23/11/2025
❤️🩹 Nous racontons souvent que l’amour parental est immédiat. Qu’il vient d’un seul coup, comme une évidence. Dans la réalité, certains chemins affectifs sont plus lents et plus tourmentés. L’histoire personnelle peut prendre de la place, les blessures anciennes peuvent brouiller l’accès au sentiment, et parfois, le cœur met du temps à rejoindre la relation.
Ce n’est pas un manque d’amour, il s’agit plutôt d’une difficulté à le (res(sentir. Et cela peut se travailler, s’apaiser, se réparer, avec du soutien, de la sécurité, et beaucoup de douceur envers soi-même.
J’ai été interrogée sur ce sujet par cette semaine, parce que ces sujets existent, même lorsqu’ils restent silencieux.
Si ces mots résonnent pour vous, rappelez-vous qu’il existe des espaces pour retisser le lien, même quand tout semble éloigné voire même figé.
À celles et ceux qui doutent, se sentent coupables et épuisés, à celles et ceux qui font de leur mieux avec ce qu’ils/elles ont… vous n’êtes pas seuls.
Et si ce message peut offrir un peu d’air à quelqu’un, vous pouvez le partager .
Pour lire l’article dans son intégralité : https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2025-11-21/je-n-aime-pas-mon-enfant-comment-les-parents-peuvent-faire-face-a-ce-tabou-ultime-et-reparer-le-lien-f18a2054-1e0a-43b8-86b3-63f8495151ea
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Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️
Avec la mort, ne pas aimer son enfant est sans doute le tabou des tabous. Une affirmation que la société est loin d’être prête à accepter. Pourtant, cette situation cache...