Le chemin vers votre bien-être

Le chemin vers votre bien-être Soins Energétiques,
Hypnose Ericksonienne, Humaniste, Analytique. Approches alternatives. Soins Energétiques, Reiki. Hypnose Ericksonienne, Humaniste, Analytique.

EMDR selon le protocole REINEIT.

ATTENDRE UN RETOUR.Lorsque tu aides, donnes, apprends quelque chose à une personne, n’attends pas la reconnaissance de t...
03/07/2025

ATTENDRE UN RETOUR.
Lorsque tu aides, donnes, apprends quelque chose à une personne, n’attends pas la reconnaissance de tes actes. Ne pense pas "avec tout ce que j'ai fait pour elle !" : tes actions perdent toute la valeur de la bonne volonté du départ.
Si tu l'as fait, c'est que tu voulais l'aider, lui apporter un éclairage. Si elle t'a remercié, c'est bien, si elle ne l'a pas fait, c'est bien aussi et cela lui appartient.
Ne lui en veux pas quand elle s’envole, s’expanse, se réalise seule maintenant, grâce à un outil donné, un conseil avisé. Ne lui en veux pas si elle n’écoute pas tous tes conseils, qui sont ta façon de voir, mais peut-être pas la sienne.
Qu'est-ce qui te fait mal ? Le fait que, sans le vouloir, tu te sois posé en sauveur en exerçant un pouvoir déguisé sur elle ? Ou simplement que tu crains qu’elle commette une erreur ? Elle a certainement besoin de faire cette expérience, même si toi tu penses le contraire. Ton chemin n’est pas le sien.
Ta pensée, ta réaction devant un événement, ton expérience t’appartiennent. N’impose pas ta vision des choses, guide, conseille, mais laisse l’autre expérimenter, sans te sentir frustré, oublié, rejeté s’il ne répond pas à ton attente, consciente ou pas.
Donner sans attendre de retour, c’est le signe que tu as dépassé l’ego et que tu es bien aligné avec ta mission d’humain/divin. Reconnais-toi et laisse l’autre se reconnaître.
Monique Damel. La Voie de l'Etoile.

Il n'y a qu'une seule façon de savoir où aller.Tu dois suivre ta peur.Elle te montrera le chemin.Fuir ce qui t'effraie e...
01/05/2025

Il n'y a qu'une seule façon de savoir où aller.
Tu dois suivre ta peur.
Elle te montrera le chemin.
Fuir ce qui t'effraie est un moyen de perdre ton chemin : ce faisant, tu t'éloignes de plus en plus de ce que tu cherches.
Si vous avez peur d'affronter cette personne ou cette situation, le nœud à dissoudre est juste là.
Ce nœud qui si reconnu et affronté te donnera les clés de la liberté !
À partir de maintenant, donc quand tu ressens la peur, la gêne, l'irritation et l'inquiétude, ne fuis pas. Restez à l'écoute de vos sentiments.
Et avec courage, entendez-vous découvrir le trésor caché dans votre malaise.
"Les trésors les plus précieux sont gardés par le plus terrible dragon.
Pour atteindre les trésors, il faut aller voir le dragon... et l'embrasser.”
Bert Hellinger

« Aimer les gens comme on aime un chat, avec son caractère et son indépendance, sans essayer de le dompter ou domestique...
24/04/2025

« Aimer les gens comme on aime un chat, avec son caractère et son indépendance, sans essayer de le dompter ou domestiquer, sans essayer de le changer, en le laissant s’approcher, venir à vous quand il le veut, en étant heureux de son bonheur. »

ᴊᴜʟɪᴏ ᴄᴏʀᴛᴀ́ᴢᴀᴀʀ

«Querer a las personas como se quiere a un gato, con su carácter y su independencia, sin intentar domarlo, sin intentar cambiarlo, dejarlo que se acerque cuando quiera, siendo feliz con su felicidad».

ᴊᴜʟɪᴏ ᴄᴏʀᴛᴀ́ᴢᴀʀ

« Cinq minutes avant de refermer le cercueil »Cela vaut la peine d’être lu.Le cheval, mordu par un serpent, s’effondra, ...
21/04/2025

« Cinq minutes avant de refermer le cercueil »
Cela vaut la peine d’être lu.

