Psychologue Hervé Princl : en tricotant le lien thérapeutique

Psychologue Hervé Princl : en tricotant le lien thérapeutique Je vous accompagne pour faire face à vos difficultés, vos traumatismes, dépendances, souffranc... Renseignez-vous auprès de la vôtre.

Vous me trouverez en lieu sécure et chaleureux, à la Maison de Santé Portoise, parmi d’autres professionnels de la santé, à Saint Nicolas de Port, à 15-25 minutes de Nancy ou de Lunéville (63, rue du Blanc Mur, 54210 Saint Nicolas de Port). Je consulte :
●En Cabinet du lundi au samedi sauf le jeudi
●En Téléconsultation Visio ou par téléphone
●En Intervention à Domicile si besoin (au cas par

cas) dans un rayon de 25Km

CONTACT
-Mail : herve.princl@mail.com
-Téléphone : 0637194191
-Vous pouvez aussi prendre directement rendez-vous avec moi en vous connectant:
◘sur mon site web: https://princl-psychologue.com

◘sur mon profil du site doctolib:
https://www.doctolib.fr/psychologue/saint-nicolas-de-port/princl-herve

◘sur mon profil du site psychologue.net :
https:// www.psychologue.net/procard/herve-princl/social

→Je suis Psychologue Clinicien, Psychothérapeute agréé auprès de l’ARS, (numéro Adeli: 579306226 et identifiant RPPS : 10009357038 )

• Souvent, les problèmes qui amènent quelqu’un à consulter envahissent sa vie de façon brutale, permanente ou répétitive.

• La souffrance psychique s'exprime aussi en un sentiment étrange de ne pas habiter son corps, le maltraiter, revivre sans cesse des relations toxiques, ne pas pouvoir « fonctionner » à l’école, au travail, de ne pas vivre en harmonie au sein de sa famille, en société, ou dans sa vie tout court. « Être à côté »…

• Je reçois tous ceux qui espèrent trouver un soutien, mettre des mots sur leurs questionnements personnels ou professionnels, leurs blocages, leurs souffrances physiques et/ou psychiques leurs incompréhensions:


● En thérapie d’enfants, ados et adultes je m’occupe de ceux qui éprouvent le besoin de parler de leurs difficultés pour les surmonter et cheminer des solutions durables

●Guidance parentale

● Thérapie de couple pour traduire vos difficultés

●Je soutiens les aidants de malades qui nécessitent d’aide à leur tour

● Groupe de parole ou Atelier de médiations thérapeutiques. Dans certains cas je vous propose des outils complémentaires aux séances individuelles, comme les séances groupales. Pour « remonter la pente », parfois le groupe peut être un soutien inattendu et précieux pour l’individu seul, porté ainsi par la force et l’expérience commune
-notamment en groupe de parole pour les aidants de malades physiques ou psychiques ou
-sur la thématique de: l’angoisse, des violences, des abus et des addictions.

● Supervision et analyse de pratiques des professionnels de santé (en groupe ou en individuel (en institution ou en cabinet)
Et si on en parlait ensemble ?


▲Diplômes et pratique
• Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées en Psychologie Clinique, Médicale et Pathologique de la faculté de Nancy 2 (Université de Lorraine)
• Diplôme d’Etudes Approfondies (Psychologie de la Communication, des Cognitions et des Représentations de soi) de la faculté de Nancy 2 (Université de Lorraine)
• Dans mon travail de recherche je traite de l’approche psychosomatique. Il est consacré aux symptômes somatiques liés aux problématiques psychiques et leur influence transgénérationnelle.

▲ De façon concomitante et tout le long de ma carrière à l'hôpital, un travail personnel psychothérapique et analytique, cheminé à l'appui des lectures, des séminaires, de supervisions et des formations variées m’ont permis d'avoir le titre de psychothérapeute agréé.

▲Ma pratique, active, enrichie de solides formations et d’interventions professionnelles sur plus de 20 ans à l’hôpital, (Unité d'hospitalisation, Centre Médico-Psychologique, Ehpad et cours dispensés à l’IFSI), me permet d’adapter ma technique en vous aidant à formuler votre demande et définir l’accompagnement qui vous conviendra
J’exerce de façon intégrative, inspiré à la fois de la clinique psychanalytique que des découvertes des neurosciences dans leurs applications humanistes.

▲Ma boussole reste toujours une écoute sensible et empathique qui essaie de s’adapter aux particularités de chaque personne. Ce sont des repères humains, éthiques, conjugués avec une rigueur professionnelle afin de chercher à cheminer avec mes patients des solutions possibles aux impasses de leur vie, quelles qu’elles soient

▲Prise en charge
La Caisse d’Assurance Maladie ne prend pas en charge les séances psychologiques mais plusieurs mutuelles remboursent un certain nombre de séances en fonction des garanties. En outre, je fais partie du:
•dispositif SESAM psy, une plateforme des psychologues agrées dans le Grand Est, dont quelques séances sont prises en charge par la FDPM (Mutuelle partenaire groupe Victor Hugo).
•dispositif de prise en charge de cancérologie en collaboration avec la MRSL de Lunéville (sur prescription médicale).

