29/06/2025
Aux "brisés" de l'amour .. NON, vous n'êtes pas cassé.e.s ! Mieux vous attend, vous n'etiez simplement pas à la bonne place. Vos projets, votre amour, existent toujours en vous..! Mais partagez les ailleurs, avec quelqu'un de bon pour vous. Acceptez le : cette relation, cette personne, n'etait pas pour vous, sinon vous ne souffririez pas tant. Cela demande du courage, de l'empathie, de la patience, un coeur enorme, pour endurer et accepter l'inacceptable : vous n'êtes pas trop, vous n'êtes pas non plus "pas assez" : l'autre n'etait juste pas assez fort.e pour aimer, ou pas assez honnête pour ne pas vous tromper ou vous bercer d'illusions. Quand on aime on prend en compte les besoins de l'autre, on essaie de communiquer et on cherche à comprendre l'autre. Faites vous cette promesse de ne plus laisser quelqu'un vous blesser au nom d'une relation non bienveillante et non épanouissante... Ecoutez les signaux d'alerte et soyez en sur.e.s : quelquechose de bien plus beau vous attend ailleurs. Gardez la foi, ne regardez plus en arrière, reprenez ce que l'on vous a volé, ce dont on vous a vidé en ne vous considérant pas assez : VOUS, votre lumière, votre Amour. 💝 La guérison est longue, mais ça commence par faire le choix de vous respecter suffisamment pour laisser tomber. Arrêtez de vous accrocher quand le retour, la réciprocité, n'est pas là. Vous ne pouvez pas contrôler l'autre et ce que ses comportements déclenchent chez vous ou autour de vous, mais vous pouvez choisir de vous redonner une chance d'être heureux.se à nouveau. Continuez de croire. En vous. 😘
Merci de m’avoir brisée au point de me faire enfin voir la vérité : je ne mérite pas quelqu’un comme toi.
J’étais aveuglée par l’amour que je te portais. Peu importaient tes mensonges, tes blessures, tes trahisons… je restais.
Je t’ai tout donné. Chaque parcelle de moi, même quand tu me traitais comme si je ne valais rien.
J’ai excusé l’irrespect, ignoré les signaux d’alarme, et je me suis convaincue que aimer, c’était endurer la douleur.
J’aurais tout sacrifié pour toi : mon bonheur, ma dignité, moi-même, simplement parce que je croyais que tu en valais la peine.
Je pensais qu’un jour tu le verrais, et que tu m’aimerais enfin comme moi je t’aimais.
Mais… merci.
Merci de m’avoir prouvé, encore une fois, à quel point tu me sous-estimais.
Pas parce que je méritais ta cruauté, mais parce qu’enfin, tu m’as ouvert les yeux.
Je ne mérite pas d’être traitée comme un objet jetable.
Je ne mérite pas ce cœur brisé à répétition, ni de douter sans cesse de ma valeur, ni de porter la honte d’avoir cru que je n’étais pas « assez ».
J’ai perdu trop de temps à penser que tu étais la clé de mon bonheur… alors qu’en réalité, tu m’avais enfermée en enfer.
Mais c’est terminé.
Fini de mendier le minimum.
Fini de sacrifier ma paix pour ne pas te déranger.
Oui, tu m’as mise en miettes… mais morceau par morceau, je me reconstruis.
Et cette fois, je bâtis une version de moi qui connaît sa valeur.
Alors merci.
Merci de m’avoir brisée… car c’est ce qui m’a donné la force de me relever sans toi.
Je mérite mieux — et aujourd’hui, je le crois enfin.