Catherine Borel Énergéticienne Accompagnement chamanique

Catherine Borel Énergéticienne Accompagnement chamanique Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de Catherine Borel Énergéticienne Accompagnement chamanique, Site web santé et bien-être, Tassin-la-Demi-Lune.

Ensemble nous avancerons à votre rythme sur votre chemin vers l'équilibre et le bien-être...
Chaque petit pas que nous faisons nous emmène vers l'équilibre.
✨ Corps- Âme - Esprit ✨

Merci du fond du cœur à tous les participants de l'Atelier Danse & Reconnexion à Soi (présents et non présents sur la ph...
18/07/2025

Merci du fond du cœur à tous les participants de l'Atelier Danse & Reconnexion à Soi (présents et non présents sur la photo) pour votre sueur, vos larmes, vos rires et votre confiance 🙏
Vous retrouver est toujours un cadeau !
Gratitude au Service Jeunesse Villefranche-sur-Saône pour votre confiance et votre générosité !

Emilie Tarpin-Lyonnet Catherine Borel Massinissa Djebarat

La colère, la tristesse (...) ne sont pas mon identité, ne définissent pas mon Etre, ne font pas de moi qui je suis : Re...
17/07/2025

La colère, la tristesse (...) ne sont pas mon identité, ne définissent pas mon Etre, ne font pas de moi qui je suis : Reconnaître et légitimer nos émotions, leur rendre leur place et les replacer dans leur contexte, facilite l'acceptation et le détachement de ce système de pensées.

Lorsque je pense : " je suis en colère", je peux renommer en : "je ressens de la colère ".
J'identifie ainsi mon émotion et la valide car elle est juste à ce moment et fait partie de mon état émotionnel.

Comment est-ce que je me sens ensuite ?
Je peux prendre un temps de ressenti et pourquoi pas, de gratitude ?

Envie de renouer avec votre corps, d'explorer vos émotions et de découvrir une nouvelle liberté intérieure ? L' atelier ...
08/07/2025

Envie de renouer avec votre corps, d'explorer vos émotions et de découvrir une nouvelle liberté intérieure ? L' atelier "Danse et Reconnexion à soi" vous invite à vivre une expérience unique, accessible à toutes et à tous, quel que soit votre niveau. Offrez vous une parenthèse bienveillante pour retrouver l'élan vital qui sommeille en vous.

Date : jeudi 17 juillet à 19h00
Lieu : Service jeunesse de Villefranche-sur-Saône
Tarif : 25 euros
Contact/ inscription : 06 38 77 75 16

Intervenants : Emilie Tarpin-Lyonnet (Chorégraphe, danseuse interprète, enseignante de Yoga)
Catherine Borel (Danseuse Soufi, accompagnante holistique)
Massinissa Djebarat (Chorégraphe, danseur interprète, acrobate)

Chère sœur, ma réponse à ta question sur le Féminin Sacré se fera sur les réseaux. Mon point de vue est très personnel m...
16/06/2025

Chère sœur, ma réponse à ta question sur le Féminin Sacré se fera sur les réseaux. Mon point de vue est très personnel mais peut faire sens pour d'autres...
Je n'ai pas su, en un si court trajet, te répondre point par point, je le ferai ici.
Je te disais hier, mes réticences face à certaines approches concernant ce sujet.
Les approches seulement, pas la reconnexion à notre Féminin Sacré... personnel et commun.

Définir le "Féminin Sacré" ? Vaste requête... Une dimension spirituelle et symbolique, que l'on pourrait associer à l'Energie féminine dans son ensemble, universelle.
Présentée, "proposée" chez nous, dans un mixe entre traditions ancestrales souvent amérindiennes et d'autres plus contemporaines.
L'incarnation du Féminin Sacré pourrait être définie rapidement par : créativité, intuition, réceptivité, intériorité... Accueil du Masculin Sacré...

Plus personnellement, je m'étais invitée à une exploration intime, à remettre de l'équilibre dans et entre mes pôles féminins et masculins, et pour cela, à revisiter autant que je sache le faire, les aspects profonds et essentiels du féminin dans son ensemble et de mon féminin en particulier.

