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La femme peut avoir jusqu'à 3 types d'orgasmes : le clitorien, l'orgasme vaginal et l'orgasm Valley. Ce dernier type d'o...
20/11/2025

La femme peut avoir jusqu'à 3 types d'orgasmes : le clitorien, l'orgasme vaginal et l'orgasm Valley.

Ce dernier type d'orgasme est rare chez la plupart des femmes car elles doivent avoir à leurs côtés un maître d'alcôve qui soit un feu de camp, pas une allumette. La femme est comme l'eau, elle doit d'abord se réchauffer puis s'évaporer dans l'expérience de l'orgasme.

Pendant l'orgasme Valley, la femme reste dans une vallée orgasmique, et grâce à une technique de respiration elle fait monter toute cette chaleur et cette magie au cerveau pour le régénérer.

Quand la sexualité est pratiquée avec conscience, elle guérit.
L'homme doit être capable de faire de la caresse une merveille, des baisers une dilatation de plaisirs, et de la pénétration un coup juste pour pousser dans les endroits les plus exotiques et agréables de la femme.

Il y a différents types de pénétration car l'univers du vagin d'une femme a différents points, pas seulement le point G. Il y a un autre point à développer en faisant l'amour, il s'appelle le point Divin, et c'est son oreille.

Si vous parvenez à faire ouvrir l'oreille d'une femme et écouter de la poésie alors que vous lui faites ressentir du plaisir, une nouvelle façon d'aimer se produit à ce moment-là Puis tu commences à faire de l'alchimie, pas de la chimie, tu commences à toucher, plus de sexe. Alors tu es un lien entre ce qu'elle désire et veut.

Alors son sourire sera plus sincère, et son amour le plus universel.

Auteur : Diego Van

Remerciements Medicina Alternativa, Ancentral Cihua Meztli Pahtli Estado de Mexico- Alain Touizer

J'ai fait l'amour avec une femme l'autre fois... Dans ma chambre, il y a une lampe sur pied. Je voulais l'allumer. Elle ...
19/11/2025

J'ai fait l'amour avec une femme l'autre fois...

Dans ma chambre, il y a une lampe sur pied. Je voulais l'allumer. Elle a refusé. Elle souhaitait que l'on reste dans le noir.
Le scénario cliché ? L'un veut allumer la lumière, mais pas l'autre !
J'ai respecté son souhait, je n'ai pas allumé la lumière, mais à regret.
J'ai réfléchi une fraction de seconde...

Tant de femmes ne veulent pas de lumière pour faire l'amour, alors que leurs corps sont si beaux. Naturellement. Même s'ils ne sont pas parfaitement minces, ou parfaitement bronzés, ou parfaitement lisses.
J'aurais voulu lui dire que je me fiche de sa cellulite, de ses rondeurs. Qu'elle est parfaite à mes yeux. Qu'elle n'a pas à s'excuser comme elle s'est excusée, de son corps. Que ça me brise le cœur. Que je voulais boucher mes oreilles pour ne pas l'entendre s'excuser ! S'excuser d'être elle-même physiquement. Qu'est-ce qui lui prend ??

Mais... cela m'a pris tellement d'années à moi-même pour me laisser aller à allumer la lumière... Cela m'a pris tellement d'heures d'entraînement, de douches froides pour avoir une belle peau, de produits contre l'acné, d'alimentation saine, de confiance si lentement et durement gagnée, que je ne lui ai rien dit de tout ça. Cela m'a pris tant de temps de ne pas m'excuser de mon corps. Et, j'ai encore tant de rechutes de confiance en moi, même si on me complimente souvent sur mes efforts.
Je n'avais pas l'impression que quelques mots allaient être suffisants. Quelques mots n'auraient jamais été suffisants pour moi. J'avais pas l'impression que c'était le bon moment pour insister avec cette lumière. Je lui ai procuré une pression inutile, finalement !

Parfois, je me demande ce que la société fait aux personnes...
Ce que les femmes font aux femmes
Ce que les hommes font aux femmes
Ce que l'on se fait à nous-mêmes...

Pour qu'on ait si peur d'allumer la lumière. Puis qu'on ait si peur de se voir nu, puis de nous voir nus... J'aurais tant voulu qu'on laisse la lumière.

Tout simplement parce que la femme est si belle, telle qu'elle est !

Et parce que tout le monde devrait allumer la lumière...

