Ekata Yoga

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J’ai de plus en plus de malaise avec les réseaux sociaux. On répète que c’est de la « pub gratuite » quand tu as un busi...
03/10/2025

J’ai de plus en plus de malaise avec les réseaux sociaux.
On répète que c’est de la « pub gratuite » quand tu as un business, mais en réalité, c’est notre temps qu’on y investit — et le temps, c’est une ressource précieuse, irremplaçable.

J’en ai marre de la culture du fake.
Du scroll compulsif.
De ce monde où chacun se proclame expert de tout et de rien.
Un monde qui va si vite qu’on n’arrive même plus à regarder un contenu jusqu’au bout.
Une culture du vide.
Qui est en train de nous bouffer.

Un monde qui a soif de connexion, mais qui a oublié comment se connecter vraiment.
Un monde qui détourne le regard des horreurs bien réelles, parce que c’est trop inconfortable, trop dérangeant.
Alors on fait semblant.
On met un filtre.
On continue à nourrir l’illusion.

Et moi, ça m’épuise.
Ça me donne un goût amer de participer à cette mascarade.
J’essaye d’être authentique, mais ce n’est pas ça qui « marche ».
Ce qui attire, c’est le même trend recyclé mille fois, sous le meilleur angle, sous prétexte d’être « real ». Mais c’est tout sauf ça.
C’est du « really fake ».

Comme un objectif qui reflète notre propre image, on se cache derrière le miroir, on se distrait de l’essentiel.

Tout pour plaire.
Tout pour des likes.
Tout pour rien.
Le vide.

No hashtags. Screw the algorithm.

Pendant toute la grossesse, la mère est suivie, accompagnée, contrôlée. Chaque mois un rendez-vous, une échographie, des...
01/10/2025

Pendant toute la grossesse, la mère est suivie, accompagnée, contrôlée.
Chaque mois un rendez-vous, une échographie, des analyses.
On la surveille, on vérifie que tout se passe bien.
Mais une fois que le bébé naît, tout s’arrête. Les regards se détournent et la mère se retrouve seule.
Et puis, le vide.

Le post-partum, c’est ce moment dont on parle à peine alors qu’il est brutal.
Le corps saigne encore, les cicatrices tirent, les seins sont douloureux.
Les nuits se brisent en fragments de deux heures.
Le cerveau tourne à vide, épuisé par la fatigue, les hormones, les pleurs.
La mère apprend à nourrir, à consoler, alors qu’elle-même n’a pas dormi, pas mangé, pas soufflé.
Et malgré tout, elle tient.
Parce qu’elle n’a pas le choix. Elle prendra soin de son bébé coûte que coûte.
Mais qui prend soin d’elle ?

Dans plusieurs cultures en Afrique ou en Asie, la mère est au centre.
On la nourrit, on la masse, on la protège du quotidien.
Ici, c’est l’inverse.
On félicite, on offre une peluche ou un body au bébé, et on s’attend à ce que la mère tienne debout, organisée, souriante, quelques jours seulement après avoir accouché.

Et quelques semaines plus t**d, on la renvoie travailler.
Alors qu’elle saigne encore.
Alors qu’elle ne dort pas.
Alors que son corps n’a pas guéri.
On appelle ça un congé maternité.
La réalité, c’est que c’est à peine une respiration.
C’est lunaire.

Non, ton bébé n’a pas besoin d’une énième peluche.
C’est toi, maman, qui as besoin d’un repas chaud, d’un massage, d’un soin Rebozo, d’un café posé devant toi.
D’aide, non pas avec ton bébé, mais avec ta maison, ton quotidien.
Pas de conseils à la va-vite parfois teintés de jugement, mais du soutien réel, concret.

Le post-partum, c’est beau, mais c’est aussi rude et ça mérite beaucoup plus d’attention et de soutien.

Et vous, mamans : qu’est-ce qui a manqué durant votre post-partum ? De quoi auriez-vous eu besoin ?

