Saphira Médium Rambouillet et Versailles

Saphira Médium Rambouillet et Versailles 🔮 Médium & énergéticienne. Une guidance de l’âme pour éclairer votre chemin, lever les blocages et réharmoniser corps, cœur et esprit.

Pour celles et ceux en quête de sens.

Les juges de comptoir : miroir des âmes insatisfaitesOn les croise partout : au bureau, dans les familles, sur les résea...
15/09/2025

Les juges de comptoir : miroir des âmes insatisfaites

On les croise partout : au bureau, dans les familles, sur les réseaux sociaux, parfois même dans la rue. Ce sont les “juges de comptoir”. Ils commentent, critiquent, condamnent. Leur spécialité ? Décerner des sentences à l’emporte-pièce sur la vie des autres, comme s’ils détenaient la vérité universelle.

Leur discours est souvent le même :

“Elle n’élève pas bien ses enfants…”

“Il n’a pas le niveau pour ce poste…”

“Tu as vu comment elle s’habille ?”

Sous couvert d’“opinion”, ce sont en réalité des coups de marteau symboliques qui retombent sur l’existence des autres.

Le mécanisme invisible du jugement

En apparence, juger semble anodin : après tout, chacun a le droit de donner son avis, non ?
Tout ce que nous projetons à l’extérieur est d’abord une vibration intérieure.

👉 Ainsi, juger quelqu’un ne parle pas tant de lui… que de nous.
Ce que nous critiquons, c’est souvent une part de nous-mêmes que nous n’assumons pas. Une zone d’ombre, une peur, une frustration.

Exemple :

Celui qui dénigre la réussite d’un autre cache souvent une blessure d’échec.

Celle qui critique la liberté d’autrui souffre peut-être de sa propre prison intérieure.

Le jugement est un miroir. Mais comme il renvoie une image qui dérange, on préfère la projeter sur autrui plutôt que de l’affronter en face.

Le poison qui se retourne contre soi

Juger les autres, c’est comme boire du poison en espérant que l’autre tombe malade.
Car à force de critiquer, on nourrit ses propres blessures. On renforce le ressentiment, la colère, la frustration.

L’énergie suit l’attention.
En se focalisant sur les défauts supposés d’autrui, on attire à soi les mêmes situations. Le juge de comptoir s’enferme dans un cercle où il récolte exactement ce qu’il sème : méfiance, critiques, isolement.

Sortir du rôle de juge

Alors, comment désarmer cette mécanique ?

Prendre conscience : chaque fois que l’on juge, se demander “Qu’est-ce que cela révèle de moi ?”

Transformer l’énergie : remplacer le jugement par l’observation neutre. L’autre vit son expérience, moi la mienne.

Pratiquer la bienveillance active : non pas se taire devant l’injustice, mais cultiver une parole qui construit plutôt qu’une parole qui détruit.

Le monde n’a pas besoin de plus de juges : il a besoin de témoins lucides et de bâtisseurs.

Les juges de comptoir ne font que révéler leurs propres insatisfactions. Derrière chaque critique se cache une blessure, derrière chaque condamnation une peur.

L’enseignement hermétique nous invite à voir le jugement comme un signal intérieur : non pas une arme à lancer contre autrui, mais un miroir tendu vers nous-mêmes.

👉 La vraie question n’est donc pas : “Pourquoi les autres sont comme ça ?”
Mais bien : “Qu’est-ce que cela m’apprend sur moi ?”

Et c’est là que commence la liberté.

💖 Apprendre à s’aimer : le secret oublié de tant de femmesLe constat : une sévérité sans limiteAu fil de mes consultatio...
14/09/2025

💖 Apprendre à s’aimer : le secret oublié de tant de femmes

Le constat : une sévérité sans limite

Au fil de mes consultations, je le vois sans cesse : les femmes se jugent avec une dureté qu’elles n’auraient jamais envers une amie.

« Je ne suis pas assez belle », « je ne suis pas à la hauteur », « je ne vaux rien »… Ces phrases reviennent trop souvent.

Pourquoi est-ce si difficile ?

Pression sociale : être parfaite partout, tout le temps.

Comparaison constante : réseaux sociaux, collègues, magazines…

Blessures intérieures : critiques, relations toxiques, échecs.

Idée reçue : aimer les autres serait plus noble que s’aimer soi.

Résultat ? On donne beaucoup… mais à soi, presque rien.