⚓L’accompagnement thérapeutique d’une « traversée »... L'ancrage de la parole dans le corps. Comment réinscrire dans le ...
04/08/2025

⚓L’accompagnement thérapeutique d’une « traversée »... L'ancrage de la parole dans le corps. Comment réinscrire dans le présent, retricoter de nouveaux liens quand le trauma étrangle de ses nœuds la pelote de laine construite d’absences & de silences...
« Ce n’est pas un individu isolé qu’il faut réparer, mais un réseau d’héritages blessés, de loyautés muettes, de douleurs transmises.
Et soigner, c’est s’opposer doucement à l’effacement, à la simplification, à l’empressement de tout résoudre».C'est être là...🧶

Burn-juin versus burn-août🔥...parce qu’urgent & vital d’aborder cet été avec un début de sourire... ☀️Les vacances devra...
27/06/2025

Burn-juin versus burn-août🔥...parce qu’urgent & vital d’aborder cet été avec un début de sourire... ☀️Les vacances devraient être remboursées par la Sécu (et sans prescription médicale😉)!
🐾(PS. désolé, mon Psychat est trop fatigué et fait des fautes de frappe)

🧶 En tricotant le lien thérapeutique par Hervé & Stamatina Princl

📷Photo : fait-maison





✅Je propose aux étudiants 12 consultations gratuites par année universitaire & sans avance de frais en  tant que Psychol...
01/06/2025

✅Je propose aux étudiants 12 consultations gratuites par année universitaire & sans avance de frais en tant que Psychologue agréé partenaire du dispositif «Santé Psy Étudiant »
Pas de nécessité de prescription médicale.

📌Possibilité de téléconsultation pour les étudiants de ce dispositif quel que soit leur lieu de résidence ou lieu d’étude.

📌Possibilité de 6 séances supplémentaires sous forme de bons (Bureau d’Aide Psychologique Universitaire).
☑️En revanche, je ne suis pas adhérent au dispositif Mon Soutien Psy

✅Ainsi, je reçois les étudiants qui espèrent trouver un soutien, mettre des mots sur leurs questionnements, leurs souffrances, leurs blocages ou leur vécu de maltraitance

✅Spécialisé en psychotrauma & troubles anxieux, j’ai beaucoup travaillé aussi avec les problématiques familiales & de couple.

💡Je prête une oreille attentive à tout symptôme qui vient «parler» en passant par le corps : troubles alimentaires, de sommeil, addictions, angoisses, burn-out, dépression, trouble dissociatif etc.

➡️Les échecs, les séparations ou le deuil réactivent parfois des blessures anciennes créant d’autres symptômes ou inhibitions dans la vie personnelle, dans les études & dans la vie sociale/professionnelle

✅Je vous accompagne avec une écoute active & empathique pour vous reconnecter avec vous-même lors des difficultés ponctuelles dans le chemin de vos études, de traumatismes actuels ou + anciens

✅Fort d'expérience sur 25 ans, j'ai appris à ne pas juger, à articuler chaque richesse thérapeutique

✅Je vous propose de traverser ensemble vos difficultés, décoder ce qui vous arrive, mobiliser vos ressources & avancer

📌À savoir : Vous pouvez vérifier votre éligibilité pour bénéficier des consultations gratuites en tant qu’étudiant sur :

📍https://santepsy.etudiant.gouv.fr/eligibilite

☑️Pour votre 1ère demande de prise de rendez-vous en tant qu’étudiant éligible au dispositif vous pouvez me laisser vos coordonnées.

❗️Veuillez ne pas réserver directement sur Doctolib mais d’abord prendre contact avec moi par SMS 📲ou par mail 📥et je vous contacterai.

Pour + d’infos :

📌https://www.princl-psychologue.com

À bientôt.

Hervé Princl, psychologue clinicien, psychothérapeute 🧶

D’une écoute active, H. Princl vous reçoit dans un cadre sécure avec solide expérience de psychologue clinicien/psychothérapeute à 15΄de Nancy Lunéville

"Toutes les nuances de rose"   La rose cache en son sein des épines, dit le poète... mais parfois de l’épine nait aussi ...
05/10/2024

"Toutes les nuances de rose"
La rose cache en son sein des épines, dit le poète... mais parfois de l’épine nait aussi la rose, assure un proverbe grec. De chaque blessure se dessine doucement une perspective, un chemin de traverse jusque-là jamais emprunté, quelques belles rencontres inespérées.
S’occuper de son corps... écouter ce qu’il a à raconter, sa colère, sa frustration, ses douleurs et ses joies invisibles.
En prendre soin de l’intérieur, de l’extérieur. Le corps biologique et le corps psychique. Nourrir son esprit, ses rêves, cultiver son petit jardin imaginaire. Le corps a besoin de la parole et la parole a besoin de prendre corps dans un désir vivant.
Exister. Se mouvoir et s’émouvoir.