L’être humain supporte mal l’idée d’un monde chaotique.Quand l’injustice frappe, quand le hasard brise une vie,un confli...
26/09/2025

L’être humain supporte mal l’idée d’un monde chaotique.
Quand l’injustice frappe, quand le hasard brise une vie,
un conflit intérieur surgit.
Les psychologues l’appellent la dissonance cognitive.

Pour la réduire, nous cherchons des histoires qui apaisent.
Nous nous accrochons à l’idée d’un monde juste :
chacun reçoit ce qu’il mérite,
chaque épreuve cache une leçon,
rien n’arrive sans raison.

Cette croyance rassure.
Mais elle a un prix.

Elle déplace la responsabilité.
Elle déresponsabilise ceux qui causent le tort
et surcharge les victimes d’une culpabilité qui n’est pas la leur.
Au lieu de reconnaître l’injustice,
nous fabriquons des coupables.

La vérité est plus brute :
tout ne fait pas sens,
tout n’est pas une leçon.
Parfois, la vie est simplement injuste.

Et paradoxalement, voir cela en face peut libérer.
Car si tout n’est pas mérité,
tout n’est pas non plus une punition.
Accepter l’aléatoire, c’est retrouver une juste place :
celle de notre responsabilité réelle,
et celle de la compassion envers ceux qui subissent.

Ce n’est pas céder au chaos.
C’est apprendre à vivre avec lui,
sans mensonge et sans déni.

C’est faire place à plus de lucidité,
et à une compassion plus juste.

cognitifs

Recommencer sa vie ailleurs n’a rien d’évident. Être expat, c’est avancer sans racines, se recréer un cercle à l’âge adu...
24/09/2025

Recommencer sa vie ailleurs n’a rien d’évident.
Être expat, c’est avancer sans racines, se recréer un cercle à l’âge adulte, apprivoiser une nouvelle culture.
Même quand on partage la langue, l’intégration reste fragile, souvent teintée de solitude.

À mon arrivée au Pays Basque, après déjà trois énormes déménagements en moins de deux ans en France, j’ai découvert Etxea.
Ce mot veut dire « maison » en Basque, et il a pris pour moi une résonance particulière.
Dès la première fois, j’ai été touchée par la qualité des enseignants, par la chaleur du lieu, par l’énergie qui s’en dégage.
C’est un endroit où l’on a envie de se déposer, de respirer, d’oublier le temps.

Dès la première fois, j’ai su que je voulais y enseigner. Ce studio m’inspire, il me fait vibrer. Il me pousse à me dépasser, autant comme élève que comme prof.

Merci à et qui ont créé cet espace et qui le portent. Merci à l’équipe d’enseignants, dont la qualité et l’engagement rendent ce lieu unique et profondément humain.

La maison, on la porte en soi, là où l’on est. Mais trouver un lieu où l’on peut vraiment se déposer, entouré de personnes qui résonnent avec ce que nous sommes, a quelque chose de rare et d’infiniment précieux.

Etxea porte parfaitement son nom.

On voit souvent la famille représentée comme un cocon de sécurité, un lieu d’entraide et de réconfort. Pourtant, pour be...
22/09/2025

On voit souvent la famille représentée comme un cocon de sécurité, un lieu d’entraide et de réconfort.
Pourtant, pour beaucoup, elle a aussi été le théâtre de blessures profondes : conflits, silences, traumas, refoulement.

Grandir dans ces contextes laisse des traces. Pourtant, cela ne scelle pas notre avenir. Nous ne sommes pas prisonniers des histoires qui nous précèdent.
Il est possible de transformer nos racines, de délier les nœuds générationnels, d’inventer une autre façon d’être en lien.

Parce que si les blessures se transmettent, la réparation aussi.

Le village dont nous avons besoin n’est pas toujours là, prêt à nous accueillir.
Alors il nous faut parfois l’imaginer, le bâtir morceau par morceau.
Cela demande du courage, d’apprendre à chercher du soutien là où il est juste, à poser des limites là où il le faut, à choisir consciemment les liens que l’on nourrit.
Et en construisant notre propre village, nous participons aussi à édifier un collectif plus solide, capable de soutenir les générations à venir.

