Anna Ozzola Ayurveda

Anna Ozzola Ayurveda Thérapeute en soins ayurvédiques, à Gap et Saint-Bonnet-en-Champsaur

«La maladie n’atteint pas celui qui se masse les pieds avant de dormir, tout comme les serpents n’approchent pas les aig...
13/06/2025

«La maladie n’atteint pas celui qui se masse les pieds avant de dormir, tout comme les serpents n’approchent pas les aigles». Proverbe indien

Dans cette perspective, je vous propose un petit focus sur ce soin rafraichissant, idéal en été! Petite nouveauté: cet été je vous proposerai ce soin en extérieur, dans la nature....les infos très bientôt 😉

Après avoir cheminé 2 ans avec cacao, je souvaite aujourd'hui le partager avec vous...alors à vos agendas... 1ère cérémo...
06/06/2025

Après avoir cheminé 2 ans avec cacao, je souvaite aujourd'hui le partager avec vous...alors à vos agendas... 1ère cérémonie cacao le 29/06! Nombre de places limité!
Au plaisir de vous faire partager cette plante médecine 😊

Aujourd'hui  petit focus sur le Massage Abhyanga qui est le soin traditionnel de routine en Ayurveda.Je vous parle bienf...
01/06/2025

Aujourd'hui petit focus sur le Massage Abhyanga qui est le soin traditionnel de routine en Ayurveda.
Je vous parle bienfaits et contre-indications!

Namaste,Après une bonne pause afin de mettre en route un gros projet dont je vous parlerai bientôt, je reprends avec joi...
21/05/2025

Namaste,
Après une bonne pause afin de mettre en route un gros projet dont je vous parlerai bientôt, je reprends avec joie les accompagnements en Ayurveda!
Je vous propose également des accompagnements avec cacao pour les curieux et les intéressés....ou même d'allier les 2 si le cœur vous dit! L'Ayurveda et le Cacao se complètent merveilleusement!

N'hésitez pas à me contacter pour plus d'infos 😊 Au plaisir de vous rencontrer et d'échanger...🙏

07 86 14 53 25
contact@annaozzola.com

La maladie de Lyme...on en parle?C'est de saison, elles sont de retour : les tiques nous donne du fil à retordre pour pr...
19/05/2025

La maladie de Lyme...on en parle?

C'est de saison, elles sont de retour : les tiques nous donne du fil à retordre pour protéger nos compagnons à 4 pattes ! On pense souvent beaucoup à eux et beaucoup moins à nous qui pouvons également être un repas de choix pour ces petites bêtes !

C'est après avoir lu un article qui m'a vraiment peinée que j'ai décidé de vous faire un petit point sur la Boréliose de Lyme, principale pathologie transmise par les tiques, et pouvant avoir des conséquences désastreuses sur notre santé, comme l'a témoigné cet article. Une jeune canadienne qui, après 8 ans de souffrance et de combat contre la maladie de Lyme, s'est résignée à demander à être euthanasiée...un cri de douleur, un appel à l'aide, mais quelle tristesse de lire ceci !

Encore trop de malades ignorés, mal diagnostiqués, trop de personnes mal informées pensant qu'on ne guérit pas de la maladie de Lyme et encore bien trop de médecins malheureusement pensant qu'un traitement antibiotique suffit à guérir et rejettent des patients qui rechutent « c'est dans votre tête ».

Alors NON, la maladie de Lyme n'est pas une maladie qu'on se traine toute notre vie. C'était bien le cas pendant longtemps car on savait peu de choses sur la Boréliose et ses conséquences, ce qui a notemment conduit à d'innimbrables erreurs de diagnostics, nous verrons pour quelles raisons. Aujourd'hui, les recherches ont avancées et on connait à présent bien le processus de transmission et d'évolution de la maladie.
On ne va pas se mentir, lorsque la bactérie est implantée depuis plusieurs années et qu'elle s'est installée dans les moindres recoins de notre organisme, c'est un long long combat pour la délogée mais il faut s'accrocher !

