Aucoeurdenosmemoires

Aucoeurdenosmemoires Conseillère en Psychogenealogie

L’artiste au grand cœur a enfin accepté de se dévoiler ! 🙂🌳
18/07/2025

L’artiste au grand cœur a enfin accepté de se dévoiler ! 🙂🌳

23/06/2025

Retour d'expérience #1, l'importance de récupérer et vérifier les actes d'état civil

https://www.facebook.com/share/p/1CQ7LRYQQk/?mibextid=wwXIfr
14/06/2025

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COMPRENEZ POURQUOI LES « SECRETS DE FAMILLE » PRODUISENT DES MALADIES
Alejandro Jodorowsky

Il dit qu'un « arbre en bonne santé » est celui qui produit des fruits doux et nutritifs, même si dans son apparence extérieure il est un arbre « tordu »...
Un « arbre majestueux » qui produit des fruits « toxiques » est un arbre malade...

Guérir c'est trahir l'intention primitive de notre arbre généalogique...
Dire non, rompre le contrat de maintenance névrosée de l'arbre...
“La guérison de l'arbre généalogique consiste à enlever la répétition, la comprendre ou la répéter sous une forme positive”...

Qu'est-ce que la famille
La famille c'est la permanence, elle était là avant notre arrivée... , Nous lui appartenons tant que nous vivons et continuerons d'exister après nous...
C'est une génération de vivants, qui marchent au moins avec deux générations de morts sur le dos jusqu'à la ligne d'arrivée, où c'est à lui de monter sur le dos de la prochaine génération de vivants...

Suis-je ma famille ?
Rappelons-nous que du point de vue de la « métagénéalogie » Chacun de nous est habité par les « Trois générations qui le précèdent, ce qui fait au moins 14 personnes »...

De ce point de vue, nous considérons que les secrets gardés en une génération sont une source malsaine de traumatismes et de conflits pour ceux qui arrivent derrière...

Y a-t-il un lien entre la maladie et les secrets de famille ?
La relation entre la maladie et les secrets de famille devient assez évidente dans l'étude des arbres généalogiques...

La famille est comme un pot psychologique rempli de :
Secrets
Tabous
Silence
Honte...
Folies, vols, infidélité, prison, inceste, abus...
Ainsi, la maladie n'est pas la solution du problème, mais une invitation à faire face à un conflit familial qui est resté secret...

Françoise Dolto a écrit :
« Ce qui est silencieux dans la première génération, la deuxième le porte dans le Corps »...

Quelles choses, au niveau psychogénéalogique, on charge dans le corps ?
Sur le côté droit...
il y a l'héritage paternel...
Côté gauche...
L'héritage maternel...
- Le Ventre... La Mère...
- Le dos... les Padres...
- Parents divorcés, ou les pointes des pieds séparées...
- Peur de la sexualité, bassin en arrière...
- Ils ne t'ont pas aimée, poitrine endurci et insensible...
Si je n'utilise pas de mots pour exprimer ma douleur, l'exprimerai-je avec mon corps ?
Anne Ancelin Schützenberger l'a étudié à fond :
- Les duels non faits
- Les larmes non versées
- Les secrets de famille
- Les cartes d'identité inconscientes... et
- Loyautés familiales invisibles...

Ils se promènent sur les fils et les descendants...
"Ce qui ne s'exprime pas par des mots s'exprime par des Dolores"...
"Ou par accident", Comme le cas d'une arrière-petite-fille qui perd sa virginité par accident à l'âge de sept ans (en jouant au saut à la perche) et en étudiant son arbre, elle découvre que son arrière-grand-mère a été le fruit d'un viol, conçu à la même date que l'épisode s'est produit...

Comment peut-on observer les secrets dans l'arbre généalogique ?
Lorsque l'arbre veut vous révéler un secret, il crée une structure, quelque chose qui se répète, c'est ce qu'il veut appeler Votre attention...
Par exemple une date qui se répète, un style de choix de couple, des accidents avec des ingrédients similaires...

Ces secrets sont gardés par honte, pudeur, protection des enfants ou protection de soi devant la Société...
♪ Où se situent ces secrets ?
Chaque secret que nous avons est dans la strate qui lui revient (les quatre 4 ego) :
1. Mes idées folles secrètes, on peut les identifier au niveau de mes « arrière-grands-parents »
2. Mes émotions secrètes sont dans mes « grands-parents »
3. Mes secrets sexuels-créatifs sont dans mes "parents"
4. Mes secrets matériels, de territoire, sont dans mes "frères"

Lorsque le secret est porté par un membre de la famille, celui-ci le vit comme un corps étranger et ennuyeux, son corps le vit comme une tumeur ou un bolus alimentaire qui doit sortir...
Nous ne devons jamais dire de secrets aux enfants, c'est de la maltraitance.!!!

