Martine Miesch Sophrologue Praticienne

Martine Miesch Sophrologue Praticienne séances de sophrologie existentielle en individuel ou en groupe

POURQUOI RÉPÈTE-T-ON DES EXPÉRIENCES DOULOUREUSES.?Imaginez une personne qui sort d’une relation destructrice… et qui, q...
27/09/2025

POURQUOI RÉPÈTE-T-ON DES EXPÉRIENCES DOULOUREUSES.?
Imaginez une personne qui sort d’une relation destructrice… et qui, quelques mois plus t**d, se retrouve dans une histoire presque identique.
Ou quelqu’un qui, au moment même où tout semble enfin lui sourire, trouve un moyen subtil de saboter son succès.
Ça vous parle ?

Ce paradoxe humain est universel : nous voulons tous être heureux, libres, en paix… et pourtant, il peut vous arriver de retourner inconsciemment vers ce qui vous a blessés. Comme si l’esprit préférait la douleur familière à l’inconnu de la sérenité
Derrière les répétitions douloureuses, il n’y a pas seulement de l’irrationalité, mais des logiques profondes : soulager une culpabilité, tenter de maîtriser l’incontrôlable, rechercher une maison émotionnelle déjà connue, même si elle était toxique.
Les neurosciences et la psychologie de l’attachement nous montrent que ces cercles de souffrance ne sont pas des fatalités, mais des mécanismes que l’on peut comprendre… et transformer.

1. Soulagement de la culpabilité

Certaines personnes vivent le plaisir ou le succès comme une transgression morale qui génère de la culpabilité
La souffrance devient une forme d’auto-punition qui apaise cette culpabilité

2. Recherche de contrôle sur l’incontrôlable

Revivre une situation douloureuse peut donner l’illusion de « rejouer » un traumatisme pour le maîtriser cette fois (Janoff-Bulman, 1992).
Mais, paradoxalement, cela fige dans une répétition traumatique
En neurosciences, ce phénomène est lié à une hyperactivation de l’amygdale et à une difficulté du cortex préfrontal à intégrer l’expérience.

3. La douleur comme « maison » familière

Les expériences précoces façonnent ce que Bowlby a appelé des modèles internes opérants : l’enfant associe sécurité et attachement à ce qu’il a connu, même si c’était douloureux.
Ainsi, à l’âge adulte, certains recherchent inconsciemment des relations ou contextes qui ressemblent à cet environnement initial.
Les travaux de Main & Solomon, montrent que les attachements insécures ou désorganisés favorisent cette dynamique car il est plus simple pour le cerveau de répéter les apprentissages que de les modifier

4. Les gains secondaires de la souffrance

La douleur peut apporter des avantages indirects : attention, compassion, diminution des responsabilités, voire bénéfices matériels.

5. Punir les autres par sa propre souffrance

Dans certains cas, l’auto-sabotage ou la souffrance devient une arme relationnelle inconsciente

Exemple : « c’est à cause de toi que je souffre, la douleur devient un moyen d’exercer du pouvoir ou de protester ou faire entendre.
Je vais mal tout le monde doit aller mal

On retrouve cela dans certaines formes de dépression, où la souffrance du patient affecte profondément son entourage.

Les pistes dans la littérature scientifique

Renforcement neuronal du négatif

Le cerveau a un biais de négativité (Baumeister et al., 2001) : les expériences douloureuses s’impriment plus fort que les positives.
La répétition peut donc être liée à une habituation neurobiologique à la douleur, qui devient un état connu Besoins d’identité et cohérence

Même si une histoire est douloureuse, elle fait partie de l’identité narrative d’une personne (McAdams, 2008).
Rejouer ces expériences, c’est parfois maintenir une cohérence de soi (même négative) plutôt que risquer l’inconnu.

Théorie de l’autodétermination

Quand les besoins fondamentaux (autonomie, compétence, appartenance) ne sont pas satisfaits de façon saine, ils peuvent être recherchés par des moyens dysfonctionnels et douloureux (Ryan & Deci, 2000).

