13/03/2024
Coup de gu**le printanier!
Avant-propos : ceci est mon avis, ma vision des choses, donc subjective et peut être sujette à contradiction. Je l’accepte volontiers.
L’offre de pratiques dans le secteur du bien-être n’a jamais été aussi vaste.
Existe-t-il une définition précise de ce secteur ? A ma connaissance non, ce qui le rend nébuleux, fourre-tout et parfois ambigu.
Je vais tenter de le cerner selon ma vision de la chose et apporter une précision :
Une pratique dans le secteur du bien-être vise à apporter des connaissances ou à pratiquer sur quelqu’un une action. Cela dans l’objectif d’amener un bien ou mieux sur le plan physique, mental ou les deux.
Bien souvent ces pratiques tourneront autour des notions de détente, connaissance de soi, prendre soin de son corps et son esprit.
A mon sens, ces pratiques sont souvent basées sur des constats et techniques simples, innés à la base et de bon sens.
En aucun cas une pratique se voulant du secteur du bien être ne peut s’apparenter au monde de la médecine et supplanter traitements ou thérapies médicales.
Mais elles sont souvent un bon moyen des les accompagner.
On peut se réjouir de l’évolution des mentalités, de la place importante que prend le bien-être dans le quotidien de chacune et chacun.
Mais pas que…
Je fais le triste constat que parfois (souvent ? …trop souvent ?...) certaines ou certains proposent des prestations aux noms ambigus, pouvant laisser croire à une pratique médicale. Souvent dans un jargon technique très évasif qui n’est à mes yeux que de l’enfumage.
Bien heureusement pour la plupart, il ne s’agit de rien de dangereux et même de pratiques apportant un réel bien être.
Ce qui me gêne le plus dans ce constat, ce sont les tarifs pratiqués que je trouve plus que prohibitifs en comparaison de la prestation proposée.
A mon sens, lorsque l’on se prétend du secteur du bien-être, où le mot « bienveillance » est tellement utilisé à toutes les sauces, on ne peut pas ignorer une immense partie de la population qui jamais n’aura le plaisir d’en profiter, vu le taux horaire mis en place.
Ici s’arrêtera ce qui, je peux l’entendre, pourrait ressembler à un début de procès à certain(e)s praticien(ne)s.
Mais je rebondis là-dessus pour repréciser mon état d’esprit et ce que je propose.
Je suis masseur détente (et non kinésithérapeute comme certains l’amalgame) Je n’ai donc pas la prétention de soigner les pathologies. Simplement d’apporter un peu de détente musculaire qui jouera également sur le moral. Je n’utilise pas de technique spécifique de massage au nom extravaguant. Je suis formé aux techniques initiales qui font le socle du massage détente, sur table avec huile mais plus particulièrement assis sur vêtements.
Mon projet est parti d’un double constat :
- Le massage détente est un réel plus et devrait être accessible à un maximum de personnes
- Le prix d’un massage le rend très souvent inaccessible à un bon nombre de personnes.
J’ai volontairement un mode de vie très minimaliste, qui fait que j’ai peu de charges financières à assumer. Cela me permet donc de n’avoir pas à gagner beaucoup d’argent et donc de pratiquer des prix bas.
Concrètement :
- Un massage à l’huile d’une heure sur table : 35 euros
- En massage assis, je teste à l’heure actuelle le prix libre dans diverses structures collectives, entreprises, associations
- Selon le profile de certaines associations ou structures, je propose des sessions de massage gratuites.
Précision : je ne fustige pas mes collègues masseurs. Ils ont des compétences, surement pour la plupart plus poussées que les miennes vu que je débute, des cabinets avec des charges…et donc une clientèle en rapport.
Mon idée est de le rendre accessible à celles et ceux qui ne sont pas leur clientèle.
Je lance donc un appel printanier :
Associations, particuliers, entreprises, salariées de crèches, hôpitaux, EHPAD, commerces, usines, boutiques, auxiliaires de vie, infirmier(e)s, clubs de sport et autres…
Je vous propose mes humbles services dans l’idée de diffuser le plus possible cette pratique du massage et ses bénéfices.