Ce mois d’Octobre rose, symbole de la lutte contre le cancer du sein qui concerne 1 femme sur 8 ( et 1% pour les hommes tout de même) nous rappelle que cela n’arrive pas qu’aux autres et que la vie est précieuse, quelque chose de fragile à préserver. La prévention et le dépistage précoce est un message vital à transmettre à ses proches mais aussi à soi-même dans le futur.

Cela sauve des vies.

Octobre ou mai, cancer rose ou bleu, cancer multicolore, cancer «féminin », « masculin » ou d’enfant, il fait des ravages sans distinction d’âge ni de sexe au sein de la famille entière, puisque lorsqu’il frappe à la porte d’un de ses membres, cela impacte violemment tout son environnement familial et amical. C’est une effraction au plus profond de son être.

Dans toutes ses formes le cancer c’est l’affaire de nous TOUS car jamais personne n’est à l’abri de la maladie. La vie est un risque pris, toutefois un risque si délicieux !

Nous ne saurions nous préserver de tout... mais nous avons la possibilité de construire des liens qui sont des abris dans lesquels le corps et l’esprit pourront trouver un refuge.

« La vie m’a précédée, la vie me succédera mais durant la période de mon existence, la vie a besoin de moi » écrit E-E Schmitt dans «la femme au miroir ».

Hervé Princl
Psychologue clinicien/psychothérapeute

Les arbres: un air de famille en 20 images🌲“J'aime appuyer ma main sur le tronc d'un arbre devant lequel je passe, non p...
15/05/2024

Les arbres: un air de famille en 20 images🌲
“J'aime appuyer ma main sur le tronc d'un arbre devant lequel je passe, non pour m'assurer de l'existence de l'arbre -dont je ne doute pas- mais de la mienne." raconte avec justesse Christian Bobin («La présence pure »). L’arbre comme un réveil vivant de conscience.
🌳L’arbre serait donc ce support naturel, ce témoin silencieux et crédible de notre existence ! En se mettant au diapason avec sa respiration, sa présence nous invite à habiter notre corps.
Un symbole fort et consistant qui ne ment jamais, contrairement à l’image trompeuse de notre miroir qui ne renvoie que le reflet de nos doutes.
🏡L’arbre, depuis toujours, est une métaphore incarnée de l’humanité dans toutes ses formes de liens et ses combats pour une place au soleil.
🍃Fortes relations en réseau, rivalités, amitiés, soutien, secours, échangs de messages secrets et codés, mémoire des expériences vécues, adaptabilité, résilience… Comportements que les arbres n’ont pas à envier aux humains !
🌲L’arbre est cette valeur sûre, cette présence rassurante, solide et sensible qui s’offre à la fois comme refuge enveloppant et support identitaire. Il est l’arbre du village natal dont Brassens regrette de s’être éloigné. Il est peint et sculpté sous toutes ses coutures, ses nuances, à nu.
🍁Il a nourri abondamment la littérature depuis que l’encre a su graver ses aventures sur sa peau prêtée au papier, secrets jadis inscrits à même sur sa peau de bois.
Il inspire, il respire, il insuffle. Il vit et nous avec, et grâce à lui.
🌿Il est racine, attache, vieille branche, brindille délicate, sève de vie, écorché vif, tronc familial, feuille tremblante ou feuillage ombrageux, fruit généreux et quelquefois amer, tantôt fier et centenaire bien ancré, tantôt bancal, oscillant.
🪵Parfois malade, troué, habité, foudroyé, voire abattu.
🌱Les arbres, écrit Peter Wohlleben (dans “la vie secrète des arbres), possèdent des qualités similaires aux humains, jusqu’à à pouvoir exprimer une forme d’émotion. Ils savent “coopérer” les uns avec les autres et même “soigner” leurs “ voisins” proches car leur survie sera aussi bénéfique pour eux et la longévité de chacun des arbres autour.
🍀Leurs différences individuelles, mais aussi leur proximité étroite, serrés les uns contre les autres, loin d’être des handicaps, seront, au contraire, une chance supplémentaire pour pouvoir se protéger mutuellement.
🌴Plus un arbre dispose de beaucoup de place pour grandir vite seul, à distance des autres et moins il serait fort et résistant dans la durée. Il devient moins puissant en grandissant seul. Ainsi, il pousserait bien plus vite mais il durerait bien moins longtemps, dépossédé du soutien des autres de son espèce.
🎋N’est-ce pas un air de famille entre l’humain et l’arbre ? C’est le lien qui porte. Non pas une bataille « contre » l’autre pour plus d’espace mais « tout contre soi » pour plus d’échanges !
🌱Pour Aristote la puissance consiste en la capacité d’un être à grandir dans son devenir. Une graine contient un arbre “en puissance”, nous rappelle la regrettée Anne Dufourmantelle.
🌾En effet, Nietzsche confirme : “Tout le monde croit que le fruit est l’essentiel de l’arbre quand, en réalité, c’est la graine ». Quelque chose d’essentiel “en devenir” pousse doucement chez nous, si on en prend soin, comme pour les arbres.
🌳Et voici une histoire en 20 images d’arbres remarquables qui tiennent debout,un air de famille avec notre condition humaine: (cliquer sur lien ci -dessous ⬇️): «un air de famille entre les arbres et les humains”.

