, parfois hostiles. J’ai été attaqué, même rejeté de certains territoires. Pourtant je ne suis pas territorial. J’accepte le minimum, ce qu’on me donne. Je ne suis pas difficile, que ce soit pour mon lieu de vie, ma nourriture ou mes soins. Je suis un peu comme une graine dans la terre : je me contente de ce qu’elle m’offre, sans jamais demander plus. C’est une belle leçon de vie pour moi, mais aussi pour le monde autour.

Je divaguais, cherchant un peu de confort. Parfois j’en trouvais. Certains humains pensaient à moi et me nourrissaient, m’apportant un peu de soutien et d’énergie. J’en éprouvais une immense gratitude.

Il y a eu un moment de ma vie où j’ai dû m’occuper de bébés. Ma lignée s’est agrandie alors que je n’avais pas toujours de quoi les nourrir ou les protéger. C’était très stressant. Et je n’étais pas le seul : beaucoup d’autres vivaient la même situation. Une voisine âgée venait parfois nous nourrir. J’aimais sa présence, mais elle avait un chien, et je ne supporte pas les chiens. Alors je ne faisais que passer.

Par la suite, je me suis retrouvé dans un environnement plus calme, où j’avais surtout besoin de repos. J’ai croisé beaucoup d’humains sur ma route. Je me souviens aussi avoir vécu un peu à la campagne avant tout ça. Finalement, les humains ont appris à me reconnaître, moi qui n’avais connu jusque-là que la peur, la crainte, la faim et la soif.

🍀 une belle morale et un beau message!

La force de vivre avec peu, et d’aimer malgré tou

Toutes les informations en message privé pour une communication animale en relance avec vos énergies .

Bonne journée 😀

09/09/2025

Si vrai et tellement émouvant : Croire en Soi, en l'Autre, en l'Humanité 💞A lire jusqu'au bout 😉 C'est une belle leçon

Chaque mardi, je retrouvais dans ma poubelle les devoirs froissés d’un garçon. Une nuit, il m’a dit que les fermiers ne valaient rien — comme moi.

J’ai vécu soixante-douze ans sur ce bout de terre. Je m’appelle Ray. Les gens d’ici m’appellent « le vieux fermier à la grange cassée », et c’est plutôt juste. Ma femme est partie, mes enfants sont grands, et la plupart du temps, il n’y a que moi, les vaches et cette terre têtue qui refuse de céder.

Ce que les gens ignorent, c’est que depuis des mois je trouve dans mes sacs d’aliments et mon vieux tonneau des morceaux de vie jetés là. Cahiers chiffonnés. Feuilles de maths déchirées. Rédactions couvertes de grands F rouges qui saignent sur la page. Au début, je croyais que le vent emportait des papiers depuis l’école du coin. Puis j’ai remarqué la même écriture, toujours rageuse :

« Je suis nul. »
« Personne ne s’en fiche. »
« L’école ne sert à rien. »

Chaque mot me crevait le cœur. Parce qu’autrefois, j’étais ce gamin-là. Les profs disaient que mes mains serviraient à traire les vaches, pas à tenir un stylo. Mon père répétait : « Les cerveaux ne font pas pousser le maïs. » Et je l’ai cru… jusqu’à ce qu’il soit trop t**d.

Une nuit, je l’ai surpris. Le garçon. Debout sous la lampe de mon hangar, tenant une nouvelle feuille déchirée. Il s’appelait Tommy, le fils du voisin, douze ans, des taches de rousseur et des baskets trop grandes.

« Qu’est-ce que tu fais avec ma poubelle ? » ai-je aboyé, sans vouloir l’effrayer.

Il a sursauté mais a répliqué :
« C’est pas ta poubelle, c’est mes devoirs. Papa dit que je finirai comme toi de toute façon — à gratter la terre, sans rien à montrer. »

Comme moi. Bon à rien. Terre.

Je n’ai pas crié. Je ne l’ai pas chassé. Je l’ai laissé courir, sa voix résonnant longtemps après son départ.

Cette nuit-là, assis à ma table, j’ai pris un vieux sac de semences. Avec un marqueur, j’ai écrit au dos :

« Cette graine a l’air inutile. Mais donne-lui du soleil, de l’eau, du temps — elle nourrit le monde. Ne te jette pas. »

J’ai glissé la note et quelques grains de maïs dans le tonneau où il laissait toujours ses papiers. Je me suis senti ridicule, comme un fermier qui écrit des contes de fées à la nuit.

