Hélène Dralez Psycho-praticienne - Sophrologue Nantes Saint Herblain

18/06/2025

Un nantais à suivre, un slam pour résonne dans notre âme, des mots qui emmenent vers maintenant, ici et vers l'avenir souhaitable qui attend notre nous actif et créatif !

"Il est temps d’inventer nos récits, dire ce qu’on souhaite, qui on veut être,Car les mots précèdent toujours les faitsLes mots précèdent toujours les faits"...

29/05/2025

L’humilité, c’est l’art de se regarder avec sincérité et bienveillance, sans masque ni faux-semblant. Dans nos relations avec les autres, elle nous invite à écouter avant de parler, à reconnaître que nous n’avons pas toujours raison et que chaque personne, quelle que soit son expérience, a quelque chose à nous apprendre. C’est accepter que nos proches, tout comme nous, sont imparfaits et que ces imperfections peuvent devenir des ponts, plutôt que des murs.

Avec nous-mêmes, pratiquer l’humilité signifie embrasser nos vulnérabilités, non pas comme des faiblesses, mais comme des forces en devenir. Chaque faille est une opportunité d’apprendre, de grandir et de mieux nous comprendre. Être humble envers soi, c’est reconnaître que l’on fait de notre mieux, tout en restant ouvert à l’idée de faire différemment, de changer et d’évoluer.

Les vulnérabilités cachent souvent des trésors: elles révèlent notre humanité, notre capacité à aimer, à demander de l’aide et à tisser des liens authentiques. Elles nous rappellent que nous n’avons pas besoin d’être parfaits pour être dignes d’amour, pour être utiles ou pour être heureux.

Et si l’humilité devenait une clé, non seulement pour mieux vivre avec les autres, mais aussi pour faire la paix avec nous-mêmes?

Parce qu’en accueillant nos fragilités, nous découvrons une force douce mais immense : celle de vivre pleinement et en vérité. 💖

Robert Savoie

10/04/2025

La tendresse est discrète, elle n'est pas spectaculaire.
La tendresse est sans calcul, sans prévision : c'est un cadeau gratuit.

La tendresse est présence et disponibilité,
Patience et délicatesse, miséricorde et compassion.
Elle est pleine d'attentions et d'inventions.

La tendresse trouve des mots pour passer le mur du silence.
Pour ouvrir tous nos vieux huit clos, nos bleus à l'âme et nos violences.
Elle remet tout en cause, les habitudes, les idées toutes faites, les distances.

Qui donne la tendresse donne le meilleur de lui même,
Qui reçoit la tendresse se sent reconnu.

La tendresse est la musique du cœur et le soleil de Dieu.

J.P. Dubois-Dumée

15/01/2025

Faites tourner le lave-vaisselle deux fois ou... changer les règles, se réinventer, considérer les choses différemment..

Petite histoire :

À un moment où j’étais au plus bas mentalement, je passais mes journées à peine capable de sortir du lit. Tout me semblait insurmontable. Je suivais une thérapie chaque semaine, mais ce jour-là, je n’avais rien de particulier à raconter. Mon thérapeute m’a demandé : « Qu’est-ce qui vous pèse aujourd’hui ? Quel problème vous attend en rentrant chez vous ? »

Honnêtement, je ne voulais pas répondre. C’était ridicule. Alors, j’ai fini par avouer : « La vaisselle. Je n’arrive pas à la faire. Le lave-vaisselle ne nettoie pas bien, je devrais tout frotter avant, et je n’ai pas l’énergie. » J’avais honte. C’est idiot, non ? Être bloqué par de la vaisselle alors qu’il y a des gens avec de vrais problèmes…

Mais mon thérapeute a hoché la tête et m’a dit : « Alors, faites tourner le lave-vaisselle deux fois. »

J’ai ri nerveusement, en disant que ce n’était pas comme ça qu’on faisait. Mais il m’a interrompu : « Pourquoi pas ? Si c’est ce qui vous bloque, mettez les assiettes dedans et lancez-le deux fois, trois fois, autant de fois qu’il faut. Il n’y a pas de règles. Les règles que vous suivez, c’est vous qui les inventez. »

Cette phrase m’a bouleversé. Alors, en rentrant, j’ai fait exactement ça. J’ai mis les assiettes, même sales, et j’ai fait tourner le lave-vaisselle deux fois. Et pour la première fois depuis longtemps, j’avais l’impression d’avoir accompli quelque chose. Ce n’était qu’un début. Le lendemain, j’ai pris une do**he. Quelques jours plus t**d, j’ai plié mes vêtements et les ai rangés n’importe où. Petit à petit, les tâches qui me paraissaient impossibles sont devenues faisables.