~Auteur inconnu

✨️ L’indépendance dans le couple où l’art d’aimer sans se perdre ✨️Aimer c'est apprendre à partager sa vie tout en prése...
18/11/2025

✨️ L’indépendance dans le couple où l’art d’aimer sans se perdre ✨️

Aimer c'est apprendre à partager sa vie tout en préservant son individualité.

Ce n’est pas devenir la moitié de l’autre, mais demeurer un être entier, libre et conscient, qui choisit chaque jour de marcher aux côtés d’un autre être entier.

L’amour véritable ne cherche pas à posséder, mais à accompagner.

Il ne demande pas de se sacrifier, mais d’exister pleinement ensemble et séparément.

C’est dans cet espace subtil, entre proximité et liberté, que naît l’indépendance dans le couple.

L’indépendance affective, c’est la capacité d’être connecté(e) sans être dépendant(e), d’aimer sans s’oublier.

C’est répondre à ses propres besoins émotionnels, reconnaître ses blessures, ses envies, et y prendre soin sans attendre que l’autre le fasse à notre place.

Car lorsqu’on attend de l’autre qu’il comble nos manques, on se prive de notre propre pouvoir intérieur.

Mais quand on apprend à se nourrir Soi même, la relation devient un choix conscient, non une nécessité.

Beaucoup craignent de perdre leur autonomie, leur liberté, leur espace personnel, de ne pas être maître de son temps ou de s’effacer dans la relation.

D’autres, au contraire, redoutent la distance ou le détachement.

Ces ressentis sont naturels, ils révèlent les besoins fondamentaux d’amour et de sécurité.

C’est pourquoi la compréhension mutuelle et le dialogue sincère sont les fondations d’un lien équilibré.

S’accorder du temps pour Soi, honorer ses passions, ses amitiés, ses moments de solitude, n’est pas un manque d’amour, c’est une preuve de maturité.

Car c’est en nourrissant son monde intérieur que l’on peut offrir à l’autre une présence authentique, riche et vivante.

Se soutenir dans les projets communs, s’encourager dans les rêves personnels, célébrer les victoires de chacun, tout cela tisse un lien de confiance et de réciprocité.

Aimer, c’est aussi laisser l’autre libre d’évoluer, de grandir, de découvrir qui il, elle est, sans craindre que cela nous éloigne.

La liberté et la sécurité peuvent cohabiter lorsque le respect, la confiance et la communication sont réels.

Cela demande une conscience de Soi et une écoute profonde de l’autre.

Savoir poser ses limites avec douceur, exprimer ses besoins avec clarté, accueillir les désaccords avec ouverture.

C’est là que la relation devient un espace de croissance, plutôt qu’un lieu de fusion ou de dépendance.

L’indépendance dans le couple n’est pas une distance, c’est une respiration.

C’est l’art de se retrouver sans se perdre, de partager sans se dissoudre.

C’est aimer avec maturité, en laissant à l’autre la liberté d’être elle, lui même, tout en choisissant, chaque jour, de construire un “Nous”, plus conscient, plus Vrai.

L’amour n’a pas besoin de chaînes.

Il a besoin d’espace, de confiance et de respect
car c’est dans la liberté que les cœurs s’unissent vraiment dans la durabilité et la stabilité.

Audrey D

Des prises de conscience, encore et toujours. Merci à ses Hommes qui se dévoilent et découvrent leur vulnérabilité 💖🙏💖« ...
17/11/2025

Des prises de conscience, encore et toujours.
Merci à ses Hommes qui se dévoilent et découvrent leur vulnérabilité 💖🙏💖

« Entre hommes, on parle rarement du manque qui se cache derrière le désir.

Je me suis longtemps dit « j’ai envie », sans me demander ce que je voulais vraiment.

Ce n’était pas toujours du s.exe — c’était souvent de la chaleur.

Un corps qui m’accueille.
Un regard qui ne juge pas.

Ce moment où, quelques secondes, je me sens enfin tranquille.

Je l’ai compris t**d.

J’ai cru que mon désir me disait quelque chose sur l’autre.

Mais il me parlait surtout de moi.

De ce petit garçon intérieur qui voulait sentir la chaleur d'un coeur qui ne part pas.

J’ai vu comment cette confusion m’a poussé à chercher dehors ce que je refusais de me donner :

tendresse, présence, sécurité.

Aujourd’hui, quand le feu monte,
je ne le repousse pas, je ne le glorifie pas.

