Dominique MUTI Psychologue Clinicienne Psychothérapeute

Dominique MUTI Psychologue Clinicienne Psychothérapeute Je suis titulaire depuis 2009 d'un Master 2, mention "Psychologie Clinique et Psychopathologie",
approche psychanalytique.

01/09/2025

Salle de cinéma Utopia à Toulouse Borderouge et Tournefeuille

21/07/2025
04/04/2025

Un article de presse paru dans le Journal 📔 🗞️ 📰 La Montagne⛰️
Nous pouvons remercier le journaliste d’avoir donné la parole au Manifestepsy 🗣️🙌🏼
Continuons à nous mobiliser en envoyant massivement le communiqué de presse à l’ensemble des médias de France ✊🏿👏🤲🏾💪🏻
Faisons plus de bruit en local et en national 🎯
Nous devons combattre la communication de la CNAM !
À vos claviers 💻 et téléphones 📱 pour envoyer encore et encore le communiqué de presse aux médias. Mobilisons-nous 💙❗️

31/03/2025
15/03/2025

Mon site professionnel est en ligne :
psychologue-muti-toulouse.com

06/03/2025
François Gonon est directeur de recherche émérite au CNRS, dans l’équipe « Neurosciences Humanités et Société » à l’Inst...
12/02/2025

François Gonon est directeur de recherche émérite au CNRS, dans l’équipe « Neurosciences Humanités et Société » à l’Institut des maladies neurodégénérative. Il a travaillé pendant 35 ans comme neurobiologiste. Depuis 12 ans ses recherches visent à expliquer les écarts entre les observations en neurosciences et leur présentation par les médias.

https://www.imn-bordeaux.org/en/news/parution-de-neurosciences-un-discours-neoliberal-de-francois-gonon/?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR0DUhENCSQbnChZs40GF9efW7sWIQY-42fLGE5F87eu0hNEFWQQk-JAomI_aem_eaxwTqf3bJ8wwGmpoED30w

Ce 24 septembre parait aux éditions Champ Social l’ouvrage « Neurosciences, un discours néolibéral – Psychiatrie, éducation, inégalités« , écrit par François Gonon.

06/02/2025

Si l'obscur envahit le champ, clarifions, re-clarifions :

Je suis psychologue libérale pratiquant des honoraires libres.

Je ne suis pas conventionnée avec la CPAM comme une majorité de psychologues libéraux à ce jour en France et malgré une campagne de recrutement intensive de la part du gouvernement.

Les raisons de ce choix (qui ne transparaissent pas dans la presse ou sur le site de la CPAM) sont relatives au dernier texte de loi encadrant l'exercice conventionné.

Ce texte détaille des critères d'exclusion de patients de ce droit à l'accès au dispositif de remboursement selon leurs symptômes.
Il oblige à la ré-orientation de patients en cours de thérapie en fonction de critères peu convaincants ou oblige à l'adressage vers un psychiatre ou un médecin dans des cas particuliers qui sont à la fois flous et rigides (il faut le faire !)

Ces critères d'évaluation et leurs pertinences sont remis en cause par les psychologues refusant ce dispositif mais aussi par la plupart de ceux y étant entrés.

Nous avons en effet le soucis de déterminer par nous-même, en fonction de l'intérêt du patient, au cas par cas, au moment opportun et avec lui - sans enjeu de pouvoir ni de privation soudaine d'accès à la gratuité - de l'interêt d'une ré-orientation, des conditions d'une prise en charge ou du maintien d'un soutien prolongé, durable et fiable en psychothérapie.

Le respect du secret professionnel dans le cadre de la loi actuellement en vigueur est aussi entamé par certaines des obligations de ce texte qui impose de rajouter des intervenants - forcés par la problématique économique (->gratuité ou perte de celle-ci) - dans le non respect des droits fondamentaux des patients de choisir qui, pourquoi, quand et comment consulter ?

Rendre au sujet son "consentement libre est éclairé" ne semble plus guider l'éthique du soin alors qu'il en a été la boussole durant des décennies.
Le covid est passé par là. La technoscience aussi.
Rendant l'accès à l'information pour le patient secondaire à sa contrainte.
Les dispositifs construits depuis, le sont avec cette torsion du consentement conditionné.