🌸 S’aimer, ce n’est pas de l’ego !

Bonne nouvelle : s’aimer ne veut pas dire être narcissique.
C’est se respecter, se parler avec douceur et accepter ses limites.

Quand tu apprends à t’aimer :

tu deviens plus forte,
tu brilles davantage dans tes relations,
tu poses des limites saines.

🔑 7 clés pour apprendre à t’aimer dès aujourd’hui

Arrête de te comparer.

Change ton vocabulaire : « je suis en chemin » plutôt que « je suis nulle ».

Note chaque jour une fierté, même minuscule.

Remercie ton corps pour tout ce qu’il t’apporte.

Offre-toi du temps rien qu’à toi.

Entoure-toi de personnes qui t’élèvent.

Apprends à dire non sans culpabilité.

🌺 Le premier pas

Demande-toi : qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour me donner un peu d’amour ?
Cela peut être : sourire devant ton miroir, respirer profondément, t’offrir 10 minutes rien qu’à toi.

Chaque geste compte.

Tu n’as pas besoin d’être parfaite pour être digne d’amour.
Tu es déjà assez. Tu l’as toujours été. 💖

Dans mes consultations, j’accompagne de nombreuses femmes à retrouver leur estime d’elles-mêmes, à libérer leurs blocages et à se reconnecter à une relation plus douce avec elles-mêmes.

👉 Si c’est ton moment, je serai là pour toi.

Les escrocs : cette espèce qu’on retrouve dans toutes les professionsOn a souvent l’impression que l’arnaque est une spé...
02/09/2025

Les escrocs : cette espèce qu’on retrouve dans toutes les professions

On a souvent l’impression que l’arnaque est une spécialité du monde de la voyance. Il faut dire que l’image du “charlatan” avec sa boule de cristal en plastique vendue 15 € sur Amazon est bien ancrée dans l’imaginaire collectif. Mais soyons honnêtes deux secondes : les escrocs, ce n’est pas une exclusivité des voyants.

Ils sont partout. Comme les moustiques en été, ou les pubs qui commencent toujours pile quand tu veux te concentrer.

L’escroc en costume-cravate

Dans le monde du droit, par exemple, certains avocats savent faire durer les procédures comme personne. Pas pour défendre leur client… mais pour gonfler la facture. Résultat : toi, tu vieillis, tu blanchis, ton compte en banque se vide… et lui, il s’offre un nouveau costume Hugo Boss en te tapant sur l’épaule avec un sourire compatissant.

L’escroc bricoleur

Chez certains artisans, c’est pareil. Tu voulais changer deux carreaux de ta salle de bain ? Magie : ça devient un devis à cinq chiffres. Ah, et les carreaux, ils sont “introuvables en France”, donc faut les importer d’Italie par avion cargo, forcément.

L’escroc volant (ou volant de voiture)

Chez les garagistes, tu rentres pour une révision, tu ressors avec l’impression d’avoir financé une fusée SpaceX.
“Madame, on vous a changé la courroie, les plaquettes, les pneus, la batterie, l’autoradio, et on a fait un exorcisme sous le capot parce qu’on sentait de mauvaises ondes.”

L’escroc en version spirituelle

Et oui, dans la voyance aussi, on trouve des petits génies du marketing du malheur. Ceux qui surfent sur tes angoisses pour te vendre la “formule complète de dégagement karmique intergalactique” payable en dix fois sans frais.
Sauf que le seul démon qu’ils ont réussi à chasser, c’est celui de leur découvert bancaire.

Ce qu’il faut retenir

L’escroc a toujours un point commun :

Il promet beaucoup, très vite.

Il encaisse immédiatement.

Et il disparaît plus vite que tes économies au Black Friday.

Mais ce que l’escroc oublie, c’est que sa réussite est toujours éphémère.
La confiance, elle, ne s’achète pas. Elle se construit. Lentement, patiemment, honnêtement.

L’honnêteté, ce n’est pas toujours glamour. Ce n’est pas du “waouh” immédiat. Mais c’est du solide. C’est ce qui fait que dans 10 ans, tu continues à exercer ton métier, pendant que l’escroc, lui, aura changé d’activité (ou d’identité).

Alors la prochaine fois qu’on te dit : “Oh là là, les voyants c’est plein de charlatans !”, rappelle simplement que les escrocs sont comme les pigeons : ils adorent squatter partout où il y a à grignoter. Mais au fond, ils finissent toujours par se faire chasser.