Nous connaissons aussi le pouvoir de la communication non verbale, si quelqu'un devant vous se tait une information importante, il se dénoncera tôt ou t**d avec un geste inconscient...
Freud disait :
“Celui dont les lèvres se taisent, parle avec le bout des doigts...

Il se trahit par tous les pores. »
Claudine Vegh disait :
« Il vaut mieux connaître une vérité, même si elle est difficile, honteuse ou tragique, que de la cacher, car ce qui se tait est subordonné ou deviné par les autres et ce secret devient un traumatisme plus grave à long terme »...

Les secrets doivent être aérés s'ils sont du présent, de la manière la plus appropriée et au moment le plus propice, ou les guérir par la psychomagie s'ils sont du passé...

*"Un outil utile est de dessiner l'arbre guéri" 😘
Il s'agit de faire une pièce dans laquelle nous représentons tous les membres, avec des dessins ou des photos collés en mode Collage...

À chacun de nous, nous mettrons son objectif accompli, tout ce que nous leur donnons nous le donnons à nous-mêmes, et là apparaîtront tous les secrets transformés en bénédictions...
L'arbre garde des secrets, tout en essayant de les révéler...

Dans tout arbre apparaît à un moment donné un héros, celui qui le guérit et se guérit, celui qui ose construire l'arbre généalogique...
Il n'y a pas d'arbres sains parce que nous vivons dans une société malade...
“La guérison de l'arbre consiste à enlever la répétition, la comprendre ou la répéter sous une forme positive”...

[Alejandro Jodorowsky]
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07/05/2025

Le droit de vote pour les femmes Le 29 avril 1945 marque une date historique pour la France : c’est la première fois que les femmes françaises ont pu voter. Source : Légifrance Ce droit, longtemps contesté, fut enfin reconnu grâce à une avancée décisive prise un an plus tôt. En effet, le ...

Dernièrement, j’ai eu la chance d’entamer un cursus de formation en Réflexologie plantaire . J’en suis moi-même encore t...
01/05/2025

Dernièrement, j’ai eu la chance d’entamer un cursus de formation en Réflexologie plantaire . J’en suis moi-même encore toute retournée. Moi, la fille « sans-contact », un peu « collée au plafond », perdue dans les méandres de ma psyché, me voilà impliquée dans cette aventure sensorielle, dans cet enjeu relationnel, qui unit deux individus dans leur humanité.

Toucher.
L’étymologie de ce mot provient de « Toccare » qui signifie : heurter, frapper à la porte.
Toc, Toc Toc, mais qui va là ?
Quel est ce dialogue muet qui vient de s’amorcer ? Qui vais-je rencontrer ? Au-delà de tous les courants toxiques et nauséabonds tels que « me too », il faut bien avouer que le toucher, au sens noble du terme, est bel et bien un acte en voie de disparition, voire d’extinction.

A ce sujet, j’ai lu récemment sur internet avec effroi, qu’il existait au Japon des « bars à câlins ».
Voilà donc où notre société en est rendue…Est-ce cela la destination finale de notre civilisation ? Payer pour être touché et avoir un peu de tendresse…
N’aurions-nous pas « perdu la main » sur la gestion de notre humanité ? L’enfermement et l’isolement de notre monde contemporain sont tout simplement effarants.

Il n’y a qu’à se rendre dans un métro, ou un quelconque transport en commun, pour s’apercevoir du déclin de notre époque. Les regards sont fuyants, rivés sur des écrans, les oreilles reliées à des écouteurs et ce n’est surement pas pour mieux écouter, nuque baissée , la méfiance est de mise, et si par mégarde, le frôlement s’invite, le recul est tout de suite amorcé.
« Oups Pardon ! »
Pardon de vous avoir effleuré.e….

