Ekata Yoga

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Droit à l’image… ou besoin d’image?Il y a quelque chose qui me dérange profondément quand je vois des photos d’élèves en...
18/08/2025

Droit à l’image… ou besoin d’image?

Il y a quelque chose qui me dérange profondément quand je vois des photos d’élèves en pleine pratique de yoga circuler sur les réseaux.
Surtout en shavasana.

En tant que future psychologue, et après avoir travaillé dans l’accompagnement comme travailleuse sociale et psychologue stagiaire, je me vois très mal photographier mes clients ou patients.
Si je le faisais, je crois que ça ferait réagir. Et avec raison!

Alors pourquoi, dans le yoga ou le monde du bien-être, ça ne choque pas autant?

Je ne parle pas des vidéos ou contenus promotionnels réalisés avec consentement clair et explicite.
Mais bien de photos prises pendant la pratique.
Parfois sans que les élèves le sachent, parfois sans qu’ils aient la possibilité de dire non.

Et je me demande : n’avons-nous pas, nous aussi, droit à cette bulle? À cet espace intime qu’on crée ensemble, où l’on peut se déposer sans craindre d’être exposé ensuite sur un fil Instagram?

Et puis, il y a ce besoin d’image.
Pourquoi ce réflexe de capter, de montrer?
Au moment où l’on sort le téléphone, on n’est déjà plus présent.
On pense à l’après : au post, au regard des autres, à ce qu’on veut partager, montrer...
On quitte l’instant, alors que justement… ne cherchons-nous pas à transmettre l’opposé?
D’être dans l’instant?
D’être là. Simplement là.

La vérité, c’est que dès qu’on prend une photo, on se déconnecte un peu du groupe. On n’est plus totalement présent. Et quelque chose dans le lien, dans l’espace qu’on a construit, se perd inévitablement.

Je ne dis pas que ma façon est la seule ni la meilleure: Mais je crois que c’est important de se poser la question.
Sur l’image.
Sur la présence.
Sur le respect de nos élèves, de la pratique, de cette bulle qu’on crée ensemble.

Non?

Et toi, qu’est-ce que tu en penses?
Partage en commentaire.
C’est une discussion ouverte 🙌

Construire au lieu de déconstruire.C’est une idée simple… mais qui pourrait tout changer.On parle souvent de tout ce qu’...
15/08/2025

Construire au lieu de déconstruire.
C’est une idée simple… mais qui pourrait tout changer.

On parle souvent de tout ce qu’il faut “défaire” :
les croyances qui limitent,
les blessures qui marquent,
les schémas qui nous enferment,
les habitudes qui nous pèsent.
Et pourtant, nous sommes déjà tous en train de construire, chaque jour, à travers nos gestes, nos paroles, nos choix.
La vraie question, c’est : sur quelles fondations?

En psychologie du développement, on sait que les premières années sont décisives.
Un environnement sécurisant, des repères clairs et de la chaleur humaine… ce sont des fondations qui nourrissent la confiance, l’autonomie et la résilience.
Et la neuroplasticité nous rappelle que le cerveau reste malléable toute notre vie : chaque expérience et chaque interaction continue de façonner qui nous sommes.

Certaines empreintes se posent si tôt et si profondément qu’elles deviennent notre socle. Les poser avec soin, c’est offrir à nos enfants, et à nous-mêmes, moins à réparer plus t**d.

Comme dans une pratique qui progresse étape par étape, on ne force pas la posture parfaite… car de toute manière, elle n’existe pas.
On prépare le terrain.
On consolide.
On avance à un rythme naturel,
en sachant que chaque geste intentionnel est une pierre ajoutée à une construction durable.

Construire, c’est être présent, écouter, encourager, célébrer les progrès et accueillir les détours comme faisant partie du chemin.
C’est donner les outils pour que l’autre devienne autonome.
C’est investir aujourd’hui dans la liberté de demain.

Et vous… quelles fondations souhaitez-vous poser, pour vous comme pour ceux qui suivront?

Ça commence souvent dans un endroit familier.Dans un studio de yoga, au milieu des tapis alignés.Dans un couloir d’hôpit...
13/08/2025

Ça commence souvent dans un endroit familier.

Dans un studio de yoga, au milieu des tapis alignés.
Dans un couloir d’hôpital, entre deux consultations.
Dans la cuisine, t**d le soir, quand les enfants dorment enfin.

C’est cette petite voix qui arrive sans prévenir :
« Tu n’es pas assez. Un jour, ils vont s’en rendre compte. »

Elle est discrète, mais elle sait où frapper.
Elle vient s’installer juste là, entre nos épaules, et pèse lourd.

