26/11/2018
Les émotions positives seraient une arme contre les maladies ?
Le coeur est un organe musculaire creux, situé entre les poumons au milieu du thorax. C'est le moteur du système cardio-vasculaire, dont le rôle est de pomper le sang qu'il fait circuler dans tous les tissus de l'organisme. Pour répondre aux besoins énergétiques du corps, le coeur doit battre plus de 100 000 fois par jour. Comme tous les autres tissus de l'organisme, le coeur a besoin d'oxygène et de nutriments pour fonctionner correctement. Le sang qui circule dans le coeur va trop vite pour être absorbé par le coeur, si bien qu'il dispose de son propre système de vaisseaux, appelé artères coronaires, qui le vascularisent et lui apportent l'oxygène et les nutriments. Le coeur comprend quatre cavités. Les cavités supérieures sont appelées oreillettes. Elles sont petites, car elles ne peuvent contenir que 3 cuillères et 1/2 à soupe de sang à la fois. Les cavités inférieures sont appelées ventricules. Ils sont un peu plus gros que les oreillettes et peuvent contenir environ un quart de tasse de sang à la fois. Il est surprenant de voir que ces petites cavités sont chargées de pomper près de 8000 litres de sang par jour.
Dans la partie supérieure de l'oreillette droite se trouve un petit morceau de tissu cardiaque spécial appelé noeud sino-auriculaire (ou noeud sinusal de Keith et Flack). Cette région commande tout le mécanisme de régulation des battements cardiaques. C'est le stimulateur cardiaque naturel, chargé de déclencher et établir les battements cardiaques. Cette région minuscule commande à votre coeur d'accélérer lorsque vous courez ou que vous faites de l'exercice, et de ralentir lorsque vous êtes assis ou que vous dormez.
Je ne laisserai pas la tristesse prendre ce que je suis
Du silence au cri : le dramatique pendule émotionnel
La colère, cette vieille connaissance
Le cœur permet d’unifier tous les aspects de la personne, puisque c’est l’organe à travers lequel l’amour se canalise, à travers lequel on comprend l’incompréhensible et on pardonne l’impardonnable.
N’importe quel changement déclenche des comportements primitifs et si ces changements sont grands, ils peuvent durer assez longtemps, modifiant ainsi la personnalité jusqu’à changer la manière de prendre des décisions et d’agir au niveau émotionnel.
De plus, notre cœur est le centre duquel émanent les plus émotions authentiques et puissantes, les mêmes qui,mal régulées, peuvent provoquer des dommages irréversibles comme des maladies cardiaques.
Quand les émotions basiques sont déséquilibrées, et que la crainte ou la tristesse sont très présentes, une répression répétée avoir un impact sur les besoins expressifs de cet organe, générant alors une surcharge émotionnelle.
Les problèmes de cœur se manifestent sous forme d’arythmie, de palpitations, d’infarctus, de pouls faible, de tension sanguine et de tension dans la poitrine.
Parfois, les maux n’entrent pas par le corps mais par le cœur.
Quelle est le lien entre le cœur et les émotions ?
Des études scientifiques ont démontré que la communication entre le cerveau et le cœur se fait par deux voies.
En d’autres termes, le cœur envoie des signaux au cerveau tout comme le cerveau en envoie au cœur. En conséquence, si le cœur bat d’une manière cohérente (pas stressée), il envoie des signaux au cerveau pour qu’il élimine le stress via un processus physiologique de réduction d’hormones du stress et d’augmentation d’hormones positives.
Homme-coeur-cerveau
Le rythme cardiaque est un fidèle reflet de notre état émotionnel. La régulation émotionnelle d’une personne est reflétée dans ses battements de cœur qui à son tout a un impact sur le reste du corps.
Le corps interprète ses battements en lien avec l’état physiologique émotionnel dans lequel on se trouve, que ce soit des états émotionnels négatifs, stressés, tendus, de peur ou des états émotionnels positifs, joyeux, tranquilles, en paix, calmes etc.
Le changement psychologique qui se produit avec la modification du fonctionnement du cœur serait lié à la conscience intéroceptive, c’est-à-dire, à la manière dont notre cerveau interprète l’information de son propre état à ce moment-là.
