Âme, Corps, Conscience le chalet de l'essentiel

Âme, Corps, Conscience le chalet de l'essentiel Liberation des mémoires . Praticienne en thérapie comportementale cognitive (TCC), Aromatherapie , lithotherapie, massages, magnetisme

Un peu d'humour je vous présente votre magnétiseuse 🤣🤣🤣🤣
27/10/2025

Un peu d'humour je vous présente votre magnétiseuse 🤣🤣🤣🤣

21/10/2025

💥💥Attention suite à des personnes mal attentionnées ou jalouses ma page à subit plusieurs signalements elle risque donc d'être fermée 😡😡 mais le chalet lui reste ouvert 😇

Après quarante ans passés dans une salle de classe, ma carrière s’est terminée par une seule phrase, prononcée par un en...
20/10/2025

Après quarante ans passés dans une salle de classe, ma carrière s’est terminée par une seule phrase, prononcée par un enfant de six ans :
— « Mon papa dit que des gens comme toi, c’est dépassé. »

Il ne l’a pas dit avec méchanceté. Il ne se moquait pas. Sa voix était neutre — factuelle — comme s’il annonçait la météo.
— « Tu n’as même pas TikTok », a-t-il ajouté.

Je m’appelle Eleanor Vance, et aujourd’hui, j’ai rangé ma classe de maternelle pour la toute dernière fois.

Quand j’ai commencé à enseigner, au début des années quatre-vingt, c’était une vocation. On ne faisait pas ce métier pour le salaire, mais parce que façonner de jeunes esprits avait quelque chose de sacré. Les parents apportaient des biscuits faits maison pendant les réunions. Les enfants tendaient des cœurs en papier colorié aux crayons. Et le regard d’un enfant quand il lisait sa première phrase valait plus que n’importe quelle prime.

Mais peu à peu, le métier a changé. La joie s’est évaporée, remplacée par la paperasse, les statistiques et l’épuisement. Un jour, le monde a cessé de voir les enseignants comme des guides, pour les traiter comme des employés de service client qui n’ont même pas le droit de raccrocher.

Autrefois, je passais mes soirées à découper des étoiles jaunes ou à accrocher des dessins au mur. Désormais, je les passais à enregistrer des « incidents de comportement » sur une application du district — parce qu’aujourd’hui, c’est la documentation, non la bienveillance, qui protège des poursuites.

On m’a crié dessus devant mes propres élèves. Une fois, une mère a filmé la scène en direct sur Facebook pendant que son fils riait derrière son téléphone. Je suis restée droite, silencieuse, pendant que plus t**d, mon principal me conseillait d’être « plus souple avec les parents modernes ».

Les enfants aussi ont changé. Ce n’est pas de leur faute. Ils arrivent fatigués, anxieux, surstimulés. Leurs petites mains serrent des tablettes au lieu de jouets. Certains ne savent pas tenir un crayon. D’autres ignorent comment partager ou attendre leur tour. Et pourtant, on attend de nous que nous réparions tout cela — vingt-cinq à la fois, avec un budget qui ne suffirait même pas à acheter assez de bâtons de colle.

Mon petit coin lecture — des coussins, des albums et un rayon de soleil — a été remplacé par des « tableaux de données » et des « objectifs mesurables ».
Un nouveau principal m’a un jour dit :
— « Soyez moins maternelle, Eleanor. Nous avons besoin de résultats quantifiables. »
Comme si la chaleur humaine était devenue une faute professionnelle.

Pourtant, je suis restée, pour les petits miracles.
L’enfant timide qui a murmuré : « Vous êtes comme ma grand-mère. »
Le mot griffonné : « Ici, je me sens en sécurité. »
Le petit garçon qui, un jour, a levé la tête, rayonnant, et dit : « J’ai lu toute la page ! »

Ces moments étaient ma bouée — la preuve que même les gestes les plus simples pouvaient survivre au vacarme.