Bienvenue dans le contre-sens de nos 5 sens , ou quand la défiance de l’autre prend sa source dans la carence, la distance , la perte de sens, bref la décadence.
A l’origine, faut-il rappeler que nous sommes des êtres humains, et nous avons besoin d’une réalité « palpable », de contacts, de chaleur humaine, d’étreintes, de poignées de main, d’embrassades, de sourires, de voix chaleureuse et d’une écoute attentionnée pour que la confiance en l’autre gagne du terrain.
Rencontrer l’autre, c’est l’approcher dans sa globalité.
Plus grave encore, l’absence de lien et de gestes affectueux auront à terme, on le sait bien les études scientifiques le prouvent, un impact désastreux sur notre bien-être et notre Santé mentale.
Pourtant, conditionnés par un diktat digital exacerbé, nous passons nos journées, à toucher des écrans tactiles, à scroller sur des réseaux qui n’ont rien de sociaux, planqués derrière cette lumière bleue, cette fausse lumière qui nous aveugle, et nous coupe de notre verticalité. Nous nous connectons à longueur de journée au « Grand Virtuel » pour nous déconnecter chaque jour un peu plus , de notre « Essence -ciel ».
Et si on retournait un peu à nos origines, à ce côté tribal que nous avons occulté ?
Et si au lieu de s’envoyer des textos et des smileys, on communiquait avec la vibration des mots, le charme d’un sourire radieux, la finesse de l’écoute, le regard pétillant, et la magie de la chair qui protège, console, accompagne ?

Le toucher
Ce premier sens à notre arrivée et qui sera sans doute le dernier lors de notre départ, avec cette main qui accompagne de l’autre côté.
Alors, en attendant d’avoir le privilège de pouvoir toucher vos pieds, en attendant d’aller à la rencontre de votre intimité et surtout d’y être autorisé, j’espère que ces quelques lignes, au plus profond de votre être et de votre chair, vous auront… touché.e.s.

Dernièrement, j’ai eu la chance d’entamer un cursus de formation en Réflexologie plantaire . J’en suis moi-même encore toute retournée. Moi, la fille

A ma famille endeuillée,« Quand on ne peut plus rajouter de jours à la vie, on peut encore rajouter de la vie aux jours ...
16/03/2025

A ma famille endeuillée,

« Quand on ne peut plus rajouter de jours à la vie, on peut encore rajouter de la vie aux jours ». Anne-Dauphine JULLIAND.

« Rajouter de la vie aux jours » fait partie de mes livres « coup de cœur ». Un diamant à l’état pur, une perle trouvée dans un écrin de noirceur.

Cette femme a vécu 3 déflagrations dans sa vie de mère de famille . A quelques années d’intervalle, elle perd 3 de ses 4 enfants. 2 puis 1, ce qui fait bien 3 coups de tonnerre dans un ciel serein.
Témoignage bouleversant d’une mère en détresse, qui jamais ne sombre dans la tristesse.

Ouvrage dont j’ai pu savourer chaque mot, chaque phrase, chaque paragraphe, prêtant à chaque fois à une profonde réflexion sur notre rapport à la perte, à la mort, à la finitude, à l’après, et bien sûr aussi à l’instant présent . Sans jamais sombrer dans le drame, tout en élégance et en poésie, Anne-Dauphine nous embarque dans sa « vie d’après », après les grands chaos, après les grands fracas, dans une famille ordinaire où le bonheur, à trois reprises, a volé en éclat.

Ode à la vie, à la banalité, au quotidien sans lui, sans elle, sans eux . Car bien loin de l’Au-delà, la trame de ce récit se situe bel et bien dans l’Au-d’ici .

Le travail de deuil commence toujours dans nos mètres carrés habitables, dans notre proximité et c’est bien là qu’est toute la difficulté.
Avec eux qui restent,
Avec la solitude qui s’installe,
Dans la recette de son gâteau préféré,
Dans l’attente d’un coup de fil qui ne viendra plus,
L’odeur des petits plats cuisinés
Les petits riens du quotidien qui sont bien souvent d’une extrême cruauté.

« On perd ceux qui meurent une fois en entier, puis on les perd sans cesse en détail."

Car il en faut du courage pour continuer. Faire comme si rien n’avait changé. Il faut bien aller bo**er. Aller à l’école. Faire ses courses. Préparer à manger. Rencontrer des gens , Leur parler. Enfin se forcer. Affronter le regard des autres, de tous les autres. Même de ceux qu’on cherche à éviter

Ce regard qu’on a envie de fuir, qui nous embarque à des milliers de km, car il nous renvoie à l’absence de ceux qu’on a aimés.
Survivre avec ce paradoxe du vivant, des survivants, ceux qui restent sur le bas-côté alors que tout notre socle s’est effondré, alors que plus rien n’a de sens , alors que le goût de vivre s’en est allé.

"Rajouter de la vie aux jours", c’est aussi faire un peu de place à notre souffrance, la laisser s’installer le temps qu’elle aura besoin pour pouvoir s’exprimer. Conjuguer La vie qui passe avec l’absence, exprimer sa tristesse et sa peine ; sans avoir jamais à se justifier.