Les émotions ne sont ni dans le cerveau ni dans le cœur, elles sont inter-connectées.
Comment les émotions affectent-elles le cœur ?
Les problèmes cardiaques sont, dans une certaine mesure, dus aux déséquilibres émotionnels, se manifestant dans de la nervosité, de l’anxiété, des problèmes pour contrôler d’autres émotions.
Au niveau psychologique, dans des comportements maniaco-dépressifs, de l’hystérie, des rires excessifs ou inappropriés, de la tristesse, de la vulnérabilité, du manque de volonté, de l’hypersensibilité, de l’insomnie. Au niveau mental, dans de la fragilité et des pertes de mémoire.
Tous ces déséquilibres émotionnels peuvent endommager grandement le cœur, au point qu’un déficit de contrôle émotionnel peut provoquer des problèmes dans l’abdomen supérieur, de la fragilité, de la chaleur, de la fatigue, un corps tendu, de la dépression, des maux de tête, du froid au niveau des extrémités, des douleurs d’épaules, des nausées et/ou de la transpiration excessive.
Ces symptômes, provoqués par le manque de contrôle émotionnel, sont ceux qui provoquent des problèmes de cœur comme les arythmies, les palpitations, les infarctus, le pouls faible, la tension sanguine et la tension dans la poitrine.
La prise de conscience de ces symptômes, avec la clarté des objectifs, peut nous faire savoir si nous sommes en harmonie avec nos pensées, nos sentiments et nos actions.
Cette prise de conscience provient de la rationalisation d’une vision claire et directe, qui émane de ce que notre cœur veut nous dire, aussi bien au niveau physiologique qu’au niveau émotionnel.
Contrôler les états émotionnels négatifs et favoriser les états positifs est le premier objectif sur le chemin de la transformation et de la guérison personnelles qui nous aidera à conserver une bonne santé émotionnelle et cardiaque.
Depuis longtemps, la médecine s'intéresse aux méfaits du stress pour la santé. Des découvertes récentes montrent qu'à l'inverse le mental peut avoir un effet bénéfique sur toutes sortes de pathologies. Etat d'un chantier prometteur.
Que le corps guérisse l'esprit, nul ne peut plus en douter. Les adeptes du yoga et du tai-chi le savent bien, qui retrouvent, par l'enchaînement de mouvements calculés, le calme et la sérénité intérieure. Mais que l'esprit, à son tour, guérisse le corps, pourrait sembler moins évident. Et pourtant... Les preuves en ce sens ne cessent de s'accumuler grâce, notamment, aux dernières découvertes en neurosciences.
Estelle Saget
Les pensées et les émotions qui siègent dans le cerveau ont en effet une influence sur la santé, comme le montrent un nombre croissant d'études. Elles peuvent entraîner des pathologies graves telles que l'infarctus, l'accident vasculaire cérébral (AVC), les maladies auto-immunes, voire le cancer. Mais - et c'est la bonne nouvelle -, elles permettent aussi d'éviter la maladie. Autrement dit, le mental, quand ses ressources sont bien utilisées, est capable de voler au secours du corps.
Prenons l'effet placebo, dont la réalité n'est plus à démontrer. Lorsqu'un médecin donne à son patient sans l'en avertir un faux médicament, une pilule de sucre sans principe actif, il obtient un effet thérapeutique réel, variable selon les individus. Même une consultation avec un spécialiste sans aucune prescription peut, selon des travaux récents, alléger la douleur, améliorer le sommeil, soulager la dépression et diminuer les symptômes dans bon nombre de pathologies, dont le syndrome du côlon irritable, l'asthme, la maladie de Parkinson, les troubles cardiaques et la migraine.
Plusieurs expériences ont montré que la présence et l'attitude du médecin modifient les réactions émotionnelles du patient, lequel ressort du cabinet moins anxieux et plus optimiste. Mieux, les chercheurs se sont aperçus que des indices et des symboles perçus de manière inconsciente, comme la blouse blanche ou le diplôme du médecin affiché sur le mur, mettaient le patient dans une disposition mentale propre à lui faire ressentir une amélioration.
