Yoga Qi-Gong Mylène

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Yoga Qi-Gong Mylène cours de yoga (lundi et jeudi) et de Qi-gong (mardi et vendredi), petits groupes 10/12 personnes max. Ou cours individuels sur rdvs.

Se mouvoir en respectant son corps, se laisser guider par le souffle, entretenir ou retrouver son aisance corporelle.

25/06/2025

Quand on lui a demandé de révéler ses secrets de beauté, la ravissante actrice Audrey Hepburn a écrit ce poème, qui fut lu à ses funérailles.

Pour avoir des lèvres attirantes, prononcez des paroles de bonté.

Pour avoir de beaux yeux, regardez ce que les gens ont de beau en eux.

Pour rester mince, partagez vos repas avec ceux qui ont faim.

Pour avoir de beaux cheveux, laissez un enfant y passer sa main chaque jour.

Pour avoir un beau maintien, marchez en sachant que vous n’êtes jamais seule, car ceux qui vous aiment et vous ont aimé vous accompagnent.

Les gens, plus encore que les objets, ont besoin d’être réparés, bichonnés, ravivés, réclamés et sauvés : ne rejetez jamais personne.

Pensez-y : si un jour vous avez besoin d’une main secourable, vous en trouverez une au bout de chacun de vos bras.

En vieillissant, vous vous rendrez compte que vous avez deux mains, l’une pour vous aider vous-même, l’autre pour aider ceux qui en ont besoin.

La beauté d’une femme n’est pas dans les vêtements qu’elle porte, son visage ou sa façon d’arranger ses cheveux. La beauté d’une femme se voit dans ses yeux, car c’est la porte ouverte sur son coeur, la source de son amour.

La beauté d’une femme n’est pas dans son maquillage, mais dans la vraie beauté de son âme. C’est la tendresse qu’elle donne, l’amour, la passion qu’elle exprime.

La beauté d’une femme se développe avec les années.

23/06/2025

Tu vois cette femme ? Elle s’appelait Grazia. Grazia Deledda.
On s’est moqué d’elle, on l’a fait taire, on l’a méprisée…
pour avoir commis une “erreur” : être née femme.
À une époque où écrire était un privilège réservé aux hommes,
elle a osé penser, créer, rêver.
Et elle l’a payé cher.

Elle est née en Sardaigne, dans les m***agnes de Nuoro,
une terre aussi rude que les idées qui y régnaient.
Là-bas, on n’apprenait pas aux filles à imaginer un avenir.
On les dressait à obéir.
À neuf ans, Grazia a dû quitter l’école.
L’instruction, lui dit-on, n’était pas nécessaire pour une femme.
Mais elle refusa cette condamnation.
En secret, elle continua à apprendre, à nourrir son esprit de livres
et son âme de mots —
loin des regards de ceux qui la voulaient docile.

Adolescente, elle publia sa première nouvelle dans une r***e.
Pour elle, ce fut un triomphe intime, une étincelle de liberté.
Pour son village, un scandale.
Une femme qui écrit, qui pense, qui s’exprime… c’était intolérable.
Les voisins murmuraient, le curé la condamnait depuis la chaire,
et même sa propre famille lui tourna le dos.
Car à cette époque, une femme devait rester à sa place : à la maison, pas dans les livres.

Mais Grazia n’était pas une femme ordinaire.
Elle était du feu déguisé en silence.
Et elle écrivait la nuit, quand tout le monde dormait,
remplissant le monde d’histoires… pendant que le monde l’ignorait.

Un jour, elle partit vivre à Rome avec un homme qui fit toute la différence : Palmiro Madesani.
Ce n’était pas un simple mari.
Il fut son complice, son refuge, son moteur.
Tandis que la société les jugeait — une écrivaine, et un homme qui la soutenait —
eux répondaient par le calme et la ténacité.
Car quand on sait où l’on va, il n’est pas nécessaire de crier.

Grazia écrivait ce qu’elle connaissait :
des femmes qui aiment et qui souffrent,
des hommes brisés par la vie,
des paysages aussi rugueux que son enfance.
Son œuvre était intime, viscérale, puissante.
Et un jour, ce monde — celui-là même qui l’avait ignorée, méprisée, rendue invisible —
a dû l’écouter.

En 1926, Grazia Deledda,
la “petite femme sarde”,
avec sa scolarité interrompue mais un courage sans bornes,
reçut le Prix Nobel de Littérature.

Et lorsqu’elle m***a sur scène pour le recevoir,
elle n’était pas seule.
À ses côtés se tenait Palmiro.
Pas comme une ombre,
pas comme un faire-valoir,
mais comme il l’avait toujours été :
un homme qui savait aimer sans peur, sans égo, sans besoin de dominer.
Car aimer vraiment, ce n’est pas posséder.
C’est accompagner, élever, croire quand personne d’autre ne le fait.