On le sait bien, à la fin il y a 4 planches face à l’éternité, cette fameuse chronique d’une fin annoncée , cette destination finale qui se moque du temps qui nous est compté. Alors que fait-on du reste à vivre qui nous est octroyé ? On fait quoi du reste à aimer ?
Vivre « sans eux » est d'une exigence absolue. Mais qu’on le veuille ou non, la vie nous appelle, et nous rappelle, nous porte avec ses ailes, guidée par le regard malicieux de tous nos chers disparus, ça j’en suis convaincue.

Alors souvent, je pense à eux, et je pense à elle. A ceux qui ne sont plus. Je me dis que j’ai eu beaucoup de chance de les avoir connus et me réjouis pour ce qui a été vécu.

Véronique,

On y est, le 20 mars prochain, c’est le clap de fin de la saison froideIl est vrai que L’hiver, ce parent pauvre et misé...
01/03/2025

On y est, le 20 mars prochain, c’est le clap de fin de la saison froide

Il est vrai que L’hiver, ce parent pauvre et misérable saisonnier, n’a pas bonne presse dans nos contrées, saison ingrate dont on a hâte d’en sortir avant même d’y avoir mis les pieds.

Mais à quoi sommes-nous renvoyés pour que cette saison soit autant mésestimée ?

A nos hivers personnels, à la rudesse de notre parcours de vie, à nos désespoirs de soirée, à la disparition, à la perte, à l’attente, au néant, au plus-rien, au vide absolu, à la stérilité, à la mort aussi car plus rien ne pousse sur notre territoire gelé.

Alors que l’hiver nous invite à l’introspection, au « pas-bouger », à la réflexion, au dépouillement, alors que ce dernier retient le temps qui s’écoule doucement, et qu’il tire sa révérence, le printemps, lui, se précipite pour rentrer dans la danse.

Dès que la belle saison pointe le bout de son nez, il souffle comme un soulagement, un ouf de libération, une brise de légèreté qui vient rajouter quelques degrés à notre baromètre de l’humeur.

C’est curieux comme tout ce qui paraissait impossible début janvier devient soudainement accessible dès fin février.

On gagne en lumière ,1h de plus par jour, et les plus belles perspectives sont de retour.

Les idées bourgeonnent, les projets foisonnent, on en a plein la tête, plein les mirettes. Haro sur les factures d’énergie et les longs manteaux, et bienvenus aux tissus légers, aux terrasses extérieures blindées, et aux diabolos.

C’est vrai avouons-le, sans la rigueur de la grosse saison, la douceur printanière n’aurait pas tout à fait le même saveur.

Alors avant d’acclamer l’audace de ce renouveau et ses infinies possibilités, je crois qu’il est de bon ton de remercier la triste saison hivernale, pour son travail si méprisé : nettoyer, purifier, détoxifier avant de pouvoir ensemencer.

La renaissance du printemps n’a de sens que par ce qu’elle puise son essence dans ce terreau fragile et stérile du dépouillement et de la nudité et que l’hiver a pu réaliser son œuvre avec toute l’ingratitude qui lui est souvent conférée .

Les cycles saisonniers sont à l’identique de nos cycles intérieurs, c’est bel et bien dans nos pénombres, nos zones d’ombre, nos grottes sombres, que la vie et la joie peu à peu reprennent leurs droits.

C’est au cœur de notre météo interne, lorsque la mélancolie s’installe, dans l’œil du cyclone là où l’ombre gagne du terrain que la lumière vient se nicher, nos yeux tournés vers le ciel guettant la moindre parcelle d’un soleil pour nous galvaniser.

C’est bien lorsqu’il n’y a plus rien que le champ des possibles s’ouvre enfin à nous lorsque la terre se gorge de promesse, et oui l’herbe repousse toujours après un sol gelé.

Alors accueillons le temps précieux des éclosions et des bourgeons avec toute notre effervescence, accueillons ce renouveau, cette légèreté et toutes ces espérances, et accordons-nous enfin, en ces prémices printaniers, une belle renaissance tant méritée.

Véronique,

On y est, le 20 mars prochain, c’est le clap de fin de la saison froide

Loin du battage commercial de cette journée si particulière dans l’année, et par curiosité, j’ai cherché à savoir qui ét...
08/02/2025

Loin du battage commercial de cette journée si particulière dans l’année, et par curiosité, j’ai cherché à savoir qui était vraiment ce St VALENTIN, qui surgit dans nos vies un 14 février, et qui voyage incognito dans les sphères marketing du prêt-à-aimer.

