Corinne Scherpereel Taramini coaching

Corinne Scherpereel Taramini coaching Ton potentiel est une œuvre d’art. Laisse l’art te révéler ! Gérer l’intensité, la comple Atelier art coaching et art-thérapie

Pensées féminines et sorité  indispensables
09/03/2025

Pensées féminines et sorité indispensables

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30/01/2025

Très fatiguée et affectée par des difficultés de santé tant pour ma famille que moi-même je vous informe à la fin de janvier de mon absence sur le groupe pendant une parenthèse en vue de pouvoir reprendre de bon cœur au plus vite et enrichie de nouvelles compétences en art-thérapie qui vous ravirons et permettront de beaux et fructueux échanges.

Je vous envoie à toutes de belles et positives pensées pour 2025 !!!!

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Je vous propose un petit exercice quotidien d’écriture d’un Haïku (poèmes courts, poésie japonaise) pour libérer nos émo...
03/11/2023

Je vous propose un petit exercice quotidien d’écriture d’un Haïku (poèmes courts, poésie japonaise) pour libérer nos émotions, un art qui aime la vie !

Le haiku est un poème bref inspiré de l’émotion du moment, en lien avec notre étonnement et notre connexion avec la nature. Il s’agit d’une tradition japonaise qui dénude l’âme pour favoriser le rétablissement, pour retrouver courage et résistance. De fait, étant donné son effet cathartique et libérateur, il s’agit d’un outil psychologique d’une grande utilité, outre son aspect esthétique.

Certain-e-s disent que le cerveau est comme un musée où se succèdent des salles aux images déformées à l’infini. Trouver du sens à ce qui se joue ici n’est pas toujours facile. C’est pour cela que parfois, des techniques artistiques peuvent être d’une grande utilité pour capter les significations, pour trouver un ordre au milieu du chaos et le calme au milieu du bruit.

C’est ce que font les haikus, de brefs poèmes formés de trois vers de 5, 7 et 5 syllabes, qui ont pour objectif de montrer l’universel avec le regard d’un enfant, de transcender l’ordinaire pour en faire du magique et d’éteindre la rumeur de la pensée obsessive et ruminante, pour rester dans l’émotion du moment.

Pour beaucoup, c’est quasiment comme regarder le monde à travers une goutte de rosée, rester connecté-e à un moment concret pour embrasser une perspective différente, plus intense et beaucoup plus lumineuse.

Le haiku, une arme psychologique
Robert Esptein est un écrivain et psychologue célèbre, de l’Université de Harvard. Grâce à des livres tels que The Sacred In Contemporary Haiku ou à de nombreux articles dans lesquels il défend les bienfaits de l’usage du haiku en thérapie, on sait par exemple que ce type d’écriture s’avère très utile dans le traitement des addictions. De fait, tel que l’affirme ce fameux docteur Epstein, “Un bon haiku fait des merveilles sur l’âme fatiguée.”

Si l’on souhaite s’initier à cet art thérapeutique, les indications suivantes seront d’une grande aide. Leur utilité est réelle avec le temps et avec la pratique, à l’instant où on cesse de penser aux règles, au métrique et à la structure pour simplement, libérer l’esprit.

Le haiku n’a ni rime, ni titre.
La métrique idéale du haiku est de 5 syllabes dans le premier vers, de 7 dans le second et de 5 dans le troisième.
Les verbes ne sont pas nécessaires car il n’y a pas de mouvement, mais l’idée de capter une image immobile, une émotion.
Le verbe “être” ne doit pas apparaître, il se sous-entend.
La règle est la simplicité.
Le haiku n’est pas un poème discursif ou terminé.
Un bon haiku capte quelque chose qui transcende le moment, mais qui en même temps peut s’exprimer “sur le moment”.
Dans les haikus, on inclut souvent un “kigo”, c’est-à-dire une référence à la nature, à la saison dans laquelle on se trouve.
Un haiku est un poème privé, qui n’appartient qu’à soi-même. Ainsi, il ne faut pas imiter, il ne faut pas utiliser de ressources simples, d’images faciles… Un bon poème exige de l’intimité, de la conscience et de la liberté émotionnelle.

