Fanny Jégou Sophrologue Rezé - Nantes Sud

Fanny Jégou Sophrologue Rezé - Nantes Sud Sophrologue à Rezé Nantes
❀Apprendre à accueillir ses émotions pour mieux les comprendre et les gérer
👇RDV bilan offert
➼ 52 rue de l’aérodrome Rezé

Spécialiste du bien-être au travail, je vous accompagne dans vos problématiques liées au monde professionnelle (burn-out, organisation, changement important, conflits, stress...) J'interviens également dans les domaines suivants:
-Gestion émotions
-Trouble du sommeil
-Gestion de la douleur
-Préparation mentale (examens, compétitions sportives, partiels, bac...)
-Développement des capacités

✅ Compréhension, écoute d'autrui & relation d'aide, sont les valeurs qui m'animent au quotidien.

🚀J'ai à cœur de voir grandir et évoluer chaque personne que j'accompagne. J'interviens:
📍A domicile (Nantes & Sud Loire)
💻 En télé-consultation / visio

🌻 plaisir & belle journée à vous qui prenez le temps de me lire

25/11/2025

C’est un sujet qui revient souvent en consultation
Il n’y a pas que dans les histoires d’amour qu’on peut se sentir invisible.
Ça arrive aussi avec un ami, un parent, un frère, une sœur.
Quand le lien se déséquilibre, que l’un continue d’aimer, d’écouter, de s’investir… et que l’autre s’éloigne, se tait, ou ne voit plus rien de ce que l’on donne.

C’est inhumain, oui.
Parce que notre cerveau, lui, ne fait pas la différence : il ressent le rejet comme une blessure réelle.
Les mêmes zones s’activent que lors d’une douleur physique.
C’est pour ça que ce manque, cette absence de regard, fait si mal.

Alors on tente de comprendre, de “faire mieux”, de mériter à nouveau cette place.
Mais à force, on s’épuise à combler un vide qu’on n’a pas créé.

La vérité, c’est que certains liens s’usent non pas par manque d’amour…
mais parce que l’un des deux ne regarde plus dans la même direction.

Et dans ces moments-là, la sophrologie peut aider à revenir à soi :
🫶 réapprendre à ressentir sans se juger
🫶 accepter ce qui est là sans chercher à le réparer
🫶 se reconnecter à ce regard intérieur, celui qui te voit encore, toi.

Parce qu’être vu, c’est d’abord se voir soi-même.

Pourquoi on confond contrôle et sécurité ?Quand on cherche à tout contrôler, on croit souvent qu’on se protège.Qu’en mai...
24/11/2025

Pourquoi on confond contrôle et sécurité ?

Quand on cherche à tout contrôler, on croit souvent qu’on se protège.
Qu’en maintenant les choses “en ordre”, on évite le chaos, la perte, la douleur.
Mais en réalité, le contrôle n’est pas une sécurité. C’est une stratégie de survie.

🔹 D’où vient ce besoin de contrôle ?

Il naît souvent d’un manque de sécurité intérieure.
Quand, plus jeune, on a vécu de l’imprévisible, du rejet, ou simplement de l’instabilité, le mental a appris à “tenir les rênes” pour ne plus jamais revivre ça.
Alors on anticipe, on planifie, on surveille.
Et on confond ce besoin de maîtrise avec une forme de paix.

Sauf que le contrôle apaise… temporairement.
Il réduit l’incertitude, mais pas l’anxiété de fond.

🔹 Ce que le corps, lui, exprime

Derrière le contrôle, il y a souvent un système nerveux en hypervigilance.
Le cerveau, persuadé qu’un danger rôde, maintient le corps en alerte :
tensions musculaires, respiration haute, sommeil léger, difficultés à lâcher prise.
On croit “gérer”, mais en réalité, on reste en mode survie.