Conditionnement et dépendance émotionnelle

Comme une addiction, la douleur peut activer les circuits dopaminergiques si elle est liée à des moments de soulagement ou d’attention.
C’est ce que Kross et Al appellent le cycle douleur-plaisir

il importe de comprendre le pattern et ses intentions pour enrayer la répétition

Carine Hernandez
Psychologue clinicienne Psychotherapeute agréé ARS
Praticienne ccréditée EMDR-EUROPE Praticienne en hypnose intégrative Superviseure
Auteure

« Sous chaque “maladie” se trouve l’interdiction de faire quelque chose que nous désirons ou l’ordre de faire quelque ch...
27/09/2025

« Sous chaque “maladie” se trouve l’interdiction de faire quelque chose que nous désirons ou l’ordre de faire quelque chose que nous ne désirons pas.
Toute guérison exige la désobéissance à cet interdit ou à cet ordre.

Et pour désobéir, il faut se débarrasser de la peur enfantine de ne plus être aimé, c’est à dire abandonné.

Cette peur entraîne un manque de conscience :
Celui qui en est affecté n’a pas conscience de ce qu’il est vraiment, car il essaye d’être ce que les autres attendent qu’il soit.
S’il persiste dans cette attitude, il transforme sa beauté intime en maladie.

La santé ne se trouve que dans l’authenticité.

Pour parvenir à ce que nous sommes, il faut éliminer ce que nous ne sommes pas.

Le plus grand bonheur, c’est d’être ce que l’on est. »

Alexandro JODOROWSKY.

Par Anne Bonnin

On accuse les nuages, et on méprise la pluie,tout ça n'est que passage,mais déjà on s'ennuie,à quelques kilomètres,des e...
27/09/2025

On accuse les nuages,
et on méprise la pluie,
tout ça n'est que passage,
mais déjà on s'ennuie,

à quelques kilomètres,
des enfants tendent la main,
ils vivent sans pouvoir être,
et rêvent de prendre un bain,

et nous on veut le soleil,
nos petits coeurs ont trop froid,
pour eux c'est une merveille,
quand la pluie tombe tout bas,

on ne peut changer le monde,
pas de juste milieu,
juste cesser une seconde,
de se plaindre un petit peu,

il y a des hommes à terre,
qui se ressentent heureux,
et d'autres sans la misère,
qui même jeunes sont trop vieux,

il ne manque pas grand chose,
pour que le bonheur soit en Toi,
peut-être juste prendre la pose,
et lui ouvrir les bras.
Alexandra Julien

Selon Carl Gustav Jung, il existe 4 archétypes, quatre étapes que nous traversons pendant notre vie et ces étapes sont :...
27/09/2025

Selon Carl Gustav Jung, il existe 4 archétypes, quatre étapes que nous traversons pendant notre vie et ces étapes sont :

1. L'étape de l'athlète (le sauvage)
À cette étape, nous nous préoccupons surtout de notre apparence, de ce à quoi ressemble notre corps. Durant cette étape, nous pourrions rester des heures à regarder et admirer notre reflet dans le miroir. Notre corps, notre apparence sont les choses les plus importantes à nos yeux, rien d'autre ne compte.

2. L'étape du guerrier (l'aventurier)
Pendant cette période, notre principale souci est de partir à la conquête du monde, de faire de notre mieux, d'être le meilleur et de parvenir à l'excellence, de faire ce que font les guerriers et d'agir comme agissent les guerriers. C'est une étape pendant laquelle nous pensons continuellement aux moyens d'avoir plus que tout le monde, une étape de comparaison, de vaincre ceux autour de nous afin de nous sentir meilleurs parce que nous avons réalisé davantage, parce que nous sommes des guerriers, des braves.

3. L'étape de la communication (l'enseignant)
À cette époque, à ce stade de votre vie, vous réalisez que ce qui a été fait jusqu'ici ne suffit pas à vous contenter, à vous rendre heureux… vous cherchez maintenant les moyens de faire une différence dans le monde, les moyens de servir ceux qui vous entourent. Votre préoccupation est de commencer à donner. Vous réalisez maintenant que dorénavant votre poursuite de l'argent, du pouvoir, des possessions, etc. continueront d'apparaitre dans votre vie, mais vous ne leur attribuez plus la même valeur qu'auparavant, vous n'êtes plus attaché à ces choses, parce que vous êtes maintenant dans une étape différente de votre vie, où vous savez qu'il existe autre chose. Vous les recevez, vous les acceptez et vous en êtes reconnaissant, mais vous êtes prêt à vous en détacher n'importe quand. Vous cherchez des moyens pour arrêter de penser à vous, à la manière de recevoir et à commencer à vous concentrer sur une vie de service. Tout ce qui vous importe à ce stade est le don. Vous savez maintenant que donner c'est recevoir et que c'est le moment de stopper l'égoïsme et de penser aux façons d'aider ceux dans le besoin, de quitter ce monde en étant meilleur que lorsque vous y êtes entré.