Le cheval, mordu par un serpent, s’effondra, inerte, dans l’étable.
La poule le découvrit tremblant, les yeux révulsés.
Elle courut vers la forêt, cueillit des herbes et prépara une infusion médicinale.
Toute petite qu’elle fût, elle traîna une moitié de coco remplie de tisane jusqu’au cheval, haletante, les plumes trempées.

Quand il reprit conscience, il la fixa et s’écria durement :
— Va-t’en avec ta charité ! Laisse-moi ! Je sais comment me soigner !

D’un geste brusque, il renversa la tisane d’un coup de sabot. Le liquide brûlant éclaboussa le visage de la poule.
Elle ne dit rien. Elle s’éloigna en forçant un sourire.
Mais, une fois seule dans le poulailler, elle s’effondra en larmes.

Cette nuit-là, entre deux sanglots, elle entendit le cheval gémir, délirant sous la fièvre.
Alors, elle suivit l’élan de son cœur : elle traîna son nid jusqu’à l’étable, s’y coucha près de lui et veilla son sommeil.

À l’aube, le cheval, encore en colère, s’éveilla et hurla :
— Que fais-tu ici ? Je ne veux pas de ta présence ! Je n’ai besoin de rien ! Je te déteste ! Tu ne comprends donc pas ?

Et il la frappa.
La poule fut projetée sur le côté, blessée.
Encore une fois, elle ne dit rien. Elle ramena péniblement son nid au poulailler, meurtrie, boitillante.

Et là, à nouveau, elle s’effondra dans un océan de tristesse.

Le lendemain, les plumes salies, les yeux éteints, elle gravit la montagne.
Peinant, blessée, elle alla à la rencontre du Sage.

— Maître… murmura-t-elle d’une voix faible.
— Le cheval… comprendra-t-il un jour l’amour que j’ai pour lui ? Ou mourrai-je sans qu’il ne m’ait jamais vue ?

Le Sage la regarda longuement, et répondit :
— Il comprendra, oui…
Quand le fossoyeur dira : « Cinq minutes avant de refermer le cercueil. »

Ces mots résonnèrent dans le cœur de la poule.
Elle retourna au poulailler… mais n’était plus la même.
Les coups, les cris, le mépris… quelque chose s’était brisé en elle.
Elle ne picorait plus. Ne chantait plus. Ne souriait plus.
Elle s’éteignit lentement…
Et ne retourna jamais à l’étable.

Quelques jours plus t**d, le cheval s’étonna de son absence.
Ses visites lui manquaient.
Ses soins.
L’ombre de sa présence.

Une question se mit à le hanter :
— Et si… c’était à cause de moi ?

Tandis que le remords le consumait, un colibri se posa sur la barrière et lui annonça la plus douloureuse des nouvelles :
— La poule… est morte.
On l’emmène au cimetière.
Tu ne veux pas lui dire adieu ?

Le cheval se figea.
Une douleur sourde lui lacéra la poitrine.
Chaque pas vers le cimetière s’accompagnait d’une larme.
Mais celles qui brûlaient le plus… étaient celles du regret.

Elle était là.
Celle qui avait toujours été là.
Celle qu’il n’avait jamais su voir.
Mais cette fois, les ailes croisées sur la poitrine, les pattes jointes, immobile dans le cercueil.

Le fossoyeur annonça :
— Cinq minutes avant de refermer le cercueil !

Ces mots résonnèrent comme un coup de massue dans la poitrine du cheval, prête à exploser.
Cinq minutes… et ce serait l’adieu à la douceur de la poule.
L’adieu à sa fidèle compagne.

Alors il se jeta sur le cercueil et, sanglotant, s’écria :
— Elle était bonne…
Généreuse…
C’était mon amie.
Elle a toujours été là pour moi…
Et moi… moi je l’aimais !
Elle va tellement me manquer…

Cinq minutes… de mots qu’elle n’avait jamais entendus de son vivant.

Quand la dernière seconde sonna, le fossoyeur ne referma pas le cercueil.
Le cheval cligna des yeux, surpris.
Et soudain…
La poule se redressa, le sourire tendre, les plumes couvertes de poussière.

— Moi aussi je t’aime, cheval…
Et toi aussi, tu es tout ce que tu viens de dire.

Le cheval ouvrit grand les yeux, retint ses larmes et, entre rage et soulagement, cria :
— Quoi ?! Tu n’es pas morte ?!

— Bien sûr que non, cheval…
Je voulais juste cinq minutes de reconnaissance.

Le cheval souffla fort, tapa du sabot et rugit :
— Voilà pourquoi je te déteste !

