L'atelier des 9 mois

L'atelier des 9 mois Accompagnement, en groupe ou individuel, à partir du 4ème mois de la grossesse jusqu'en postnatale

Le savais-tu ? La maman poulpe meurt… par amour.Quand elle pond ses œufs, elle ne s’éloigne pas.Elle ne cherche plus de ...
01/06/2025

Le savais-tu ? La maman poulpe meurt… par amour.

Quand elle pond ses œufs, elle ne s’éloigne pas.
Elle ne cherche plus de nourriture. Elle ne dort plus. Elle ne pense plus à elle.
Elle reste simplement là… à veiller.

Elle leur donne de l’oxygène, les protège du froid, les nettoie tendrement de ses tentacules de plus en plus faibles.
Et ainsi, sans bouger, sans se nourrir, elle s’éteint doucement…
Mais jamais elle ne renonce.

Car elle ne vit pas pour elle.
Elle vit pour eux.

Et lorsque, enfin, ils naissent…
Lorsqu’elle les voit nager pour la toute première fois…
Elle meurt.
En silence.
Non pas par faiblesse.
Mais parce qu’elle a accompli sa mission. 🌊🐙

Les mères humaines ne meurent pas physiquement…
Mais beaucoup d’entre elles s’éteignent, doucement, sans que personne ne le remarque.

Elles veillent t**d.
Elles s’inquiètent.
Elles s’usent.
Elles retiennent leurs larmes pour ne pas troubler ta paix.
Elles sautent des repas… pour que tu ne manques de rien.
Elles renoncent à leurs rêves… pour que tu puisses courir après les tiens.

Et elles ne le disent pas.
Elles ne l’affichent pas.
Elles n’en attendent rien.

Elles aiment. Simplement. Silencieusement.

Elles ne cherchent pas les applaudissements.
Elles veulent juste une chose : que tu sois bien.
Que tu vives. Que tu sois heureux. Que tu sois en sécurité.

Car, tout comme la mère poulpe donne tout ce qu’elle est…
Certaines mères humaines se donnent tout entières.

Si ta mère est encore là : serre-la fort.
Si elle est partie : honore son amour silencieux.

Car l’amour qui ne fait pas de bruit…
est souvent celui qui a tout donné.
Le monde littéraire

Pendant la grossesse, le cerveau de la femme rétrécit...Lors de mes dernières recherches en neurosciences sur le fonctio...
01/06/2025

Pendant la grossesse, le cerveau de la femme rétrécit...

Lors de mes dernières recherches en neurosciences sur le fonctionnement du cerveau, hier nuit, je suis tombé sur ce fait fascinant… et je n’ai pas pu m’empêcher d’y réfléchir longuement.

Tu sais ce que je trouve profondément bouleversant chez la femme enceinte ?

C’est qu’alors même que tout son corps se transforme, que ses hormones s’affolent, que son ventre s’arrondit pour fabriquer la vie… son cerveau aussi change. Littéralement.

Pendant la grossesse, le cerveau de la femme rétrécit.

Oui, tu as bien lu. Il rétrécit. Mais pas comme un muscle qui s’atrophie. Plutôt comme un système d’exploitation qui s’allège pour devenir plus rapide, plus précis, plus instinctif.

Certaines femmes auront un peu plus de mal à se souvenir de choses simples : une liste, une tâche planifiée. Et trop souvent, on banalise ça… ou pire, on s’en moque.
Mais ce que la nature orchestre là, c’est une véritable œuvre d’ingénierie neurologique.

Le cerveau ne perd pas ses neurones. Non.
Il les réorganise. Il en réduit la taille pour optimiser les connexions essentielles. Il fait de la place pour une toute nouvelle priorité : le lien.

D’après une étude publiée dans Nature Neuroscience, ce “manque” de matière grise touche justement les zones qui gèrent les émotions, l’attachement, la lecture des signaux sociaux.
Et devine quoi ? Ce n’est pas un affaiblissement.
C’est un raffinement. Un affûtage.

Le cerveau maternel devient un capteur hypersensible.
Il lit les pleurs avant qu’ils ne montent.
Il sent le danger avant qu’il n’apparaisse.
Il comprend un regard, un geste, un silence, avant même qu’il ne soit conscient.

Une mère ne devient pas juste “maman”. Elle devient une sentinelle émotionnelle.
Une gardienne invisible.
Un scanner humain.

Alors oui, peut-être qu’elle oubliera les œufs au marché.
Mais elle n’oubliera jamais le souffle de son enfant la nuit.

Elle n’oubliera jamais de pleurer avec lui.
De deviner ses douleurs.
De l’aimer comme personne d’autre ne pourra jamais l’aimer.

Et pour ça, je veux saluer toutes les femmes.
Celles qui traversent ce bouleversement intérieur sans que personne ne le voie.
Celles qui se sentent parfois perdues, fatiguées, déconnectées… alors qu’en réalité, elles sont juste en train de devenir puissantes.

À vous toutes : courage, force, lumière. Et bonne fête des mères 🤍🤍🤍🤍

Vous ne perdez rien.
Vous vous transformez.
Et le monde ne vous remerciera jamais assez pour ça...

Chaque minute compte...⌛

Aloys Vitald Eyah 🤍🫶🏾

01/04/2025


❤️

18/10/2024
19/06/2024
13/01/2024

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Qui se cache derrière “l’Atelier des 9 mois”

Je suis Rachel Pochic, 34 ans et maman d’un petit garçon.

J’ai eu la chance de m’initier à l’art de la musique (pendant 2 années : cours de solfège et pratique d’un instrument au conservatoire) et de la danse très tôt (dès mes 3 ans) par les danses académiques, en l’occurrence 14 ans de danse classique dont quelques années de conservatoire et 4 années de moderne-jazz. C’est à l’issue d’un de ces cours que je découvre la « danse orientale ». Je m’y intéresse à l’âge de 12 ans, c’est après une année, où j’observe et m’entraine seule, que je décide de m’inscrire à mon 1er cours. A 17ans, notre professeur décide d’arrêter son enseignement. Un crève cœur de ne plus avoir cette discipline riche de culture, de musique, de mouvements et de partage, je propose à une amie de reprendre ces cours de manière bénévole.

Après un an et une formation professionnelle de danse orientale, je fais cavalier seule dans la même structure et obtiens mon 1ercontrat. S’en suit d’autres opportunités :

- salariée dans différentes structures et associations,