Entre légende et réalité, l’histoire de Valentin de Terni est plutôt dramatique, bien loin d’être romantique.

Ce saint, qui était un prêtre, fut décapité en 269 avant JC pour avoir béni des mariages illicites à l’époque, et je vous le donne en mille , c’était un 14 Février !

Voilà donc un joli conte sordide à susurrer à l’oreille de son amoureux dans la pénombre de cette sublime soirée, pour enfin être ….tranquille pour la nuitée !

Non l’Amour ne se vend pas à la criée, je crois qu’il ne se cherche pas non plus, ne se trouve pas, et qu’il se cultive tout d’abord dans un espace au fond de soi.

Je crois que l’Amour le plus authentique se fout pas mal des calendriers, des saints à honorer et des injonctions à aimer !

Je crois que l’Amour du premier jour n’existe pas. Oh non, loin de là, Il se construit et doit se réinventer chaque jour du tout premier au dernier petit pas

Je crois que l’Amour est une histoire d’audace. Oser dire. Trois mots seuls parfois suffisent, pour confesser ses frissons et plonger dans le précipice de la déclaration.

Je crois que l’Amour est une Union, voire une réunion de deux êtres destinés à évoluer et grandir ensemble, et à faire de leur vie une unique traversée.

Je crois bien que tous les empoisonneurs qui s’agitent autour de nous sont en manque. Oui, en grand manque de ces mots là et ça crève les yeux et les sens, c’est évident. Le manque d’Amour, ça peut rendre pauvre et con à la fois.

Je crois enfin et surtout que l’Amour au-delà des soirées tamisées au chandelier, a une autre destinée : allumer une Flamme universelle comme un grand brasier qui donnera à nos vies le goût d’aimer à l’infini

Et si le sentiment amoureux, sorti du cliché love-love qu’on veut bien lui accorder, devenait un amplificateur et un multiplicateur de bonheur, de joie et de paix au format mondial, sans aucune armure, ni demi-mesure et sans aucun mobile apparent ?

Ainsi en faire voir 36 chandelles à ce monde devenu collectivement absurde, sidérant et violent .

Se décider à entretenir enfin les Feux de nos Amours pour d’éternelles saisons.

Nous accrocher aux feux de la rampe de cet Amour Universel, comme une urgence à oser dire ces mots qui engagent, les redire, les répéter inlassablement et pouvoir s’aimer à en tutoyer les étoiles jusqu’au au firmament.

Telle est ma déclaration.

Véronique

Loin du battage commercial de cette journée si particulière dans l’année, et par curiosité, j’ai cherché à savoir qui était vraiment ce St VALENTIN, qui

L’autre jour une amie, qui a lancé sa chaine You Tube  récemment, me dit : « mais pourquoi tu ne fais pas des vidéos ? »...
29/09/2024

L’autre jour une amie, qui a lancé sa chaine You Tube récemment, me dit : « mais pourquoi tu ne fais pas des vidéos ? »

C’est vrai et Je l’avoue ici je suis fondamentalement terrorisée à cette idée-là. C’est tellement plus facile pour moi de me cacher derrière mes textes, de ramper derrière mes mots, de me planquer derrière Facebook que l’idée même de me voir sur un écran me parait insurmontable. Et pourtant au fond de moi je sais que j’en suis capable pourtant une partie de moi s’y oppose fermement : ce que j’appelle le dictateur intérieur ou le censeur, celui qui nous empoisonne depuis trop longtemps déjà , à grand coup de : « tu es trop , tu es pas assez , si c’était si facile ça se saurait, c’est pas pour toi , c’est trop t**d, c’est trop tôt » etc.

Trop vs pas assez : vous connaissez ?

Parce qu’il faut bien le reconnaitre, s’il y a un domaine dans lequel nous sommes nombreux à friser l’excellence, et j’en suis un bel exemple, c’est bien l’art de l’auto sabotage.
J’ai dû attendre 59 ans pour arrêter de foirer le bonheur .

Car vraiment c’est tout un art, de sacrifier nos valeurs, nos capacités, notre potentiel, nos talents même cachés et nos amours sur l’autel de la médiocrité.

C’est donc ainsi que toute une stratégie plus ou moins consciente va se mettre en place pour ne jamais y arriver. Tout sera mis en en œuvre, consciemment ou inconsciemment, pour chuter, pour créer notre propre zone de chaos, et pour qu’au final, et bien tu vois ça ne fonctionne pas ! Ainsi , et c’est très confortable, on se maintient avec ce que l’on nous a toujours appris : resté cloisonné dans les arènes de notre zone de connaissance, au moins on en connait les limites et les pourtours, et c’est très bien ainsi.