🔹 La vraie sécurité, c’est celle du corps

La sécurité intérieure ne vient pas du mental, mais du corps.
C’est ce sentiment d’ancrage, de stabilité, de confiance en soi et en la vie.
Elle se cultive par la respiration, la présence, l’accueil de ce qui est.
C’est quand tu peux dire :

“Je ne contrôle pas tout, mais je me sens capable d’y faire face.”

🔹 Revenir à soi, pas au contrôle

L’enjeu n’est pas de tout lâcher, mais de transformer le contrôle en conscience.
De sentir quand il te protège… et quand il t’enferme.
De passer du réflexe à la régulation.

💡 À retenir :
Le contrôle te donne l’illusion d’être en sécurité.
La présence, elle, te permet de l’être vraiment.

Pourquoi faut-il toujours être “productif” pour se sentir légitime ?Depuis des décennies, on valorise l’action, la perfo...
23/11/2025

Pourquoi faut-il toujours être “productif” pour se sentir légitime ?

Depuis des décennies, on valorise l’action, la performance, la rentabilité.
Le “je fais donc je vaux” s’est inscrit dans notre manière d’exister.
Mais derrière cette logique, il y a une pression invisible : celle de devoir mériter le repos, l’amour ou simplement sa place.

🔹 Une construction sociale

Dès l’enfance, on apprend à être “sage”, “efficace”, “utile”.
Les compliments arrivent quand on réussit, pas quand on ressent.
L’école puis le monde du travail renforcent ce modèle : le temps calme devient suspect, et l’inaction, presque coupable.

Ce conditionnement crée une croyance implicite :
👉 “Si je ne produis pas, je ne sers à rien.”
C’est ce qu’on appelle le syndrome de la performance.

🔹 Le corps, lui, ne ment pas

Ce besoin constant de “faire” active en continu notre système nerveux sympathique, celui du stress et de l’action.
Le cortisol augmente, le sommeil se dérègle, les tensions physiques apparaissent.
Et à force d’être “en mode productif”, on perd la capacité de revenir à l’état de repos — c’est le fameux état d’hypervigilance.

Résultat :

Fatigue chronique

Difficulté à se poser sans culpabilité

Sentiment de vide quand on ne “fait” rien

Déconnexion de soi

🔹 Repenser la légitimité

Être légitime, ce n’est pas “mériter” d’exister à travers nos performances.
C’est reconnaître notre valeur en dehors de ce qu’on accomplit.
Le repos, la lenteur, la contemplation sont des espaces nécessaires pour réguler le système nerveux et restaurer la clarté mentale.

Et si la vraie productivité, c’était celle qui respecte nos rythmes ?
Celle qui inclut le temps de respirer, d’écouter, d’être.

À retenir :
Tu n’as rien à prouver pour mériter ta place.
Ton existence est déjà suffisante.

22/11/2025

Bo**el.
Ce moment où tu réalises que t’as avancé, vraiment.
Pas vite, mais profondément.

T’as pas “réussi” au sens qu’on attend de toi.
T’as pas coché toutes les cases, ni gagné tous les combats.
Mais t’as avancé.
Différemment. Intérieurement.

Ce genre d’avancée qu’on ne voit pas de l’extérieur :
celle où tu réagis plus pareil,
où tu respires un peu mieux,
où tu sens que t’as arrêté de te battre contre toi.

C’est pas spectaculaire.
C’est pas instagrammable.
Mais c’est réel.

Et si c’est ça, la vraie victoire ?
Avancer, pas à pas, avec du sens, du corps, et un peu de paix.

Oui, même quand on passe nos journées à aider les autres à respirer, à se recentrer, à accueillir leurs émotions… on vit...
21/11/2025

Oui, même quand on passe nos journées à aider les autres à respirer, à se recentrer, à accueillir leurs émotions… on vit aussi nos propres vagues.

Parfois, je sors d’une séance le cœur léger, fière, alignée, avec ce sentiment profond d’avoir contribué à quelque chose de beau.
Et parfois… je doute, je me sens à plat, je me demande si j’ai été utile, si j’ai trouvé les bons mots, si j’aurais pu faire autrement.