L’honnêteté ne fait peut-être pas de toi la personne la plus riche de la terre… mais elle fait de toi la personne qui dort le mieux la nuit. Et ça, désolée pour les escrocs, mais ça n’a pas de prix.

On ne bâtit pas un château sur des ruinesLe passé… ce squatteur qui s’installe dans ton salon, critique ta déco et refus...
01/09/2025

On ne bâtit pas un château sur des ruines

Le passé… ce squatteur qui s’installe dans ton salon, critique ta déco et refuse de partir. Certains continuent à vivre dedans comme si revisiter leurs blessures pouvait leur donner un avenir. Newsflash : ça ne marche pas.

Les erreurs ? Ce sont des brouillons, pas des condamnations à perpétuité. Mais si tu t’y accroches trop, ça finit par ressembler à un mauvais tatouage : tu voulais un papillon, tu te retrouves avec une tache informe qui prend toute la place.

Les blessures ? Tant que tu refuses de les soigner, elles deviennent des costumes. Tu finis par dire “je suis” là où tu devrais dire “j’ai traversé”. Et ça, c’est le piège : transformer ton passé en identité, au lieu de t’en servir comme tremplin.

Petit rituel maison pour cicatriser :

Écris ce qui te pèse encore (la scène, la personne, la blessure).

Relis-le une fois à voix haute et déclare : “Je ferme ce chapitre, il ne m’appartient plus.”

Brûle la feuille (en toute sécurité, merci !).

Sur une nouvelle, écris une phrase d’avenir : “Je construis sur du neuf, pas sur mes cicatrices.”

Relis-la chaque fois que ton passé tente un comeback.

Et si malgré tout tu as l’impression que tes blessures sont des chaînes trop lourdes, que les schémas reviennent encore et encore comme un mauvais disque rayé… alors ne reste pas seul(e) avec ça. Tu peux te faire accompagner pour comprendre, nettoyer et avancer. Parce que ta vie n’est pas faite pour être un musée de souffrances, mais une œuvre vivante en construction.

Faire un bilan, oui… mais un diagnostic énergétique, c’est souvent ce qu’il manqueLorsqu’on traverse une période de fati...
07/08/2025

Faire un bilan, oui… mais un diagnostic énergétique, c’est souvent ce qu’il manque

Lorsqu’on traverse une période de fatigue, de stress, de mal-être physique ou émotionnel, la première chose qu’on nous conseille, c’est souvent :

« Va faire un bilan. »

Ce conseil part rarement d’une mauvaise intention.
Mais il repose sur une idée un peu réductrice : celle que la santé se mesure uniquement en chiffres et en analyses biologiques.

En réalité, un bilan médical donne une photographie à l’instant T.
Mais il ne dit rien de l’origine des blocages, de la charge émotionnelle accumulée, ni des déséquilibres subtils que le corps exprime bien avant qu’ils ne deviennent visibles dans le sang ou les organes.

Le diagnostic énergétique : un éclairage complémentaire, souvent manquant

Un diagnostic énergétique ne remplace pas un bilan médical.
Il permet de voir ce que la médecine ne mesure pas :

- les surcharges émotionnelles,
- les conflits intérieurs non résolus,
- les mémoires cellulaires actives,
- les fuites ou stagnations de l’énergie vitale,
- les zones de saturation, de tension ou de vide.

Il éclaire ce que le corps exprime sans symptôme clair, mais qui fatigue en profondeur, dérègle le métabolisme ou bloque l’évolution personnelle.

Le bilan observe les conséquences. Le diagnostic énergétique explore les causes.

Quand un diagnostic médical tombe : diabète, maladie auto-immune, dérèglement hormonal, etc. , beaucoup de personnes perdent leurs repères. Elles ne savent plus par où commencer, quoi écouter, qui suivre.

Le diagnostic énergétique, lui, propose une lecture globale et vivante du corps. Il ne se contente pas de dire « ce qui ne va pas », il cherche le pourquoi, le comment, et surtout le comment rétablir.

Il permet aussi de faire le lien entre les plans : physique, émotionnel, mental, spirituel.

Le corps parle bien avant que les bilans ne s’alarment

L’un des grands atouts d’un diagnostic énergétique, c’est sa capacité à capter les prémices :

Une énergie bloquée dans une zone précise,
Une information vibratoire qui tourne en boucle,
Un trop-plein émotionnel qui cherche une porte de sortie.