Je l’ai vue chez des femmes incroyables.
Des professeures de yoga qui, malgré leur passion et leurs heures d’enseignement, se comparent toujours à quelqu’un de “plus légitime”.
Des soignantes, des éducatrices, qui portent le monde sur leurs épaules et qui se demandent si elles en font “assez”.
Des mères qui jonglent entre mille vies et qui ont peur de “mal faire”, voire d’être une « mauvaise mère ».

On l’appelle le syndrome de l’imposteur.

Et si je te disais qu’il n’est pas toujours l’ennemi ?

Parce que ce doute, parfois, c’est juste la preuve qu’on marche sur un nouveau chemin.
Qu’on s’éloigne du confort du “déjà connu” pour oser l’inconnu.
Qu’on apprend, qu’on grandit, qu’on se dépasse.

Il peut nous pousser à chercher des réponses, à demander de l’aide, à nous entourer de personnes inspirantes.
Il peut nous rappeler que nous sommes en mouvement, pas figées.

Alors non, je ne te dirai pas d’étouffer cette voix.
Je te dirai : écoute-la… puis continue d’avancer.

Parce que grandir a toujours un goût d’inconfort.
Et que souvent, cet inconfort est juste le signe que tu es exactement là où tu dois être.

You are wonderfully enough 🙏

Accompagner, c’est beaucoup moins « faire » qu’« être ».C’est marcher aux côtés, sans diriger.C’est offrir un espace où ...
08/08/2025

Accompagner, c’est beaucoup moins « faire » qu’« être ».
C’est marcher aux côtés, sans diriger.
C’est offrir un espace où l’autre peut respirer, déposer, se retrouver.

On peut tenir cet espace pour les autres même quand on n’arrive pas à le trouver pour soi.
Cela ne retire rien à notre légitimité. C’est simplement humain.

Ce n’est pas sauver, ni guérir.
Ce n’est pas porter l’histoire de l’autre sur ses épaules.
C’est laisser aller ce qui ne nous appartient pas,
et lâcher prise sur ce que nous ne pouvons pas faire à sa place.

Ce qui ressemble à de la résistance est souvent une protection.
Les défenses ont permis de tenir. Elles ne tombent pas sous la contrainte,
mais lorsqu’elles sentent qu’elles peuvent enfin se reposer.

Il faut parfois accepter de ne pas pouvoir sauver.
De ne pas retenir, de ne pas forcer.
De rester présent, mais libre du poids de l’ego
et du besoin de « réussir » pour l’autre.

Le travail le plus profond est souvent invisible.
Un souffle, un silence, un regard.
Et tout se transforme.

C’est créer un cadre si sûr que la transformation, un jour, se glisse d’elle-même.
Un art silencieux, humble et puissant. 🌿

J’ai eu envie d’écrire ce post parce que je trouve ça de plus en plus malaisant de voir et de publier des publications “...
06/08/2025

J’ai eu envie d’écrire ce post parce que je trouve ça de plus en plus malaisant de voir et de publier des publications “normales” en ce moment.

J’ai hésité. Parce que je sais qu’on a besoin de beau, de léger, de douceur pour survivre à la violence du monde.

Mais ce que je trouve profondément irrespectueux et malaisant, c’est ce discours ultra-répandu dans le monde du bien-être (surtout du yoga occidental, blanc et privilégié) qui glorifie cette notion de “choix”…

“J’ai choisi cette vie.”
“C’est une question de mindset.”
“Si tu veux, tu peux.”

Parlons-en, justement, du choix. Parce que ce n’est pas aussi simple, ni aussi pur qu’on veut nous le faire croire.











Je me présente, sans voile, sans détour. Mon arrivée en France n’a pas été simple. J’ai eu du mal à trouver ma case dans...
04/08/2025

Je me présente, sans voile, sans détour.

Mon arrivée en France n’a pas été simple. J’ai eu du mal à trouver ma case dans une société très balisée, que j’ai trouvée très confrontante. J’ai mis du temps à trouver ma place, et je crois qu’en chemin, je me suis un peu éteinte. Mais aujourd’hui, je ressens un besoin viscéral d’authenticité. Je n’ai plus envie de cacher qui je suis, dans toute ma richesse, ma diversité, ma pluralité.

Je porte plusieurs casquettes. Non, pas parce que je suis indécise ou éparpillée. Mais parce que je suis curieuse, passionnée, animée par un parcours de vie peu commun.

J’ai grandi entre l’Indonésie et le Canada, vécu en Australie, passé du temps en Inde… et j’en passe. Mon développement personnel s’est toujours imposé comme une évidence.

Pour les amateur·rices de diplômes (on est en France, après tout): je suis formée. Très formée.
Près de 1000 heures de formations en enseignement du yoga, que j’enseigne depuis plus de 10 ans, parfois à temps plein, parfois à côté d’autres projets. Cette passion m’a menée à explorer la biomécanique, puis à entamer 3 ans d’études en ostéopathie. Ce chemin m’a ensuite guidée vers la psychologie, dans une quête de compréhension du lien corps-esprit, du psychosomatique.