Alors je te laisse avec cette question :
à quoi ressemble le village dont tu as besoin aujourd’hui, et comment choisis-tu de participer à le créer ?

pour mieux

Un jour, en thérapie, j’ai pris une claque.Je me suis entendue répéter, encore une fois, la même histoire intérieure : j...
17/09/2025

Un jour, en thérapie, j’ai pris une claque.
Je me suis entendue répéter, encore une fois, la même histoire intérieure : je suis devenue qui je suis GRÂCE à ce trauma.
Comme si toute ma vie, toute mon identité, toute ma valeur étaient bâties sur cette souffrance qu’on m’a imposée.

Et c’est tombé.
Brutal.
Comme une brique en plein visage.
Je me rendais complice de ma propre prison.
Je me réduisais à ce qui m’est arrivé.
Comme si je n’étais rien d’autre que ce trou béant laissé dans ma chair, dans mon histoire.

Alors j’ai commencé à déconstruire.
Avec ma tête de future psy, j’ai vu comment l’esprit crée des narratifs qui nous enferment.
Comment on peut confondre ce qui est arrivé avec qui on est.
Avec mon corps yogi, j’ai ressenti qu’il existe un espace en moi, dans le souffle, dans la présence, dans le silence, qui n’a jamais été touché par ce trauma.
Cet espace, c’est moi aussi.

Et quelque part, j’ai compris aussi que les petites phrases toutes faites qu’on nous sert dans le monde du bien-être ne suffisent pas. Elles peuvent même faire plus de dommage sur la durée, car la guérison est plus complexe que ces formules prémâchées.

Et c’est là que j’ai compris : ma force, je l’ai construite malgré tout.
MALGRÉ ce trauma.
Mon chemin, je l’ai tracé malgré les coups.
Mon identité, je l’ai choisie à travers mes efforts, mes chutes, mes guérisons, et parfois juste le hasard d’avoir eu les bons outils au bon moment.

Le trauma ne nous définit pas.
La souffrance n’est pas une initiation.
La douleur n’a rien de sacré, ni de beau, ni de nécessaire.
Nos vies ne sont pas des films héroïques qu’on rejoue en boucle pour donner du sens à l’inacceptable.

Et non, ce qui ne nous tue pas ne nous rend pas forcément plus fort.
Ça nous abîme.
Ça nous plie.
Ça nous laisse parfois en miettes.
On apprend à faire avec, mais qu’on ne vienne pas nous dire qu’on devrait dire merci.

Si tu te reconnais dans ces mots,
je te vois, je t’entends, et je suis là.


À 34 ans, je suis tombée enceinte. À 35 ans, j’ai accouché.Et je n’ai aucun regret d’avoir attendu.Je suis heureuse d’av...
12/09/2025

À 34 ans, je suis tombée enceinte.
À 35 ans, j’ai accouché.
Et je n’ai aucun regret d’avoir attendu.

Je suis heureuse d’avoir profité de ma vingtaine, de mon corps libre, de mes expériences, de mes erreurs et de mes folies. Heureuse d’avoir eu le temps de me construire, de me chercher, de me découvrir.

Heureuse d’avoir attendu de rencontrer quelqu’un qui m’a réellement donné envie de fonder une famille.
Pas par pression, pas pour cocher une case, mais parce que c’était le bon moment pour moi.

Aujourd’hui, je suis plus consciente de qui je suis, de mes valeurs, de ce que je veux transmettre.
Je suis plus mature, plus stable, plus ancrée. Et ça me permet d’offrir autre chose que mes traumas, autre chose qu’une éducation mécanique copiée sur la génération d’avant.

On appelle ça une grossesse “gériatrique”.
Moi, j’appelle ça une grossesse désirée, choisie et pleine de sens.

**dive

On nous répète partout qu’il faut “ne jamais lâcher”.Que la clé, c’est la discipline, la persévérance, le mental d’acier...
10/09/2025

On nous répète partout qu’il faut “ne jamais lâcher”.
Que la clé, c’est la discipline, la persévérance, le mental d’acier.
Mais la vérité, c’est que parfois s’arrêter est le seul vrai acte de courage.

