Monique Ubaldi - Consultante en nutrition Sophrologue Naturopathe

Monique Ubaldi - Consultante en nutrition Sophrologue Naturopathe J'ai orienté mes études de thérapeute sur diverses approches qui permettent une prise en charge d

LA VOISINE HYPOCONDRIAQUE Driiiiing...Nadine :    • Bonjour ! Je me présente, je suis la voisine du second.       Je rev...
11/09/2025

LA VOISINE HYPOCONDRIAQUE

Driiiiing...

Nadine :
• Bonjour ! Je me présente, je suis la voisine du second.
Je reviens du marché et je vous ai apporté une belle botte de carottes. J'ai laissé les feuilles, c'est plus joli je trouve. Moi, je mange toujours les carottes en commençant par les feuilles, ça nettoie l'intestin et ça donne un teint de pêche. Enfin, il faudra quand même bien les laver avant, n'est-ce pas. Des fois qu'il y aurait encore de la terre.

La voisine :
• ??? …. Euh, merci beaucoup... C'est gentil !

Le voisin :
• Chérie ... c'est qui ?.. Bonsoir Madame.

Nadine :
• Enchantée, je suis la voisine du second, Nadine. L’hiver est froid, vous ne trouvez pas ? Bouduuu... toute cette neige, ça me donne des névralgies sur tout le corps et des chutes de tension.

Le voisin :
- C’est vrai qu’il fait frais.

Nadine :
• L’hiver, le froid me rend la vie difficile. Je développe des petites boules sous la peau qui roulent sous mes doigts et je dois les écraser toute la journée au presse-purée. Et vous ça va ?

Le voisin :
• ??? … Oui…euh…merci pour les carottes.

Nadine :
• Si vous ne les mangez pas, vous pouvez les cuire, les écraser, les mélanger à du terreau et en faire un masque. C’est une recette traditionnelle de Kabylie, ça fait la peau toute douce.

La voisine :
• Ah ben oui, c’est une idée. Euh… vous allez bien ? Madame ?.. Vous êtes toute pâle subitement.

Nadine :
• (en chutant lourdement en avant…) Argh....

Le voisin :
• Mon Dieu, qu’est-ce qui lui arrive ?!!

La voisine :
• Je ne sais pas, moi !.. Madame… Madame… ça va ?

Nadine :
• Argh… une chute de tension, ça m'arrive de temps en temps… Vous savez, ma vie n'a pas été facile, j'ai commencé à travailler très dur et très jeune, et du coup mon squelette ne s'est pas bien développé, et je suis percluse de névralgies et d’inflammations chroniques. J'ai des nerfs coincés sur tout le corps et du coup ma tension peut chuter brutalement à tout moment. Pouvez-vous m'aider à me relever, s’il vous plait ?

Le voisin :
• Oui … oui… Bien sûr Madame.

Nadine :
• Ah non, attention !! Pas par les bras !! Je me suis déboitée le coude en 1995 et depuis j'ai des douleurs réflexes qui me montent jusqu'au crâne.

Le voisin :
• Hou la … Oui … oui… Je comprends Madame. Voulez-vous vous vous tenir à mon bras plutôt ?

Nadine :
• Mais non, enfin !! Je ne peux pas déplier les doigts à cause de l'arthrite. Vous voyez mes doigts, non ? ils sont tout recroquevillés. Regardez !!

Le voisin :
• Oui, excusez-moi, mais comment allez-vous vous relever si…

Nadine :
• Je vais me débrouiller, finalement. Argh…Argh… je me suis fait opérer des pieds en 2001 et depuis ça me fait mal quand je m’appuie dessus. La douleur remonte jusqu’aux cuisses. C’est terrible cette douleur, vous savez.

La voisine :
• Ah oui, ça doit faire très mal. Euh…ça ira pour remonter chez vous ?

Nadine :
• Il faudra bien ! Je suis vaillante vous savez. Pas comme les jeunes d'aujourd’hui qui se plaignent tout le temps. Ils sont tout le temps fatigués, vous ne trouvez pas ?