Aujourd’hui, je vais mieux. Je rince ma vaisselle avant de la mettre dans le lave-vaisselle, je prends des do**hes debout, et je trie mon linge. Mais ce que j’ai appris, c’est que parfois, il faut lâcher prise. Il n’y a pas de règles fixes. Faites ce que vous pouvez, comme vous pouvez. Parfois, faire tourner le lave-vaisselle deux fois, c’est déjà une victoire.

Crédit : Kate Scott

24/11/2024

Tu sais, la résilience ne s’apprend pas comme une leçon ou une technique.
Elle est le résultat d’un voyage intérieur entre les épreuves traversées, les forces insoupçonnées découvertes en soi, et cette étincelle de vie qui refuse d’abandonner.

Elle naît dans le chaos, le désespoir, la peur, là où tout semble perdu, et pourtant, une partie de nous choisit de continuer, de se relever, de trouver un sens même dans la douleur. La résilience n’est pas un don inné : c’est un art que la vie façonne en nous, lentement, à coups de cicatrices et de révélations.

C’est dans le poids des échecs qu’on trouve le courage de recommencer, dans les pertes qu’on découvre l’essentiel, et dans l’inattendu qu’on réinvente nos rêves. La résilience est ce murmure intérieur qui dit : “Tu peux encore avancer, autrement, mais toujours plus fort.”

Charlotte Cellier

21/10/2024

18/10/2024

Et si on lisait de droite à gauche ?!

02/10/2024

Ce n'est pas ce qui arrive qui nous importe, mais ce que nous allons en faire..

28/09/2024

Petite reflexion matinale sur l'amour de soi, l'estime de soi...

Tu ne seras jamais heureux en amour si tu ne t'aimes pas inconditionnellement.
Tu ne seras jamais épanoui dans ton travail si tu ne t'aimes pas inconditionnellement.
Tes relations ne seront jamais vraiment saines si tu ne t'aimes pas, si tu te compares, si tu doutes, si tu te sens inférieur.

L'amour inconditionnel envers soi-même est la fondation de tout épanouissement dans la vie. C'est le pilier sur lequel se construisent les relations les plus significatives, la réussite professionnelle la plus authentique et un bonheur intérieur profond.

S'aimer inconditionnellement ne relève pas de l'égoïsme, de l'orgueil ou de l'égocentrisme, mais c'est plutôt un acte de bienveillance envers soi-même, de la même maniere que nous sommes bienveillants envers nos enfants, nos amis, notre conjoint(e), nos proches.. Offrir ce regard de non jugement envers soi, c'est se liberer, exister. C'est se donner la permission d'être authentique, de reconnaître de façon mature et responsable : ses forces et ses faiblesses, sans sentiment glorieux ou coupable, mais c'est se traiter avec compassion et douceur utiles dans les moments difficiles (ou agréables !)

Lorsque nous nous aimons inconditionnellement, nous nous libérons des chaînes de la dépendance émotionnelle, de la dépendance affective, du poids du regard des autres. Nous ne cherchons plus désespérément l'amour et la validation d'autrui pour combler un vide intérieur. Au contraire, nous devenons notre propre source d'amour et de réconfort, ce qui nous permet de nouer des relations épanouissantes et équilibrées.

Dans notre travail, l'amour inconditionnel envers soi-même nous encourage à suivre nos passions, à nous engager dans des projets qui résonnent avec notre être profond, plutôt que de nous laisser enfermer dans des choix dictés par la peur ou les attentes de la société.