Mais ces dernières années ont brisé quelque chose en moi. La violence s’est glissée dans les couloirs. Les enseignants partaient en plein semestre, épuisés ou brisés. Nous remplissions plus de formulaires de crise que de plans de cours. Les rires dans la salle des profs se sont éteints, remplacés par le silence. Ce n’était plus de la fatigue — c’était du deuil.

Je me sentais disparaître peu à peu, comme un vieux panneau d’affichage qu’on oublie d’enlever.

Alors, ce matin, j’ai fermé ma classe à clé pour la dernière fois. J’ai décollé des peintures fanées des murs et retrouvé une boîte de vieux mots de remerciement de ma classe de 1998. L’un d’eux disait :
« Merci de m’avoir aimée quand j’étais difficile à aimer. »

Celui-là m’a brisée.

Il n’y a pas eu de fête de départ. Pas de discours. Pas de gâteau avec mon nom en glaçage. Le nouveau principal — assez jeune pour avoir été mon élève — m’a serré la main distraitement en consultant son téléphone. Il m’a appelée « Madame ».

J’ai laissé derrière moi ma boîte d’autocollants et mon vieux fauteuil à bascule — celui qui avait bercé quarante ans d’histoires racontées.
Je n’ai emporté que les souvenirs impossibles à ranger dans un carton : des bras d’enfant autour de mon cou, des éclats de rire après la récréation, la confiance dans les yeux de ceux qui m’appelaient « maîtresse ».

On peut numériser les programmes, uniformiser les tests, remplacer les craies par des tablettes — mais cela, on ne pourra jamais le reproduire.

L’enseignement me manque tel qu’il était autrefois : un partenariat, pas un combat. Une communauté, pas une entreprise. Un mot noble — professeur — pas un simple « gardien diplômé ».

Alors si vous connaissez un enseignant, ancien ou actuel, remerciez-le.
Pas avec une tasse ou une carte-cadeau.
Mais avec vos mots. Avec votre compréhension. Avec votre respect.

Parce que dans un système qui les oublie, les enseignants sont ceux qui continuent de se souvenir de vos enfants.

Bonjour,je suis l’angoisse — ne t’effraie pas, je viens en paix.D’ailleurs, pourquoi as-tu si peur de moi ?Je sais que t...
12/10/2025

Bonjour,
je suis l’angoisse — ne t’effraie pas, je viens en paix.
D’ailleurs, pourquoi as-tu si peur de moi ?

Je sais que tu te sens affreusement mal chaque fois que j’apparais. Tu désespères, tu voudrais me chasser, m’effacer… Je sais que, si tu le pouvais, tu me tuerais — surtout parce que tu crois que c’est moi qui veux te tuer ou te faire du mal.
Mais crois-moi : si je ne t’ai pas tué jusqu’à présent, je ne le ferai jamais.

Je ne suis pas là pour te nuire, encore moins pour te rendre fou. Je pense que je te l’ai déjà prouvé : chaque fois que j’arrive, je bouleverse ton corps, je te fais peur, mais à la fin de la journée… tu es toujours là, vivant.
Si je pouvais te détruire, je l’aurais déjà fait. Ce n’est pas mon but.

En réalité, si je provoque tout cela en toi, c’est parce que je n’ai pas trouvé d’autre moyen de me faire entendre. Tu étais si occupé à vouloir réussir, à être productif, à prouver aux autres que tu méritais d’être aimé… que tu n’as pas prêté attention à mes petits signaux.

Tu te souviens de cette fois où tu avais mal à la tête ? Ou de ces nuits où tu n’as pas dormi pendant des heures ? Ou encore de ce jour où, sans raison, tu t’es mis à pleurer ?
Eh bien, toutes ces fois-là, c’était moi, qui essayais de te parler. Mais tu n’as pas écouté. Tu as continué ton rythme, ta manière de penser. Alors j’ai dû frapper plus fort : je t’ai fait trembler l’œil, boucher les oreilles, transpirer les mains… et pourtant, tu refusais toujours de m’entendre.