Les vertus thérapeutiques de la félicité conjugale
Par quel mécanisme obtient-on ainsi un effet sur la sévérité de la maladie ? Il semble que le cerveau, après traitement par placebo, fabrique lui-même les substances actives, à l'exemple des opioïdes, qui réduisent la douleur, comme le ferait une piqûre de morphine. Une véritable usine à gaz, loin d'avoir livré tous ses secrets.
Phénomène tout aussi intriguant, les gens mariés ont moins de risques de développer une pneumonie, de subir une opération chirurgicale, de développer un cancer, de subir un infarctus ou de souffrir de démence. Ce fait établi a donné lieu à de nouvelles recherches, qui ont permis d'affiner le tableau. En étudiant plus précisément la qualité des relations conjugales, les scientifiques ont découvert que l'effet protecteur du mariage disparaissait en cas de disputes fréquentes dans le couple.
Les personnes "mal" mariées se révèlent même en plus mauvaise santé que celles restées célibataires ! Des expériences menées aux Etats-Unis montrent notamment qu'au sein des couples qui se déchirent les défenses immunitaires des intéressés s'affaiblissent et les coupures sur la peau mettent plus de temps à cicatriser. C'est donc la félicité conjugale, et non la vie commune en elle-même, qui serait bénéfique pour la santé.
Unis pour le meilleur? Le bonheur conjugal a des effets bénéfiques attestés sur la santé.Unis pour le meilleur? Le bonheur conjugal a des effets bénéfiques attestés sur la santé.Getty Images/Wavebreak Media
L'explication ? L'écoute, les gestes, le soutien d'un conjoint réconfortant permettent une meilleure régulation des émotions négatives, dont les effets délétères sur l'organisme sont désormais prouvés. La colère est un exemple. Dans les deux heures qui suivent un emportement, le risque pour un individu de souffrir d'un infarctus est multiplié par cinq et celui de souffrir d'un AVC par trois, selon la méta-analyse (une synthèse des résultats de toutes les études publiées dans le monde sur le sujet) effectuée par une équipe américaine et parue le 4 mars dans la r***e European Heart Journal. Ce risque reste faible en valeur absolue, mais il constitue une menace réelle pour les personnes connaissant des accès de colère récurrents.
Les voies qu'emprunte l'esprit pour parler au corps sont de moins en moins impénétrables. De nouvelles disciplines ont aussi émergé, croisant plusieurs spécialités et portant, de ce fait, des noms à rallonge. La psychoneuroimmunologie associe la psychologie, la neurobiologie et l'immunologie (l'étude de notre système de défense contre les microbes). Elle vise à comprendre la manière dont le psychisme influe sur l'organisme. Même finalité pour la psychoneuro - endocrinologie, qui implique l'endocrinologie (la science des hormones).
Les défenses immunitaires amoindries par le stress psychologique
La neuropsychanalyse, elle, se propose d'explorer les convergences possibles entre les neurosciences et la psychanalyse. En jeu, à chaque fois : le rôle du stress psychologique, qu'il provienne du travail, des relations conjugales ou familiales, ou encore d'événements traumatisants tels qu'un deuil. Confronté à l'adversité sur une trop longue période, l'individu voit se réduire ses défenses immunitaires et subit des phénomènes chroniques d'inflammation tandis que, à l'échelle des cellules, l'usure de ses chromosomes s'accélère.
Face au danger, notre organisme, depuis les origines de l'homme, se prépare instantanément à l'action - le combat, ou la fuite - en produisant des hormones qui dilatent les bronches, accélèrent le coeur et le rythme de la respiration. Si le danger s'évanouit, le métabolisme revient à la normale. Mais si la situation stressante perdure, ce bain d'hormones finit par devenir nocif.
C'est ce qu'explique de manière très didactique la pédiatre Catherine Gueguen dans le livre Pour une enfance heureuse, repenser l'éducation à la lumière des dernières découvertes sur le cerveau, qu'elle vient de publier aux Editions Robert Laffont. "La sécrétion prolongée de cortisol [l'une des hormones du stress] peut modifier le métabolisme et l'immunité de l'organisme, entraîner le développement de maladies chroniques et de maladies auto-immunes (diabète, sclérose en plaques, polyarthrite rhumatoïde)", écrit-elle, citant une recherche publiée en 2013.
