Dominique Mantei Psychopraticien Pluridisciplinaire

Dominique Mantei Psychopraticien Pluridisciplinaire Vaut mieux prévenir que guérir, tous les vieux proverbes on leur signification exacte. Comprendre ça.

06/07/2025

Bonjour,
L’analyse nécessite de la rigueur scientifique. C’est la première partie du
chemin vers la guérison. Cela permet au malade de comprendre le sens du
« mal-a-dit ». Mais cela ne suffit pas.
Comme j’ai coutume de dire, la connaissance libère, mais c’est l’Amour qui
guérit.
L’analyse biologique apporte la connaissance de la réelle raison de la mala-
die, et non pas de la raison apparente, raison officielle qui arrange tant de
monde. Cela évite de se remettre en question soi-même en accusant autrui
de ses problèmes, ou en rendant responsables de ses maladies les microbes,
le froid, la chaleur, l’accident, etc.
L’analyse permet souvent de trouver une solution pratique à un problème
puisqu’il a permis de faire le lien entre la situation conflictuelle vécue avec
son ressenti et la maladie. Mais cette solution pratique ne permet au mieux
qu’une rémission de la maladie et non une guérison, n’en déplaise à certains.
Il est nécessaire d’aller plus loin dans l’exploration de l’inconscient personnel
et généalogique de la personne merci de m'avoir lu DM

29/06/2025

Bonjour à tous, contactez-moi plutôt par texto je préfère cordialement DM

25/06/2025

Bonjour Sandy, je préfère vous expliquer par téléphone c'est plus simple. Mon numéro 06 10 02 44 50 merci d'avance excellente journée DM.

27/03/2025

Les mamans c'est pour vous.
Un parcours initiatique
Au départ, l’enfant qui vient de naître est vierge de toute connaissance. Il va rencontrer le monde pour forger son immunité et cela se fera par le contact avec les antigènes, ces molécules différentes de lui, le « non soi » qui permet par réaction de définir le « soi ». Dans ce parcours, et à chaque fois que ces rencontres seront un peu difficiles, l’enfant fera une petite infection. Ce sera le plus souvent une maladie de la région O.R.L., rhume, rhino, otite, pharyngite, angine. Ce sont essentiellement ces régions qui sont chargées de rencontrer l’extérieur et ce sont logiquement elles qui seront mises à contribution par ces maladies de découverte et de constitution du soi. Parents, essayez donc de vivre ces épisodes avec sérénité et d’aider les enfants à accomplir leur mission sans traitements intempestifs, même si cela doit occasionner quelques petits problèmes d’organisation et de garde.

Les maladies obligatoires
Si les affections de la sphère O.R.L jouent un rôle dans l’acquisition de connaissances générales, d’autres maladies infantiles ont un rôle spécifique et interviennent à des étapes cruciales du développement de l’enfant . Elles semblent tellement indispensables à son évolution qu’on n’hésitera pas à les qualifier de « maladies obligatoires ».

-La rougeole est la maladie principale de l’autonomisation, celle qui permet de prendre la maîtrise de sa connaissance du monde. Petit, l’enfant est dans les bras de sa mère. Elle bouge, il bouge avec elle et par elle. Sa maman est « médiatrice » de toutes ses découvertes et de toutes ses relations au monde. Quand il commence à marcher et à explorer seul le monde, il apprend à se faire par lui-même une idée de la vie. La rougeole l’aide à prendre son autonomie dans ce nouvel état de perception. Il commence à voir le monde « par ses propres moyens » et non plus « comme on lui a présenté ». La rougeole s’accompagne souvent d’un grand bond en avant sur le plan de la maturité émotionnelle. Avec les mêmes symptômes atténués, la roséole et la 5e maladie sont des « repassages » de la rougeole. Comme si l’accès à l’autonomie méritait d’être vécu plusieurs fois pour être totalement accompli.

– La varicelle sert à dépasser les flux et les reflux émotionnels . C’est la maladie des « Jean qui rit et Jean qui pleure » que sont les tout petits. C’est un apprentissage qui permet d’acquérir des processus de réaction aux situations et de constituer toute une gamme de réponses émotionnelles. La « récompense » de la varicelle est donc une plus grande souplesse d’adaptation. Mais il arrive qu’une émotion particulière ne puisse être gérée et digérée. Il y a blocage et enkystement. Cela se transforme en une croyance (c’est-à-dire en attitude mentale compensatoire pour pouvoir accepter la vie avec cette difficulté) qui gouverne alors une partie de nos réactions. Mais au fond de nous, l’émotion persiste, comme un lieu de douleur indicible. Elle pourra un jour resurgir dans une maladie qui utilise le même microbe que la varicelle, le zona. En cas de zona, il faut en effet se demander : « quelle est cette émotion très ancienne que je n’ai jamais pu affronter ni évacuer et qui remonte ainsi à l’occasion d’un stress important, même parfois 50 ans plus t**d ? » . La médecine sait depuis toujours qu’un zona doit faire rechercher une maladie plus grave, laquelle sera étroitement liée à cette vieille émotion non réglée.

– La coqueluche renvoie à la problématique de « l’amour qui sauve de la mort ». La vie est vécue par les enfants comme une succession de nouveautés et à ce titre comme une source de nombreux dangers. Face à la crainte de mourir, l’enfant sait bien que seul l’amour peut le sauver. Heureusement, il sait qu’il a l’amour de ses parents. Enfin, il devrait le savoir et l’avoir. Parfois, il n’en bénéficie pas ou ne le ressent pas assez. Pour survivre, il lui faut alors attirer l’attention sur lui. Sa devise devient « être la coqueluche » (attirer l’amour qui permet d’exister) ou « avoir la coqueluche ». La solution de cette maladie, c’est évidemment de se sentir aimé.