Et entre nous, tu savais que j’étais là. C’est pour cela que, lorsque tu te retrouvais seul, au calme, quelque chose t’empêchait de rester tranquille. Tu devenais nerveux, car ton esprit rationnel ne comprenait pas ce qu’il se passait. Et c’est vrai : ton esprit rationnel ne peut pas me comprendre.

C’est pourquoi j’ai décidé d’abandonner mes signaux et de t’écrire.
Et si tu lis ces mots, je te félicite : cela signifie que tu as enfin le courage de m’écouter. Personne ne sait mieux que moi à quel point tu es doué pour me fuir, pour t’échapper de moi comme on fuit un monstre dans la forêt sombre.

Tu me fuis quand tu t’abrutis des heures devant la télévision, en vivant la vie d’autres personnes parce que la tienne ne te plaît pas. Tu me fuis aussi quand tu avales des substances pour t’endormir à la réalité que tu refuses d’affronter.

Mais j’espère que cette fois, tu es prêt à faire face à ta vérité, à ta vie telle qu’elle est, sans masque, sans raccourci, sans façade. Alors laisse-moi te dire les choses comme elles sont :

Tout ce que j’essaie de te dire depuis le début, c’est qu’il est temps d’évoluer.
Tu dois changer profondément, car pour une raison ou une autre, tu ne profites plus de ta vie et tu ne te sens pas heureux.
C’est pour cela que je suis là : pour t’aider à retrouver la plénitude qui vit en toi. Et pour y parvenir, tu devras te défaire de tout ce qui t’empêche d’y accéder.

Je suis là pour t’aider à voir ce qui te coupe de ta joie, de ton sens de la vie, de ton véritable être. Chaque fois que je réapparaîtrai, ce sera pour te signaler que tu t’es encore éloigné de ta propre plénitude. Alors, si je reviens, ne t’effraie pas : remercie-moi, et écoute-moi.

Si tu m’écoutes vraiment, tu commenceras à changer. Et dès que tu feras ces changements, je partirai. Oui, je partirai quand je verrai que tu avances, que tu grandis, que tu reprends ton propre chemin. Tant que tu ne le feras pas… je resterai.

Si je suis là aujourd’hui, c’est parce que tu as besoin de moi.
Tu as besoin de moi pour transformer ta façon de voir le monde — car, laisse-moi te le dire, ta perception est un peu déformée. Tu dois te libérer de tes croyances limitantes, pardonner ta colère, et retrouver ta liberté intérieure.

Tu as besoin de moi pour te reconnecter à ce que tu aimes, pour être toi-même, pour cesser d’avoir peur du rejet.
Tu as besoin de moi pour apprendre à dire non, pour mettre des limites à ceux qui te blessent, pour cesser de mendier l’amour de ceux qui ne te méritent pas, pour ne plus dépendre d’un autre pour être heureux, et pour enfin… prendre soin de ton corps.

Comment aurais-tu prêté attention à ton corps autrement ?
Tu dois le nourrir, le remercier, le faire bouger, le laisser respirer.
Pourquoi t’épuises-tu autant ? Pourquoi es-tu si dur avec toi ? Tu as tout en toi : la capacité, la force, la lumière pour créer ta réalité. Mais tu te traites comme ton propre esclave. Je suis là pour te dire : arrête.

Si tu veux vraiment que je parte, reprends la barre de ta vie. Demande-toi ce qui t’a éloigné de ton équilibre intérieur. Demande-toi comment tu veux vivre — et bats-toi pour cette vie. C’est la tienne.

Le seul contrôle que tu peux avoir, c’est celui de toi-même. Mais pour le retrouver, tu dois d’abord reconnaître que tu l’as perdu, et me laisser m’exprimer.
Quand je reviendrai, ne me repousse pas : ferme les yeux, ressens-moi, laisse-moi parler. Puis agis. Mets des gestes concrets vers le changement. Et, avant même que tu t’en rendes compte, je m’en irai.

J’espère ne pas avoir à revenir souvent, mais si je le fais, souviens-toi : je ne veux pas te blesser.
Je veux t’aider à retrouver ton chemin, celui qui te rendra profondément heureux.