Mais pendant que sa bouche disait ces mots…
Son cœur criait tout le contraire.
Et il l’enlaça.
Un câlin si fort, si désespéré, comme jamais auparavant.

Car enfin…
Il comprit ce qu’il avait perdu.
Et, pour la première fois… ce qu’il avait réellement.

N’attends pas que le fossoyeur dise “cinq minutes avant de refermer le cercueil” pour reconnaître la valeur de quelqu’un.
Si tu peux le dire aujourd’hui, dis-le.
Si tu peux partager cette histoire, fais-le.
Exprime-toi. Aime. Et reste attentif aux histoires à venir.

Les abeilles cachent un secret surprenant.Lorsque la ruche perd sa reine, seule capable de donner la vie à la colonie et...
18/04/2025

Les abeilles cachent un secret surprenant.
Lorsque la ruche perd sa reine, seule capable de donner la vie à la colonie et de maintenir l'ordre dans une société parfaitement organisée, tout semble perdu. La vie de la ruche se ralentit. Sans nouveaux œufs, l'avenir disparaît. En quelques semaines, la colonie risque de s'éteindre.
Mais les abeilles ne paniquent pas. Elles n'attendent pas non plus le salut de l'extérieur.
Faisant preuve d'une intelligence collective exceptionnelle et d'un instinct profond, elles déclenchent une procédure d'urgence spectaculaire, difficilement imaginable dans un monde régi par les insectes.
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◆ La transformation commence par un choix simple mais essentiel
Les abeilles ouvrières choisissent des larves communes - celles-là mêmes qui auraient normalement dû devenir de simples ouvrières. Elles ne sont pas spéciales. Elles ne sont pas nées différentes. Mais leur destin change du tout au tout.
Elles sont choisies pour recevoir une nourriture spéciale : la gelée royale. Une substance rare, produite par les abeilles nourricières, riche en protéines, en vitamines et en composés bioactifs. Il s'agit d'une nourriture royale au sens le plus pur du terme.

La larve nourrie exclusivement de cette substance ne suit plus le cours normal. En quelques jours, son corps se développe différemment. Les ovaires deviennent actifs. Le corps devient plus grand, plus fort. La durée de vie est multipliée par près de vingt.
Il ne travaillera pas. Il régnera. Il ne suivra pas la routine. Il donnera la vie.
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◆ La reine n'est pas choisie en fonction de ses gènes. Elle est créée.
Ce qui rend ce processus vraiment fascinant, c'est le fait que les abeilles ouvrières et la reine partagent le même code génétique. Ce n'est pas l'ADN qui détermine le destin. C'est la nutrition. Les soins. La décision de la ruche.
C'est comme si, dans une société humaine, on pouvait prendre un enfant ordinaire et, en lui fournissant les soins, l'environnement et le soutien nécessaires, en faire un leader extraordinaire. Sans intervention génétique. Sans artifice. Juste par le soutien et la vision.
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◆ Un leader naît d'une crise
Cette métamorphose ne sauve pas seulement la larve. Elle sauve toute la colonie.
Une fois que la nouvelle reine est prête, elle prend la tête de la ruche, commence à pondre, rétablit l'ordre et entame un nouveau cycle de vie collectif. Menacée d'extinction, la colonie renaît plus forte, plus organisée, plus équilibrée.
Une leçon silencieuse mais profonde
Les abeilles nous montrent, sans mots, qu'en période de crise grave, le désespoir n'est pas de mise, mais la clarté. Un plan. Le bon choix. De l'attention et de la direction.
Dans leur monde, une reine ne naît pas. Elle est soutenue. Nourrie. Guidée.
Et peut-être que, comme dans la ruche, dans la vie, ce n'est pas ce que vous êtes au départ qui compte, mais ce que vous recevez, la façon dont on s'occupe de vous et les décisions que les autres prennent dans les moments difficiles.
Car parfois, c'est dans les moments les plus difficiles que naît le leader le plus fort.
Pas par chance. Mais d'une crise, d'une vision et d'une transformation.

La Patience m’a rendu visite,Elle m’a murmuré que les belles choses demandent du temps pour éclore,Et qu’elles croissent...
09/04/2025

La Patience m’a rendu visite,
Elle m’a murmuré que les belles choses demandent du temps pour éclore,
Et qu’elles croissent lentement, dans la stabilité.