Mais son plus grand triomphe n’a pas été le Nobel.
Son plus grand triomphe, c’est d’avoir défié des siècles de soumission sans élever la voix.
C’est d’avoir écrit…
jusqu’à ce que le monde n’ait plus le choix que de l’écouter.

Grazia n’a pas demandé la permission.
Elle a pris sa place.
Et ce faisant, elle a ouvert la voie à des millions de femmes qui ne veulent plus demander non plus.

Elle n’a pas gagné par la colère.
Elle a gagné par la force du caractère.

Et à travers chaque page, elle nous a laissé une leçon qui ne vieillit jamais :

Certaines batailles ne se gagnent pas en criant.
Elles se gagnent en écrivant.
Elles se gagnent en écrivant.

25/05/2025

Tu ne le sais pas encore, mon bébé…
Mais le jour de ta naissance, je suis née moi aussi.
Je suis née mère. Et tout ce que je croyais savoir sur la vie a changé.
Je ne vis plus pour moi.
Je vis pour toi.

Je t’ai porté sous mon cœur pendant neuf mois…
Mais la vérité, c’est que toi, tu m’as portée.
À travers mes peurs, mes espoirs, les nuits blanches et les rêves silencieux.

Et quand tu es arrivé dans ce monde, avec ta peau chaude, ton odeur de nouveau-né…
Je me suis dit : c’est ça, le paradis.
C’était toi. Dans mes bras.

Je t’ai veillé quand tu dormais.
J’ai chanté quand tu pleurais.
J’ai parlé à ton cœur bien avant que tu comprennes mes mots.
Et aujourd’hui encore, je te parle avec mes gestes, mes regards, ma tendresse qui ne s’épuise jamais.

Je sais qu’un jour, tu partiras vivre ta vie.
Tu grandiras, tu aimeras, tu rêveras…
Mais n’oublie jamais ceci :
Si un jour le monde te semble trop lourd, reviens au premier amour que tu aies connu.
Il est toujours là. Il t’attendra.

Je suis ta maman.
Et cet amour-là, il ne connaît ni le temps, ni la distance.
Il est pour toujours.

06/05/2025

La douleur d’une mère aux enfants devenus grands est une douleur à part.
Elle ne crie pas. Elle ne pleure pas devant les autres.
C’est une douleur silencieuse, profonde, contenue,
qui se glisse dans les prières du matin,
dans les pensées solitaires de la nuit,
dans un soupir discret, échappé au bord d’une tasse de thé, dans la cuisine.

C’est une douleur qui surgit lorsque les enfants ont grandi,
qu’ils ont pris leur envol,
qu’ils font leurs propres choix, leurs propres erreurs.

Une mère voudrait courir derrière eux,
leur reprendre la main, comme autrefois,
les abriter du monde, les préserver de la peine, des mauvais pas.
Elle voudrait crier :
« Arrête-toi ! Je sais ce qui est mieux pour toi ! J’ai déjà traversé cela ! »
Mais… elle ne le peut pas.
Car ce n’est plus un petit qu’on peut cacher sous son aile.
C’est un adulte, avec sa propre route, son propre destin,
son propre cœur qui apprend à travers ses blessures.

Et c’est là le plus difficile :
laisser son enfant vivre sa vie.
Le laisser tomber, se relever, se tromper, comprendre.
Se retenir quand on brûle de crier.
Se taire quand on voudrait guider.
Juste attendre. Être là.
Prier en silence.
Envoyer de l’amour à travers ses pensées et espérer qu’il l’atteigne.
Croire que tout ira bien.

Car une mère, même lorsque ses enfants deviennent grands,
garde toujours l’essentiel :
les aimer et prier pour eux, chaque jour.

02/05/2025

Il faut enseigner aux enfants, dès leur plus jeune âge, que le Soleil se lève à l’Est et se couche à l’Ouest.
Que si l’on tend la main droite vers l’Est, alors le visage regarde le Nord et le dos le Sud.
Que le courant d’un fleuve coule toujours vers la mer.
Que la Lune, elle aussi, se lève à l’Est et se couche à l’Ouest.
Que s’il n’y a pas de Lune, il existe une étoile qui indique le Nord… et notre latitude.
Que plus tu vois l’Étoile polaire près de l’horizon, plus tu es proche de l’Équateur.
Et que si, au milieu de l’océan, tu vois un oiseau voler, c’est que la terre n’est pas loin, dans la direction où il va.

Il faut leur apprendre le respect et l’amour des animaux, des arbres, de la terre, et des éléments qui nous donnent la vie.

Apprends-leur tout cela avant de leur offrir un téléphone portable.
Car un téléphone se décharge, une connexion se perd…
Mais la sagesse, elle, ne se perd jamais.

Ne les laissons pas perdre le lien.

30/04/2025
De la verdure,  des rondeurs, le calme et les oiseaux !
13/04/2025

De la verdure, des rondeurs, le calme et les oiseaux !

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