En travaillant en amont, on évite parfois que le déséquilibre devienne une pathologie.
Et quand la pathologie est déjà là, on l’aborde autrement : avec lucidité, mais aussi avec conscience, douceur et soutien.

Ce qu’il faut retenir

Faire un bilan est parfois nécessaire. Écouter son corps en amont, c’est encore mieux.

Le diagnostic énergétique est un outil puissant pour identifier les blocages invisibles, ceux qui fatiguent, freinent, dérèglent ou épuisent. C’est un moyen de reprendre du pouvoir sur sa santé, pas en contrôlant plus, mais en comprenant mieux.

Note importante :
Le diagnostic énergétique proposé dans le cadre de cet accompagnement n’est pas un acte médical. Il ne se substitue en aucun cas à un suivi médical conventionnel ni à un traitement prescrit par un professionnel de santé. Il s’inscrit dans une démarche complémentaire de bien-être, de prévention et d’écoute du corps.

Protéger les mémoires cellulaires : un acte sacré de préservation intérieure Chaque cellule de notre corps porte en elle...
08/07/2025

Protéger les mémoires cellulaires : un acte sacré de préservation intérieure

Chaque cellule de notre corps porte en elle une trace, une mémoire, un écho du passé. Non seulement notre propre histoire, mais parfois aussi celle de notre lignée, de nos vies passées, ou d’expériences non digérées.

Ces mémoires agissent en silence : elles influencent nos choix, notre santé, nos émotions, nos réactions. Certaines sont des forces de vie. D’autres, des charges invisibles qui ralentissent, usent ou rendent vulnérables.

Protéger ses mémoires cellulaires, ce n’est pas les effacer. C’est les honorer, les filtrer, les alchimiser. C’est poser une conscience claire sur ce que l’on garde… et ce que l’on choisit enfin de libérer.

Un soin énergétique bien conduit ne se limite pas à retirer une énergie nuisible. Il respecte les couches de l’être, il interroge les fondations, il veille à ce que rien ne soit "arraché" sans dialogue avec l’âme. Car ce que l’on retire sans conscience peut revenir sous une autre forme.

Certains schémas ne sont pas là pour être détruits, mais transmutés. Et c’est en renforçant notre axe intérieur , notre volonté, notre discernement, notre lien à l’âme que nous devenons capables de les traverser sans nous y perdre.

La vraie protection n’est pas une bulle qui isole. C’est un rayonnement intérieur qui, peu à peu, rend inatteignable ce qui n’a plus d’emprise sur nous.

“13 jours, 13 nuits” : quand l’amour devient un crimeHier soir, avec mon époux, nous avons vu 13 jours 13 nuits. Ce film...
05/07/2025

“13 jours, 13 nuits” : quand l’amour devient un crime

Hier soir, avec mon époux, nous avons vu 13 jours 13 nuits. Ce film m’a retournée. Il met en lumière la cruauté de certains dogmes religieux, leur hypocrisie, leur violence déguisée en foi.

Comment une religion peut-elle prêcher l’amour et condamner ceux qui aiment ?
Comment peut-on invoquer Dieu pour briser des vies, exclure, punir, humilier ?

Je parle ici des institutions, pas de la foi. Car la foi véritable relie, élève, guérit. Elle n’impose rien, elle accompagne. Elle n’éteint pas l’être, elle le révèle.

Ce film m’a bouleversée parce qu’il rappelle une vérité trop souvent oubliée : aucune spiritualité ne devrait jamais tuer l’amour.
Aucune “loi divine” ne justifie qu’on renie son cœur, son humanité, sa liberté.

Je vous invite à le voir. Mais surtout à ressentir.
Et à vous poser cette question : Ma foi me rend-elle plus vivant, plus aimant, plus libre ?

Et vous ?
Qu’est-ce que ce film ou ce sujet réveille en vous ?
Je vous lis.

Don ou capacité ? Et si on arrêtait de se tirer les cartes dans les pattes ?La voyance, la médiumnité, l’intuition... ce...
01/07/2025

Don ou capacité ? Et si on arrêtait de se tirer les cartes dans les pattes ?

La voyance, la médiumnité, l’intuition... ces sujets font rêver, intriguent, mais parfois aussi, ils divisent. L’un des débats les plus vivaces dans les milieux ésotériques, c’est celui-ci : Est-ce un don inné ou une capacité qui se développe ?

