
22/07/2025
Comme une mer troublée par le vent, la paix intérieure ne s’éteint jamais… elle demeure, en retrait, patiente, jusqu’à ce que l’agitation consente enfin à se taire.
Dans la lumière dorée d’un soleil finissant, le silence glisse sur mon visage. Et je reste là, traversé par une pensée trop vaste pour cet instant qui devrait n’être que pure émotion.
Entre beauté et gravité, je regarde en moi ce qui s’accroche encore, ce qui ne se rend pas, même quand tout autour murmure l’émerveillement.
Certains couchers de soleil ne viennent pas éclairer le ciel, mais les recoins les plus enfouis de l’âme.
François LOVO