17/01/2025
Comprendre l’hypersensibilité :
Avant de trouver une solution à un problème, il est important de connaitre ce problème. Sinon vous risquer de faire ce que la majorité de gens font lorsqu’un problème se présente à eux à savoir essayer une multitudes de méthodes au hasard en espèrent que l’une d’elles fonctionne ! Cela sera comme se présenter sur un stand de tir et visé une cible à 100 mètres, vous n’avez aucune notion de tir et vous prenez une sulfateuse avec 10 000 munitions et tirez dans le tas en espérant toucher votre cible. L’autre option est de prendre des cours avec un professionnel, qui va vous accompagner dans l’utilisation d’un fusil de précision. Il vous apprendra l’effet du vent, l’effet de Coriolis, bref il vous exposera tous les calculs qui vont vous demander du temps et de l’investissement mais qui au final, augmenteront vos probabilité de toucher la cible de 99%.
Une hypersensibilité qui n’est pas comprise, tant au niveau corporel que mental, est une hypersensibilité qui est subit.
« un grand pouvoir implique de grande responsabilité », ici est le secret. Sois-vous vous victimiser sur cette singularité inscrite en vous ou soit vous vous surestimer en trouvent des excuse perpétuel à vos réactions « trop ». Dans les deux cas vous ne conscientiser rien de ce qu’es votre hypersensibilité.
Pour commencer la définition, il faut toujours commencer par la définition exacte. C’est le point de départ de tout.
Hypersensible : Sensibilité exagérée ou extrême.
Donc ici nous savons, pour commencer que nous sommes dans le trop.
Les caractéristiques propre à l’hypersensibilité, sont une réaction à un stimulus de manière exagérer, alors que la moyenne des personnes ne le sont pas. Une capacité au débordement émotionnels qu’ils soient positif ou négatif. Ce qui à pour effet des changement d’humeur rapide, plusieurs fois dans la même journée, déclenché par de simple mots, phrases qui active un débordement dans l’émotion.
Un rapport direct à l’émotion, sans le filtre de la rationalité.
Les signes cognitifs nous amènent à constater un tendance extrême à la rumination, à l’auto-analyse, focalisation sur les émotions négative et grande difficulté à oublier un passé parfois trop présent. Ne souhaitant pas revivre ses expériences passé traumatique, l’hypersensible développe une capacité de projection excessive ( encore un fois) ce qui le pousse, le plus souvent, à ne rien faire (procrastination). Le passage à l’action, voir aux choix est une difficulté de responsabilité, elle enclenche des réaction en chaines lier aux difficultés émotionnels du passé.
L’ambiguïté de ces manifestation pose problème quand nous savons aussi comment l’hypersensible pense le monde. Il ne supporte pas l’ennui, il est constamment dans une forme d’hypervigilance et d’adaptabilité permanente ce qui à pour effet un épuisement constant. Face à ses émotion, la banalisation du su***de est souvent une réponse à sa non compréhension émotionnels. Il se pose beaucoup de question sur le sens de la vie, le sens de sa vie, mes sans jamais se poser les bonnes questions sur son encrage corporel par exemple.
Les valeurs sont le moteurs de sa vie face à un monde qui en possède de moins en moins. Grande fidélité dans l’amitié. En amour c’est la même chose, avec une peur de l’inconnue sans pouvoir aborder l’autre tout en souhaitant au plus profond, construire avec l’autre. Une fois en couple, il risque d’être trop fusionnel avec la difficulté du conjoint(e), d’un sentiment d’étouffement aussi bien psychologique mais même physique. La rupture pour l’hypersensible est le point culminant de sa non gestion émotionnel dans toute son entièreté.
Le couple pour l’hypersensible en plusieurs étapes ( avec ses pensées et ses émotions):
1) Je crains d’aller vers l’autre = angoisse + stress
2) Mais j’aime tellement aimer= frustration
3) L’autre vient vers moi= peur +angoisse + stress
4) Je le repousse à cause de mes émotions mal vécu dans mes expériences passé
5) J’arrive à construire quelque chose= oui mais je ne sais pas si cela va durée
6) Je suis tellement bien avec l’autre. Même de trop quitte à étouffé l’autre
7) Elle, il me quitte= je le savais ! La seul solution c’est de partir !( de toute les manières possible)
8) L’autre me manque= je reste bloquer sur l’expérience passé sans jamais l’analysé de manière objective.
9) Je suis seul je ne le supporte pas= oui mais si je me remets en couple cela risque de refaire comme avant.
Ici ce n’est qu’un rapide condensé, mais nous pouvons observer de façon directe que l’hypersensible à un seul gros problème ! il n’est jamais dans le présent !
Soit dans la passé, soit dans le future mais jamais ici et maintenant.
C’est mon premier angle d’attaque en sophrologie , l’ancrage dans le présent. Avec quoi me direz-vous ? c’est simple nous disposons du meilleurs moyen d’accès temporelle de tout les temps à savoir….Notre corps ! Mais je développerais plus t**d cette notion de transport temporel.