Il faut bien l’admettre, chacun y va de son avis comme s’il s’agissait d’un match de boxe astrale.

Le camp du “don”

Pour ceux qui s’y retrouvent, la voyance est quelque chose de naturel, presque de génétique. Ils vous diront qu’ils ont toujours su. Qu’enfant, ils sentaient, entendaient, voyaient “autre chose”. Ils n’ont rien appris : ça s’est réveillé, point. Comme une antenne branchée sur des fréquences que les autres ne captent pas.

Ces profils ont souvent eu une enfance particulière, parfois déstabilisante, souvent marquée par une sensibilité exacerbée. Ils n’ont pas choisi, ça s’est imposé. Ils n’ont pas “développé une compétence”, ils ont appris à gérer un état.

Le camp de la “capacité”

Ici, on voit les choses autrement : tout le monde a un potentiel intuitif, comme tout le monde a des muscles. On peut donc entraîner ses ressentis, ses perceptions, apprendre à écouter autrement, affiner son lien à l’invisible ou à l’information subtile.

Ces personnes n’ont peut-être pas eu d’expériences paranormales à 6 ans, mais elles ont pratiqué. Elles ont médité, elles ont expérimenté, elles se sont formées. Elles ont observé leurs résultats, douté, recommencé. Et aujourd’hui, elles sont médiums, voyants ou praticiens intuitifs, sans pour autant revendiquer un "don de naissance".

Et si tout le monde avait raison ?

À force de vouloir classer les gens entre “élus” et “entraînés”, on oublie que dans la réalité, les choses sont rarement aussi tranchées.

Certaines personnes naissent avec une prédisposition : une hyper-réceptivité, une finesse de perception qui les place, dès le départ, un peu “ailleurs”. Mais sans travail, sans maîtrise, cela peut devenir un fardeau.

D’autres n’ont rien senti pendant des années, puis un jour, à force de discipline ou d’ouverture, quelque chose s’est mis en place. C’est tout aussi valable. Ce n’est ni moins puissant, ni moins noble.

La voyance, c’est un peu comme le piano : certains entendent la musique dès la naissance. D’autres apprennent le solfège. Mais au final, ce qui compte, c’est ce qu’on en fait.
L’intention, la justesse, l’éthique, la posture. Et surtout, la capacité à ne pas se croire supérieur parce qu’on perçoit des choses que d’autres ne perçoivent pas.

Ce débat entre “don” et “capacité” a sa place, mais il ne devrait jamais servir à dénigrer l’autre. Ce qui compte, ce n’est pas d’où vient notre voyance, mais ce qu’elle sert. Et comment elle s’inscrit dans une démarche sincère, humble, respectueuse des autres comme de soi.

Plutôt que de débattre pour savoir qui a raison, peut-être qu’on pourrait juste se réjouir qu’autant de personnes cherchent aujourd’hui à se reconnecter à quelque chose de plus grand qu’eux.

Et ça, qu’on l’ait reçu à la naissance ou cultivé comme une plante rare, c’est déjà pas mal.

La franchise, mon super-pouvoir (avec ou sans gants)Il paraît que la vérité sort de la bouche des enfants. Eh bien chez ...
28/06/2025

La franchise, mon super-pouvoir (avec ou sans gants)

Il paraît que la vérité sort de la bouche des enfants. Eh bien chez moi, elle sort de la bouche d’une adulte qui n’a plus envie de tourner autour du pot. Oui, je suis franche. Brut de décoffrage, sans sucre ajouté, mais avec bienveillance (la plupart du temps).

Je ne mâche pas mes mots, parce que je crois que les gens méritent la vérité , pas un emballage cadeau rempli de demi-mensonges pour ménager leur ego. Si vous venez me voir pour de la voyance ou des soins énergétiques, autant vous dire tout de suite : vous aurez une vraie réponse. Pas un horoscope de magazine qui vous promet amour, succès et licornes dans les trois jours.

Ma franchise ne plaît pas toujours. Elle pique parfois, elle surprend souvent, mais elle libère. Car dans un monde où tout le monde fait semblant, je choisis d’être vraie. Même si ça veut dire qu’on me regarde comme une sorcière… Ça tombe bien, j’en suis une.

Alors oui, je suis franche. Et non, je ne vais pas changer. Parce qu’entre les non-dits, les tabous et les “tu devrais peut-être”, quelqu’un doit bien oser dire les choses comme elles sont. Autant que ce soit moi.