Le voisin :
• Ben, nous ça va, mais après…

Nadine :
• Bon, je vais remonter. C’est dur les escaliers. Chaque marche me coute . Ce n’est pas simple. Enfin, on ne va pas se plaindre. A bientôt les jeunes, vous passerez boire le café ? Ce sera l’occasion de me dire comment vous avez cuisiné les carottes.

https://www.sophrologie-naturopathie-toulouse.fr/la-voisine-hypocondriaque/

Les 500 plus grandes fortunes se partagent 42% du PIB de la France.Et c'est le peuple qui se voit menacé de suppression ...
11/09/2025

Les 500 plus grandes fortunes se partagent 42% du PIB de la France.

Et c'est le peuple qui se voit menacé de suppression de jours fériés pour faire des économies ?

Gilles Perret, connu pour ses documentaires engagés comme “La Sociale” ou “La ferme des Bertrand”, livre son analyse sur les causes de cette colère et interroge son acceptabilité par une partie de la population.

Regardez en replay Arte “La question qui se pose pour moi est : pourquoi cela n'a pas pété plus tôt ?”, Gilles Perret

Mon travail me fait souffrir.J’ai toujours mal au ventre. Le dimanche soir, c’est encore pire.Ce n’est pas une douleur p...
10/09/2025

Mon travail me fait souffrir.

J’ai toujours mal au ventre. Le dimanche soir, c’est encore pire.

Ce n’est pas une douleur physique, mais les mots qui me reviennent lorsque je pense à mon travail, sont "détresse", "peur", "danger", comme si de mon cerveau émanait un désespoir silencieux qui me donnait une envie impérieuse de partir très loin.

Je me demande si je vais pouvoir absorber le travail qui s’est accumulé depuis mon départ du bureau vendredi, tout en suivant la cadence du travail qui s’accumulera pendant la journée.

J’ai peur de faire des erreurs qui me décrédibilisent, des erreurs qui fassent perdre à mes clients et à mes collègues la confiance qu’ils ont eue en moi durant des années.

Peur qu’ils ne se disent « ah, mais au fond elle/il n’était pas si efficace que ça », ou « dis donc, elle vieillit mal ».

Peur d'être considérée incompétent(e), après toutes ces années de travail, ce serait terrible pour moi.

J’ai peur que certaines demandes me prennent trop de temps et que j’en sois dépassée, que je perde la cadence.

Depuis ce rachat, je deviens irritable, désagréable, beaucoup de collègues se détournent de moi, ma tristesse et ma négativité ont fini par faire le vide autour de moi.

J’ai peur de devenir un monstre survolté et désagréable que tous critiquent en buvant leur café.

Peur que cette situation révèle au grand jour, le manque de confiance en moi que je combats depuis si longtemps.

Peur que ça me confirme que je ne vaux pas grand-chose.

Pourtant, ça fait des années que je travaille dans cette entreprise.

En réunion, je n’avais pas peur de parler. Je me sentais écouté(e), légitime, je faisais partie d’un microcosme bienveillant, chaleureux, amical.

Maintenant, je n’ose plus prendre la parole, j’ai l’impression d’être au bord d’un précipice quand je le fais.

On ne croit pas en moi, alors, je n’arrive plus à croire en moi.

Pourquoi les autres semblent s’y faire tandis que moi, je dois fournir des efforts démesurés pour arriver à faire le tour de mes taches ?

Je m’épuise, mon cerveau tourne à toute vitesse tandis que je passe d’une tâche à l’autre.

Comment en suis-je arrivée là ?

Je me réveille en sursaut à trois heures du matin, les yeux grands ouverts, le cœur battant, me demandant si demain, je vais réussir encore à survivre une journée de travail.

Je n’arrive pas à m’en aller, j’ai peur de ne pas réussir à passer un entretien, à donner confiance, à retrouver un travail, à apprendre d’autres tâches.

Je suis si fatiguée que je rationne l'énergie qui me reste. J’ai mis un mur quelque part à l’intérieur de moi qui bâillonne la révolte pesante que j’ai si peur de laisser surgir.