Et NON, un traitement antibiotiques ne permets pas toujours de se débarrasser définitivement de la bactérie et de guérir de la maladie. C'est notamment le cas lorsque la bactérie est là depuis longtemps. Oui il y a des rechutes et non ce n'est pas juste dans la tête des patients, Lyme est toujours là.

La Boréliose de Lyme c'est quoi ?

C'est une bactérie, la borélia, de la famille des spirochètes, transmise le plus souvent par une morsure de tique qui peut également être porteuse d'autres agents pathogènes mais concentrons-nous sur la Boréliose.

Si la tique est repérée rapidement et retirée dans les 24h suivant la morsure, il y a peu de chances que la bactérie ait pu être transmise.
Cependant, il se peut qu'elle passe inéperçue, notamment lorsqu'elle trouve dans des endroits peu visibles du corps ou inaccessibles, comme le dos par exemple mais également car la morsure est indolore du fait que la salive de la tique contient un anesthésiant.
De plus, lorsque la tique est tombée, si l'on ne s'en est pas aperçu jusque là, la morsure peu facilement être confondue avec une piqûre de moustique et on ne s'en préoccupe pas, on attend que ça passe et c'est le début de la galère ! C'est ce qui m'est arrivé : morsure dans le haut du dos, ni vue, ni sentie et au bout d'1 mois, un cercle rouge autour de la morsure qui s'étend, c'est ce qu'on appelle l'érythème migrant, 1er signe de la maladie. Il faut néanmoins savoir que l'érythème migrant n'est pas systématique et n'apparait que chez 30% à 50% des patients atteints.

Quels sont les symptômes ?

C'est là que tout se complique ! Et oui, la maladie de Lyme reste aujourd'hui encore, un véritable casse-tête à diagnostiquer et ce, pour différentes raisons :
1/ Lorsqu'elle s'imisce dans notre organisme, elle peut prendre différentes formes ( spiralée, kystique, intracellulaire...), vous comprendrez donc que ceci la rend difficile à repérer.

2/ La borélia est rapide ! Elle est capable de leurrer le système immunitaire en utilisant des cellules connues et le poussent à s'attaquer à ses propres cellules, ce qui provoque des erreurs de diagnostic : on la confond avec des maladies auto-immunes.

3/ Les symptômes sont très variables d'un patient à l'autre et peuvent être semblables aux symptômes de nombreuses autres pathologies d'où, là encore, des erreurs de diagnostics.
C'est de cette capacité que la Boréliose tire son surnom : la grande imitatrice !

Les premiers symptômes restent néanmoins, la plupart du temps, l'érythème migrant, de la fièvre, état grippal, forts maux de tête, raideur de la nuque, fatigue extrême...

Evolution de la maladie

Bien évidemment, si la maladie n'est pas diagnostiquée rapidement et prise en charge, elle évolue au rythme où la bactérie se disperse dans notre organisme et s'insère de plus en plus profondément dans les tissus et les organes.

On compte ainsi 3 phases dans l'évolution de la maladie de Lyme :

1/ La phase primaire : à ce stade, on retrouve l'érythème migrant, qui apparaît généralement dans les 30 jours suivant la morsure mais n'est pas systématique.

2/ La phase secondaire : quelques semaines après, d'autres symptômes peuvent apparaître mais vont varier selon les patients.

3/ La phase tertiaire : la maladie devient chronique et c'est à ce stade qu'elle est le plus difficile à traiter.

Quels sont les traitements allopathiques?

Malheureusement, on n'a pas 50 solutions, il y en a une, ce sont les antibiotiques.
Un traitement antibiotiques peut s'avérer très efficace au début de la maladie, c'est-à-dire au premier stade.
L'inconvénient évidemment c'est que ce sont des antibiotiques puissants, à large spectre, nécessaire pour éliminer la totalité de la bactérie et comme vous le savez certainement, les antibiotiques ne vont pas s'attaquer uniquement à la borelia mais aussi à toutes les bonnes bactéries, indispensables au bon fonctionnement de notre organisme, ce qui va engendrer des désagréments dont vous avez certaienement déjà fait l'expérience, les mycoses... mais l'essentiel c'est que ça fonctionne et que, dans la plupart des cas, on se débarrasse définitivement de la Boréliose.