En cultivant cet amour envers nous-même, nous apprenons également à fixer des limites saines dans nos relations avec les autres et savons également lâcher prise sur des petites remarques désagréables. Nous n'acceptons plus les relations toxiques ou les comportements pervers. Nous sortons de la susceptibilité et de l'hyperréaction aux mots ou critiques exterieures. Nous choisissons plutôt d'entourer notre vie de personnes qui sont libres avec nous, nous soutiennent, nous inspirent et nous encouragent à être la meilleure version de nous-mêmes. Et ce, réciproquement !

Alors, soyons audacieux et entamons ce voyage vers l'amour inconditionnel envers nous-même. Soyons notre meilleur(e) ami(e), à chaque instant.

Pratiquons chaque jour l'auto-compassion, le dialogue avec soi. Mettons définitivement dehors la comparaison ! Elle est délétère et mensongère. Au contraire, célébrons nos victoires et nos défaites (car elles nous enseignent bien souvent beaucoup plus que nos réussites), et embrassons notre être sans honte ni critique, avec la joie de s'aimer et donc.. de pouvoir progresser !

Enfin, c'est en cultivant cet amour inconditionnel envers toi même que tu peux réellement rayonner et apporter une contribution positive et significative au monde qui t'entoure. Si tu t'aimes, tu sauras aimer pleinement les autres. Car avant tout, la vie est une histoire... d'Amour !

Je vous souhaite un magnifique week end !

13/09/2024

Inspire... expire... Respire la Vie infinie !

13/06/2024

Lorsque nous sommes en colère et que nous ne pouvons pas pardonner, c’est parce qu’avant tout nous sommes en colère contre nous-mêmes. En colère parce que nous avons permis à telle personne « tel » comportement, parce que nous ne pouvions pas nous protéger ou rompre avec cette personne à ce moment-là.
En colère parce que nous n’avons pas su reconnaître certains comportements qui étaient abusifs, nous n'avons pas pu mettre en place les barrières nécessaires, etc.

Aujourd'hui on voit tout cela, et lorsqu’on regarde le passé, on a tendance à accuser l’autre en disant "comment il a pu faire ça... se comporter de cette manière… », et nous ne réalisons pas que nous parlons de nous-mêmes. On oublie notre part de « responsabilité » dans l’histoire, car c’est nous qu’avons laissé ces situations se produire et continuer. Nous étions piégés et nous ne savions pas où et comment avancer.
Nous sommes en colère contre nos impuissances et nos faiblesses, qui étaient un indicateur d’un manque d’amour de soi, d’ignorance, de naïveté, et cela est très douloureux à voir et accepter.

Finalement, la personne que nous avons du mal à pardonner est qui elle est… elle ne peut pas être quelque chose qu’elle « n’est pas ». Pour pouvoir pardonner l’autre, nous avons besoin de nous pardonner à nous-mêmes. Le pardon de soi est un processus très libérateur, car il permet de « faire de la place » à l’intérieur de soi et d’accepter qui nous sommes, accepter que nous n’avons pas toujours été « là » pour nous-mêmes, et que nous ne pouvions pas être quelqu’un d’autre à ce moment de notre vie.

Si nous ne pouvons pas pardonner, c’est aussi parce que nous nous accrochons à des regrets du passé, à « ce qui aurait pu être et qui ne l’a pas été ». Nous avons du mal à abandonner les attentes que nous avons eues par rapport à quelqu’un ou une situation, et nous avons tendance à idéaliser ces attentes « non réalisées ». Alors le cœur est lourd et plein d'amertume, car il ne peut pas faire la paix avec la nostalgie du « paradis perdu ». Nous avons l’impression d’avoir raté ou perdu quelque chose d’irrémédiable, quelque chose que nous ne pourrions retrouver nulle part ailleurs. Cela est vrai partiellement. D’une certaine manière oui, puisque chaque personne reste unique, et d'une certaine manière non, puisque nous allons retrouver des parties perdues de nous-mêmes.

Roxana Mihalache Psychanalyste

28/03/2024

Vous êtes un couple nantais, vous êtes proche de la retraite ? Ou en début de retraite ?
Ceci est pour vous :