Et j’avance jour après jour, je m'accroche, j'espère que le prix à payer pour traverser tout ça ne sera pas trop cher.

*

Est-si les entreprises payaient les frais médicaux et le salaire des employés qu'elles rendent malades ?

C’est ainsi que nos personnages se retrouvent à une heure très t**dive dans le seul hôtel (de passes) ouvert de la ville...
09/09/2025

C’est ainsi que nos personnages se retrouvent à une heure
très t**dive dans le seul hôtel (de passes) ouvert de la ville.

Daniel : Bonsoir, avez-vous quelques chambres pour nous cette nuit ?

Réception : Il m’en reste une, mais les enfants sont interdits.

Daniel : On ne peut tout de même pas les laisser dans la voiture. Il est trois heures du matin, nous cherchons un endroit pour dormir. Ils sont crevés.

Réception : Monsieur, vous vous trouvez dans une maison close, ici, vous venez pour consommer du sexe. Si la police débarque, on me retire ma patente !

Daniel : Mais c’est une urgence !! Allez-vous nous renvoyer à cette heure-ci avec trois enfants qui ne tiennent plus debout ?

Réception : Ce n’est pas mon problème, moi, je n’en ai pas, je suis stérile.

Carmen : Mais on ne vous demande pas d’en faire, on vous demande d’avoir un peu de pitié pour ces petits ! Tout à l’heure dans le camping, on voulait les fouetter, ici, on ne les laisse pas dormir ! Ce n’est pas possible ça !!!

Réception : Même ici on peut les fouetter, si vous voulez. Nous excellons dans la matière. Si une petite séance au sous-sol vous tente vous m'en direz des nouvelles. Vous venez de chez Gomez, le camping Karmi-Ramah ?

Carmen : Oui… nous venons du Karmi-Ramah et non, votre proposition pour être fouettés ne nous intéresse pas, merci !

Réception : Dommage, je suis moi-même très habile, vous savez ?

Carmen : Je n’apprécie pas qu’on me fasse des avances aussi directes !

Réception : Bon, vous êtes dans un bo**el quand même, ici on peut dire ce qu’on veut.

Carmen : Et moi, j'ai le droit de me trouver dans un bo**el et de ne pas vouloir me faire fouetter !

Réception : Tout de suite les grands mots ! il s’agit de flageller avec une petite badine, pas de fouetter, ce n’est pas pareil ! On connait ça ici, qu’est-ce que vous croyez ? Vous exagérez !

Carmen : Et alors, c’est notre droit de ne pas vouloir être flagellés, non, mais je rêve. Quelle manie !

Réception : Ce n’est pas une manie Madame, c’est un Art.

Daniel : Mais qu’est-ce que ça vous coute de nous garder ici cette nuit ? On vous paye même la prostituée s’il le faut ! Nous voulons juste quelques lits pour nous reposer.

Christiane : Dites-nous combien vous voulez et on le paie. Demain matin, nous chercherons une villa pour le reste des vacances.

Réception : Quelle prostituée voulez-vous ? Une experte du bo***ge ? Une domina ? SM ? FF ?

Monique : Chut ! Je vous en prie… pas si fort !! Les enfants…

Nils : MOI ZE VEUX UNE DOMINA !

Monique : Nils !!!

Réception : Alors ?

Monique : Mais c’est pour de faux, voyons ! Nous la payons, mais elle ne vient pas. Nous sommes déjà sept dans la chambre, nous n’allons pas rajouter une prostituée qui pourrait très bien s’occuper ailleurs.

Réception : Sauf que ce n’est pas possible au niveau administratif, ça nous ferait un emploi fictif et la police nous surveille de près. Si vous louez les services d’une prostituée, il faut l’utiliser, point final ! Je commence à vous trouver pénibles et tout ça commence à m’énerver, alors dites-moi quelle prostituée vous voulez et qu’on en finisse ! J’ai un bo**el à gérer, je travaille moi. Je ne suis pas en vacances, moi !