Mais pourquoi un tel gâchis alors que nous sommes j’en suis certaine, si nombreux et nombreuses, à envisager une vie différente, à rêver d’un compagnon qui nous accompagne vraiment, à vouloir changer de région , à être en quête d’un job plus approprié, à vouloir apprendre un instrument de musique ou une langue étrangère même après 60 ans, bref à avoir envie d’incarner une vie et des passions qui nous ressemblent

D’ailleurs, je m’interroge ici, sommes-nous vraiment tout seul à nous auto saboter ? N’y a-t-il pas, au demeurant, toute une équipe avec nous, une sorte injonction familiale à saboter les rails de la voie ferrée?

Pas si aisé de réussir ou d’engager une quelconque action quand tout son clan ne s’y est jamais risqué

Pas si simple de se réj***r lorsque toute sa lignée a endossé un profil masqué et résigné.

Car finalement se saboter, c’est reprendre le contrôle de ce qui nous est familier, la peur, le routine, l’immobilité et après tout attention pour certains ça leur va bien, et tout est juste.

Mais je m’adresse précisément à tous les autres, à ceux qui aimeraient améliorer leur CV, disons le Cours de leur Vie. Que faisons-nous de cette légende intérieure qui nous anime et qui ne demande qu’à être racontée ? De cette petite flamme qui aimerait tant s’allumer mais que notre Ego va très vite étouffer par peur d’échouer , pour nous protéger .

Nous sommes tellement peu habitués à envisager notre trajectoire sous d’heureux auspices, alors pour une fois, apprenons différemment et mettons un peu d’ambiance .

Renonçons au renoncement et résistons à la résistance !

Que se passerait-il dans notre tête et dans notre cœur si la stratégie s’inversait et que tout fonctionnait à merveille ? Serait-ce donc si dérangeant d’être en confiance une fois dans sa vie et d’envisager un horizon différent et bienheureux ?

Alors, puisse cet halo lumineux, qui sommeille secrètement au fond de notre temple intérieur, se réveiller un jour enfin, et nous mener sans peur et la tête haute , vers cette destination qui est la nôtre, pour enfin révéler et mettre en valeur les trésors cachés de notre demeure .

Véronique

L’autre jour une amie, qui a lancé sa chaine You Tube récemment, me dit : « mais pourquoi tu ne fais pas des vidéos ? » C’est vrai et Je l’avoue ici je suis fondamentalement terrorisée à cette idée-là. C’est tellement plus facile pour moi de me cacher derrière mes textes, de ramper...

Vendredi, Harty s’est envolé.Harty c’est qui ? c’est un magnifique chat noir, dont l’intelligence m’a frappée, et qu’il ...
11/08/2024

Vendredi, Harty s’est envolé.

Harty c’est qui ? c’est un magnifique chat noir, dont l’intelligence m’a frappée, et qu’il m’a été donné de garder de manière ponctuelle . Oui mais voilà, cet adorable félin a décidé de quitter ce plan terrestre vendredi dernier dans un souffle très léger, presque sous les yeux de sa gardienne

Alors j’ouvre une parenthèse ici, et je dis bien gardienne (ou gardien) car personne n’est propriétaire d’un animal au sens spirituel du terme. Il ne s’agit pas d’un bien ou d’un meuble, mais d’un être vivant qui sent et qui ressent. Nous sommes les gardiens de ces êtres vivants, nous en sommes responsables , et nous nous devons de les protéger
Retenez : Propriétaire sur le papier, et Gardien dans la réalité, c’est pas plus compliqué.

Au-delà de cette douleur qu’il laisse derrière son départ, Harty aura eu une jolie vie, 13 années de règne, une vie de Pacha , remplie d’amour, d’attentions , de jeux et de croquettes aussi à foison.
Mais ce vendredi-là , il avait un rendez-vous particulier. Vous savez ce genre de rendez-vous que nous devrons tous honorer à un moment donné de notre existence , ce rendez-vous où l’on va tous aller vérifier ce qui se passe de l’autre côté.
Après le choc, le déni, la colère, la tristesse est bien là , bien présente dans nos cœurs, elle prend peu à peu possession du vide qui vient de s’installer. On appelle ça une traversée de deuil car, oui, il existe bel et bien un deuil pour nos compagnons à quatre pattes.
Et qui n’a jamais eu un animal de compagnie ne peut pas comprendre.