Par contre, losque la maladie est implantée depuis plusieurs mois ou plusieurs années, la bactérie a envahi la totalité de notre organisme et les traitements antibiotiques peuvent rester inefficaces.
Dans ces cas-là, les patients sont momentanément soulagés par le traitement mais dès que la cure d'antibiotiques arrive à son terme, les symptômes réapparaissent et on est reparti pour un tour !

Est-ce qu'il y a d'autres solutions ?

Le premier traitement, comme face à n'importe quelle autre pathologie et on ne le répétera jamais assez, c'est l'ALIMENTATION.
Si vous prenez des plantes médicinales, ou même des antibiotiques d'ailleurs, dont l'objectif est de venir à bout de la bactérie et qu'en même temps vous continuez à manger des aliments qui nourrissent la bactérie, autant vous dire que vous ne vous en sortirez jamais !

La première chose à faire, vous l'aurez compris, c'est de changer l'alimentation.
Mais alors qu'est-ce qu'on mange ? Ou plutôt qu'est-ce qu'il faut retirer de notre alimentation ?

Il est indispensable de détoxifier l'organisme lorsqu'on prend un traitement contre la maladie de Lyme, je vous explique pourquoi : le traitement, quel qu'il soit, va tuer la bactérie en masse et c'est bien le but me direz-vous, mais la mort de toutes ces bactéries va engendrer une quantité énorme de toxines que l'organisme ne sera pas en capacité d'éliminer. Il va donc se retrouver saturé, il va étouffer sous ces toxines et le patient va ainsi ressentir une profonde aggravation des symptômes de la maladie, c'est ce qu'on appelle l'effet Herxheimer. C'est une réaction aigüe et transitoire mais qui peut pousser le patient à arrêter le traitement.
Alors, on arrête tout ce qui nourrit la bactérie et on adopte une alimentation anti-inflammatoire, c'est-à-dire qu'on met de côté tout ce qui est fermenté, acide, les céréales contenant du gluten, les produits laitiers, les produits à base de farine, les graisses animales, et bien sûre le sucre rafiné.
Je reconnais, c'est pas fun fun mais ça ne dure qu'un temps et c'est efficace alors on prend sur soi !
Il peut s'avérer nécessaire de faire des purges en complément mais assurez vous d'être acompagné par un professionnel qui saura vous guider et vous conseiller.

Il y a des plantes médicinales qui sont très efficaces également, le protocole est choisi en fonction des symptômes. En effet, les symptômes donnent une indication des endroits où sont implantées les bactéries et les plantes ont chacune des propriétés qui leur sont propres et qui vont agir en synergie.

Le site internet « sociallyme » est une mine d'or pour les patients à la recherche de solutions et d'alternatives aux antibiotiques ainsi que la boutique en ligne « LymeHerbs » qui est très bien fait et où vous pouvez trouver toutes les infos et explications nécessaires pour choisir vos plantes selon le protocole souhaité.

Je suis moi-même passée par cette boutique pour acheter mes plantes il y a 2 ans, j'ai choisi le protocole Buhner, celui qui me semblait le plus adapté à mes symptômes mais aussi l'un des moins onéreux (même si ça reste coûteux, on va pas se mentir) et des plus efficaces pour lutter contre la maladie de Lyme.

Stephen Buhner est un éminent herboriste américain et il décrit son protocole comme étant « un protocole développé en explorant les rouages de la maladie, l'impact qu'elle a sur les individus, l'expérience des thérapeutes qui travaillent avec les malades, les plantes utilisées par les malades, des milliers d'articles scientifiques, l'historique et l'utilisation des plantes autour du monde, et ma propre expérience de ces 30 drnières années. » Stephen Buhner
Ce protocole a très bien fonctionné sur moi, associé à une alimentation adaptée et des purges, je suis venue à bout de la maladie de Lyme en quelques mois. Alors c'est sûre, elle n'était implantée que depuis quelques mois et non des années, la guérison a donc été malgré tout assez rapide mais on peut s'en sortir !

Si vous n'êtes pas familier des plantes médicinales ou que vous craignez de faire une erreur, n'hésitez pas à demander conseil à un professionnel qui sera ravi de vous accompagner sur votre chemin de guérison !