Daniel : OK… OK, ce n’est pas grave si une prostituée dort avec nous, une gentille qui présente bien fera l’affaire.

Monique : Est-ce que vous en avez une qui ne dise pas de gros mots ?

Réception : Prenez une Portugaise, si elles en disent on ne les comprend pas.

Léa : Papa ?

Daniel : Attend mon cœur ! Je suis occupé, il faut que je trouve une chambre…

Léa : Papa… Pourquoi le Monsieur, il met des billets dans la culotte de la dame ?

Monique : Soyez gentil, donnez-nous cette chambre qu’on en parle plus ! Il est 03:30, le hall est plein de prostituées. Les enfants posent des questions gênantes, et nous voulons dormir.

Réception : Bien, si la police demande pour les enfants, vous dites que vous les avez cachés, que je ne les ai pas vus. Amélia !! Tu montes avec les touristes !!!

Nils : Maman… ? C’est la mère Noël ? Elle est jolie sa culotte…

Amelia : Chouis pas la mère Noël, mon petit chéri d’amour, ye suis oune poute…

Monique : Amélia, s’il vous plait ! Ne dites pas ça !

Nils : Elle est jolie votre robe. Vous me lisez une histoire ?

Monique : Ah non !! Là on se couche et personne ne dit plus rien. Tout le monde se tait !!

Léa : Papa ? Quand je serai grande, tu m’achèteras des bottes comme celles de madame poute ?

Monique : Silence !!!! Tout le monde au lit, tout le monde au lit !!!

Christiane : Argh… Ils puent les matelas ! Ils puent la transpiration !

Monique : Tu m’étonnes.

Christiane : Je vais m'allonger par terre ! … Argh, comme je disais, des capotes sous le lit. Ça colle par terre, et… Horreur ! Horreur, des petits poils englués ! De la poussière aussi… et oh… une poire à lavements… sale.
Monique : Une poire à lavements ? Mais pourquoi… ?

Carmen : Laisse tomber Monique ! Bonne nuit.

À suivre...

https://www.sophrologie-naturopathie-toulouse.fr/nouvelles/

La marelle des croyances est un des nombreux protocoles de la PNL (programmation neurolinguistique) qui permet de rempla...
08/09/2025

La marelle des croyances est un des nombreux protocoles de la PNL (programmation neurolinguistique) qui permet de remplacer une croyance limitante profondément ancrée dans notre inconscient par une croyance antidote qui, elle, sera aidante pour aller vers un futur plus serein.

Nous avons tous en nous des croyances qui proviennent de notre éducation et qui continuent de conditionner nos pensées et nos comportements alors que notre vision du monde a radicalement changé.

Il s’agit souvent de jugements ou d’opinions qui nous ont été enseignés et que nous avons acceptés comme une vérité intangible, quoi que nous en pensions par ailleurs.

Ces jugements et ces opinions resurgissent d’une manière troublante et inconfortable, nous faisant douter de notre intégrité.

La marelle des croyances est un protocole qui permet de sonder tous les aspects cognitifs qui ont une action sur les croyances pour en faire diminuer l’impact sur la pensée lorsque ces croyances nous dominent et agissent de façon négative sur nos comportements.

https://www.sophrologie-naturopathie-toulouse.fr/supports-ancrages-spatiaux-pnl/

Carmen : Mais c’est quoi ça ? On est où là ? Il veut nous fouetter !! Il est cinglé oui !!! Je lui en donnerai moi une l...
07/09/2025

Carmen : Mais c’est quoi ça ? On est où là ? Il veut nous fouetter !! Il est cinglé oui !!! Je lui en donnerai moi une légère flagellation pour voir. Mais comment est-on arrivés chez un malade mental pareil ? JE RÊVE !!!!

Daniel : Une semaine à la tisane d’ortie, à la flagellation à poil sur la plage, à la prière et au chant, je trouve que ça fait beaucoup.

Monique : Tu crois qu’on peut fumer de la beu ?

Carmen : Mais on s’en fout, on ne reste pas de toute façon.