Le Solstice : Portail de Lumière et de Renouveau SpirituelDeux fois par an, la Terre nous offre un moment d’alignement u...
21/06/2025

Le Solstice : Portail de Lumière et de Renouveau Spirituel

Deux fois par an, la Terre nous offre un moment d’alignement unique : le solstice, véritable seuil énergétique et spirituel. Il marque un tournant fondamental dans le cycle de la nature, mais aussi dans notre propre cheminement intérieur.
Que l’on célèbre le solstice d’été (le jour le plus long) ou le solstice d’hiver (la nuit la plus longue), chacun porte en lui une sagesse universelle que les traditions anciennes honoraient avec respect et profondeur.

Le Solstice : Un Enseignement Cosmique

Le solstice n’est pas un simple phénomène astronomique. C’est un moment sacré, un portail entre deux états : expansion et retrait, lumière et obscurité, action et intériorité. La nature, miroir de notre être, nous rappelle à chaque solstice que tout est cyclique, que rien ne dure, et que tout renaît.

Le solstice d’été, autour du 21 juin, symbolise l’apogée de la lumière solaire. C’est un temps d’abondance, de rayonnement, mais aussi d’équilibre fragile, car dès ce jour, les jours commencent à décroître. Il nous enseigne la gratitude, la vigilance et la conscience de l’impermanence.

Le solstice d’hiver, autour du 21 décembre, est le creux de l’année solaire. C’est la nuit la plus longue, celle où l’on touche l’essence de l’ombre… mais aussi celle où la lumière renaît, minuscule étincelle qui annonce le retour de la vie. Ce moment nous invite à l’introspection, au repos et à la foi en notre propre lumière intérieure.

Pourquoi fêter le solstice ?

Célébrer le solstice, c’est reconnaître que nous sommes liés à quelque chose de plus grand que nous. C’est sortir du rythme mécanique du quotidien pour se relier au rythme sacré de la Terre, du Soleil et de l’Univers. C’est un acte spirituel de reconnaissance et d’alignement.

En fêtant le solstice, on honore :

Le cycle de la vie, de la mort et de la renaissance.

Les passages de l’âme entre ombre et lumière.

La sagesse ancienne qui réside dans la nature et en nous-mêmes.

L’énergie d’un renouveau, d’un choix conscient, d’un engagement envers soi-même.

Comment célébrer le solstice de manière spirituelle ?

Il n’existe pas de « bonne » façon de célébrer un solstice, mais plutôt des gestes porteurs de sens, qui résonnent avec votre vérité intérieure. Voici quelques propositions simples et profondes :

1. Créer un espace sacré

Choisissez un lieu calme.
Allumez une bougie pour représenter le Soleil.
Disposez quelques éléments naturels (fleurs, pierres, herbes, bois) en lien avec la saison. Créez un autel temporaire, même modeste, qui accueille votre intention.

2. Rituel d’introspection ou d’offrande


En hiver : écrivez ce que vous êtes prêt(e) à laisser derrière vous. Brûlez ce papier dans un feu ou une bougie en signe de libération.

En été : notez ce que vous souhaitez manifester ou incarner pleinement. Offrez ces mots à la Terre ou gardez-les dans un carnet sacré.

3. Méditation solaire ou lunaire

En été, méditez en visualisant la lumière vous traverser, éveiller vos potentiels, nourrir vos projets.

En hiver, méditez dans le silence, en vous connectant à la graine de lumière qui demeure même dans l’obscurité la plus profonde.

4. Connexion à la nature

Passez du temps dehors. Marchez pieds nus, contemplez un lever ou un coucher de Soleil. Même quelques minutes suffisent pour vous reconnecter à votre propre rythme naturel.

5. Célébration en groupe ou en solitaire

Se rassembler pour chanter, danser, partager des intentions est une pratique puissante. Mais le solstice peut aussi être un moment intime, de silence, de retraite personnelle.

Une sagesse éternelle

Les peuples anciens , Celtes, Égyptiens, Nordiques, Mayas ont toujours accordé une grande importance aux solstices. Ils y voyaient des moments d’initiation, où le lien entre les mondes devenait plus perméable. Aujourd’hui, dans une époque souvent déconnectée de la nature et du sacré, réhabiliter ces rituels, c’est retrouver un ancrage profond, une guidance simple mais puissante.