La Paix m’a rendu visite,
Elle m’a soufflé que, malgré les tempêtes de la vie,
Je pouvais demeurer calme, insensible au chaos environnant.

L’Espoir m’a rendu visite,
Il m’a rappelé que des jours meilleurs m’attendaient,
Qu’il serait toujours là pour me guider et me relever.

L’Humilité m’a rendu visite,
Elle m’a enseigné que je ne la trouverais pas
En cherchant à me réduire ou à m’effacer,
Mais en servant le monde et en élevant ceux qui m’entourent.

La Gentillesse m’a rendu visite,
Elle m’a appris à être plus douce, indulgente et compatissante,
Non seulement envers les autres,
Mais aussi envers moi-même.

La Confiance m’a rendu visite,
Elle m’a conseillé de ne pas cacher mes dons ni réprimer mes talents
Pour apaiser l’inconfort des autres,
Mais d’embrasser pleinement ce qui fait de moi ce que je suis.

La Concentration m’a rendu visite,
Elle m’a montré que les jugements et insécurités des autres
Ne sont pas mon fardeau,
Et que je devais recentrer mon attention sur moi-même.

La Liberté m’a rendu visite,
Elle m’a affirmé que nul ne peut contrôler mon esprit, mes pensées,
Ou mon bien-être, sauf moi.

Et l’Amour m’a rendu visite,
Il m’a doucement murmuré
Que je n’avais pas besoin de le chercher chez autrui,
Car il réside déjà en moi.

Texte de Tahlia
Illustration par Jungsuk Lee

Elles poussent là où personne ne les attend.Entre deux pierres, sur un bord de route, dans les craquelures d’un mur oubl...
09/04/2025

Elles poussent là où personne ne les attend.
Entre deux pierres, sur un bord de route, dans les craquelures d’un mur oublié.
Les fleurs sauvages n’ont pas besoin de permission pour exister.
Elles apparaissent là où la vie semble absente,
et pourtant, elles fleurissent — pleinement, fièrement, silencieusement.

Elles ne craignent ni le vent, ni la pluie, ni l’indifférence du monde.
Elles ne se plaignent pas du sol pauvre ou du ciel avare.
Elles se contentent de ce qu’elles ont, et transforment le peu en beauté.
Elles ne cherchent pas à être admirées, et pourtant, elles arrêtent le regard.
Elles sont le rappel que la lumière peut jaillir même au milieu du chaos.

Être une fleur sauvage, c’est choisir la vie, encore et encore.
C’est résister aux tempêtes sans perdre son essence.
C’est pousser droit vers le soleil, même lorsqu’on naît dans l’ombre.
C’est savoir que la force n’est pas toujours dans les cris,
mais parfois dans le simple fait de rester debout.

Nous avons tous, en nous, une fleur sauvage.
Une part qui refuse d’abandonner.
Une racine discrète mais solide,
qui nous ancre quand tout vacille.
Une beauté intérieure qui n’a pas besoin de cadre ni de validation pour exister.
Alors quand tout semble s’écrouler, souviens-toi d’elle.
De sa douceur qui défie, de sa grâce rebelle,
et de son courage silencieux.

Car la vraie force n’est pas toujours dans les grandes victoires.
Parfois, elle est simplement dans le fait de continuer à fleurir.
Contre tout.
Malgré tout.
Avec tout.

Vickie M

25/03/2025
— Tu t’épuises.— Non… je vais bien— Ne me mens pas. Je le vois dans tes yeux, dans tes gestes, dans ta façon de marcher....
13/03/2025

— Tu t’épuises.
— Non… je vais bien
— Ne me mens pas. Je le vois dans tes yeux, dans tes gestes, dans ta façon de marcher.
Je le sens dans ton souffle court, dans ton regard éteint, dans ta voix qui tremble.
Tu t’épuises.
— Je n’ai pas le choix.
Je dois tout porter, tout gérer, tout encaisser.
Je dois être forte.

— Forte ?
Tu confonds force et sacrifice.
Ce que tu portes te courbe l’échine,
te ronge les os,
t’éteint doucement, sans bruit.

— Je ne peux pas tout lâcher.
Ils comptent sur moi.
Si je m’arrête, tout s’effondre.

— Et toi ?
Si tu t’effondres,
qui te relèvera ?

— Je… Je ne sais pas.
Je ne veux pas être un fardeau.

— Tu n’as pas à tout porter seule.
Tu n’es pas un roc,
tu es une femme.