Monique : On va où alors ? Tu sais comment Seb est à cheval sur la question des gros mots ! Si on va à l’hôtel de passe et que les enfants en disent à l’école ; ça va le mettre en pét**d !

Carmen : Monique ! Si Sébastien apprend que tu coures à poil sur la plage, que tu t’adonnes à la flagellation collective et que tu chantes des incantations toute la journée, ce sera pire, non ?

Monique : C’est aussi vrai.

Carmen : Je ne passerai pas une seule nuit chez ce vicelard.

Christiane : Reste à trouver un autre arrangement…

Daniel : Le pont ? Au moins on pourra rigoler un peu avec les clochards !

Christiane : Ah non ! Pour se couvrir de crasse et attraper des mor...
Monique : Chut … !

Carmen : Tu nous fatigues, Monique ! Après 3 jours de lutte pour faire boire du jus de carottes à tes gosses, tu leur apprendras toi-même des gros mots. J’en ai élevé deux, moi ! Leur faire avaler des galettes de son implique une énergie que tu n’as pas.

Daniel : Carmen a raison ! Il est 02:00 du matin et ils sont crevés, ils ne sont plus en état de retenir des gros mots. Demain, on avisera !! Direction l’hôtel de passe !

Christiane : L’hôtel de passe, rien que ça ! Les draps plissés et cartonnés et une montagne de capotes sous le lit.

Monique : Tu as déjà dormi dans un hôtel de passe ?

Christiane : Non, mais ça laisse présager des oreillers collants et des maladies vénériennes !

Monique : On aura qu’à dormir habillés.

Daniel : Elle a raison Carmen, on nage en plein délire. Je suis sûr qu’en fait c’est un sado-maso qui ouvre son foutu camping exprès hors saison pour pouvoir abuser ces clients tranquillement.

A suivre...

https://www.sophrologie-naturopathie-toulouse.fr/nouvelles/

Dans la campagne profonde,  après 15 kilomètres de chemin chaotique, non éclairé, couvert de nids de poules.Le Karmi-Ram...
05/09/2025

Dans la campagne profonde,
après 15 kilomètres de chemin chaotique, non éclairé, couvert de nids de poules.
Le Karmi-Ramah ...

M. Gomez : Et bien oui, c’est tout ce qui nous reste.

Daniel : Les trois tentes là ?

M. Gomez : Oui, et comme il est 01:30 du matin et que nous sommes les seuls ouverts à cette saison, je vous conseille de les prendre de suite.

Daniel : Mais comment vais-je faire pour allonger les jambes ? Je devrai dormir avec ma fille, on va étouffer là-dedans !

M. Gomez : Les Norvégiens qui viennent de partir se posaient la même question. En plus, ils étaient douze, et croyez-moi, vous à côté, vous avez l’air d’un nain. Que voulez-vous que je vous dise, Monsieur ? Est-ce ma faute si certaines personnes mesurent plus que nécessaire ? Moi, je mesure un mètre soixante-douze et je peux dormir partout, ce n’est pas mon problème. Enfin, je vous conseillerais de laisser l’entrée ouverte, vous pourrez allonger les jambes et respirer.

Daniel : Mais… et s’il pleut ?

M. Gomez : Je peux vous prêter un sac-poubelle et un peu de ficelle.

Daniel : Pour 45 euros la nuit par personne, vous me proposez de dormir dans une tente ouverte avec les pieds ligotés dans un sac-poubelle ?

M. Gomez : C’est la loi du marché ! On a le choix ou on ne l’a pas ! En l’occurrence, vous ne l’avez pas. Les hôtels ont fermé la semaine dernière, sauf un hôtel de passe où les petits risquent d’attraper des morpions. En plus, ils vont y acquérir un vocabulaire si exhaustif sur le sexe que vous n’oserez même plus les envoyer à l’école !

Daniel : Nous ne pouvons quand même pas passer les vacances dans ces conditions ! À 06:00, la chaleur va nous réveiller.

M. Gomez : Non, vous aurez déjà été réveillés par la corne de brume, ça vous rappellera cette espèce de long tuyau dans lequel vous soufflez en Suisse. Ça s’appelle comment ce truc qui rappelle le cerf en rut ?