« Non mais t’exagères là, ce n’est qu’un chat ( ou ne n’est qu’un chien) ! »
« Oui, mais il y a des enfants qui meurent partout dans le monde quoi… »
Ainsi va notre Monde avec ses zones d’ombre, de chaos, d’ignominie et qui pouvons-nous personnellement ?
Alors à tous les empêcheurs de tourner en rond, je vous pose cette question : en quoi le fait de s’empêcher de vivre cette tristesse, ce deuil, va-t-il améliorer la vie des enfants qui souffrent dans le Monde ?
Est-ce que je peux agir concrètement là-dessus ? Non pas vraiment . La seule chose que je puisse faire c’est travailler sur mes blessures d’âme, atteindre les rivages de la sagesse et communiquer cette lumière à mon voisin.
Pourquoi certaines douleurs seraient plus légitimes que d’autres ? Aux yeux de qui ou de quoi ?
Pourquoi faut-il toujours se plier à une hiérarchie dans la souffrance ? Pourquoi faut-il culpabiliser en tentant péniblement de faire le deuil de son animal qui incarne à lui tout seul parfois mon unique raison de vivre (je pense aux personnes âgées) ?
Parce qu’il y a des codes à respecter, parcequ’il y a une frontière à ne pas franchir dans la démonstration de ses émotions, parce que ce n’est qu’un chat ou qu’un chien après tout, parce qu’il y a des enfants qui sont tués quotidiennement à GAZA ou ailleurs…et ceci est une dramatique réalité.
Alors on s’interdit très vite de verser ses larmes, on coupe court très rapidement à nos émotions, et on va enterrer ce chapitre dans les ténèbres de notre psyché.

La plus grande difficulté du deuil animalier réside dans le fait qu’on peut difficilement en parler sans passer pour quelqu’un d’irresponsable devant toute la misère déployée sous nos yeux, sans se sentir ridiculiser, voire juger . Il s’agit alors de trouver la bonne « oreille », une écoute à la fois neutre et compatissante. Pas évident.

Je fais partie de ces personnes qui ont une connexion, ou plutôt une sensibilité particulière avec le monde animal, et croyez-moi ce n’est pas un cadeau, c’est même un véritable fardeau que de porter cette conscience-là.
Je ne sais pas pourquoi, je ne cherche même plus à comprendre, peut-être est-ce dû au fait que j’ai grandi dans un milieu de chasseurs et que je n’étais pas en phase avec ce « loisir ». Un mystère pour moi que de j***r en ôtant la vie à des êtres dont la pureté n’est aujourd’hui plus à prouver.
Et tandis que d’autres les élèvent pour notre consommation, il y a en moi cette profonde interrogation : au final qui « élève » qui ?
Car ce sont souvent les animaux qui nous « élèvent », j’entends bien sûr et vous l’aurez compris, qui nous font prendre de la hauteur et nous enseignent l’amour inconditionnel, et quelle leçon d’humilité devant la déchéance de notre humanité, vous ne trouvez pas?

Alors, lorsque la symphonie du déclin s’invite pour nos petits compagnons de vie, autorisons nous à verser les larmes qu’ils méritent sans concession, à honorer leur départ comme s’il s’agissait d’ un membre à part entière de la famille, à cheminer au fil du temps au cœur de nos bourrasques émotionnelles , et surtout, à faire fi du regard d’autrui.

A Harty le Magnifique,

Et à tous les autres qui partent bien souvent dans l’indifférence générale,

Véronique

https://www.veroniquegabier.fr/senvoler/

Tous ceux de ma génération connaissent le dessin animé Bip Bip et le Coyote de la Warner Bross. Vous savez ce coyote qui...
15/06/2024

Tous ceux de ma génération connaissent le dessin animé Bip Bip et le Coyote de la Warner Bross. Vous savez ce coyote qui, voulant rattraper BipBip (une sorte d’oiseau), se précipite d’une falaise pour atteindre l’autre rive du canyon. Il continue de courir jusqu’au moment où il baisse les yeux et réalise effrayé, qu’il est dans le vide. Il tente dès lors de faire demi-tour en rétropédalant à toute vitesse pour retrouver la terre ferme, et bien sûr il chute !

Je pense que l’on peut quasiment tous s’identifier à ce coyote qui regarde droit devant vers un nouvel horizon (professionnel, sentimental ou un quelconque projet) et qui en cours de trajectoire prend conscience du vide, de l’inconnu et qui rebrousse chemin tétanisé par la peur.
Bien sûr que ce sont nos peurs qui nous attirent dans le vide
Bien sûr que ce sont nos inquiétudes qui nous font chuter
Bien sûr que c’est notre insécurité qui nous fait rétropédaler.
Face à l’inconnu, on est tous des coyotes dans cette traversée des événements de notre vie.