21/02/2025

La transition saisonnière s’est terminée hier, 20 février 2025.

C’est maintenant le début du printemps marqué par une aggravation naturelle du Kapha accumulé pendant l’hiver.

Avec le retour de la chaleur, Kapha commence progressivement à se liquéfier et va passer d’un stade « Līna », attaché aux tissus, au stade « Utkleśa », remis en circulation.

Le premier véhicule de Kapha est Rasa Dhātu, permettant de le recycler dans sa forme Mala(déchets).

Rasa permet de moduler la réponse immunitaire par le transport et la circulation d’acteur de l’immunité comme les lymphocytes.

Un Rasa mal formé ou débordé par un excès de Mala engendrera :

- une baisse de l’immunité et une réponse inflammatoire

- Excès d’écoulement dans plusieurs orifices : bouche, nez, a**s, vagin, oreille

- Lourdeur, nausées, perte d’appétit
- Douleur dans la masse du corps
- Obstruction des canaux

- Confusion immunitaire et affaiblissement de Ojas qui est le liquide permettant le maintien de la cohésion de l’organisme.

Les symptômes au printemps se manifestent principalement sur les loges de Kapha, notamment les poumons avec les fameuses allergies printanières qui sont le résultat d’une confusion par le système immunitaire.

Ces phénomènes sont d’autant plus renforcés si :
- il y a présence d’Ama (toxines),
- une porosité intestinale, 
- un dérèglement de la flore intestinale.

Conseil pour le début du printemps :

1 - L’activité physique doit être reprise pour favoriser la liquéfaction de Kapha et favoriser la circulation de Rasa.

2 - L’allègement de l’alimentation pour permettre aux émonctoires de pouvoir traiter l’excès de Kapha et Ama qui vont être remis en circulation.

Veiller à ce que les allègements n’aggraventpas Vāta toujours sensible après la longue période de transition saisonnière.

La pratique de Nasya à l’huile de sésame chaude peut être continuée durant cette première semaine étant donné qu’elle agit sur Vāta et sur la loge de Kapha.

3 – Attention :

Ne pas précipiter les nettoyages type Detox Kapha étant encore potentiellement dans sa phase « Līna », attaché. Attendre quelques semaines pour qu’il soit vraiment liquéfié par la chaleur et se concentrer à soutenir ce processus.

Petite soupe bien réconfortante en cette saison...chou-fleur, blette et pois chiches au curry et autres épices 😋
11/01/2025

Petite soupe bien réconfortante en cette saison...chou-fleur, blette et pois chiches au curry et autres épices 😋

10/01/2025

Le massage Abhyaṅga est le soin le plus pratiqué de l’Āyurvéda.

Selon les textes « Il prévient le vieillissement, la fatigue et les excès de Vāta, donne une bonne vision, nourrit le corps, la vie et permet d’obtenir un sommeil régénérateur. Il augmente la résistance de la peau et la santé.» Ah.Su 2/8

Quelle doit-être sa durée ?

L’objectif est la pénétration d’une substance dans les Dhātu(s).

Ceci sans mettre le patient en indigestion.

La durée devra donc être choisie après un diagnostic sérieux sur la force des feux digestifs périphériques et du feu digestif central, et un diagnostic de l’état de Bhrājaka Pitta, la peau.

En hiver, les feux digestifs périphériques étant plus faibles, les massages doivent être plus courts. A l’inverse, en été ils peuvent être plus long.

Quelle doit-être la quantité d’huile ?

Tenir compte de deux critères : le Dosha et Agni

1 - Dosha (dose moyenne) :

Vāta : 15 cl d’huile bien chaude.
Pitta : 10 cl d’huile légèrement chaude
Kapha : 5 à 8 cl d’huile tiède

2 - Agni

Lorsqu’Agni est faible :
- comme en été,
- chez les personnes âgées
- après une mesure Śodhana de type purge

diminuer la quantité d’huile ou utiliser une huile de qualité plus légère.

Quand Agni est fort comme en hiver, utiliser des huiles plus lourdes et en plus grande quantité.

Attention : si le patient se fait masser pour la première fois, utiliser moins d’huile pour jauger sa réaction et sa tolérance.