Quid de tous les rituels proposés ?
Le fait qu'un sujet soit très en vogue me rend toujours un peu méfiante mais m'intéresse au plus haut point : je cherchais donc le "commun" caché.

Si la rituélie est nécessaire pour diverses raisons qui ne sont pas le sujet ici, le risque n'est-il pas, sans discernement ni connaissance, de lui accorder des pouvoirs magiques ? (D'acheter du rêve...)
Les rites, précieux dans leur contexte, de bains de fleurs, d'explications sur les "lunes", etc, sont-ils adaptés à toutes ? Adaptés aux lieux ? (A notre vocabulaire, nos compréhensions qui participeront à déterminer également nos intentions ? A nos "racines" pour aller plus loin...)

Nous avons perdu (...) nos connaissances et rites ancestraux, la place des femmes a régressé depuis l'arrivée du christianisme.
Nous avons la chance que certains peuples aient conservé les leurs (mais à quel prix...). Nous qui mettons des mots sur et pour tout, comment faire avec des rites et locutions un peu insaisissables pour nous ?

L' important n'est il pas de tirer l'essence d'un enseignement afin de pouvoir l'intégrer profondément en nous, de pouvoir l'appliquer au quotidien, dans notre quotidien ?

Sans cheminement personnel plus vaste et accompagné, guidé pour un temps, sans apport préalable culturel, comment au quotidien, peut s'inscrire une telle démarche ?
Quelle substance nécessaire à notre Âme allons-nous tirer et pouvoir appliquer ?

Nous les femmes, sommes sœurs : nous avons du commun et de l'individuel.
Il nous faut donc, lorsque nous partons à la
(re) découverte de notre "Féminin Sacré", trouver, explorer le commun et l'individuel.
Et aimer ce commun et cet individuel.
Partir à notre rencontre, nous découvrir et nous comprendre, pour enfin nous aimer et pouvoir (enfin) aimer l'autre.

Refaire du lien avec nos lignées, nos Ancêtres.
(Re)Contextualiser l'histoire de nos lignées.
Nous descendons de femmes qui furent mises à l'ecart et traitées en enfants (ce ne fut pourtant pas le cas aux origines). Nous descendons de femmes blessées, trahies, abandonnés...
La vraie rencontre avec notre féminin commence par "l'histoire" de nos lignées, par un peu de généalogie aussi.
Pardonner.
Pardonner à nos mères, à nos parents...
Nous pardonner d'avoir été blessées, trahies, abandonnées...
Et d'en avoir fait autant.
Nous pardonner puis apprécier de ne pas correspondre aux attentes extérieures. Accepter.
Nous rencontrer et nous réconcilier à l'intérieur afin de ne plus laisser le pouvoir à l'extérieur.

Il nous a fallu, au fil des générations, combattre, élever, diriger, nous soumettre et nous taire... Nettoyer, travailler, éduquer... Être des hommes dans des corps de femmes...
Dans certaines de nos histoires, nous avons élevé nos enfants seules : être les pères, les mères, les soeurs et les amies de nos enfants, plongeant lentement dans la confusion des rôles...
Nous protéger des regards, de certains mots, parfois de mains avides, dans la rue, le bus...
Suivre la mode ou être bannies du club pour faute d'argent ou de corps semblant inadapté au goût du jour...
Images déformées, aux reflets assombris et souillés, corps usés et âmes en souffrance...

Que désirons- nous vraiment aujourd'hui ? Être féminines mais rester "un bonhomme" ou retrouver et vivre notre Féminin, en travaillant sur nos peurs de souffrir ?
Et l'homme ? Avons-nous fait la paix avec lui ? Quelle place lui laissons-nous, lui demandons-lui d'avoir ?
Mettre de la conscience sur tout cela est un préalable à nos retrouvailles, à nos réconciliations, notre réunification.