Cultiver des relations de qualité avec ses proches
A l'inverse, d'autres hormones se révèlent bénéfiques pour la santé, comme l'ocytocine, un puissant anxiolytique. "Elle est sécrétée lors de toute stimulation sensorielle douce : les mots doux, la tétée [pour le bébé], le contact tendre, les caresses, les baisers, l'orgasme, mais aussi le simple contact avec l'eau chaude", note le médecin. L'ocytocine est aussi libérée, en dehors de tout contact physique, lorsqu'on entretient une relation agréable avec autrui.
"Toute interaction harmonieuse, une ambiance chaleureuse, une conversation agréable, un plaisir partagé provoquent la sécrétion d'ocytocine, poursuit-elle. Même un simple échange de regards, s'il est bienveillant, et même la seule évocation des êtres que nous aimons." Par quel biais ? "La libération d'ocytocine met en route l'activité parasympathique [ralentissement automatique des fonctions de l'organisme destiné à économiser l'énergie] avec tous ses effets physiologiques : la tension artérielle baisse, l'organisme passe de l'excitation musculaire prête à l'action provoquée par le stress à un régime réparateur où l'énergie sert au stockage des nutriments et à la croissance. L'activation du système nerveux parasympathique élève également le seuil de la douleur, nous rendant moins sensibles aux inconforts. Il renforce l'immunité, aide au transit intestinal et favorise la cicatrisation."
Pour profiter à plein des effets de l'ocytocine, mais aussi des endorphines et de la sérotonine, toutes ces molécules du bien-être, un seul mot d'ordre : cultiver des relations de qualité avec ses proches. Car la libération de ces substances est conditionnée à la tonalité des échanges, à l'ambiance dans laquelle on évolue et aux contacts physiques que l'on établit avec les autres. On peut d'ailleurs améliorer ses relations affectives en suivant une psychothérapie de couple ou individuelle. Quant aux méfaits du stress, on les combat efficacement en utilisant des techniques qui ont fait leurs preuves telles l'hypnose, la relaxation, la sophrologie, la cohérence cardiaque et la méditation.
Dans le yoga, discipline millénaire, corps et esprit sont intimement liés.Dans le yoga, discipline millénaire, corps et esprit sont intimement liés.Reuters/Zainal Abd Halim
On ne cesse, d'ailleurs, de découvrir de nouvelles vertus à cette dernière pratique, millénaire et d'inspiration bouddhiste (voir L'Express no 3289). Entre 1970 et 2010, le nombre d'études scientifiques sur cette activité est passé de moins de 10 par an à près de 300, selon les données citées dans L'Esprit est son propre médecin (de Jon Kabat-Zinn et Richard Davidson, éditions Les Arènes). Les chercheurs ont notamment enregistré des résultats probants dans la dépression, l'addiction, les déficits de l'attention et la douleur. Leurs travaux se font désormais de plus en plus pointus.
Rééduquer son cerveau en pratiquant des exercices appropriés?
Certains vont jusqu'à comparer différentes variantes de la méditation bouddhiste tibétaine. Le yoga de la déité, par exemple, consiste à visualiser une image complexe et multicolore en trois dimensions représentant une divinité tibétaine. Dans la méditation ouverte, le méditant entretient une attention également répartie et non dirigée vers un objet ou une expérience particuliers. "Avec la première technique, les sujets montrent une plus grande amélioration de leurs facultés mentales sur une tâche de rotation mentale et sur une tâche de mémoire visuelle", indiquent Jon Kabat-Zinn et Richard Davidson.
Autre solution pour mieux affronter une situation difficile et préserver ainsi son organisme d'un stress trop intense : chercher davantage de soutien social. Dans une société plus individualiste que par le passé, on commence seulement à redécouvrir l'importance de l'aide apportée par le réseau des amis ou de simples connaissances, sur les plans à la fois matériel et mental. De nombreuses études en psychologie de la santé l'attestent. Les plus récentes montrent d'ailleurs que ce n'est pas tant le nombre de personnes qui compte, que l'intime conviction de pouvoir compter sur elles. Il est physiologiquement bienfaisant de penser qu'il existe des individus capables de se mobiliser pour nous en cas de besoin et aux yeux desquels nous avons de l'importance.