4. L'étape spirituelle (le sage)
Selon Jung, ce sera la dernière étape de votre vie, une étape où nous réalisons qu'aucune de ces trois étapes ne représente réellement qui nous sommes et ce que nous sommes. Nous comprenons que nous sommes plus que notre corps, plus que nos possessions, plus que nos amis, notre pays et ainsi de suite. Nous en venons à réaliser que nous sommes des êtres divins, des êtres spirituels ayant une expérience humaine et non pas des humains ayant une expérience spirituelle.

Nous savons maintenant que ce n'est pas notre foyer et que nous ne sommes pas ce que nous pensons être.
Nous sommes dans ce monde mais pas de ce monde. Nous pouvons désormais nous observer à partir d'une autre perspective. Nous pouvons renoncer à notre propre esprit, à notre corps et saisir qui nous sommes vraiment, voir les choses telles qu'elles sont. Nous devenons l'observateur de notre vie. Nous réalisons que nous ne sommes pas celui que nous remarquons mais l'observateur de ce que nous remarquons.

Il y a 2500 ans, Lao Tseu tentait de nous enseigner la manière de comprendre cette dernière étape de vie, cette étape spirituelle :
"Pouvez-vous faire machine arrière en pensée et ainsi saisir toutes choses ? Donner la vie et la nourrir, avoir sans posséder, agir sans attentes, diriger sans essayer de contrôler : voici la vertu suprême".

LA NUIT NOIRE DE L'AME.Quelle est cette étrange expérience méconnue,qui semble pourtant toucher beaucoup d'entre nous ?L...
27/09/2025

LA NUIT NOIRE DE L'AME.

Quelle est cette étrange expérience méconnue,
qui semble pourtant toucher beaucoup d'entre nous ?

La "nuit noire de l’âme" est une expérience peu connue, et qui serait pourtant très répandue, en témoignent les nombreux récits sur le sujet.

Elle se caractérise par une perte profonde de sens, sur notre vie et nos croyances ; une sorte de "dépression" de l’âme, qui plonge au cœur de nos peurs les plus profondes, et prépare à une véritable transformation intérieure.
L’égo se meurt, le "vrai soi" s’éveille.
Ce sentiment de désolation spirituelle a été largement relaté à travers les siècles.

Dans les écoles des mystères de l’Égypte antique, on essayait de le créer artificiellement, pour tenter d’atteindre un éveil "en accéléré".
Enfermé dans un sarcophage, l’expérimentateur était confronté à ses peurs intimes : l’obscurité, la solitude, la mort.
Après quelques jours, le sarcophage était ouvert, les survivants avaient réussi l’initiation.

Dans la mythologie, on retrouve d’autres récits similaires, parfois appelés " voyage au bout de la nuit" ou encore "descente aux enfers".

Le premier à avoir utilisé l’expression est le mystique Jean de la Croix, au XVIème siècle, dans son livre "La nuit obscure". Les récits de nuit noire ont de nombreux dénominateurs communs.
Elle touche très souvent des personnes qui cheminent, par le biais du développement personnel ou de la spiritualité, et qui pensent avoir trouvé une forme de vérité, de sérénité.
Selon Jean de la Croix :
"Plus les choses divines sont en soi claires et manifestes, plus elles sont naturellement obscures et cachées à l'âme.
Il en est ici comme de la lumière naturelle : plus elle est claire, plus elle éblouit et obscurcit la pupille du hibou ; plus on veut fixer le soleil en face, et plus on éblouit la puissance visuelle et on la prive de lumière (…).
De même quand cette divine lumière de la contemplation investit l'âme qui n'est pas encore complètement éclairée, elle produit en elle des ténèbres spirituelles."
J'avais le sentiment d’avoir atteint l’éveil...

Ainsi, à l’image des premiers rayons de soleil qui viennent réchauffer la terre et chassent la pénombre, la nuit noire de l’âme crée une dynamique, un mouvement de vie, elle génère un changement en profondeur.

Pour F***y, une consultante en webmarketing âgée de 28 ans, "ça a commencé après un épisode extrêmement fort, ou j’avais le sentiment d’avoir atteint l’éveil, et d’avoir trouvé ma place. Puis ce sentiment s’est évanoui. Et toutes mes peurs sont ressorties. J’ai pensé que je serais comme ça toute ma vie, dans une tristesse, une colère omniprésente. Je me suis désintéressée de mon cheminement spirituel. J’ai eu l’impression que tout ce que j’avais appris était "n’importe quoi".

Lors de la nuit noire, les personnes se rendent compte, et ressentent dans leur corps que tout ce qu’elles pensaient savoir, et qui était fabriqué par le mental, est erroné.
Sans préambule, tout s’écroule. La paix apparente laisse alors place à une déprime profonde, un sentiment de vide qu’aucune activité ne trompe, qu’aucune lecture ou séance chez le psy ne semblent soulager.

Selon Eckhart Tolle, qui raconte son expérience de nuit noire sur son site, ce sentiment a un sens précis, le retour "à un état d’ignorance où les choses perdent la signification que vous leur aviez donnée et qui était seulement conditionnelle, culturelle, etc. Vous pouvez alors regarder le monde sans imposer un cadre de signification fabriqué par le mental (…). C’est pourquoi c’est si angoissant quand cela vous arrive effectivement plutôt que de l’adopter vraiment consciemment."

Thierry Pasquier, un docteur en pharmacie, a vécu cette traversée durant 23 ans. Dans sa 33ème année, alors patron d’un restaurant végétarien, créateur d’un éco village et professeur de Kundalini Yoga, son monde s’effondre. Sa voiture rend l’âme, ses deux chats meurent, sa femme le quitte avec l’un de ses enfants, sa maison est réduite en cendres par un incendie. Il comprend un peu plus t**d qu’il traverse une nuit sombre de l’âme.
Selon lui, elle serait le résultat "d’une déchirure que nous faisons entre nos vieilles habitudes cellulaires et un autre état d’âme lumineux dont nous n’acceptons pas encore l’intensité".

Dans le cas de la nuit noire, l’obscurité peut se révéler de l’intérieur, sans forcément de cause extérieure connue, comme dans le cas de Thierry. Nous sommes confrontés brutalement aux racines de nos vieux fardeaux émotionnels, à nos peurs les plus profondes, dont certaines que nous n’avions même pas identifiés.
Tant que nous n’avons pas vu nos peurs en face, le mental tourne en rond, l’égo est renforcé, un concept intellectuel en chasse un autre, mais aucun n’est réellement intégré par l’expérience du corps.

Heureusement, cette période initiatique ne dure qu’un temps. Les peurs auxquelles nous sommes confrontées, très intimes, sont souvent bien supérieures à tout ce que nous avions connu, à la limite du soutenable.
Tant que nous nous identifions à elles, le jeu de l’égo est entretenu, et elles sont alimentées.

Thierry Pasquier raconte comment il a déjoué ce cercle pernicieux :
"La meilleure chose à faire pour moi était de lâcher-prise sur la souffrance, sur ce qui était là.
Juste observer la souffrance, sans mettre un couvercle dessus, ni la faire bouillir en mettant sous la marmite le feu du mental : comme je suis nul, je tourne en rond, je n'arriverai à rien, j'ai gâché ma vie, je ne change pas malgré mes efforts, etc. Simplement laisser pleurer le corps, le temps que ça dure, une heure, une journée, une semaine."

Ainsi, on se désidentifie de notre souffrance, on voit émerger notre "vrai" nous, notre "âme".
On reprend le pouvoir que l’on a donné à notre peur. Tout comme dans le processus de deuil- celui de notre égo négatif , le déni puis la dépression laissent place à l’acceptation.

Heureusement, cette période initiatique ne dure qu’un temps.

F***y raconte : "J’ai commencé à m’en sortir le jour ou j’ai touché le fond. C’était de mon anniversaire, j’ai passé la journée sur le canapé, les yeux dans le vide. Après plus de deux années dans cet état, je n’en pouvais plus. J’ai compris qu’il fallait que je m’abandonne, que je ne pouvais rien faire d’autre. Et le lendemain j’allais beaucoup mieux."

D’après les récits, la manière dont une nuit obscure de l’âme se termine est souvent la même.
On vit dans sa chair ce qui est souvent relaté dans les enseignements spirituels, ou les récits d’éveil : lorsque nous lâchons prise, nous nous rendons compte de l’impermanence des pensées et des émotions.

Eckart Tolle explique :
"(les personnes) s’éveillent à quelque chose de plus profond qui n’est plus basé sur des concepts dans leur tête :
Un sentiment plus profond de but ou de connexion avec une vie plus grande qui ne dépend plus des explications, ni de rien de conceptuel".
Alors que des peurs profondes s’évanouissent et que les jeux du mental s’apaisent, on éprouve une énorme gratitude, un sentiment de libération très puissant.
Par la suite, même si des pans entiers de croyances sont tombés, l’apprentissage n’est pas terminé.
Mais notre regard sur les jeux de l’égo a changé, et les leçons de vie semblent plus directes, plus rapides à intégrer. On se laisse moins happer par les vagues.
Un espace de sérénité s’est ouvert et l’on peut continuer de le nourrir en soi.

"Nous aimons si peu, ou si mal, avec une moitié de nous-mêmes et nous aimons chez l’autre quelques morceaux choisis, les...
27/09/2025

"Nous aimons si peu, ou si mal, avec une moitié de nous-mêmes et nous aimons chez l’autre quelques morceaux choisis, les plus connus, ceux qui font le moins peur.
C’est si rare d’aimer quelqu’un entièrement, ce qui nous plaît et ce qui ne nous plaît pas, c’est si rare d’être aimé entièrement avec nos creux d’ombre, nos torses de Lumière.
J’avoue que j’ai vécu, j’avoue que je suis blessée, mais ces blessures sont aussi ma beauté.
L’Amour, c’est ne plus avoir besoin de se cacher, de dérober à l’autre son plus mauvais profil, pouvoir enfin se montrer nue à quelqu’un qui n’en profitera pas pour affirmer sa puissance.
Être nue dans un regard qui respecte notre force et notre fragilité, tout est si précieux, si éphémère.
Tout ce qu’on fait sans Amour est du temps perdu, tout ce qu’on fait avec Amour est de l’éternité retrouvée."
Jean-Yves Leloup

"Si tu t’affliges pour une cause extérieure, ce n’est pas elle qui t’importune, c’est le jugement que tu portes sur elle...
27/09/2025

"Si tu t’affliges pour une cause extérieure, ce n’est pas elle qui t’importune, c’est le jugement que tu portes sur elle. Or, ce jugement, il dépend de toi de l’effacer à l’instant.
Mais, si tu t’affliges pour une cause émanant de ta disposition personnelle, qui t’empêche de rectifier ta pensée ?
De même, si tu t’affliges parce que tu ne fais pas une action qui te paraît saine, pourquoi ne la fais-tu pas plutôt que de t’affliger ?
— Mais quelque obstacle insurmontable m’empêche. — Ne t’afflige donc pas, puisque ce n’est point par ta faute que tu ne la fais point."

~ Pensées pour moi-même [Livre VIII, XLVII]

« Ce qui sauve c’est de faire un pas. Encore un pas. C’est toujours le même pas que l’on recommence… »Terre des Hommes"W...
27/09/2025

« Ce qui sauve c’est de faire un pas. Encore un pas. C’est toujours le même pas que l’on recommence… »
Terre des Hommes

"What saves a man is to take a step. And another step. It's the same first step, repeated ..."
Wind, Sand and Stars

Edgar Morin est sociologue et philosophe, directeur de recherches émérite au CNRS, président de l’Association pour la pe...
27/09/2025

Edgar Morin est sociologue et philosophe, directeur de recherches émérite au CNRS, président de l’Association pour la pensée complexe. Penseur de la complexité, il est l’auteur d’une œuvre transdisciplinaire traduite en vingt-sept langues et dans quarante-deux pays.

Il a été nommé à l'unanimité lauréat du 3ème Prix Littérature et Nature du Fonds culturel de l'Ermitage pour son ouvrage **La méthode de La Méthode**. Le prix lui sera remis au Palais du Luxembourg le 4 novembre.

👉 Plus d'informations sur le livre : https://www.actes-sud.fr/la-methode-de-la-methode

“Se cacher est un plaisir, mais ne pas être trouvé est une catastrophe.”D.W. WinnicottPhoto Cornelie Tollens
27/09/2025

“Se cacher est un plaisir, mais ne pas être trouvé est une catastrophe.”
D.W. Winnicott

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