Vive en ville complique un peu la donne, dans la "reconnexion avec la nature" souvent préconisée dans notre quête du Féminin Sacré.
Mais les éléments, ma soeur, y as-tu pensé ?
L' eau n'est-elle pas le plus bel exemple du féminin ?
Elle peut être liquide, solide, à l'état gazeux (vapeur...). Essentielle et vitale, elle fertilise la terre avec l'aide du soleil. Selon l'alignement du soleil et de la lune, l'eau monte ou descend...
Elle fluctue, comme tes humeurs, selon tes "lunes" (je préfère "menstruations", moins poétique certes, mais entre le grec pour "lunes", l'amérindien pour les rites... J'ai choisi de rester sur mon sujet : le féminin, les appellations m'important peu).
La fluidité de l'eau. L'eau si douce et limpide, se mouvant par vagues puissantes parfois.
L'érosion qu'elle provoque, ses courbes, lorsqu'elle contourne le rocher, s'adaptent à lui mais elle poursuit toujours son chemin...

Nous sommes sœurs, mais ton individuel n'est pas le mien : je te parle de l' eau mais tu lui préféreras peut-être la rose ? Observe autour de toi, dans le cycle des saisons: le printemps te racontera cette créativité nouvelle, des sols rendus fertiles qui annoncent l'abondance à venir, cette douceur de l' air sur ta peau, de la pluie revenue après les froids secs de l'hiver, comme une promesse tenue...

Et notre corps qui palpite et vibre ? Lui offrir une jolie robe et des fleurs dans les cheveux, crois-tu que cela lui suffira ?
Il doit le pressentir ce féminin, le ressentir...
A l'intérieur et en surface, ressentir ces vibrations douces, ces ondes qui le parcourent, le traversent, qui participent à son bien-être et à sa grâce.
Comment choisiras-tu de t'y reconnecter ? Prend ce temps de réflexion, ma sœur. L'urgence n'est pas la meilleure conseillère. Observe autour de toi, en toi, ressens ce qui sera juste et bon pour toi.

La danse, le chant, la musique, la méditation, le yoga peut-être, en complément d'un sport ?
Garde en tête que toi seule peux trouver ce qui te conviendra, ce qui donnera un élan à ton cœur.
Dans cette quête, il s'agit de réconcilier mais aussi de ressentir dans ton corps cette onde douce dont je te parlais.

J'avais choisi de prendre des cours de danse Soufi car je désirais ajouter de la spiritualité à ma spiritualité, de découvrir l'écoute dans le silence, une autre voix, une autre voie..
De tourner du côté gauche, celui du coeur, dans le sens de la rotation de la terre autour soleil, parfois jusqu'à l'extase... D'être, dans ma danse, ce pont entre Ciel et Terre (regarde l'arbre, ma sœur), et par ma gestuelle, de recevoir mais aussi de redistribuer..
Le Féminin Sacré, je le sens, je le vis, je le vibre lorsque je danse... Comme un aboutissement, un équilibre parfait...
Mais c'est "mon" Féminin Sacré, cet individuel dont je te parlais...
Cet individuel qui contribue pourtant au commun, dans l'invisible, dans l'énergie.

Explore et n'oublie pas, à travers ce qui te conviendra, que l'essentiel est de remettre de l'équilibre, réunir et équilibrer tes deux pôles. N'ajoute pas de la séparation si tu veux réconcilier et réunir : la recherche individuelle convient avec les espaces et rites communs.
Garde en tête qu'il faut laisser du temps au temps, que le caractère d'urgence n'est que celle que tu vas lui donner, quoiqu'on t'en dise.
Que tu as des personnes sur ton chemin pour t'y accompagner, et bien des outils à ta disposition.
Fais toi confiance, ma sœur : tout est déjà à l'intérieur de toi.

Catherine Borel

Samedi 21 juin à   Atelier "Danse et reconnexion à soi" * Ouvert aux danseurs et non danseurs Renseignements/ Inscriptio...
05/06/2025

Samedi 21 juin à
Atelier "Danse et reconnexion à soi"
* Ouvert aux danseurs et non danseurs

Renseignements/ Inscriptions au :
Service Jeunesse de Villefranche sur Saône (69)
06-48-83-99-98

J'ai perdu une amie. Mais non, je ne l'ai pas perdue ! Nous nous retrouverons autrement...Son décès vient de m'être anno...
03/06/2025

J'ai perdu une amie. Mais non, je ne l'ai pas perdue ! Nous nous retrouverons autrement...
Son décès vient de m'être annoncé alors que je débutais l'écriture d'un texte sur "La Nature illusoire de l'esprit"... Sur les illusions que nous créons et qui sont basées sur nos croyances, nos attentes, nos expériences, nos émotions (...).

Soudain, j'apprends que tu es partie rejoindre cet ailleurs dont nous parlions depuis bientôt 5 ans.

Je ne te pleure pas puisque je t'aime.
Je n'ai pas de larmes, je suis heureuse pour toi.

Ensemble, nous avons préparé un bout de ce chemin : nous sommes impermanence, cycles, le ciel qui semble bleu (je dis bleu parce que nous donnons un nom à tout, c'est tellement plus rassurant !), pourtant le ciel n'a ni consistance ni couleur... Nous sommes l'eau que l'on touche et qui s'échappe, nous sommes le vent que l'on ne peut saisir...

Tu es rentrée "à la maison", et tu en sais tellement plus que moi depuis quelques heures... A bientôt, je t'aime ✨✨✨

La longueur des jours s'accélère, les heures semblent s'étirer et pourtant filent sans répit.Entendons-nous le vent épou...
31/05/2025

La longueur des jours s'accélère, les heures semblent s'étirer et pourtant filent sans répit.
Entendons-nous le vent épousseter la terre, et le soleil, dans sa générosité, nous pousser à réfléchir ?

Qu'avons-nous accompli depuis le retour du printemps ? Nos souvenirs s'amoncellent comme la rosée sur les herbes, et pourtant glissent aussi vite que le temps...

Qu'avons-nous donc accompli ? Qu'avons-nous laissé derrière ?
Quelles ombres avons-nous à mettre en lumière ?
Se peut-il que nous prenions certaines de nos ombres pour de la lumière ?
Que pouvons nous découvrir, apprendre ou améliorer, avec honnêteté et discernement ?

Faisons notre bilan régulièrement, non pas pour juger, mais pour embrasser le chemin parcouru, pour faire germer, planter, récolter... Pour partager aussi.

Catherine Borel


Les deux moines et les consignes " Il était une fois, dans un paisible monastère niché au sommet d'une montagne, deux mo...
27/05/2025

Les deux moines et les consignes
" Il était une fois, dans un paisible monastère niché au sommet d'une montagne, deux moines du nom de Tenzin et Dorje.
Tous deux étaient dévoués à leur pratique et respectaient profondément leur gourou, Maître Rinchen.

Un jour, Maître Rinchen leur donna des consignes importantes pour leur pratique spirituelle.
"Mes chers élèves, dit-il, je vais vous enseigner la méditation de la pleine conscience."

Tenzin, attentif et réfléchi, écouta chaque mot avec soin. Il comprit que l'essence de la pratique résidait dans la pleine conscience et la présence. Cependant, il se permit une certaine souplesse dans son approche, adaptant les instructions à son propre rythme et à sa compréhension profonde.

Dorje, de son côté, se concentra sur chaque mot du maître et décida de suivre les consignes à la lettre. Il s'assit rigoureusement, ferma les yeux exactement comme le maître l'avait dit et compta chaque respiration avec une précision méticuleuse.

Pendant plusieurs semaines, les deux moines pratiquèrent assidûment.
Tenzin ressentit une paix intérieure grandissante et un meilleur ancrage dans l'instant présent. Il intégra la pleine conscience dans chaque aspect de sa vie quotidienne, trouvant des moments de méditation dans les tâches les plus simples.

Dorje, en revanche, continua de suivre les consignes de manière stricte, répétant chaque geste avec exactitude. Il prouvait également ainsi sa dévotion à Maître Rinchen.