Je trouve que grand nombre de patients en souffrent déjà assez sans que cette logique vienne tapisser les murs de mon cabinet.

L'entrée dans ce dispositif dénaturant pour moi le travail d'accueil et d'accompagnement en fonction du respect des personnes tel que je le conçois, je n'y souscris pas.

D'autres professionnels s'y engagent avec l'idée louable de faire bénéficier les patients de cette prise en charge financière aidante et bienvenue en soutien à la situation économique de chacun, dont la leur.
Je ne peux que l'entendre et le respecter.
Ils privilégient généralement, et c'est tout à leur honneur, l'intérêt du patient dans l'espace de la thérapie singulière menée,
au respect des textes de loi, qui s'avèrent le plus souvent inapplicables dans une perspective éthique.

Cela est possible dans cette phase actuelle de "recrutement" des psychologues (où la séduction prime sur la punition) et tant qu'il n'y a pas de contrôle de l'administration et de la CPAM à leur égard.
L'expérience a montré que ces temps ne durent pas.

Dans un autre genre, certains médecins libéraux actuellement malmenés quant à leur éthique professionnelle, en savent quelque chose.

Sans l'obtention d'un reconnaissance de la nécessité du remboursement des consultations sans aucune autre condition que le diplôme, l'expérience professionnelle et le respect du code de déontologie des psychologues, je ne pourrai PAS - comme grand nombre de mes collègues à ce jour qui en sont tout autant que moi attristés - souscrire à ce dispositif qui derrière un plan de communication racoleur est à de nombreux égard très peu vertueux, voire pervers dans sa dimension d'injonction paradoxale (gratuitéexclusionintrusion).

C'est donc moins confortable mais j'ajuste mes honoraires aux possibilités de chacun quand il le faut dans la limite de l'acceptable pour moi.
Jusqu'à quand, là est l'autre question ?

Et je milite pour un droit au remboursement 100% CPAM et non 60% CPAM et 40% Mutuelle (comme c'est le cas avec ce dispositif) SANS CONDITIONS d'inclusion ni d'exclusion des patients et dans le respect de la pratique fine et ajustée des psychologues cliniciens telle qu'elle existe en institution comme en libéral, depuis bien longtemps...
C'était avant qu'un nouveau technocrate plein de lui-même décide qu'on devait faire comme-ci ou comme-ça et puis voilà "tais-toi!"!

Il y a un temps pas si lointain (c'était il ya 15 ans pour moi, quand j'y travaillais) où les CMP était des lieux de consultations libres d'accès, ouverts à tous, et gratuits, présents sur tout le territoire sans conditions d'accès autre que l'âge : CMP adulte pour les +18a, CMP enfants-ado pour les -18a et le territoire géographique (-> proximité du domicile).
Il n'y avait pas de critères "de non inclusion" dernier-né de la novlangue pour : critères "d'exclusion"... cela n'avait pas encore été inventé !
"Le droit à l'accès au soin pour tous via des parcours de soins avec critères de non inclusion" c'est tout à fait nouveau !

Parcours de soins, critères, non inclusion sont des nouveaux termes qui déclinent une façon moderne et innovante de malmener les plus fragiles... dans une logique superposée à celle de Parcoursup dans le champ de l'accès aux études supérieures, de France Travail pour l'accès aux cotisations chômage, etc.

Aujourd'hui, sur Toulouse, il a des mois ou des années d'attente pour avoir un rdv en CMP enfant, il faut que la famille et l'enfant soient orientés sur adressage d'un certificat médical argumenté avec des repérages de traits psychopathologiques sévères. Dans ce contexte la mission des CMP évolue vers du diagnostic plutôt que de l'accompagnement psychothérapeutique durable.
Il faut que ça tourne, le traitement en option !

Le démantèlement des CMP, la suppression des professionnels de ces institutions, la fermeture des portes à la souffrance psychique quelque soit sa forme ou son intensité et la réduction de l'espace fait au soin, au prendre soin, à l'accueil, c'est là que cela a commencé à mal tourner...
Alors le coup des cacahuètes données selon "critères" pour aller consulter en libéral, je crois que c'est un joli coup de comm de la startup nation !
Mais pourquoi pas ? Prenons le coup de comm au mot, demandons plus, cad juste le minimum acceptable ! :)

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