Quel type d’huile ?

Afin d’éviter les indigestions, il est prudent de masser avec des corps gras ayant subi une cuisson (Snehana Kalpana).

L’huile sera choisie en fonction des effets recherchés :

- nourrir un patient Vāta
- ou éliminer les obstructions type Kapha
- ou refroidir Pitta
- ou apaiser Vāta

3 formules classiques :

- Kottamcukkadi Tailam : décongestionne Kapha, agit sur les indigestions, apaise les déséquilibres de type Vāta associé à Ama (polyarthrite rhumatoïde) ; contient de l’ail.

- Valiya Narayana Tailam : apaise Vāta quand il remonte vers le haut ou s’accumule (ballonnements, acouphènes, raideurs).
Nourrit les dhātu(s).

- Murivenna Tailam : utilisé pour Asti dhatu, fractures, entorses, inflammations, guérit les plaies.

02/01/2025
Ce matin, rituel cacao à la lumière de la belle bougie pomme de pin de Elsa Ozzola, Artisan cirier, un plaisir pour les ...
26/12/2024

Ce matin, rituel cacao à la lumière de la belle bougie pomme de pin de Elsa Ozzola, Artisan cirier, un plaisir pour les yeux et un doux parfum qui nous transporte dans les bois en cette période de Noël...😊
wwwelsaozzola.com

03/12/2024

L'inde est le pays où l'Āyurvéda est le plus pratiqué.

Le gouvernement indien reconnaît cette médecine avec en 2003 la création du ministère de santé AYUSH (Ayurveda, Yoga, Unani, Siddha, Homeopathy).

L’Ayurvéda a été formalisé par écrit en sanskrit.

Faire l’effort d’apprendre cette langue pour comprendre les textes classiques, puis aller en Inde pour apprendre l’Āyurvéda permet de bénéficier d'un savoir issu d'expériences transmises depuis des centaines d’années.

Ainsi, se pose la question : faut-il aller en Inde pour se faire soigner efficacement ?

Réponse : dans la pratique, l'Āyurvéda doit être adapté au contexte de l'individu et la France est fondamentalement différente de l'Inde.

Deux grands principes de l'Āyurvéda doivent être respectés :

1 – Premier principe : nous sommes tous différents.

Chaque traitement est étudié sur mesure après un diagnostic complet de l’individu.

Ainsi, appliquer l'Āyurvéda « indien » en France n'est pas pertinent.

L’exemple le plus connu est la consommation de lait par les indiens dès leur plus jeune âge et de manière quotidienne. L'Āyurvéda utilise le lait comme Anupana, adjuvant, en association à des remèdes.

La réalité est que beaucoup de personnes ne tolèrent pas le lactose.

2 – Deuxième principe : le patient doit consommer des plantes qui font partie de son environnement.

Les plantes mentionnées dans les textes classiques sont disponibles en Inde et font déjà partie du biotope des indiens qui vont les consommer.

De plus, ce n'est pas la mention d'une plante dans un texte qui la rend ayurvédique mais son utilisation avec la grille de lecture de l'Āyurvéda.

L'utilisation des plantes françaises, avec cette grille de lecture que sont les saveurs, les qualités, les potentiels et les actions, sera plus efficace.

Bien entendu, nos plantes européennes ne couvent pas tout le spectre des qualités recherchées.

Par exemple, il est difficile de trouver une qualité Tikshna, pénétrante, comme le poivre noir dans les plantes françaises.

Conclusion : l'Āyurvéda diagnostique l’individu dans son contexte, corrige son alimentation française et éventuellement y ajoute des plantes en provenance de l'Inde.

Dernière journée....clap de fin! Merci les filles pour ces belles énergies et ces moments de partage 😊Rdv au printemps p...
24/11/2024

Dernière journée....clap de fin! Merci les filles pour ces belles énergies et ces moments de partage 😊
Rdv au printemps pour un nouveau week-end de cheminement avec l'Ayurveda et le Cacao 😉🙏

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Saint-Bonnet-en-Champsaur, Provence-Alpes-Côte D'Azur
Saint-Bonnet-en-Champsaur
05500

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