C’est ça aussi, la réalité derrière le calme apparent : accueillir nos émotions, ne pas les fuir, leur laisser la place de s’exprimer avant de revenir à l’équilibre.

Et tu sais quoi ? C’est justement ça qui rend ce métier vivant, profondément humain.

🪷 Et toi, tu les ressens comment, tes montagnes russes du moment ?

20/11/2025

T’es là, mais t’es plus là.
Coincé·e entre ce que tu ressens et ce que tu montres.

Ce décalage, on l’appelle souvent dissociation fonctionnelle.
C’est un mécanisme de protection du cerveau face à une surcharge émotionnelle.
Quand l’intensité devient trop forte — stress, tension, conflit, douleur — le système nerveux déconnecte pour t’éviter de “saturer”.

Tu continues à fonctionner, à parler, à faire ce qu’il faut…
mais à l’intérieur, tout est en veille.
Tu souris, mais tu sens plus grand-chose.
Tu parles, mais t’as la tête ailleurs.
C’est pas de la faiblesse : c’est ton corps qui tente de te préserver.

Le problème, c’est que rester trop longtemps dans cet état crée une fatigue profonde.
Le cerveau ne fait plus la différence entre “je gère” et “je survis”.
Et à force, on perd la capacité à se reconnecter à soi, à ses besoins, à ses émotions.

La sophrologie aide justement à ramener de la présence dans le corps,
à rétablir le lien entre ce que tu ressens et ce que tu montres.
Respirer, relâcher, ressentir à nouveau — pas pour “aller bien”,
mais pour redevenir complet·e, aligné·e, vivant·e.

Parce qu’être là, vraiment là,
ça commence quand le corps et l’esprit se retrouvent au même endroit.

La colère fait partie des émotions dites primaires, au même titre que la peur, la joie ou la tristesse.Elle n’est pas un...
19/11/2025

La colère fait partie des émotions dites primaires, au même titre que la peur, la joie ou la tristesse.
Elle n’est pas un “défaut de caractère”, ni une faiblesse émotionnelle.
C’est une réaction physiologique du corps, une montée d’énergie qui vise à rétablir un sentiment de justice, de respect ou de sécurité intérieure.

Sur le plan corporel, le rythme cardiaque s’accélère, la respiration devient plus haute, les muscles se contractent.
Ce n’est pas une perte de contrôle : c’est un signal.
Une manière pour ton système nerveux de dire : “quelque chose en moi ne va plus.”

Le problème, ce n’est pas la colère…
c’est ce qu’on en fait.
Quand on l’étouffe, elle devient tension, somatisation, irritabilité, parfois même fatigue chronique.
Quand on la laisse exploser sans conscience, elle détruit.
Mais quand on l’accueille, qu’on la comprend, elle se transforme :
en affirmation de soi, en mise au clair, en énergie d’action.

La sophrologie aide justement à réguler cette énergie :
à reconnaître le signal corporel,
à respirer avant de réagir,
à poser des mots là où il n’y avait que des décharges.

Parce qu’une colère reconnue, c’est souvent une paix retrouvée.

18/11/2025

🎁 Offrir une carte cadeau… ce n’est pas offrir “juste” une séance.
C’est offrir un espace où l’on souffle enfin.
Un moment pour apaiser ce qui pèse, relâcher ce qui s’accumule, remettre du calme dans un quotidien qui déborde un peu trop.

Pour les fêtes, je propose une carte cadeau sophrologie :
un temps rien qu’à soi, pour se recentrer, comprendre ce qui se joue à l’intérieur, et retrouver un apaisement durable.

Si vous avez envie d’offrir quelque chose qui fait vraiment du bien… c’est peut-être ça.

🎁 Disponible dès maintenant – en version digitale
Pour commander la carte cadeau, envoyez-moi simplement un MP ou commande directement via ce lien :
https://fannyjegou-sophrologue.sumupstore.com/article/carte-cadeau-sophrologie

18/11/2025

C’est une phrase qu’on entend partout.
Et pourtant, c’est l’un des plus grands malentendus émotionnels et physiologiques.