Le lendemain, tout avait disparu.

La semaine suivante, une nouvelle feuille l’attendait. Des exercices de maths, à moitié faux. En bas, d’une écriture tremblante :
« Comment une graine peut-elle être intelligente ? »

J’ai souri. J’ai répondu :
« Les fractions sont des graines aussi. Coupe une tarte en 4. Mange 1 part, c’est 1/4. Même un fermier sait ça. »

Ainsi commença notre échange secret. Lui jetait des morceaux brisés de lui-même dans ma poubelle. Moi, je les lui renvoyais recousus d’espoir.

Il avoua qu’il ne savait pas écrire “parce que”. Je l’ai entouré et écrit : « Cette fois, tu l’as bien écrit. Continue. »

Il disait que son père traitait les fermiers d’idiots. J’ai gribouillé : « Ma terre met de la nourriture sur sa table. Les idiots ne font pas ça. »

De semaine en semaine, ses mots s’adoucirent. Il finit par signer : « Tommy ». Et un jour, glissée dans la feuille, une papillote de bonbon pliée en forme d’étoile.

Mais dans les petits villages, les secrets ne restent pas longtemps enfouis.

Un samedi, son père débarqua, le visage rouge, les poings serrés :
« Foutez le camp de la tête de mon gosse ! Il n’a pas besoin de vos conneries de fermier. L’école est déjà assez nulle sans que vous lui bourriez le crâne de mensonges. »

Je n’ai pas haussé le ton. J’ai seulement dit :
« Votre fils n’est pas cassé. Il a juste besoin que quelqu’un y croie. »

Ça suffisait. Il a craché par terre et est parti.

J’aurais cru que tout s’arrêterait là. Mais la semaine suivante, une nouvelle note apparut dans le tonneau. L’écriture tremblait, mais elle était décidée :

« Il dit que vous avez tort. Mais moi je crois que les graines sont intelligentes. Parce qu’elles n’abandonnent pas, même dans une mauvaise terre. »

Ma gorge s’est serrée. Le garçon se battait désormais pour lui-même.

Les mois passèrent. Au printemps, l’école organisa une soirée pour les parents. Je n’avais pas prévu d’y aller — les fermiers n’ont pas leur place dans les salles de classe — mais l’institutrice, Mme Carter, passa devant ma clôture :
« Vous devriez venir, dit-elle doucement. Il y a quelque chose que vous devez entendre. »

Alors j’y suis allé. Je me suis assis au fond, les ongles encore noirs de terre, essayant de me fondre dans la chaise pliante.

Les enfants lisaient leurs rédactions à voix haute. Quand vint le tour de Tommy, il s’avança, serrant son papier, la voix tremblante mais claire :

« Mon héros, c’est le fermier Ray. Il m’a appris que les graines paraissent petites, mais qu’elles nourrissent le monde. Il m’a appris que l’intelligence, ce n’est pas seulement les notes — c’est de ne pas abandonner. Il m’a appris que les fermiers ne sont pas idiots. Ce sont eux qui nous nourrissent. Quand je serai grand, je veux être les deux : un élève, et un homme de la terre. »

La salle resta silencieuse. Son père fixait le sol. L’institutrice s’essuyait les yeux. Et moi ? Je restais au fond, les poings serrés sur mes genoux, luttant pour ne pas me briser.

Après, Tommy me glissa une feuille pliée. Dessus, un dessin : un épi de maïs aux racines profondes, et à côté un garçon tenant un livre. En dessous, une phrase :
« Merci de m’avoir vu. »

Je rentrai chez moi sous les étoiles, ses mots plus lourds que n’importe quel sac de grain.

On croit que changer le monde exige de l’argent, des diplômes, du pouvoir. La vérité, c’est que parfois il suffit d’un vieux fermier obstiné et de quelques mots griffonnés dans une poubelle.

Tommy n’a pas encore tout appris. Moi non plus. Mais nous savons ceci : les graines poussent quand quelqu’un prend la peine de les planter.

Et les enfants ? Ils sont la récolte la plus précieuse que nous ayons à cultiver.

Alors, avant de mépriser un fermier, un balayeur ou quiconque travaille de ses mains — souvenez-vous : sans eux, le monde meurt de faim. Et avant de mépriser un enfant qui lutte avec ses fractions — souvenez-vous : il a juste besoin que quelqu’un croie en lui.

J’y ai cru. Et maintenant il y croit aussi.

C’est comme ça qu’on fait pousser un avenir.
Une graine. Un garçon. Une note à la fois.