04/06/2025
"Ta***te", "tarlouze", "zoulette"... Et si on arrêtait les conneries ?
Ta***te", "pé**le", "tarlouze", "zoulette", "fiotte", "tafiole"... Ces insultes, souvent proférées à la volée dans une cour de récréation, au détour d’un vestiaire ou dans un repas de famille bien arrosé, ont toutes une chose en commun : elles sont genrées, renvoient à une féminité méprisée et visent à rabaisser l’homme homosexuel.
Mais pourquoi donc une société du XXIe siècle, censée évoluer, se crispe-t-elle encore sur l’idée même qu’un homme puisse aimer un homme, alors même que l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne rapportait en 2024 que 43 % des personnes LGBT+ en Europe avaient fait l'objet de discriminations dans l’année ? Et combien d’actes homophobes encore recensés en France en 2024 ? Cette réalité statistique doit alerter : derrière les mots blessants, il y a des vies en souffrance. ou qu’une femme puisse aimer une femme ? Et pourquoi tant de fantasmes autour des personnes LGBTQIA+ ?
1. Orientation sexuelle : choix ou nature ?
2. Pourquoi, en 2025, est-ce encore si difficile d’assumer qui l’on est ?
3. Des millions de personnes concernées, tous les jours, partout dans le monde
4. Pourquoi cette peur des personnes non hétérosexuelles ?
5. Pourquoi les hommes g**s sont-ils plus rejetés que les femmes lesbiennes ?
6. Racines de l’homophobie : les mêmes que le sexisme ?
7. Quel rôle jouent les religions ?
8. Des homosexuel·les célèbres et puissants à travers les siècles
9. Non, être homosexuel n’a rien à voir avec être pédocriminel
10. Petit rappel juridique : l’homophobie est un délit, pas une opinion
11. Le rôle fondamental de l’éducation
12. Et la sophrologie dans tout ça ?
Conclusion :
Il y aura toujours des personnes LGBTQIA+, quoi qu’on en pense.
À ceux qui ont peur, oppressent ou méprisent, une seule question :Que craignez-vous vraiment ?
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Ces insultes, souvent proférées à la volée dans une cour de récréation, au détour d’un vestiaire ou dans un repas de famille bien arrosé, ont toutes une chose en commun : elles sont genrées, renvoient à une féminité méprisée et visent à rabaisser l’homme homosexuel.