Pour finir, et pour conclure, souvenez-vous qu’un haiku est une pincée dans le temps, surgie du cœur de qui l’écrit. C’est un moyen, un soupir grâce auquel on s’exprime pour soi-même. Ainsi, les haikus les meilleurs sont ceux qui “se lancent” dans le troisième vers, là où les deux premiers font une simple introduction pour laisser au dernier le soin de la meilleure empreinte.

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À vos Haïkus !

En quelques étapes pour vous aider :

Partie 1 : Trouver des idées de haïkus

1) Allez vous promener dans la nature.

De nombreux haïkus sont inspirés par des objets de la nature, par exemple des arbres, des rochers, des montagnes et des fleurs. Pour trouver une idée de poème, allez vous promener dans un parc près de chez vous ou allez faire un tour dans les bois. Rendez-vous sur un sentier de randonnée ou près d’un cours d’eau, d’un lac ou d’une plage. Passez un peu de temps dans la nature et observez-la pour avoir des idées de poèmes .
Si vous ne pouvez pas sortir pour aller au contact de la nature, essayez de regarder des photos et des images dans des livres ou sur Internet. Trouvez une scène ou un objet en particulier comme un arbre ou une fleur qui vous inspire.

2) Concentrez-vous sur une saison.

Les haïkus peuvent aussi parler d’une saison comme l’automne, le printemps, l’hiver ou l’été. Vous pouvez aussi vous concentrer sur des évènements naturels qui se produisent à un certain moment de l’année, comme la floraison des cerisiers dans votre quartier ou la remontée des cours d’eau par les saumons près de chez vous [2] .
Les haïkus de saisons se concentrent souvent sur un détail spécifique à propos de la saison en citant le nom de celle-ci dans le poème. Ce type d’écriture peut être une manière amusante de décrire un détail particulier que vous aimez à propos de ce moment de l’année.

3) Choisissez une personne ou un objet pour le sujet.

Les haïkus ne doivent pas parler forcément de la nature ou des saisons. Vous pouvez aussi choisir une personne ou un objet précis qui vous inspire pour le poème. Vous aimeriez peut-être écrire un haïku amusant à propos de votre chien. Vous voulez peut-être écrire quelque chose de plus profond à propos de votre jouet préféré lorsque vous étiez enfant.
Essayez de vous concentrer sur une seule personne ou un seul objet dans le poème. Les haïkus sont très courts et vous pourriez ne pas avoir assez d’espace sur trois lignes pour écrire toutes les pensées qui vous viennent à propos d’une personne ou d’un objet.

4) Lisez à haute voix des exemples de haïkus.

Pour avoir une meilleure idée du genre, vous pouvez lire des haïkus connus et envisager de prendre exemple dessus. Vous en trouverez dans des livres ou sur Internet. Lisez des poèmes à propos de la nature et d’autres sujets. Voici quelques idées :
des haïkus écrits par le poète japonais Matsuo Basho
des haïkus écrits par le poète japonais Yosa Buson
des haïkus écrits par le poète japonais Tagami Kikusha
des haïkus écrits par le poète américain Richard Wright

5) Concentrez-vous sur un évènement passé.

Vous pouvez aussi penser à quelque chose qui vous préoccupe. Cherchez une ressemblance avec la nature ou une métaphore qui représente brièvement vos sentiments. Cela peut ressembler à ceci :
boum, boum, boum, bam, bam,
ma tête est un champ de bataille,
il y a de nombreux emportements.

Partie 2 : Écrire le haïku

1) Suivez la ligne et la structure syllabique.