Daniel : Le Cor des Alpes ?

M. Gomez : Eh bien, ça vous rappellera le cor des Alpes, à l’aube, tout pareil, sauf que ce sera ma corne de brume ! Je demande à mes clients de se réveiller à 05:00 pour participer à la purification collective, ensuite viennent la course sur la plage, la do**he froide, le yoga et une légère flagellation. Le petit déjeuner est à 08:00 ; tisane d’orties, galettes de son et jus de carottes au menu, ensuite viennent les incantations.

Carmen : Comment ça « légère flagellation » ? Ça va pas non !

M. Gomez : Purificatrice, rapide et légère, juste pour raviver le sang.

Carmen : Après la course et la do**he froide, ça m’a l’air superflu. C’est du vice oui !

M. Gomez : Il est vrai que j'y prends plaisir.

Daniel : Et les Norvégiens ? Ils sont partis où ?

M. Gomez : A l’hôtel de passe, ils préféraient ça parce que là, ils pouvaient boire.

Daniel : Mais je veux boire moi aussi !

M. Gomez : Ne le dites pas trop fort Monsieur, nous sommes plutôt réticents sur l’alcool ici ! Je pourrais tout aussi bien vous jeter dehors et vous laisser passer vos vacances sous un pont à partager du maudit pinard avec des alcooliques de votre genre. Voulez-vous passer les vacances avec des débris humains imbibés de poison mortel qui ont fini sous les ponts ? marqués par le doigt de Dieu ? maudits jusqu’à leur descendance ? NE ME TENTEZ PAS, MONSIEUR !!!

Daniel : …?

M. Gomez : Ici, c’est moi qui commande, c’est chez moi. Ici, nous prions, nous méditons, nous chantons, nous nous recueillons, le soir, nous dansons jusqu’à l’épuisement. Nous n’avons pas besoin d’alcool pour nous envoler vers le Seigneur ! Seigneur… Seigneur… OH OUI Seigneur !!… OH OUI SEIGNEUR !!… JE TE VOUE MON ÂME SEIGNEUR……

À suivre...

Aéroport de Malaga, samedi 1er octobre, 19:30Daniel : … Donc, non, pas de locations ?… Rien ? Il doit bien y avoir quelq...
04/09/2025

Aéroport de Malaga, samedi 1er octobre, 19:30

Daniel : … Donc, non, pas de locations ?… Rien ? Il doit bien y avoir quelques villas à louer.

L’hôtesse : Monsieur, nous sommes le 1er octobre, la saison touristique est terminée.

Daniel : Même pas un bungalow ?

L’hôtesse : Je crains que non.

Daniel : Et un hôtel ? Il doit bien y avoir un hôtel d’ouvert.

L’hôtesse : Les quelques hôtels ouverts à cette saison sont bondés. Malaga reçoit cette semaine une délégation de scientifiques norvégiens. Ils sont 250, il ne rester que 200 lits dans la ville.

Daniel : Et les 50 qui restent ?

L’hôtesse : Chez l’habitant.

Daniel : Un camping ?

L’hôtesse : Il en reste un seul d’ouvert.

Christiane : Ah non, hein !!! Je suis allée dans un camping une fois et quelqu’un avait fait c**a sur l’étagère de la do**he. J’avais mis ma serviette par-dessus et en la tirant pour me sécher, j’ai reçu de la m***e sur la tête.

Daniel : …?

Christiane : Et les do**hes étaient pleines de poils et les lavabos pleins de crachats et de dentifrice. Non ! pas un camping ! J’ai 40 ans et je ne veux pas passer mes vacances dans une tente. Je déteste la terre, le sable et le gravier, ça tache, ça crisse, ça se glisse dans le sac de couchage et ça gratte. C’est exclu.

L’hôtesse : Comme vous voulez. Je vous conseille de trouver vite une autre solution parce que l’aéroport ferme dans une heure.

Daniel : Où est le camping ?

Christiane : Non, pitié, pas le camping !