J’ai étudié la psychologie dans une approche scientifique rigoureuse, evidence-based, entre le Canada et la France, où je termine actuellement un master pour devenir psychologue.

En parallèle, j’ai travaillé plusieurs années en psychiatrie médico-légale en circuit fermé, un milieu exigeant, intense, mais ô combien formateur. J’ai aussi été éducatrice spécialisée à la protection de l’enfance.

Je suis plurielle. Et ce n’est pas un défaut.
Ce n’est pas un manque de spécialisation, c’est une richesse.

L’humain est complexe. Vivant. En mouvement. On a le droit d’explorer, de changer d’avis, de s’approfondir. Je refuse de me laisser enfermer dans une seule case. Tout ce que j’ai traversé, étudié, vécu, s’entrelace et fait de moi quelqu’un de mieux outillée pour accompagner, écouter, comprendre.

Alors voilà. Je me présente. Enfin.
Dans toute ma vérité. Merci d’être là.

Activité GRATUITE Yoga & MochisMercredi 27 août, à 10h, Cambo-les-BainsPour cette session de l’activité mensuelle pour f...
02/08/2025

Activité GRATUITE

Yoga & Mochis
Mercredi 27 août, à 10h
, Cambo-les-Bains

Pour cette session de l’activité mensuelle pour futures et nouvelles mamans, on se donne rendez-vous dans un magnifique jardin calme à Cambo pour une séance de yoga d’une heure, pensée pour les jeunes et futures mamans, avec ou sans bébé.

Pas besoin d’avoir déjà pratiqué. On vient comme on est, on bouge tranquillement, on respire, on relâche. On prend un moment pour soi, entre mamans.

On prolonge la matinée sur place. Mochis maison (ou autre gourmandise) et boissons à la carte. C’est aussi l’occasion de discuter, d’échanger et de faire des nouvelles rencontres.

Séance gratuite
Consommations à votre charge
Inscriptions par message privé, téléphone ou mail.

N’hésitez pas si vous avez des questions et au plaisir de vous y retrouver 🫶🏻

Depuis que je suis mère, je vis à l’intérieur de mes propres contradictions.Et plus je les regarde en face, plus je comp...
01/08/2025

Depuis que je suis mère, je vis à l’intérieur de mes propres contradictions.
Et plus je les regarde en face, plus je comprends que ce ne sont pas des failles à réparer.
Ce sont des tensions vivantes.
Des mouvements profonds.
Des preuves que je suis habitée.

La maternité m’a mise face à toutes mes dualités:
le besoin de tout donner et l’envie de disparaître,
la douceur et la colère,
la puissance et l’épuisement.
Le yin et le yang, côte à côte, dans le même souffle.

Le yoga m’avait déjà montré ce terrain-là.
Pas celui des postures parfaites.
Mais celui où on tient une position inconfortable sans s’effondrer.
Celui où l’on respire même quand ça tremble.
Celui où l’on sent qu’on est deux choses à la fois — et que c’est possible.
L’équanimité.

Aujourd’hui, je ne cherche plus à être constante.
Je cherche à être présente.
Même quand c’est flou.
Même quand c’est moche.
Surtout quand c’est vivant.

C’est ça, ma pratique maintenant.
Et c’est ça que j’essaie de transmettre:
pas une ligne droite,
mais un espace pour danser avec ce qui est là.


En août, j’ai l’énorme plaisir de faire des remplacements au studio .biarritz Voici les dates pour venir pratiquer du vi...
31/07/2025

En août, j’ai l’énorme plaisir de faire des remplacements au studio .biarritz

Voici les dates pour venir pratiquer du vinyasa avec moi:

• Lundi 18/08 — 18h15 à 19h15
• Dimanche 24/08 — 10h30 à 11h45
• Lundi 25/08 — 9h30 à 10h45
• Lundi 25/08 — 18h15 à 19h15

Les cours sont ouverts à tous.
J’adapte la pratique selon vos besoins, avec ajustements manuels si vous le souhaitez.

Au plaisir de vous retrouver sur vos tapis 🧘‍♀️

PARTIE 1 – Inde, initiation par le feuInde, 2011.Je sors de mon tout premier Vipassana, le cœur grand ouvert, la tête pl...
29/07/2025

PARTIE 1 – Inde, initiation par le feu

Inde, 2011.

Je sors de mon tout premier Vipassana, le cœur grand ouvert, la tête pleine de silence et de lumière.
J’atterris à Delhi, encore enveloppée de cette paix fragile.

Je ne sais pas encore que je vais vivre l’un des épisodes les plus marquants de ma vie.