En somme, des gens qui se soucient de nous. Les relations sociales existantes constituent des ressources clefs, mais on peut également en cultiver de nouvelles. On sous-estime à quel point l'appartenance à une communauté, un club sportif, un syndicat, une association, contribue au bien-être.
Et demain ? L'être humain pourra peut-être rééduquer son cerveau en se livrant à des exercices appropriés, comme il rééduque déjà son dos ou son genou par des séances de kinésithérapie. Parmi les techniques encore au stade expérimental, la plus en vogue est sans doute le neurofeedback. Dans cette forme de "coaching" de l'organe de la pensée, le patient se concentre sur une idée ou une tâche et visionne en retour sur un écran son activité cérébrale. Il peut ainsi s'entraîner à la normaliser, en orientant sa réflexion sur le sujet qui diminue ou augmente le plus les signaux électriques envoyés par les neurones, selon l'effet recherché. Les scientifiques utilisent ce principe pour lutter contre les insomnies, l'hyperactivité, l'épilepsie, la maladie de Parkinson et la dépression. Plus ludique, la réalité virtuelle semble en passe de tenir ses promesses.
Personnellement, lors des séances à mon cabinet, j'enseigne aux personnes qui le désirent la visualisation en 3D permettant d'augmenter les pouvoirs de la pensée positive sur l'émotionnelle.
LA VISUALISATION EST UN OUTIL PUISSANT POUR CHANGER VOTRE VIE !
Pour protéger ou retrouver la santé.
LA VISUALISATION EST UN OUTIL PUISSANT POUR CHANGER VOTRE VIE
Pour protéger ou retrouver la santé.
Aider à guérir par la " la Visualisation positive en 3D "
Une technique douce aux effets puissants pour combattre l'insomnie, chasser les kilos, vaincre la timidité, résister au tabac et à l'alcool, lutter contre la maladie...
La visualisation est une activité naturelle, en grande partie automatique, mais que vous pouvez développer et utiliser dans le but de vous transformer.
Sur votre écran mental, apprenez à vous visualiser tel que vous souhaitez être. Les résultats ne se feront pas attendre et ils vous étonneront !
Quelques minutes de visualisation peuvent effacer des semaines de pensées et d'actions négatives.
Trois séances de cinq minutes par jour peuvent modifier une habitude qui a mis des années à s'installer.
LA VISUALISATION est l'art de rendre notre pensée agissante, de lui donner un corps et de la force, en l'associant à un but de qualité avec des émotions positives.
VISUALISER nous permet peu à peu de maîtriser et favoriser notre accomplissement personnel.
LES FACTEURS ACTIFS DANS LA VISUALISATION ( 3D )
1) La force de la pensée avec la faculté de projeter une énergie psychique avec sa pensée.
2) La concentration, c'est-à-dire la capacité à être focalisé sur quelque chose de précis, et de pouvoir stopper toute pensée annexe ou distrayante.
Il s'agit de pouvoir atteindre une attention à 100% sur ce que l'on a envie de visualiser ou sur ce que l'on fait.
3 ) La cohérence interieure entre les buts et les désirs, nos émotions, notre personnalité sociale, notre inconcient et notre âme, ne doivent être ni en contradiction ni en divergence avec l'objectif de la pensée agissante. Ceci demande donc une bonne harmonie corps-psyché-esprit.
4) Que cette visualisation soit riche et diversifiée au niveau sensoriel,qu'elle fasse intervenir au moins trois sensations : couleurs, toucher, odeurs, impression, forme, etc...
5) Etre et agir en harmonie avec sa véritable nature, être en phase avec notre développement intérieur.
Je me tiens a votre disposition pour vous apprendre :
Comment améliorer vos capacités déjà existantes, comment maîtriser cette activité automatique et comment l'utiliser consciemment pour être heureux, en forme et en bonne santé physique et mentale.
SUR RENDEZ-VOUS : 0296781172 / 0675552565 / 0975641021