✍️ « En tricotant le lien thérapeutique 🧶par Hervé et Stamatina Princl »

⬇️https://princl-psychologue.com/arbres/

🌳
⬇️ ⬇️ ⬇️

Les humains de tiennent debout comme les arbres. Une histoire d’arbres remarquables en 20 images. Comme un air de famille entre l’arbre et l’humanité !

Quand le 7ème art nous soigne!🎬Etats d'âme et hommage à l'incomparable J-P Bacri qui nous manque toujours autant, 1 ans ...
16/01/2022

Quand le 7ème art nous soigne!🎬Etats d'âme et hommage à l'incomparable J-P Bacri qui nous manque toujours autant, 1 ans après sa disparition. Il est ce chirurgien de la parole qui dissèque en profondeur, dans ses films, la psychologie humaine dans ses conflits les plus déchirants et soigne avec son art notre petite déprime du dimanche soir . Un acteur et scénariste d’exception, un homme entier, touchant et pudique, d’un humour tranchant, fin intelligent qui prétendait de ne jamais «brader son sourire » mais le distiller à bon escient, toujours de façon authentique.
Il a formé avec Agnès Jaoui un couple mythique, engagé et percutant aussi bien dans la vie personnelle que professionnelle. Chacun de leurs films nous a permis non seulement de nous divertir mais aussi d’exulter nos passions humaines de façon cathartique, de grandir un peu plus. Des films profonds et toujours actuels, une bouffée d'oxygène dans le marasme actuel.
C'est l'homme qui s'en "foutait de plaire" et pourtant les acteurs sont "dependants du désir de l'autre " dit sa Bérénice dans "le goûts des autres"!
Ainsi avions-nous écrit ce témoignage à quatre mains avec Stamatina Princl car c'est ensemble que l'on fut inspirés de leurs talents. C’est aussi un clin d’œil pour ces couples qui partagent ensemble la passion de leur métier commun !


« Un air de manque »
Aujourd’hui c’est partage de spleen. Pourquoi on est aussi nombreux d’être bouleversés par la mort de J-P Bacri ? Un deuil presque familier…
Le visage expressif de J-P Bacri de bougon, cynique, blasé, à la fois drôle et touchant, est un miroir empathique du monde avec ses différents reflets, pas toujours faciles à assumer. Le ronchon frère, père, oncle d’un air de famille. De déjà vu, déjà connu. Qui nous touche avec sa maladresse, sa franchise, son air candide. Bien plus que le type attachant moustachu qui n’en peut plus des fleurs roses kitchs dans lesquelles il noie son quotidien, J-P Bacri est surtout le chirurgien de la parole qui dissèque en profondeur, dans ses films, la psychologie humaine dans ses conflits les plus déchirants et il soigne avec son art notre petite déprime du dimanche soir.
Dialogues ciselés au couteau japonais, du 2ème, du 3ème, du 4ème degré.
Ses films, des petits chefs d’œuvres, avec l’excellente Agnès Jaoui, plus que des radiographies de la société, ce sont des analyses fines, des biopsies parfaites et cinglantes de l’humain, de ses relations familiales.
Les sentiments, les paradoxes, les misérables mis à nu. Personnages pris au dépourvu, dévoilés avec leurs défauts, leur part pathétique. Tout en relevant une face cachée et méconnue d’eux-mêmes.
Mieux que n’importe quel bouquin de psychologie, leurs films traitent du narcissisme, de la projection, du désir. Une bouffée d'oxygène dans le marasme actuel!
Bacri est là pour nous dire que les apparences, les clichés, les habitudes, les déterminismes culturels, familiaux, de sexe, peuvent être complètement renversés par cette étrange chose que l’on appelle le désir ! Être regardé dans le regard de l’autre a un pouvoir de transformation puissant.
Bacri est un résistant, un entier, qui ne brade pas son sourire puisqu’il affirmait que le sourire n’est pas quelque chose de « banal, anodin » pour le céder au tout venant.
Pourtant le vrai sourire qu’il nous offre c’est le don de ses films. Sans concession ni aucune condescendance les rapports de pouvoir, d’abus, de mépris élitiste, de sexisme, ce sont autant de sujets de prédilection pour les deux acolytes avec un air de génie. Leurs films sont truffés de leçons de vie expérientiels, une mise en abîme des profondeurs de la vie en toute simplicité ! D’où un succès populaire en plus qu’artistique. En même temps se sont des dialogues d’un humour décapant, rythmés comme du papier à musique, un humour fort intelligent, tranchant, politique, engagé.
Derrière les mots simples se nichent des vérités pointues.
Aimé des tous français, ceux de toutes les tranches de la société, des « culturés » comme de ceux qui se pensent allergiques à la culture.
Râleur au cœur tendre, grognon « trop bon trop con » il interprétera avec art et manière délicate le candide, le dépressif, le lourd mais aussi des personnages ambivalents et multi faces, capables de beaucoup de « goût », le goût des autres.
Entre autres récompenses, 4 césars pour meilleur scénario original et nommé 6 fois pour le rôle du meilleur acteur ses films et lui-même sont primés et regardés plusieurs fois sans se lasser : un air de famille, cuisine et dépendances, au bout du compte, on connait la chanson, le goût des autres, Sage comme une image, le sens de la fête mais aussi d’autres scénaristes avec La vie très privée de Monsieur Sim, Kennedy et moi ou une femme de ménage etc.
Bacri est celui qui ne fait pas semblant, il est amer mais aussi doux, cynique mais vrai, une soupe au lait mais sobre et pudique. C’est l’homme qui s’en « foutait de plaire » et pourtant les acteurs sont «dépendants » du désir de l’autre » dit sa Bérénice dans le gout des autres.
Répliques percutantes qui ont un pouvoir de soigner les bleus de l’âme. Puisqu’on ne sort pas les mêmes après avoir dégusté un de ses petits œuvres d’art. C est un sentiment qui rappelle celui d’une sortie psychothérapique.
Chapeau l’artiste ! Il nous manquera. Ses films nous accompagnerons. Sa moitié continuera de nous nourrir de son art.
Puisque Bacri et Jaoui étaient inséparables, j’ai préféré joindre à cet hommage à Bacri une vidéo de sa complice dans un témoignage bouleversant dans les assises pour l’égalité des sexes (et contre les violences faites aux femmes) : « ça commence à 5 ans » (lien ci-dessous):
https://www.facebook.com/watch/?v=145830143