Et pour finir, j’aimerais que tu me voies pour ce que je suis : ton essence.
Je suis toi — ton être intérieur qui crie désespérément pour être entendu.
Ce que tu ressens n’est pas une crise de panique : c’est ton âme qui frappe à la porte de ton cœur pour que tu l’écoutes.

Avec tendresse,
Ton essence, déguisée en anxiété.

Imaginez que chaque matin, une banque vous ouvre un compte de 86400€. Simplement, il y a deux règles à respecter. La pre...
11/10/2025

Imaginez que chaque matin, une banque vous ouvre un compte de 86400€. Simplement, il y a deux règles à respecter. La première règle est que tout ce que vous n'avez pas dépensé dans la journée vous est enlevé le soir. Vous ne pouvez pas tricher, ne pouvez pas virer cet argent sur un autre compte, ne pouvez que le dépenser mais chaque matin au réveil, la banque vous ré-ouvre un nouveau compte, avec a nouveau 86400€ pour la journée.
Deuxième règle la banque peut interrompre ce « jeu » sans préavis, à n'importe quel moment elle peut vous dire que c'est fini, qu'elle ferme le compte et qu'il n’y en aura pas d'autres. Que feriez-vous? A mon avis, vous dépenseriez chaque euro à vous faire plaisir, et à offrir une quantité de cadeaux aux gens que vous aimez. Vous feriez en sorte d'utiliser chaque euro pour apporter du bonheur dans votre vie et dans celle de ceux qui vous entourent.
Cette banque magique, nous l'avons tous, c'est le temps! Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86400 secondes de vie pour la journée, et lorsque nous nous endormons le soir, il n'y a pas de report. Ce qui n'a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de passer. Chaque matin, cette magie recommence. Nous jouons avec cette règle incontournable : la banque peut fermer notre compte à n'importe quel moment, sans aucun préavis à tout moment, la vie peut s'arrêter.
Alors qu'en faisons-nous de nos 86400 secondes quotidiennes ?.
Marc Lévy

💥Nouveau la médiation animale pour petits et grands 💥💥Dorénavant, au chalet, nous pourrons pratiquer la médiation animal...
15/09/2025

💥Nouveau la médiation animale pour petits et grands 💥💥

Dorénavant, au chalet, nous pourrons pratiquer la médiation animale… grâce à notre grosse Babouche ! 🐾 Oui, oui, vous avez bien lu : Babouche n’est pas seulement grosse (très grosse), mais aussi gentille (très gentille). C’est un peu comme un gros coussin vivant, mais avec des yeux doux et une respiration qui ronronne.

La médiation animale, c’est quoi ? Eh bien, ce sont des exercices et des activités guidées avec un animal, pour aider à se calmer, à mieux se concentrer et à retrouver un peu de zen. Ça marche super bien pour les enfants qui ont du TDAH, de l’anxiété, de l’hyperactivité, et même pour les adultes stressés (oui, toi qui regardes ton téléphone toutes les 30 secondes, tu es concerné 👀).

Par exemple :

Exercice n°1 : « Je caresse Babouche calmement pendant 5 minutes » → ça apaise le système nerveux.

Exercice n°2 : « J’essaie de marcher à côté de Babouche sans me faire doubler » → ça développe la patience (et les mollets).

Exercice n°3 : « Je raconte mes problèmes à Babouche » → elle ne juge pas, elle fait juste un gros soupir compatissant.

En résumé, la médiation animale avec Babouche, c’est de la psychologie, de la relaxation… et un peu de musculation quand il faut la déplacer du canapé. 🛋️💪

Une dernière pour la route 💫🙏
27/08/2025

Une dernière pour la route 💫🙏

Pour celles qui sont dans la situation victime de PN ou ce genre d'hommes écoutez c est rapide et ça explique très bien ...
27/08/2025

Pour celles qui sont dans la situation victime de PN ou ce genre d'hommes écoutez c est rapide et ça explique très bien la situation 🙏

🤗🙏
27/08/2025

🤗🙏

✨ Chers clients,Depuis 4 ans, j’ai tenu bon : malgré l’inflation, malgré l’électricité qui flambe plus vite que mon poêl...
21/08/2025

✨ Chers clients,

Depuis 4 ans, j’ai tenu bon : malgré l’inflation, malgré l’électricité qui flambe plus vite que mon poêle à bois, j’ai gardé mes tarifs inchangés. Mais voilà… même les super-héros ont leurs limites, et la hausse générale a fini par me rattraper.