Entre ces deux rives, on est d’accord c’est le vide, l’aventure, l’inconnu, tout ce qu’on nous a appris à éviter. On a tous été endoctrinés avec cette prophétie démoralisatrice :
– « tu sais ce que tu quittes mais tu ne sais pas ce que tu vas trouver. »
Un vrai « mantra » entendu mille fois dans nos foyers.
Avouons-le, on a tous été biberonnés à ne rien quitter et bercés à ne rien lâcher.

Changer de cap dans sa vie, prendre des décisions importantes, des virages à 180 degrés, toutes ces équations avec de multiples inconnus où, effectivement, on ne sait pas trop ce qu’on va trouver !
Pourtant, très souvent, il nous est demandé de convoquer un peu de courage dans le profond sommeil de nos vies.

Prendre notre pouvoir de décision à deux mains, trancher dans une réalité devenue souvent insupportable, trop exigu ou simplement par besoin viscéral de s’oxygéner ailleurs car c’est souvent au bord du malaise, du mal-être, de notre propre précipice intérieur, que nous sommes invités, coûte que coûte, à franchir le mur de nos peurs.
Renoncer à cette rive que je connais parfaitement, qui me donne l’illusion d’un confort, cette donnée pourtant si précaire, que je vais devoir quitter pour prendre un Rendez-vous en terre inconnue.

C’est vrai, je ne vois pas toujours distinctement l’autre rive , j’en perçois à peine les détours, et il faut bien reconnaitre que c’est flippant . Pourtant, n’est-ce pas ce qui nous maintient en vie, et qui nous sort de notre léthargie, ce qui nous empêche de nous éteindre complètement ?

Et c’est précisément dans cet espace de vide, cet entre-deux, ce presque rien que notre puissance est activée. Entre la point A et le point B , au cœur de cette traversée du canyon c’est à cet endroit précis, où l’on est vivant.
C’est justement dans cet espace d’insécurité et de non confort, cette zone de turbulence, sans aucun parachute doré où tout est à faire et à refaire, à construire ou à déconstruire, où nos objectifs sont à portée de main, c’est bien ici que je vais évoluer, et me surprendre en tant que créateur de mes lendemains.

J’ai lu un jour sur internet cette phrase qui m’a fait réagir et sourire.
« ça passe ou ça passe », un choix illusoire qui sous-entend avec humour que, dans tous les cas, et bien ça va aller.
Après tout c‘est vrai, et si jamais, dans le pire des cas, …ça se passait bien ?

Et si on envisageait les évènements sous un prisme positif une bonne fois pour toute, non ?

Alors, bien sûr il arrive parfois que notre ligne de mire soit mal évaluée, et que l’on tombe à côté. Pour autant, est-ce la fin de notre monde ? N’y aura-t-il pas une main bienveillante, et bien vaillante pour nous rattraper ? Comme un coup de chance, un coup de pouce de la vie ! Je le sais par expérience quand ça patine un peu avec les aléas du chemin, il y a bien heureusement une plume du destin qui tombe à point nommé.
Et grâce à cette expérience, car je ne parle pas d’échec, et bien demain, j’en retire les conséquences, et je recommence.

Je sais, je fais partie de cette catégorie de personnes, dont on dit qu’elles sont « collées au plafond « , « allumées de la cafetière », ou que sais-je encore. Il est vrai que j’aime bien voir le verre quand il est à moitié plein, ce qui fait souvent sourire ceux qui passent leur vie dans cette fameuse « moitié vide ».

Ainsi, revenons à notre coyote « expérienceur » malchanceux de la Warner.
On a tous compris que s’il chute c’est parce qu’il prend peur en regardant en bas car il prend conscience du vide.
Alors imaginons le traverser avec le regard frondeur, sans sourciller, avec cette foi inébranlable dans ce qu’il va trouver de l’autre côté (en l’occurrence sa proie Bipbip).

Et l’air devient complétement solide sous ses pieds.

Rêve impossible ou « un possible » rêve, sans doute entendons-nous uniquement ce que nous sommes prêts à entendre .

Véronique

Tous ceux de ma génération connaissent le dessin animé Bip Bip et le Coyote de la Warner Bross. Vous savez ce coyote qui, voulant rattraper BipBip (une sorte d’oiseau), se précipite d’une falaise pour atteindre l’autre rive du canyon. Il continue à courir jusqu’au moment où il baisse l...

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