Persévérer, ce n’est pas s’user jusqu’à la corde.
Ce n’est pas se jeter dans des postures avancées juste pour avoir la sensation de performer.
Ce n’est pas s’accrocher à un master, un job, une relation, juste pour ne pas “échouer”.

Parfois, le moment n’est pas le bon.
Parfois, le chemin n’est plus le bon.
Et s’acharner, c’est s’éloigner encore plus de soi.

L’inconfort, oui, il peut être nécessaire.
La souffrance, non.
Ce n’est pas un passage obligé, ce n’est pas une étape à glorifier.

Il y a une énorme différence entre traverser l’inconfort qui fait grandir…
et s’enfoncer dans la souffrance qui détruit.

C’est ça, la vraie nuance : savoir quand continuer, et savoir quand déposer.
Savoir quand dire stop.

Hier, j’ai dû prendre une décision difficile. Laisser derrière moi quelque chose d’important. Et cela m’a laissée avec u...
08/09/2025

Hier, j’ai dû prendre une décision difficile. Laisser derrière moi quelque chose d’important. Et cela m’a laissée avec un grand vide, presque comme un deuil.
Cette décision me hantait depuis longtemps, et je comprends mieux pourquoi : lâcher prise n’a jamais rien d’évident.

La maternité m’a beaucoup appris là-dessus. Être maman, c’est continuer à exister en tant que soi, avec ses rêves et ses envies.
Mais c’est aussi accepter que la vie change, que le temps se rétrécit, que certains choix demandent des sacrifices.
On apprend à composer avec moins, à renoncer parfois, pour mieux tenir l’essentiel.

Et moi, j’ai réalisé que j’étais arrivée au bout de mes forces. Que j’avais besoin d’air, de temps, d’espace. Non pas pour en faire plus, mais pour respirer. Pour être vraiment présente, en accord avec ce que je veux et avec ce qui compte déjà dans ma vie.

On passe souvent notre temps à courir après quelque chose : un but, une réussite, une promesse de bonheur. Et l’on oublie que rien ne dure. Tout passe, tout change. Le bonheur n’est pas un état que l’on atteint une fois pour toutes, c’est un passage, un instant à accueillir. Il existe au milieu de tout le reste, au cœur même de nos émotions contradictoires.
C’est cette coexistence qui fait la richesse de nos vies.

Alors je me suis demandé : qu’est-ce que je peux lâcher pour retrouver de l’espace ?
Et la réponse a fait son chemin…
Le plus grand acte de bienveillance que je pouvais m’offrir, c’était d’accepter que ce que j’ai déjà est suffisant. De reconnaître que le temps est un allié, et que si le moment n’est pas venu, il est peut-être plus sage d’attendre et de savourer ce qui est déjà là.

C’est pour cela que j’ai décidé de mettre en pause mon projet de master.
De ne pas me lancer cette année. Un choix difficile, qui m’effraie, mais auquel j’ai décidé de faire confiance.

Et peut-être que, finalement, c’est ça l’essentiel : apprécier l’amour déjà présent, être reconnaissants du chemin parcouru, se nourrir de ce que nous avons, et accueillir les instants de bonheur quand ils passent.
Parce que ce sont eux, malgré leur impermanence, qui donnent sens à tout le reste.

« Désolée pour la réponse t**dive… »Je crois qu’on est plusieurs à se reconnaître là-dedans.Le monde va trop vite.Les no...
05/09/2025

« Désolée pour la réponse t**dive… »
Je crois qu’on est plusieurs à se reconnaître là-dedans.

Le monde va trop vite.
Les notifications, les messages, les attentes… tout est devenu instantané.
On en vient à croire que l’on doit suivre cette cadence f***e.
Mais en vérité, nous n’étions pas faits pour vivre à cette vitesse.

L’autre jour, mon fils de 2 ans et des poussières m’a dit :
« maman, lâche ton téléphone ».
Ça m’a glacé le sang.
Parce que dans sa petite bouche, il y avait toute la vérité.
Nos enfants n’ont pas besoin qu’on réponde vite à tout le monde, ils ont besoin qu’on leur réponde à eux.
Présentes. Entières. Ici.