👉 À compter d’aujourd’hui, les tarifs seront donc :

70 € la première séance

60 € les suivantes

Mais rassurez-vous, je n’ai pas perdu tout mon cœur (ni mon humour) en chemin :

Pour celles et ceux qui viennent au chalet depuis moins de 6 mois : vos tarifs restent inchangés.

Pour les familles (au moins 2 personnes sous le même toit) : vos tarifs restent aussi inchangés.

En résumé : seuls mes prix s’ajustent un peu, mais mon accueil, ma bienveillance et mon envie de vous accompagner restent, eux, intactes ! 💚

Merci de votre compréhension… et promis, je ne touche pas au prix du café ni aux sourires, ils restent gratuits à vie 😉.

« Tu as changé… » m’ont-ils dit.Non. Je ne change pas, je me retrouve.Je n’essaie plus de plaire à tout le monde.Je n’at...
12/08/2025

« Tu as changé… » m’ont-ils dit.
Non. Je ne change pas, je me retrouve.

Je n’essaie plus de plaire à tout le monde.
Je n’attends plus qu’on m’aime pour me sentir exister.
Je n’ai plus besoin d’approbation, ni de faux sourires.

J’ai appris à dire non.
À me choisir.
À m’éloigner de ce qui me vide et de ceux qui m’usent.

Ce n’est pas de la colère.
Ce n’est pas de la rancune.
C’est de la paix. De la sagesse.

Je ne deviens pas vieille.
Je deviens vraie. Sélective. En paix avec moi-même.

Mieux vaut être seule que mal entourée.
Et rien n’est plus précieux que la sérénité… et l’amour de soi.

A partager sans modération 😻🌟 NOUVEAUTÉ À PARTIR DU 1ER SEPTEMBRE 🌟Et si votre animal ressentait plus que vous ne le pen...
24/07/2025

A partager sans modération 😻

🌟 NOUVEAUTÉ À PARTIR DU 1ER SEPTEMBRE 🌟

Et si votre animal ressentait plus que vous ne le pensez ? 💫

Nos compagnons à quatre pattes (et même à plumes ou à poils 🐶🐱🐰🐦…) ont, eux aussi, une mémoire émotionnelle. Ils peuvent porter des traumatismes, des douleurs, ou manifester des troubles du comportement en lien avec leur vécu… ou le vôtre.

🎯 À partir du 1er septembre, je vous propose une toute nouvelle prestation : 👉 Des soins de libération émotionnelle pour vous et pour votre animal de compagnie.

Parce que l’équilibre passe aussi par le lien unique que vous partagez. 💞

💥 OFFRE DE LANCEMENT SPÉCIALE 💥
➡️ Séance complète à 70€

50€ pour le soin du propriétaire

20€ pour le soin de votre animal (offre exceptionnelle)

Si prise en charge uniquement de l'animal 50 euros.

Possibilités de me déplacer pour les chevaux ou animaux qui ne peuvent êtres transportés frais de déplacement en sus.

📆 Les rendez-vous sont ouverts dès maintenant pour septembre !

Prenons soin de vous… et de ceux qui vous aiment sans condition 🐾💚

Adresse

Chemin De Regagnas
Saint-Zacharie
83640

Heures d'ouverture

Lundi 10:00 - 19:00
Mardi 10:00 - 19:00
Mercredi 10:00 - 19:00
Jeudi 10:00 - 19:00
Vendredi 10:00 - 19:00
Samedi 10:00 - 13:00

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