Habiter une personne c’est traverser son âme mais tout en lui permettant de rester elle-même. Autre que soi. C’est être ...
09/01/2022

Habiter une personne c’est traverser son âme mais tout en lui permettant de rester elle-même. Autre que soi. C’est être traversé par elle mais sans jamais s’y perdre. Percutante.
«C’est très différent de vivre AVEC quelqu’un et de vivre EN quelqu’un» affirmait J. W. von Goethe.
C’est être un refuge mais pas une prison.
Être une présence, même dans l’absence.
S’abstenir pour ne pas envahir.
Faire vivre en soi cette présence, pour ne pas la laisser s’évanouir.

Combiner les deux, vivre "avec" et "en" quelqu'un, requiert à la fois une grande capacité de partage, de tolérance et une force inouïe de «liberté ».
Dans l’amitié mais aussi dans l’amour que Goethe voudrait « purs », partager son espace intime et profond avec un autre ce n’est pas une affaire de proximité géographique, de ressemblance et encore moins de dépendance affective.

Contenir, entretenir, protéger cet entre-deux organique des attaques violentes des passions qui se déchainent.
Vibrer en elle dans ses joies furieuses, ressentir ses abîmes.
En être bouleversé.

Être pour autant reconnu dans son altérité. Reconnaître en elle le temps de sa propre vie. Puis départager chacun sa temporalité. Et chacun ses désirs propres. Dans cet espace commun du temps infini de partages. Investissements, désaccords, contradictions, projections, illusions, rires et désespoirs.

A. Dufourmantelle écrivait dans « L’envers du feu » : « Le temps est là où nous sommes ».
Et nous sommes là où le temps se rejoint dans cet entre-deux qui s’égrène doucement, sans s’en apercevoir.

Des poupées russes mises en abîme. L’un contient l’autre. Là, au sein du cœur de la personne en qui on vit. Celle qui vit aussi en soi.
Êtres en mouvement, possédant une existence autonome.

Vivre en quelqu’un c’est exister dans un pays étranger qui nous adopte en même temps qu’on lui offre l’asile. Lieu d’habitat perpétuel où on est adopté et adoptif. Chez un autre que soi, mais qui permet d’être soi.

Une terre d’accueil apparentée où il fait bon vivre, malgré les orages et où « chaque jour est une vie entière ».

« En tricotant le lien thérapeutique » par Hervé et Stamatina Princl.

Version originale et source de citations :

-J. W. von Goethe (1842), éditions PAYOT ET RIVAGES, 2001
Version Allemande de la citation originale du texte (dans la photo) traduite librement en français: “Mit jemand leben oder in jemand leben ist ein großer Unterschied. Es gibt Menschen, in denen man leben kann, ohne mit ihnen zu leben, und umgekehrt. Beides zu verbinden ist nur der reinsten Liebe und Freundschaft möglich”.

- A. Dufourmantelle , « L’envers du feu », éditions Albin Michel, 2015.