Je sais que j’ai pu utiliser le désir comme anesthésiant émotionnel

Alors je l’écoute.

Je lui demande :
"Tu veux du plaisir, ou tu veux de la chaleur affective ?"

Et souvent, mon corps répond tout seul.

Parfois, il veut juste respirer, pleurer, être touché sans enjeu.

Le vrai courage, pour moi en tant qu'homme,
ce n’est pas de dompter mon désir.

C’est d’oser sentir ce qu’il cache —
ce manque de lien, cette peur d’être seul —

et d’y rester un peu, sans fuir.

C’est là que le désir devient conscience.

Et que la se.xualité cesse d’être une fuite,
pour redevenir une rencontre.
Daniel ».

Venez nous voir 😉
08/11/2025

Venez nous voir 😉

✦ Rétablir l’équilibre – Ni matriarcat, ni patriarcat : l’Ère du Couple SacréPar Stéphane Thomas Berbudeau⸻Le système pa...
23/10/2025

✦ Rétablir l’équilibre – Ni matriarcat, ni patriarcat : l’Ère du Couple Sacré

Par Stéphane Thomas Berbudeau



Le système patriarcal n’est pas né de l’homme.
Il est né d’une volonté de contrôle.

Depuis des millénaires, une structure artificielle a été mise en place pour séparer, opposer et désunir les deux polarités de la Création : le Féminin et le Masculin.
En divisant la Source en deux moitiés, le système a pu créer un monde fondé sur le déséquilibre : domination d’un côté, soumission de l’autre.
Et quand une moitié domine, c’est la Vie entière qui s’éteint un peu plus.



Le patriarcat n’est pas le règne des hommes,
c’est le règne d’une caricature du masculin : froide, hiérarchique, autoritaire, coupée de son cœur.
Les hommes en sont autant victimes que les femmes.

Car on a imposé aux hommes d’être forts, de ne pas pleurer, d’être les piliers sans faille, les protecteurs infaillibles.
On les a conditionnés à se couper de leurs émotions, à ne pas écouter leur intuition, à mesurer leur valeur à leur capacité à dominer ou à “réussir”.
On leur a vendu le rôle du roi,
mais un roi sans royaume intérieur, sans cœur, n’est qu’un pion sur un trône vide.



Ce système ne cherche pas la supériorité d’un genre.
Il cherche la division.
Il veut que les femmes en colère haïssent les hommes,
et que les hommes blessés se ferment encore plus.
Car pendant qu’ils se rejettent mutuellement,
ils oublient que leur puissance réside dans leur union.

Les mouvements féministes, dans leur essence la plus pure, étaient des cris du cœur pour la justice, l’équité, la reconnaissance.
Mais le système a vite récupéré cette énergie pour en faire un champ de bataille.
Aujourd’hui, nombre de femmes se sentent en guerre contre les hommes,
et nombre d’hommes se sentent coupables d’être nés hommes.

Pendant ce temps, le véritable ennemi —
le contrôleur du théâtre, la structure invisible qui tire les fils —
reste assis dans l’ombre, satisfait de voir la séparation se rejouer encore et encore.



La vérité, c’est que ni les hommes, ni les femmes ne sont coupables.
Ce sont les rôles qu’on leur a imposés qui sont le problème.
Le patriarcat a brisé la femme,
mais il a aussi vidé l’homme de sa sensibilité.
Il a asservi les deux polarités.

Aujourd’hui, un nouveau monde s’ouvre.
Et dans ce monde, on ne cherche plus à “reprendre le pouvoir” sur l’autre,
mais à réunir les deux.

Car la véritable puissance, ce n’est ni le féminin seul, ni le masculin seul :
c’est leur danse sacrée, leur fusion consciente.



Le Masculin véritable n’est pas celui qui domine,
mais celui qui protège la Vie.
Celui qui pose un cadre clair,
non pas pour enfermer, mais pour permettre au Féminin de s’épanouir en sécurité.

Le Féminin véritable n’est pas celui qui subit,
mais celui qui crée la Vie,
qui ressent, qui inspire, qui rappelle au Masculin la voie du cœur.

Quand ces deux-là se regardent sans peur,
le monde se souvient de son origine.



Alors non, ce ne sont pas “les hommes” qu’il faut combattre.
Ce sont les programmes qui les ont façonnés malgré eux.
Et ce ne sont pas “les femmes” qu’il faut redouter.
Ce sont les mémoires de domination qu’il faut dissoudre en elles.