Et parfois, je me demande si, dans quelques décennies, on ne regardera pas les données en disant : « comme pour la cigarette, nous n’avions pas compris à quel point c’était nocif ».
Pour notre santé physique.
Pour notre santé mentale.
Pour nos liens humains les plus précieux.

Comme maman, je le ressens encore plus :
la vraie vie se passe maintenant.
Dans leurs éclats de rire, leurs câlins, leur regard.
Ils ne demandent pas une version accélérée de nous-mêmes, mais simplement d’être présent.e.s.

Alors, un peu comme dans le yoga, je veux retrouver cette respiration profonde.
Revenir au rythme du souffle, au moment présent, à ce qui nourrit mon corps, mon cœur et mon esprit.

À partir de maintenant, j’utiliserai les réseaux sociaux seulement durant mes heures de travail.
Si quelque chose est vraiment important, n’hésitez pas à m’appeler ou à m’envoyer un texto.
C’est cool aussi d’échanger de vive voix.

Parce que la parentalité, la maternité, la santé mentale et la paix intérieure sont toutes liées à une même source : notre capacité à ralentir et à habiter pleinement chaque instant.
Tout commence par nous, par le choix conscient de déposer un peu de cette vitesse extérieure pour retrouver le rythme juste, celui qui nous rapproche de nous-mêmes et de ceux que nous aimons.

Et c’est ça que je veux transmettre.

Balade & Goûter entre femmes et mamans 📅 Dimanche 20 septembre à 10h 📍 Plage de Milady💛 GratuitOn se retrouve pour une b...
03/09/2025

Balade & Goûter entre femmes et mamans

📅 Dimanche 20 septembre à 10h
📍 Plage de Milady
💛 Gratuit

On se retrouve pour une balade tranquille au bord de l’océan : avec bébé en poussette, en portage, enfant qui marche depuis peu ou longtemps… ou simplement les mains libres.

La balade sera suivi d’un petit goûter maison façon pique-nique, sucré et salé, pour prolonger la rencontre.

Cette invitation est ouverte à toutes les femmes :
celles qui portent la vie, celles qui viennent d’accueillir un enfant, celles qui sont mamans depuis longtemps, celles qui rêvent de l’être, celles pour qui le chemin est plus difficile, celles qui sont belles-mamans… et celles qui souhaitent simplement passer un moment entre femmes.

Un instant simple et doux, sans chichi, pour marcher, souffler, échanger et se retrouver.

Tu es la bienvenue, exactement là où tu en es, avec ou sans maternité.

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À bientôt 🫶

À l’approche de l’automne, parfois même dès la mi-août, je ressens un besoin viscéral de Yin. Le besoin de ralentir, de ...
01/09/2025

À l’approche de l’automne, parfois même dès la mi-août, je ressens un besoin viscéral de Yin.
Le besoin de ralentir, de me retirer dans un cocon de douceur, de m’enrouler dans une couette avec une infusion chaude.
C’est comme si mon corps et mon esprit réclamaient de retrouver ce mouvement vers l’intérieur. Et puis, l’automne a toujours été ma saison préférée malgré ma personnalité très Yang.

On entend beaucoup parler du Yin et du Yang… mais au fond, comprenons-nous vraiment ce qu’ils signifient ?
Ces deux forces, issues de la pensée taoïste, rappellent que tout est mouvement, complémentarité et transformation. Que tout est imbriqué l’un dans l’autre. Que rien n’est complètement blanc ou noir et que tout se trouve sur un spectre si on veut.

Alors que nous entrons dans la saison du Yin, la nature nous enseigne le ralentissement, l’intériorité et l’accueil. C’est le moment de reconnaître l’impermanence, de cultiver la non-réactivité et d’accepter ce qui est, sans chercher à le changer immédiatement.

Dans le quotidien, dans la maternité, en psychologie ou encore dans le yoga, le Yin nous invite à créer un espace intérieur qui nourrit et équilibre notre vie.

Et vous, comment ressentez-vous le Yin dans votre vie en ce moment ?

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Trébeurden
22560

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