La volonté dépend d’un cerveau régulé.
Autrement dit : tu peux vouloir tout ce que tu veux,
si ton système nerveux est en état d’alerte, ton corps ne suit plus.

Sous stress chronique, l’amygdale (centre de la peur) prend le dessus.
Le cortex préfrontal, lui — celui qui gère la logique, la motivation, les décisions — se met en pause.
Résultat : tu culpabilises de ne pas “avoir la volonté”,
alors que ton corps, lui, essaie juste de te protéger.

C’est pour ça que dans certaines périodes de fatigue, de douleurs ou de charge mentale,
la volonté ne suffit pas.
Ce n’est pas un manque de discipline.
C’est un besoin de régulation.

Respirer, bouger, ralentir, se recentrer…
c’est ce qui permet de redonner au cerveau l’espace pour agir à nouveau.
La sophrologie agit justement là : sur ce lien entre le corps, le souffle et la disponibilité mentale.

La volonté n’est pas un moteur.
C’est une conséquence d’un système intérieur apaisé.

C’est ce qui arrive quand tu vis trop longtemps dans le stress, dans le “faut que”, dans la pression constante.Ton systè...
17/11/2025

C’est ce qui arrive quand tu vis trop longtemps dans le stress, dans le “faut que”, dans la pression constante.
Ton système nerveux reste en mode alerte, comme si tout était vital, tout le temps.

Répondre à un mail, ranger la cuisine, prendre une décision…
Tout devient une question de survie.
Et ton corps, lui, ne fait plus la nuance. Il sécrète du cortisol comme s’il devait te sauver d’un danger réel.

Résultat ?
Tu es épuisé(e), irritable, parfois même détaché(e).
Parce que ton cerveau carbure sans pause, et que ton corps ne sait plus où est le “off”.

Apprendre à distinguer l’urgence de l’importance, c’est réapprendre à respirer.
À remettre du calme là où ton mental met du bruit.
Et ça, ça passe souvent par des temps de pause — pas de fuite.
Un silence, une respiration, une vraie reconnexion à toi. 🌿

C’est exactement ce qu’on travaille en sophrologie : ramener ton système nerveux en sécurité, pour que ton corps puisse, enfin, se poser.

16/11/2025

Après une période plus calme, faite d’écoute et d’introspection,
j’ai senti que quelque chose en moi demandait à reprendre vie.

Ces moments de pause m’ont aidée à comprendre, à ressentir…
mais le mouvement, lui, m’a permis d’ancrer.

Danser, marcher, respirer plus fort — c’est comme si mon énergie se remettait à circuler.
Le corps devient ce pont entre ce que j’ai vécu à l’intérieur
et ce que je veux vivre maintenant, dehors.

C’est ce moment où tu sens que tu reviens dans le flot,
que tu passes de l’intention à l’élan.
Et ça, ça fait un bien fou.

Tu peux dormir huit heures, faire une sieste, ou t’enfermer un week-end entier à ne rien faire… et pourtant, te réveille...
15/11/2025

Tu peux dormir huit heures, faire une sieste, ou t’enfermer un week-end entier à ne rien faire… et pourtant, te réveiller toujours épuisé(e).

Cette fatigue-là ne vient pas que du corps.
Elle vient du mental en surchauffe, du stress qui ne redescend plus, du cortisol qui reste trop haut.
Ton système nerveux est en alerte permanente, et même quand tu dors, il continue à veiller.

Alors non, tu n’as pas besoin de dormir plus.
Tu as besoin de te reposer autrement.
De recréer du calme à l’intérieur, pas seulement à l’extérieur.

Et c’est exactement ce que permet la sophrologie :
réguler ton stress, apaiser ton corps et redonner au repos sa vraie fonction — te réparer. 🌙

Adresse

Espace Cléomnès, 52 Rue De L’aérodrome Rezé
Rezé
44400

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