-source image: net


Trouvez rapidement un spécialiste près de chez vous et prenez rendez-vous gratuitement en ligne en quelques clics

« Il y a un compagnon avec lequel on est tout le temps, c’est soi-même : il faut s’arranger pour que ce soit un compagno...
29/12/2021

« Il y a un compagnon avec lequel on est tout le temps, c’est soi-même : il faut s’arranger pour que ce soit un compagnon aimable” écrivait Jean Giono.
Mais se concilier avec soi-même, voilà une tâche bien ardue!
À chaque nouvelle année la liste des résolutions est longue des choses à changer chez soi et des buts à atteindre de plus en plus hauts et communs au plus grand nombre. Comme s’il existait un catalogue unique des désirs intimes et propres à chacun !

Tout devient chiffre pour le cerveau humain traité désormais sous forme de petit ordinateur qui comptabilise sagement chaque seconde de vie :

-On compte les pas à faire au quotidien pour pouvoir être en bonne santé,
-On compte les calories dans un plat et les kilos de trop à perdre,
-On compte les nouveaux « amis » à collectionner,
-On compte les tâches et défis à accomplir,
-On compte les notes à obtenir et celles à attribuer,
-On compte les chiffres d’affaires à croître…

Car les chiffres, paraît-il, seraient une donnée objective et vérifiable pour nous décrire.

Vraiment ?

Et le reflet de cette image étrange en face de soi, dans son miroir, qui est-il ? Ce regard critique et désapprobateur que veut-il? Son inlassable insatisfaction à quoi aspire-il?

-Plus d’argent, plus d’amis, plus de pouvoir, plus de beauté, plus de certitudes ?

-Moins de poids, moins de rides, moins de questions, moins de stress, moins d’adversité ?

Mais s’aimer soi-même, apprécier sa compagnie, supporter sa solitude tout au fond de sa peau, est-ce bien une donnée quantifiable ?
Peut-on l’inclure dans une application comme celles qui mesurent notre « bonheur » et qui expliquent comment bien vivre « avec » les autres ?
Tout en comptant ce qui peut l’être mais sans jamais savoir sur qui « compter » vraiment et encore moins ce qui « compte » pour soi.

« Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément »
affirmait un cerveau qui a beaucoup compté pour l’humanité, À. Einstein qui a mis les pendules à l’heure en redessinant les frontières de l’espace/temps en physique mais en obligeant ainsi l’homme à se questionner sur son rapport au temps avec lequel il semble brouillé.

Des articles sur le bien-être énumèrent les points, tel un inventaire à la Prévert pour se connecter avec son corps comme si chaque individu était le clone d’un autre avec sensiblement la même histoire. Il suffirait de se faire du bien...

Mais qu’est-ce se faire du bien ?

Se concilier avec ce corps-là dans lequel on habite, tant bien que mal, signifierait simplement se faire plaisir sans jamais se contrarier ?

Pas si sûr !

Jung précisait : "Rien n'est plus propre à provoquer conscience et éveil qu'un désaccord avec soi-même”.
Ce conflit psychique dont le résultat est appelé la névrose par Freud, qui oppose le sujet à lui-même n’est pas inutile, loin s’en faut.

Les symptômes qui agitent le corps et l’esprit viennent dire quelque chose d’important sur lui et son rapport à sa vie, qui ne peut ou ne veut entendre, occupé qu’il est à compter ce qui ne compte pas pour lui !
A dépenser toute son énergie vitale à courir derrière le chiffre alors qu’il désire la lettre.

Compter à la place de conter.

Ce qui compte donc est prendre le temps de l’écouter.
Entendre ce qui se murmure tout bas dans son corps, ce que veut dire ce désaccord profond avec ce qui « devrait » lui suffire sans point y arriver, ce qui le rend un compagnon pas si « aimable » pour soi-même.

Prendre conscience de sa contradiction, de ce qui le divise, ce qui le rend étranger à soi-même :

« apprends d’abord à te connaître, alors tu comprendras pourquoi tu dois devenir malade, et tu éviteras peut-être de le devenir » propose Freud.

Au bout du compte, c’est ainsi qu’on peut envisager une forme de rencontre avec soi, par l’interface de la parole.

Une façon de se prendre par la main et fort de cette quête d’ « amour » pour soi, trouver dans les bras des autres cette force de s’y serrer si fort que les morceaux cassés tout au fond de soi puissent se recoller entre eux.

Mais voilà... s’aimer laisse des traces. Le corps porte en lui les traces apparentes de cette déchirure que la réconciliation avec soi-même tente à souder.
Et ce sont ces cicatrices qu’on apprend à aimer en premier lieu en soi.

