21/11/2025
Et si tu pouvais rééduquer ton cerveau ?
Pas avec des phrases magiques. Pas avec du “tout va bien” plaqué par-dessus une tempête intérieure.
Non. Avec des visualisations qui te font vraiment du bien.
Je t’explique.
Ton cerveau adore stocker le négatif.
C’est presque son sport préféré.
Normal : c’est un vieux réflexe de survie. Il enregistre tout ce qui fait peur, tout ce qui dérange, mais il laisse filer l’agréable comme si ça n’avait aucune valeur.
Tu peux passer une journée magnifique : un repas en famille, un ciel sans nuage, un fou rire, un paysage qui t’apaise,…
Et il suffit d’un mini événement désagréable pour tout écraser.
Comme si le cerveau disait : “Ah, ça, je garde. Le reste ? Oublié.”
Et si tu pouvais l’entraîner autrement ?
Et si tu apprenais à accueillir le désagréable, oui, il fait partie du décor, l’accueillir mais le laisser passer comme un nuage qui traverse le ciel ! Sans s’attarder !!
Et si tu décidais volontairement de te focaliser sur tout ce qui est bon, doux, nourrissant pour toi !!
Tout ce qui a rythmé ta journée, ta semaine, ta vie !!
Parce que ruminer, tu connais.
Te faire des scénarios catastrophes aussi.
Les personnes anxieuses vivent souvent dans le futur, en fabriquant les pires scénarios.
Et dans 99 % des cas… rien de tout ça n’existe.
Et si je t’accompagnais avec la sophrologie pour inverser la dynamique ?
Plutôt que de ruminer le désagréable, tu t’entraines à visualiser le positif.
À ressentir ce que ça te fait.
À imaginer le meilleur, même s’il ne s’est pas encore produit.
Ce n’est pas du déni.
C’est du réapprentissage.
C’est un geste volontaire, presque rebelle, pour dire à ton cerveau :
« Tu veux survivre ? Très bien. Mais moi, je veux vivre. »
Les visualisations te mettent en mouvement.
Elles t’aident à dépasser l’angoisse plutôt qu’à te noyer dedans.
Elles t’ouvrent un chemin au lieu de te coincer dans la boucle infernale des “Et si…”.
Visualiser le positif, ce n’est pas se mentir.
C’est se donner une chance de respirer, d’avancer et de créer ce qu’on veut vraiment.
Et ça, c’est déjà une victoire.