— Mais si je ne le fais pas, qui le fera ?
Si je ne suis pas forte, qui le sera à ma place ?

— Qui t’a appris que demander de l’aide était une faiblesse ?
Qui t’a fait croire que t’épuiser était une preuve de courage ?

— J’ai appris à être forte.
À tenir bon.
À ne pas me plaindre.

— Et à quel prix ?
À quel prix ta lumière s’éteint-elle ?
À quel prix tes rêves se fanent-ils ?

— Je ne veux pas décevoir.
Je ne veux pas échouer.

— Tu n’échoues pas en te reposant.
Tu n’échoues pas en déposant ce qui n’est pas à toi.
Tu n’échoues pas en choisissant de te sauver, toi.

— Mais si je m’arrête…
Si je lâche…
Si je dépose ce poids…
Qui suis-je alors ?

— Tu es toi.
Enfin toi.
Sans les masques, sans les rôles imposés.
Tu redeviens cette femme libre,
celle qui sait danser sous la pluie,
celle qui ne cherche pas à plaire,
celle qui n’a pas besoin de tout contrôler pour être en paix.

— Et si je tombe ?

— Alors tu te relèveras.
Mais cette fois,
tu seras plus légère.
Parce que tu n’auras gardé que ce qui t’appartient vraiment.

— J’ai peur de décevoir.
J’ai peur de perdre ceux qui ne comprennent pas.

— Alors perds-les.
Parce que ceux qui ne peuvent pas accepter ta vérité
n’ont jamais vraiment aimé qui tu es.

— Et si je me perds ?

— C’est seulement en te perdant
que tu pourras te retrouver.
Vraiment.
Entière.
Sauvage.
Libre.

— Et si… Et si je n’y arrive pas ?

— Alors je serai là.
Je suis la flamme en toi qui refuse de s’éteindre.
Je suis le souffle qui te pousse à te relever.
Je suis cette voix qui murmure :
Tu es bien plus forte que tu ne le crois.

— Alors… je lâche.
Je dépose.
Je respire.
— Enfin.

Dialogue avec la Femme Sauvage🔥🐺🔥

La vraie force, c’est celle qui sait prendre soin de la fragilité.Être fort, ce n’est pas écraser les autres sous le poi...
12/03/2025

La vraie force, c’est celle qui sait prendre soin de la fragilité.
Être fort, ce n’est pas écraser les autres sous le poids de ses certitudes ou de ses ambitions.
Être fort, c’est être capable de douceur dans un monde qui ne l’est pas.
C’est accueillir le doute, le vide, le silence, et continuer d’avancer, sans jamais céder à l’amertume.
La vraie force est invisible, elle se niche dans les gestes simples, dans les regards bienveillants, dans la patience des jours.

Christian Bobin

La guerrière s'en est allée,Elle a rendu son tablierPour connaître enfin la paix.Elle a jeté son armure et son bouclier,...
05/03/2025

La guerrière s'en est allée,
Elle a rendu son tablier
Pour connaître enfin la paix.

Elle a jeté son armure et son bouclier,
Elle s'est entièrement dénudée
Et elle s'est réconciliée avec sa fragilité et sa vulnérabilité.

Elle ne sait pas ce qu’il s'est passé
Ni comment s'est arrivé
Mais elle a choisi d'expérimenter la sérénité parce que c'est bon pour sa santé.

Elle a commencé par arrêter de s'épuiser et de lutter,
Elle a reconnu qu'elle ne pouvait pas tout porter
Et qu'elle avait parfois besoin d'être aidée.

Puis, elle a décidé qu'elle n'avait plus une minute à accorder
Aux guerres de tranchées,
Que ce soit aux siennes ou à celles du voisin d'à côté.

Elle a fui les gens en rage contre leur famille, la société ou le monde entier,
Elle a fui ceux qui ont toujours besoin d'un nouveau combat pour exister,
Elle a fui ceux qui ne peuvent pas se poser et respirer.

Elle a écouté les oiseaux chanter,
Elle s'est allongée avec ses chats qui sommeillaient
Et elle a compris qu'ils avaient beaucoup à lui enseigner.

Elle a prié, chanté, dansé,
Elle a choisi scrupuleusement les sources où s'abreuver,
Et un beau matin, elle a compris que la paix était venue l'habiter.

Elle sait que désormais
Elles ne pourront plus jamais se quitter.
La guerre est terminée.

Diana Becker

Adresse

Saint-Jeoire-Prieuré

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