« En tricotant le lien thérapeutique » par Hervé et Stamatina Princl

Image : Dessin du talentueux Juanszela, artiste Argentin (JuanSzela Ilustraciones), traduit du portugais
« vine acà porque para tener un buen ano primero me tengo que reconciliar con vos »

Citations :

Jean Giono, « la chasse au bonheur », Gallimard, 1991
C. G. Jung, « Le livre rouge », éditions l’iconoclaste, 2011
S. Freud (1917), « l’inquiétante étrangeté et autres essais », éditions folio essais Gallimard, 1985

:

« Il nous faut devenir adultes pour comprendre que les adultes n'existent pas et que nous avons été élevés par des enfan...
24/12/2021

« Il nous faut devenir adultes pour comprendre que les adultes n'existent pas et que nous avons été élevés par des enfants que l'armure de nos rires rendaient faussement invulnérables » écrivait Christian Bobin. L’esprit de Noël n’est pas dans les flocons de neige, ni dans la dinde farcie, non plus dans le rouge et blanc du bonnet du père Noel. Car même le père Noel aimerait bien que l’on prenne un peu soin de lui, de temps en temps ! 🎄

Cet esprit de partage n’est ni visible ni comestible. Il est état d’esprit. Une façon de vivre l’instant. Chaque instant.
Il n’est pas présence des êtres chers. Il est présence de tendresse pour présents et absents. Pour vivants et morts. Sans s’oublier.

Il n’est pas obligation de fêter un jour dans l’année ce qui est impossible à partager tout le long, une vie entière faite d'absence.
Il est joie de ce qui se trouve de bon au fond de son cœur. Avec ou sans les autres.

Souvent les jours de fêtes sont des jours de pression extrême où la frustration est à la hauteur d’une espérance démesurée. Un conte de fée, sans la fée.
Les histoires ça se raconte avec un chocolat chaud. Mais avant ça se vit.

« La vie c'est comme un cadeau quand c'est ni Noël, ni son anniversaire. Y'a pas de raison et c'est encore meilleur » ( Mikaël Ollivier).
Ou alors il nous faudrait vivre tous les jours comme si c’était un jour de naissance, un jour où la vie commence juste.
Et tout ce qui commence est fragile, il a besoin de douceur, de chaleur et de patience...beaucoup de patience.

« En tricotant le lien thérapeutique » par Hervé et Stamatina Princl.

Citations :
-Christian Bobin « l'Éloignement du monde » Edition Lettres vives, 1993
-Mikaël Ollivier , « Mange tes pâtes ! » Editions Thierry Magnier, 2017


Après la chute du paradis de son enfance, enchaîné dans des liens de loyauté,  la douceur est nourriture et force indest...
19/12/2021

Après la chute du paradis de son enfance, enchaîné dans des liens de loyauté, la douceur est nourriture et force indestructible de vie.
Anne Dufourmantelle, docteur en philosophie et psychanalyste, traductrice sensible des émotions, témoignait dans son travail d’écoute fine, humaine et pointue du pouvoir lumineux et libérateur de la douceur. Un hymne à la douceur, un lien de tendresse salvatrice entre les êtres. Un regard de désir en devenir, doux et neuf sur sa vie.
« Être mise au monde ce n'est pas encore naître. Pour cela, il faut apprendre à quitter le paradis, la terre promise de toutes les retrouvailles, toutes les reconnaissances, tout l'amour en une seule fois. Pour le retrouver autrement, singulièrement, à partir de soi.

Mais si le père ou la mère n'ont pas fait de place à l'autre, si l'enfant vient combler toutes les attentes frustrées, s'il est le dépositaire de haines bien plus solides que lui, il vient au monde déjà enseveli.
La drogue, l'alcool, la nourriture, la cigarette, un certain rapport au sexe et toutes les dépendances dans lesquelles on peut être pris " à son corps défendant" sont les échos étouffés de cet ensevelissement vivant. (...)

On ne peut être sevré que si l'on a été nourri, si cela a manqué au départ, c'est cette sensation du manque que l'on cherchera à retrouver sans cesse dans la faim où vous laisse toute drogue quelle qu'elle soit » (...)

L'adolescence est faite pour trouver le chemin d'une révolte qui brisera quelque peu les chaînes de cette fidélité pour entrer dans sa vie.
Mais la plupart des êtres restent en deçà de l'adolescence, ligotés par des serments qu'ils ignorent avoir prononcés, par une fidélité qui leur fait recommencer toujours les mêmes liens, même s'ils se révèlent être faits de haine, d'abandon, de trahison.
Ils veulent retrouver le goût de ce premier objet d'amour perdu, ce ravissement dans lequel ils ont été pris "avant".

Il faut croire que la liberté est difficile quand elle signifie trahir celui ou celle qui nous a mis au monde. Je veux dire vraiment désobéir, pas se révolter dans la haine mais briser les envoûtements, affronter les spectres du passé et prendre la mesure de sa voix intime, celle qui vous convoque à enfreindre des lois séculaires pour aller à la rencontre, dans une grande solitude, de la dimension de l'inespéré.

Or nous sommes des êtres d'obéissance et nous sommes accablés sous le poids de nos devoirs et de nos dettes.
Comment ne pas le reconnaître devant la multitude de ces vies brisées, défaites sous le poids de ces deuils impossibles, de ces loyautés tenues jusqu'à la déchéance, de cette impossibilité que nous avons à forcer l'inéluctable pour trouver notre propre voie ?»
(Anne Dufourmantelle, « La Femme et le Sacrifice : D'Antigone à la femme d'à côté »).