L’homme n’a pas à se sentir coupable,
et la femme n’a pas à se sentir inférieure.
Ils ont à se retrouver.

Quand l’homme ose pleurer,
et que la femme ose rayonner sans peur,
le patriarcat s’effondre de lui-même.
Car il ne peut survivre dans un monde où la vulnérabilité est puissance
et où la douceur est force.



Nous entrons dans l’ère du Couple Sacré :
celle où chaque être, homme ou femme,
réconcilie en lui les deux polarités.

C’est cela, le vrai renversement.
Pas une revanche,
mais une réunification.

Le temps des rois sans cœur et des reines sans trône est terminé.
Place aux êtres entiers,
unis en eux-mêmes,
qui marchent côte à côte,
non pour se dominer,
mais pour créer ensemble le monde nouveau.



Mantra d’ancrage :
« J’unis en moi le Masculin qui agit et le Féminin qui ressent.
Je n’ai plus besoin de dominer ni d’obéir.
Je crée à partir de l’union intérieure. »



18/10/2025
Merci pour ce magnifique partage :Je veux te parler de sexeJe suis tombée sur cette image, un jour,Je ne connais ni l’au...
25/07/2025

Merci pour ce magnifique partage :

Je veux te parler de sexe

Je suis tombée sur cette image, un jour,
Je ne connais ni l’auteur, ni le nom de l’œuvre.
Mais elle m’a arrêtée. Vraiment.
Une femme nue, assise à califourchon sur un taureau.
Primitive, sensuelle, indomptée.
Nue de vérité.
Et j’y ai vu quelque chose de très pur.
J’y ai vu ce que nous avons bafoué depuis si longtemps,
Que le corps n’est pas sale. Que le sexe n’est pas honte.
Qu’il existe une innocence dans le désir,
une sagesse dans l’instinct animal.

Mais j’ai lu les commentaires.
Et à ma grande surprise (qui n’en est pas une )
j’ai vu la peur.
La peur de la salissure. De l’impureté.
On parlait de déchéance, d’appel au diable.
Comme si cette image réveillait en chacun
ce qu’il aurait préféré taire.
Mais ce n’est pas l’image qui est trouble.
C’est le regard.
Parce que cette femme, nue sur un taureau,
ne montrait pas seulement son sexe.
Elle montrait l’animal en nous.
Et ça, ça dérange.
On veut parler de lumière, mais on veut l’habiller.
On veut des âmes claires, des sexualités propres,
des désirs sans frottement.
Mais le réel n’est pas propre. Il est vivant.
Le sexe fait peur.
Pas parce qu’il est mauvais, mais parce qu’il est vrai.
Parce qu’il convoque nos abîmes, nos blessures, nos manques,
nos folies, notre feu.
Il convoque aussi notre puissance.
Et cette puissance, quand elle n’est pas reconnue,
fait trembler les fondations.

Et dans cette image, j’ai pensé à Marie-Madeleine.

Pas la sainte lissée, réinventée pour rassurer les foules.
Mais celle qu’on a nommée pécheresse,
qu’on a voulu faire taire tant son amour et sa liberté dérangeaient.
Peut-être qu’elle a été prostituée. Peut-être pas.
Mais est-ce que cela devrait la discréditer ?
Moi, je crois que c’est justement là que tout prend sens.
Elle est descendue dans la matière,
elle a caressé ses nuits.
Et c’est parce qu’elle à embrasser ses ombres
que la lumière c'est embrasé d'amour en elle..

Quand on reconnaît en soi le pire comme le meilleur,
on se réconcilie avec son humanité.
Et alors seulement, on peut reconnaître l’autre
dans la sienne.🙏

Il est temps de cesser de trier les êtres,
de diviser ce qui est un.
Il est temps de faire la paix entre le haut et le bas,
entre le masculin et le féminin,
entre l’ombre et la lumière.

Ce n’est pas la nudité qu’il faut purifier.
C’est le regard.
C’est cette peur transmise de génération en génération,
de voir en face ce qui palpite au fond de nous.

Alors oui, j’aime incarner cette sensualité du désir.
Parce qu’aujourd’hui, on manque de vérité.
De vérité nue.

Mathilde L'elfe des Bois

Adresse

5 Rue Du Faubourg Lô Barri
Rodez
12000

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