Le solstice est un rappel. Il nous dit :

“Rien ne meurt vraiment, tout change de forme. Suis le cycle, honore le, et tu comprendras la voie de ton âme.”

Avortement : Ces âmes que l’on n’oublie pasIl y a des silences qui pèsent lourd.Parmi eux, celui qui entoure l’avortemen...
20/06/2025

Avortement : Ces âmes que l’on n’oublie pas

Il y a des silences qui pèsent lourd.
Parmi eux, celui qui entoure l’avortement.
Même quand il est choisi, même quand il est vécu en conscience, il laisse une trace. Parfois invisible. Souvent indicible.

Aujourd’hui, je souhaite parler à ces femmes.
À celles qui ont vécu un avortement. Qu’il ait eu lieu il y a quelques jours ou il y a vingt ans. Qu’il ait été une évidence ou un déchirement. Qu’il ait été vécu dans la solitude ou accompagné avec amour.

Parce qu’on ne parle pas assez de ce qu’il reste après.

Un choix, un bouleversement

Un avortement, ce n’est pas “juste” un acte médical. C’est un passage. Une traversée. Un de ces moments de vie qui bouleverse à la fois le corps, le cœur, et l’âme.

Certaines femmes reprennent leur souffle et avancent. D’autres ressentent un vide. Une tristesse. Une culpabilité qui ne dit pas son nom. Et parfois, un lien qui ne s’est jamais vraiment dissous.

Ce lien, c’est celui de l’âme.

Toutes les âmes ne viennent pas pour rester

Dans ma vision de médium, certaines âmes viennent nous frôler sans s’incarner pleinement. Elles se présentent brièvement, comme un souffle, un passage. Elles ne sont pas là pour vivre une vie terrestre, mais pour créer une rencontre, une prise de conscience, une transformation.

Dans bien des cas, l’âme sait que ce n’est pas le bon moment. Pas le bon corps. Pas la bonne histoire. Et cela ne signifie pas un échec. Cela signifie un choix, parfois même un accord silencieux entre vous.

Un avortement peut être aussi sacré, aussi spirituel, aussi profond qu’une naissance. Car il porte lui aussi un enseignement.

Le deuil invisible

Et pourtant, ce vécu reste souvent invisible. On n’en parle pas. On se dit que “ce n’était pas un vrai bébé”. On essaie de rationaliser.
Mais le corps, lui, se souvient.
L’utérus garde en mémoire.
L’âme, parfois, garde le lien.

Faire son deuil ne signifie pas regretter.
Faire son deuil signifie reconnaître. Reconnaître qu’il s’est passé quelque chose. Qu’un lien a existé. Qu’une étape a été franchie.

Ce deuil-là est intime. Il ne se mesure pas en semaines de grossesse. Il se mesure en battements de cœur.

Accompagner les âmes, apaiser la tienne

Dans ma pratique énergétique et spirituelle, j’accompagne parfois des femmes qui portent ce poids en silence. Non pas pour “effacer” l’histoire, mais pour l’honorer. Pour lui redonner sa juste place. Pour libérer ce qui n’a pas été dit. Ce qui n’a pas été pleuré.

Parfois, un simple rituel suffit. Parfois, un soin énergétique, une lettre d’âme à âme, une parole posée dans un espace bienveillant.

Car tu as le droit d’aimer cette âme, même si elle n’est pas venue au monde.
Tu as le droit de pleurer, même si c’est toi qui as décidé.
Tu as le droit d’aller bien, aussi. Ce n’est pas contradictoire. C’est profondément humain.

Un espace de douceur

Si ce texte résonne en toi, sache que tu n’es pas seule.

Je suis là, sans jugement, pour t’écouter, t’accompagner, t’aider à faire la paix avec cette mémoire.
Il est temps de sortir ce vécu de l’ombre.
De le nommer.
De le reconnaître.
Et d’ouvrir un espace de douceur pour toi.
Un espace pour libérer, pour guérir, pour honorer.

Parce qu’aimer une âme, même brièvement rencontrée, c’est déjà de l’amour. Et cela mérite d’être honoré.

Adresse

6 Rue Du Général Humbert
Rambouillet
78120

Heures d'ouverture

Lundi 14:00 - 19:00
Mardi 14:00 - 19:00
Mercredi 14:00 - 19:00
Jeudi 14:00 - 19:00
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