10 ans après l'écriture de son essai sur les figures sacrificielles, les femmes héroïnes mythiques, elle deviendra à son tour et bien malgré-elle une figure sacrificielle courageuse pour avoir trouvé la mort en sauvant deux enfants de la noyade.

Quelques années avant nous quitter, Anne Dufourmantelle, avec délicatesse et force, faisait "l'éloge du risque" puis celui de la douceur comme étant une arme redoutable contre les souffrances qui endurcissent et isolent.
Risque et douceur, armes qu'elle investit à tour de rôle personnellement dans toutes ses formes, posture, paroles et actions.
Elle fait de la douceur une force d’une grande puissance, d’autant qu’elle s’avoue dans toute sa fragilité, son évanescence.

« La douceur est invisible » disait Marc Aurèle, légère mais très lourde de sens.

Avant tout, elle est subversive et poétique : « La douceur appartient à l’enfance, elle est un retour sur soi, le nom secret de la beauté et de l’élan mystique ».

L’auteure oppose à la douceur non pas la violence mais plutôt les faux-semblants, la mièvrerie, les « compromissions, la suavité frelatée et autre bouillie sentimentale. ».

La douceur pour elle c’est une énigme qu’elle s’efforce de déchiffrer, un rapport au monde construit dans « un double mouvement d’accueil et de don, doté d’un pouvoir de transformation sur les êtres et les choses ».

Elle définit la douceur au sein du travail thérapeutique comme étant le contraire de l’effraction, ce qui permet de tenir la bonne distance pour que chacun puisse « exister dans un espace propre » mais tout en pouvant se sentir soutenu par une écoute enveloppante.

Elle parle du « déni du besoin de douceur » comme un des modes privilégiés actuels d’entrée en dépression. L’homme crève de ne pas pouvoir s’avouer ébranlé dans son humanité, sensible et vulnérable dans sa puissance éphémère.

A. Dufourmantelle exhume la douceur de son refoulement sociétal qui prône la dureté et la neutralité, dénudée de toute émotion réduisant l’être à l’objet, mais elle l’écarte aussi définitivement de la béatitude stérile. La douceur n’est ni mollesse ni sacrifice mais protection vitale qui encourage à l’autonomie et favorise l’estime de soi.

La douceur est nécessaire comme une deuxième peau qui enveloppe les êtres à chaque moment crucial de leur développement. Du bébé à la chrysalide qui ont respectivement besoin de soins de peau à peau ou d’un cocon et, de l’adolescent à la personne âgée, davantage vulnérables qui gagnent à être portés d’un écrin de caresse, chaque être vivant requiert de la douceur pour survivre à la brutalité de la vie.

Jusqu’au règne animal, le petit a besoin d’être léché suffisamment par sa mère, un soin de douceur délicat pour pouvoir grandir.
La douceur est force de résistance contre cette violence anonyme, neutre, inodore et incolore. Elle est beauté intérieure.
Cette beauté, qui n’est pas ostentatoire, reconnait et accepte la profondeur de l’âme et son abime vertigineux.

C’est l’inverse de la beauté incarnée par le kitsch dont parle Milan Kundera dans « l’insoutenable légèreté de l’être » qui est la beauté exagérée et rendue ridicule, criarde, pour cacher ce qui est laid et terrible au fond de soi, la brutalité de la société formatée.
Le kitsch est « le paravent de la mort » qui permet « d’exclure de son champ de vision tout ce que l’existence humaine a d’essentiellement inacceptable ».

Dans son essai sur la puissance de la douceur, A. Dufourmantelle sait en extraire la valeur symbolique et la quintessence de la douceur :
‘' De l'animalité, elle garde l'instinct, de l'enfance l'énigme, de la prière l'apaisement, de la nature, l'imprévisibilité, de la lumière, la lumière.''

« En tricotant le lien thérapeutique » par Hervé et Stamatina PRINCL.

Citations:

- Hélène Delanoy, « Fluidité » autoédition, 2019
- Anne Dufourmantelle « La Femme et le Sacrifice : D'Antigone à la femme d'à côté » éditions Denoël, 2007
- Anne Dufourmantelle « la puissance de la douceur » éditions Payot et rivages, 2013
-Milan Kundera « l’insoutenable légèreté de l’être », éditions Gallimard, 1990

Adresse

63 Rue Blanc Mur, Maison De Santé Portoise
Saint-Nicolas-de-Port
54210

Heures d'ouverture

Lundi 08:00 - 18:00
Mardi 15:00 - 20:30
Mercredi 08:30 - 18:30
Vendredi 09:00 - 19:00
Samedi 09:00 - 13:30

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Psychologue Hervé Princl : en tricotant le lien thérapeutique publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Psychologue Hervé Princl : en tricotant le lien thérapeutique:

Partager