La rubéole véhicule un sens très différent. C’est la maladie qui aide à se libérer et à libérer son entourage d’une trop grande possession souffrante. Quand une petite fille joue à la poupée, celle-ci peut être totalement son objet, le lieu de projection qui doit être absolument conforme à ce qu’elle veut. Sa poupée est aussi son instrument de compensation sur lequel elle va déverser ses tristesses, ses peurs et ses colères. Le jouet va porter ses espoirs, ses souffrances et ses attentes. Pendant la grossesse et durant la petite enfance, un enfant a besoin d’être totalement accepté pour lui-même. Sans désir de possession et sans besoin de compensation étouffant. La rubéole permet précisément de passer de la vision de l’enfant-objet à une vision de l’enfant-sujet : accueilli comme ils est. Lorsqu’elle survient chez la femme pendant la grossesse, la maladie pourrait traduire une situation de possessivité pathologique, qui empêche gravement l’autre d’exister et l’handicape de nombreuses malformations. Vécue par l’enfant, la rubéole est une manière d’apprendre que « nos enfants ne sont pas nos enfants mais l’appel de la vie à elle-même » Que nous ne possédons ni leur corps ni leur devenir. Nous sommes juste là pour les porter vers la vie avec amour.

Encore une fois, la vie nous montre son génie en mettant à notre disposition les outils nécessaires à notre croissance et à notre accomplissement. Il nous reste juste à accueillir. Merci de m'avoir lu

11/03/2025

Bonjour,La médecine moderne a concentré ses efforts sur l’étude du corps humain pour être mieux à même de le guérir le jour où il tombe malade. Cette démarche était, par principe, incomplète. En effet, dans l’euphorie de la découverte des enchaînements mécaniques et biochimiques, elle avait négligé le psychisme et le cerveau. De la même façon, nos ancêtres ont longtemps refusé, pour des raisons dogmatiques, d’admettre la place centrale du soleil, s’imaginant à tort que les planètes décrivaient des trajectoires en spirale autour de la terre, ce qui non seulement n’avait pas de sens, mais compliquait de surcroît les calculs astronomiques. Depuis que Galilée a redécouvert que le soleil est l’astre central de notre système planétaire, les trajectoires des planètes sont redevenues des orbites simples autour du soleil. Merci de m'avoir lu 🤫

17/02/2025

Travailler en binôme avec la médecine traditionnelle

Je suis forcé de me rendre à l'évidence, que les personnes ayant eu des pathologies ou des maladies à différents degrés, dans mon entourage proche et avec qui nous avons parlé des heures entières des nuits sur leurs problématiques dépression cancer et cetera, en parallèle de leurs traitement, ou après une chirurgie ont guérit.

Est-ce une coïncidence? mais à force, de faire comprendre à leur cerveau, en le mettant au pied du mur en lui faisant comprendre, le facteur déclencheur de leur maladie il passait beaucoup plus vite dans un mécanisme de guérison.
Contrairement à des personnes avec qui nous nous voyons par intermittence, donc j'en déduis qu'un concentré assidu de mes séances de compréhension de leur maladie et leur déclenchement, était beaucoup plus efficace.
Cela peut vous paraître sectaire, ce n'est nullement le cas. Si vous connaissez quelqu'un dans votre entourage atteint d'une maladie auto-immune ou quelconque pathologie, je ferais en sorte de trouver des créneaux disponibles, ensemble.merci de m'avoir lu.

30/01/2025

Bonjour,Les Métastase .
S'il est vrai que les cellules cancéreuses transit par la circulation sanguine, pourquoi les dons de sang ne font-ils pas l'objet d'un dépistage des cellules cancéreuses et pourquoi le public n'est-il pas averti par les autorités sanitaires des risques encourus en cas de contact avec le sang de personnes atteintes d'un cancer ? Merci de m'avoir lu.

24/01/2025

Bonjour
Les manifestations physiques de la maladie ont comme origine le vécu psychique, et la réparation commence après cette modification du vécu qu'est la solution du conflit.
Il n'en reste pas moins que la vie psychique ne s'arrête pas, et que le ressenti de la personne demeure sensible à tout nouveau choc éventuel.
Il s'agit de porter attention à la façon dont la personne va vivre sa maladie dans chacune des phases, et notamment sa phase de réparation souvent plus pénible que la phase conflictuelle. Une première possibilité et l'importance des croyances personnelles.
Ce bagage commence dès l'enfance par des réflexions du style «habille-toi pour ne pas attraper un refroidissement, n'embrasse pas un tel qui a un rhume, ton oncle est mort d'une maladie grave, il avait un cancer .».
Il s'enracine par après surtout par l'inondation des médias écrits et audiovisuel, qui nous montre toujours plus de pathologie lourde mais sans jamais allusion au vécu. Je pense à tous les personnes que j'ai pu «récupérer » le lendemain d'une émission télévisée consacré à l'eur affection ou après une recherche sur Internet.
S'il s'agit d'une réaction bien compréhensible, je conseille de faire cette recherche avec toute la prudence qui s'impose. Et notamment de consulter aussi des sites qui développent d'autres approches que les études et les descriptions classiques. Il en existe sur beaucoup de sujets médicaux mais il faut ajouter dans les mots clés des termes et expressions comme « remise en cause de , autres point de vue sur, théories alternative sur », suivis de la maladie dont vous souffrez. Merci de m'avoir lu.

13/01/2025

Bonjour ,J'ai le symptôme, je suis la solution mais décalé dans le temps .c'est le principe du conflit transgénérationnel. merci de m'avoir lu

30/12/2024

Bonjour
Je préfère avoir un singe comme ancêtre , qu'un homme instruit qui utilise sa culture au service du mensonge.
Bonne fin d'année

23/12/2024

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Toulon

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