Un jour, Maître Rinchen convoqua ses deux élèves et leur demanda de partager leur expérience.
Tenzin parla de la paix et de la clarté qu'il avait trouvées en adaptant les enseignements à sa propre compréhension.
Dorje expliqua comment il avait suivi les consignes à la lettre, ne déviant jamais de la méthode enseignée.

Maître Rinchen écouta attentivement et sourit.
"Mes chers élèves, vous avez tous deux bien appris. Tenzin, en cherchant l'essence des enseignements, tu as intégré la pleine conscience dans ta vie. Dorje, en suivant les consignes à la lettre, tu as montré ta dévotion et ta discipline. Cependant rappelez-vous que la véritable sagesse réside dans l'équilibre entre la compréhension et l'application."
Catherine Borel

Les deux moines et les consignes " Il était une fois, dans un paisible monastère niché au sommet d'une montagne, deux mo...
27/05/2025

Les deux moines et les consignes
" Il était une fois, dans un paisible monastère niché au sommet d'une montagne, deux moines du nom de Tenzin et Dorje.
Tous deux étaient dévoués à leur pratique et respectaient profondément leur gourou, Maître Rinchen.

Un jour, Maître Rinchen leur donna des consignes importantes pour leur pratique spirituelle.
"Mes chers élèves, dit-il, je vais vous enseigner la méditation de la pleine conscience."

Tenzin, attentif et réfléchi, écouta chaque mot avec soin. Il comprit que l'essence de la pratique résidait dans la pleine conscience et la présence. Cependant, il se permit une certaine souplesse dans son approche, adaptant les instructions à son propre rythme et à sa compréhension profonde.

Dorje, de son côté, se concentra sur chaque mot du maître et décida de suivre les consignes à la lettre. Il s'assit rigoureusement, ferma les yeux exactement comme le maître l'avait dit et compta chaque respiration avec une précision méticuleuse.

Pendant plusieurs semaines, les deux moines pratiquèrent assidûment.
Tenzin ressentit une paix intérieure grandissante et un meilleur ancrage dans l'instant présent. Il intégra la pleine conscience dans chaque aspect de sa vie quotidienne, trouvant des moments de méditation dans les tâches les plus simples.

Dorje, en revanche, continua de suivre les consignes de manière stricte, répétant chaque geste avec exactitude. Il prouvait également ainsi sa dévotion à Maître Rinchen.

Un jour, Maître Rinchen convoqua ses deux élèves et leur demanda de partager leur expérience.
Tenzin parla de la paix et de la clarté qu'il avait trouvées en adaptant les enseignements à sa propre compréhension.
Dorje expliqua comment il avait suivi les consignes à la lettre, ne déviant jamais de la méthode enseignée.

Maître Rinchen écouta attentivement et sourit.
"Mes chers élèves, vous avez tous deux bien appris. Tenzin, en cherchant l'essence des enseignements, tu as intégré la pleine conscience dans ta vie. Dorje, en suivant les consignes à la lettre, tu as montré ta dévotion et ta discipline. Cependant, rappelez vous que la véritable sagesse réside dans l'équilibre entre la compréhension et l'application."

Ainsi, Tenzin et Dorje comprirent que l'essence de l'enseignement ne résidait pas seulement dans les consignes ou dans la dévotion, mais dans la manière dont ils les intégraient et les appliquaient à leur propre chemin spirituel.
Qu'apprendre sans chercher à faire sien l'enseignement, est comme un oiseau sans ailes. Il connaît le ciel, mais ne peut s'envoler."

Catherine Borel

" Quand je cours après ce que je pense vouloir,mes journées sont une fournaise de détresse et d'anxiété.Si je m'assois d...
15/05/2025

" Quand je cours après ce que je pense vouloir,
mes journées sont une fournaise de détresse et d'anxiété.
Si je m'assois dans mon propre endroit de patience,
Ce dont j'ai besoin coule vers moi, sans peine aucune.

A partir de là, je comprends que ce que je veux me veux aussi,
Me cherche et m'attire,
Quand il ne peut plus m'attirer à aller vers lui,
Qu'il vienne à moi.

Il y a un grand secret en cela pour qui sait le saisir. "
Rûmi

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Mardi 09:00 - 18:00
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