Un faux taxi. Une montée sans réfléchir.
Et soudain, sans retour possible :
six heures de route à travers le désert, en pleine nuit, avec deux hommes qui mâchent de la résine d’opium comme d’autres mâcheraient des bonbons.

Chaque minute compte.

Ce qui m’a sauvée ?
Ma capacité à observer sans réagir.
À ne pas céder à la panique.
À garder un pas de recul, lucide, même au cœur de l’effroi.

Une forme de calme animal, né de la méditation.
De cette confiance subtile que, malgré tout… je saurai.

Quelques jours plus t**d, je me retrouve à Varanasi.
La ville des morts.
L’odeur des corps qui brûlent 24h/24.
Les lépreux dans les ruelles.
Le Gange sacré et ses offrandes de fleurs flottantes.

Tout est là, en même temps.
Le divin et le désespoir.
L’or des temples et la crasse des rues.
Les chants sacrés et les klaxons frénétiques.

Mes sens sont saturés, mon âme retournée.

Puis Goa.
Ma première formation de yoga.
Mon corps s’ancre, mon souffle retrouve son espace.

Cette terre m’a confrontée à tout : à la violence, à la beauté, à mes limites, à ma force.

L’Inde, c’est la dualité incarnée.
C’est ce fil tendu entre le sacré et le sordide.
Et c’est là que j’ai commencé à vraiment me rencontrer.

Et si on parlait de connexion…Pas de Wi-Fi. Pas de Bluetooth.Mais de celle qui part de l’intérieur.La connexion à soi.À ...
28/07/2025

Et si on parlait de connexion…
Pas de Wi-Fi. Pas de Bluetooth.
Mais de celle qui part de l’intérieur.
La connexion à soi.
À son corps.
À ses besoins.
À ce qui est vivant.

Le yoga a longtemps été ce chemin pour moi.
Un lieu de retour, d’ancrage, d’espace.
Mais ma relation à cette pratique a souvent fluctué.
Je m’en suis éloignée, parfois à cause du bruit autour
trop de formes, pas assez de fond.
Trop d’image, pas assez de silence.
Le yoga m’apparaissait presque dénaturé, vidé de sa profondeur.
Et moi, je ne m’y retrouvais plus.

Puis, la maternité est arrivée.
Et là, tout a changé.
Porter la vie m’a ramenée, presque de force, à l’intérieur.
C’était urgent, vital, de me reconnecter.
À mon corps qui changeait.
À mes émotions bouleversées.
À mon souffle.

Alors j’ai repris ma pratique. J’ai recommencé à enseigner.
J’ai remis les pieds sur le tapis, avec un autre regard.
Plus doux. Plus enraciné.
Ce n’était pas toujours fluide, ni constant.
Mais c’était nécessaire.

Le yoga m’a offert de l’espace, là où il n’y en avait plus.
Dans les nuits hachées, les bras trop pleins, le mental en vrac.
Il m’a redonné ce lien précieux avec moi-même.
Et à travers ça, il m’a permis d’être plus présente pour mon enfant.
Plus disponible. Plus à l’écoute.

Aujourd’hui, je continue d’explorer cet équilibre fragile.
Entre engagement et lâcher-prise.
Entre recul et retour.
Mais avec la conviction que cette connexion,
même imparfaite, même fluctuante,
est ce qui me tient debout.

Et toi, qu’est-ce qui te reconnecte à toi en ce moment?

📛 Parlons des titres.Ce n’est pas un sujet simple, ni noir ou blanc.Les mots qu’on choisit pour se présenter ont du poid...
23/07/2025

📛 Parlons des titres.

Ce n’est pas un sujet simple, ni noir ou blanc.
Les mots qu’on choisit pour se présenter ont du poids.
Et aujourd’hui, beaucoup de ces titres — surtout dans les sphères du bien-être, de la périnatalité, de la spiritualité — ne sont pas encadrés.

Mais ce n’est pas le fait d’être “hors système” qui me dérange.
Au contraire. Je valorise profondément les parcours hybrides, la liberté d’explorer, la richesse de porter plusieurs casquettes.
Sortir des sentiers battus peut être une force.

Ce que je questionne, c’est l’usage des mots sans fond.
Les titres creux, les raccourcis, les promesses miracles.
Et le manque de discernement collectif autour de ça.

Accompagner quelqu’un, ce n’est pas anodin.
Ce que tu laisses entrer dans ton corps, dans ta tête, dans ton espace — ça compte.

Et tout ce qui promet une solution simple, rapide, idyllique?
Red flag.

Je ne suis pas contre les approches parallèles.
Je suis contre les dérives dangereuses déguisées en lumière.

👉 Reste curieux.se
👉 Pose des questions
👉 Protège ton espace intérieur

Tu ne confierais pas ton cœur à un faux cardiologue.
Ne confie pas ton esprit à n’importe qui avec une vitrine bien ficelée.















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Trébeurden
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