Daniel : Juste une nuit Christiane… Le temps de trouver une villa.

L’hôtesse : Demandez au taxi de vous amener au Karmi-Ramah, ils le connaissent tous.

Daniel : Et c’est sûr que c’est ouvert ?

L’hôtesse : Oui, nous y avons envoyé quelques scientifiques, mais ils n’ont pas voulu rester. Quelques frictions culturelles, mais pour une nuit…

Daniel : Bon… va pour le camping.

Christiane : Ça commence mal les vacances, dans un camping, à un âge où on aspire à des vacances confortables.

Daniel : Pour une nuit, tu n’auras même pas besoin d’utiliser les toilettes. De toute façon, il n’y a pas d’autres solutions. Allons manger en ville, et ensuite, nous irons au Karmi-Ramah.

https://www.sophrologie-naturopathie-toulouse.fr/les-vacances-en-andalousie/

Pour Cecile Saint-Beat et les soeurcières 😍
03/09/2025

Pour Cecile Saint-Beat et les soeurcières 😍

À partir de l’an 1200, au Moyen Âge, la médecine commence à s’enseigner en Université, cet enseignement est réservé aux hommes et un décret interdit l’usage des plantes aux personnes qui n’ont pas bénéficié de cet enseignement en Université.

Les médecins qui suivaient cet enseignement exerçaient par la suite leur métier auprès des riches et des seigneurs, tandis que le peuple continuait à avoir recours aux guérisseuses.

Les guérisseuses, passionnées par les plantes médicinales se sont transmises pendant des siècles un précieux savoir qui a constitué l’essentiel des connaissances utilisées encore aujourd’hui ; elles avaient de solides connaissances en botanique et savaient aussi bien cueillir, conserver et doser les plantes médicinales.

Ces femmes étaient plus libres que la moyenne des femmes, indépendantes et estimées de la population. Elles utilisaient les plantes pour soigner les maux du quotidien, dépasser les fièvres, elles aidaient les femmes à accoucher et à se remettre de leurs couches. Elles s’installaient dans le foyer jusqu’à ce que la parturiente se remette suffisamment pour pouvoir continuer à s’occuper de son foyer.

Des femmes qui faisaient peur à l’Église et à l’État, des femmes savantes, voilà le portrait de la majorité des femmes que l’on a brulées sur le bucher dans l’histoire.

Jean XXII publia en la bulle Super illius specula en 1326, associant pratiquement la pratique illégale de la médecine à la sorcellerie. Cette sentence résulte de controverses apparues à partir de l’an 1200 (Moyen Âge), au moment où la médecine commence à s’enseigner dans les universités. Une voie que suivirent ses successeurs de Benoît XII à Alexandre V en pérennisant la chasse aux sorcières pour les 400 ans à venir.

Vers 1430 a commencé réellement la chasse aux sorcières. Si le Moyen Âge avait été assez clément pour ces créatures vouées au bien-être du petit peuple qui n’avait pas forcément accès à la médecine, le début de la renaissance a marqué le début de la persécution des « sorcières ». Les XVIe et XVIIe siècles ont connu les vagues de persécutions les plus intenses.

https://www.sophrologie-naturopathie-toulouse.fr/

À partir de l’an 1200, au Moyen Âge, la médecine commence à s’enseigner en Université, cet enseignement est réservé aux ...
03/09/2025

À partir de l’an 1200, au Moyen Âge, la médecine commence à s’enseigner en Université, cet enseignement est réservé aux hommes et un décret interdit l’usage des plantes aux personnes qui n’ont pas bénéficié de cet enseignement en Université.

Les médecins qui suivaient cet enseignement exerçaient par la suite leur métier auprès des riches et des seigneurs, tandis que le peuple continuait à avoir recours aux guérisseuses.

Les guérisseuses, passionnées par les plantes médicinales se sont transmises pendant des siècles un précieux savoir qui a constitué l’essentiel des connaissances utilisées encore aujourd’hui ; elles avaient de solides connaissances en botanique et savaient aussi bien cueillir, conserver et doser les plantes médicinales.