Les haïkus suivent une forme stricte avec une structure syllabique de 5-7-5. Cela signifie que la première ligne se compose de cinq syllabes, la deuxième de sept syllabes et la troisième de cinq syllabes.
Le poème contient au total dix-sept syllabes. Pour les compter, posez votre main sous votre menton. Dites un mot. Chaque fois que votre menton touche votre main, c’est une syllabe.

Mais vous pouvez aussi vous affranchir de la règle pour exprimer quelque chose qui vous tient à cœur !

Le haïku ne doit pas forcément rimer ou suivre un certain rythme du moment qu’il adhère au nombre de syllabes obligatoire.

2) Décrivez le sujet au travers des sens. Prenez une grande et belle respiration au préalable

Les haïkus sont conçus pour donner au lecteur une idée brève du sujet en passant par ses sens. Réfléchissez au sujet par le biais de son odeur, de son toucher, de ses sons, de son gout et de son apparence. Décrivez-le en utilisant vos sens pour qu’il prenne vie pour le lecteur et qu’il gagne en puissance sur la page.
Par exemple, vous pourriez écrire à propos de « l’odeur musquée des aiguilles de pin » ou du « gout amer de l’air matinal ».
Si vous écrivez à propos d’un sujet en particulier, par exemple votre chien, vous pourriez décrire le cliquetis de ses griffes sur le carrelage ou la sensation de sa fourrure

3) Utilisez des images et des descriptions concrètes.

Évitez les descriptions trop abstraites ou vagues. Concentrez-vous plutôt sur des images concrètes faciles à visualiser pour le lecteur. Au lieu d’utiliser des métaphores, essayez de décrire le sujet avec des détails précis et uniques.
Évitez les longues descriptions et le langage élaboré. Essayez plutôt quelque chose de simple pour respecter la limite de syllabes imposée par le genre.
N’utilisez pas de clichés ou de phrases tellement répétées qu’elles ont perdu de leur sens. Trouvez plutôt des images et des descriptions qui semblent uniques.
Par exemple, vous pourriez écrire quelque chose à propos des feuilles d’automne sur la route ou d’un chien qui poursuit un oiseau.

4) Écrivez au présent.

Donnez un sentiment d’immédiateté au haïku en utilisant le présent plutôt que le passé. Cela permet de rendre les lignes plus simples et plus faciles à suivre.

5) Terminez par une ligne surprenante.

Un bon haïku va avoir une fin intrigante et va laisser du suspense. Le lecteur pourrait rester avec une dernière image surprenante ou réfléchir aux deux lignes précédentes d’une manière surprenante.
Par exemple, le haïku du poète japonais Kobayashi Issa se termine sur une ligne surprenante : « tout ce que je touche/avec tendresse hélas/pique comme des ronces. »


Partie 3 : Polir le haïku

1) Lisez-le à voix haute.

Une fois que vous avez un brouillon, lisez-le à voix haute plusieurs fois. Écoutez le son qu’il produit. Assurez-vous que chaque ligne coule dans la suivante et qu’il y a bien cinq syllabes dans la première, sept dans la deuxième et cinq dans la dernière. Le haïku doit sembler naturel lorsque vous le lisez à voix haute.
Si vous remarquez des lignes bizarres ou saccadées, ajustez-les pour qu’elles semblent plus naturelles. Remplacez les mots trop longs ou compliqués. Assurez-vous que les sons du haïku vous semblent agréables.

2) Montrez-le aux autres.

Demandez des commentaires aux autres à propos de votre poème. Demandez leur opinion à des amis, des membres de votre famille ou des connaissances. Posez des questions pour savoir si le poème personnifie un moment dans la nature ou une saison.
Si vous l’écrivez à propos d’un sujet en particulier, demandez aux autres si le haïku arrive à le décrire correctement.

3) Centrez-le sur la page lorsque vous avez terminé.

Mettez le haïku au centre de la page et centrez les lignes pour lui donner une forme de losange. C’est de cette façon que les haïkus sont traditionnellement présentés.
Vous pouvez aussi y ajouter un titre court en haut, par exemple « Automne » ou « Chien ». Évitez les titres trop longs.
De nombreux haïkus n’ont pas de titres. Il n’est pas nécessaire d’en mettre un si vous ne le voulez pas.

Pour plus de détails :

Un haïku (俳句, haiku ) est un poème d'origine japonaise extrêmement bref, célébrant l'évanescence des choses et les sensations qu'elles suscitent. Un haïku évoque généralement une saison (le kigo) et comporte souvent une césure (le kireji).

Un haïku ne se contente pas de décrire les choses, il nécessite le détachement de l'auteur. Il traduit le plus souvent une sensation. Il est comme une sorte d'instantané. Cela traduit une émotion, un sentiment passager, le haïku ne se travaille pas, il est rapide et concis. Il n'exclut cependant pas l'humour , les figures de style, mais tout cela doit être utilisé avec parcimonie. Il doit pouvoir se lire en une seule respiration et de préférence à voix haute. Il incite à la réflexion. Il est préférable de le lire deux fois afin d'en saisir complètement le sens et la subtilité . C'est au lecteur qu'il revient de se créer sa propre image. Ainsi, le haïku ne doit pas seulement décrire mais évoquer.

Quelques Haïkus par des auteurs célèbres ou anonymes.

Tirant de l’eau
les bruits de sabots
des moines gelés

Matsuo Basho

Sur une branche morte
Les corbeaux se sont perchés
Soir d'automne.

Matsuo Basho

Le papillon voletant –
Je me sens moi-même
Une créature de poussière

Kobayashi Issa

Matin de printemps -
Mon ombre aussi
Déborde de vie !

Kobayashi Issa

Oh ! Refuge où ondins
Ondines font l’amour
Lune d’été.

Yosa Buson

Aux poils de la chenille
On devine que souffle
La brise matinale.

Yosa Buson

Solitude
Après le feu d'artifice
Une étoile filante.

Masaoka Shiki

Le long de la rivière
Je n’ai vu aucun pont -
Ce jour est sans fin.

Masaoka Shiki

Papillon de jour
dans le filet de rosée
du jardin fleuri.

Marie-Noëlle Hopital
Le printemps est là.
J’entends le bruit des vagues
De dessous mon bureau.

Awano Seiho

Du temps passé
Me revient le souvenir
Les biches au printemps.

Ida Dakotsu

Les ors d’automne
Deviennent cendres, neiges
Et larmes d’amants.

Inconnu

“Ce chemin
Plus personne ne le parcourt
Sauf le crépuscule.”

-Matsuo Basho-

“Est-elle un empire la lumière qui s’éteint ou une luciole?”“

-Jorge Luis Borges-

“Rien d’autre aujourd’hui
Que d’aller dans le printemps
Rien de plus.”

-Yosa Buson-

« Tout ce que je touche
avec tendresse hélas
pique comme des ronces »

Kobayashi Issa

Quel est votre plus grand espoir sur notre groupe d'aujourd'hui ?Mettez en commentaire vos idées
27/04/2023

Quel est votre plus grand espoir sur notre groupe d'aujourd'hui ?

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01/02/2023

https://youtube.com/shorts/wxpb0wIVSBw?feature=share

La sidération m’a terrassé à plusieurs reprises dans ma vie et sortir de ces stess post traumatiques ce n’est pas facile surtout quand vous souffrez de plus d’une maladie génétique complexe !

Je commence des séances en EMDR pour les stress post traumatiques

J’en attends beaucoup pour un demain bien meilleur

05/05/2022
05/05/2022
05/05/2022
07/11/2021

Voici un document exceptionnel, un trésor exhumé dans le fonds sonore ancien de la Bibliothèque nationale de France : l’enregistrement de la voix de Léon Tolstoï.

Adresse

Saint-André-lez-Lille

Heures d'ouverture

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