Ces femmes étaient plus libres que la moyenne des femmes, indépendantes et estimées de la population. Elles utilisaient les plantes pour soigner les maux du quotidien, dépasser les fièvres, elles aidaient les femmes à accoucher et à se remettre de leurs couches. Elles s’installaient dans le foyer jusqu’à ce que la parturiente se remette suffisamment pour pouvoir continuer à s’occuper de son foyer.

Des femmes qui faisaient peur à l’Église et à l’État, des femmes savantes, voilà le portrait de la majorité des femmes que l’on a brulées sur le bucher dans l’histoire.

Jean XXII publia en la bulle Super illius specula en 1326, associant pratiquement la pratique illégale de la médecine à la sorcellerie. Cette sentence résulte de controverses apparues à partir de l’an 1200 (Moyen Âge), au moment où la médecine commence à s’enseigner dans les universités. Une voie que suivirent ses successeurs de Benoît XII à Alexandre V en pérennisant la chasse aux sorcières pour les 400 ans à venir.

Vers 1430 a commencé réellement la chasse aux sorcières. Si le Moyen Âge avait été assez clément pour ces créatures vouées au bien-être du petit peuple qui n’avait pas forcément accès à la médecine, le début de la renaissance a marqué le début de la persécution des « sorcières ». Les XVIe et XVIIe siècles ont connu les vagues de persécutions les plus intenses.

https://www.sophrologie-naturopathie-toulouse.fr/

31/08/2025

En 1890, la taille de la femme est resserrée avec un corset.
Puis en 1900, les femmes portent un bustier rigide pour affiner la taille et cambrer les reins.

Les années 1910 voient naître un idéal de femme grande et mince, dotée d’une poitrine et de hanches voluptueuses, obtenu grâce à des corsets enserrant la taille et le torse.

C’est 10 ans plus t**d que la femme se libère du corset. En 1920, elle se métamorphose en longue garçonne androgyne avec des petits seins. Régimes et gymnastique ont fait leur apparition.

Les formes voluptueuses reviennent en 1930. Le look androgyne persiste, mais le buste généreux de Mae West, le sex-symbol de cette décennie, incite les femmes à mettre leurs seins, leurs hanches et leur taille en valeur.

Puis, déferle la guerre. En 1940, le corps idéal est parfaitement incarné par la longue silhouette élancée de Katharine Hepburn.

Puis dans les années 1950, on observe ainsi un retour de la taille très marquée et fine, avec des poitrines hautes, des épaules arrondies, des hanches galbées et la taille fine.

La femme brindille arrive en 1960, avec le mannequin Twiggy. À force de s’affamer pour correspondre à cet idéal, les femmes commencent à avoir des soucis de santé aggravés par l’arrivée sur le marché des pilules pour maigrir à base d’amphétamines.

Dans les années 70, arrive la femme mince, avec un corps long et musclé, Bo Derek et Farrah Fawcett incarnent cet idéal de femme.
Et puis en 1990, retour de l’androgyne mince et filiforme, à l’image de Kate Moss.

L’an 2000 nous a donné le choix entre un corps fin, bronzé et musclé, ou de nous transformer en mannequins de Victoria’s Secret.

Et pour finir, depuis 2010, avoir le derrière de Kim Kardashian, c’est tendance. Le recours à la chirurgie esthétique explose.

Moralité : Mesdames, si vous voulez être en paix avec votre corps, c’est à vous de prendre une juste distance avec tout ça, parce que jusqu’à il ne faut pas espérer sur le bon sens de l’humanité pour vous inciter à vous accepter telle que vous êtes.

Adresse

1bis, Place Du Ravelin
Toulouse
31300

Heures d'ouverture

Lundi 08:00 - 20:00
Mardi 08:00 - 20:00
Vendredi 08:00 - 20:00
Samedi 08:00 - 20:00

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Monique Ubaldi - Consultante en nutrition Sophrologue Naturopathe publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Monique Ubaldi - Consultante en nutrition Sophrologue Naturopathe:

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram