Sylvie Saorin- Hypnose

Sylvie Saorin- Hypnose J’ai découvert que l’on pouvait supporter l’insupportable si l’on gardait le moral… Nelson Mandela Le cabinet est situé au 7, rue du Plan de l’Oume à Uzès.

Hypnothérapeute à Uzès, je vous accompagne en cabinet ou à distance. Spécialisée en hypnose, EFT et PNL, je propose un accompagnement personnalisé pour les adultes et les enfants.
Écoute, bienveillance et efficacité sont au cœur de ma pratique. Depuis plus de 5 ans, j’aide mes clients à traverser le deuil, à retrouver leur poids d’équilibre ou à se libérer du tabac. Prenez rendez-vous avant de vous déplacer.

Et BIM , je jette encore un pavé dans la marre.Et si c’était le moment de faire le deuil de ces petits bâtons blancs ? E...
13/11/2025

Et BIM , je jette encore un pavé dans la marre.

Et si c’était le moment de faire le deuil de ces petits bâtons blancs ?

Et si le Mois Sans Tabac servait surtout à maintenir une dépendance rentable ?

On vous parle de patchs, de gommes, de substituts nicotiniques…
mais on ne vous dit pas qu’ils contiennent la même molécule que celle du tabac.

🌀 On ne vous aide pas à arrêter.
On vous aide à continuer autrement.

Derrière chaque patch, chaque pastille, il y a un enjeu financier colossal.
Les mêmes acteurs que ceux qui, hier, vendaient la cigarette.

Si vous voulez vous libérer pour de bon,
arrêtez de chercher le bon substitut.
Cherchez la bonne méthode.

✨ L’hypnose agit directement là où naît la dépendance : dans le cerveau.
Elle ne remplace rien.
Elle vous rend libre.

🔥 Ce mois-ci, ne vous contentez pas d’arrêter de fumer.
Décidez d’être libre.

💫 Il y a des voyages qui te dépouillent, d’autres qui te révèlent.Le désert fait les deux à la fois.On passe notre vie à...
11/11/2025

💫 Il y a des voyages qui te dépouillent, d’autres qui te révèlent.

Le désert fait les deux à la fois.

On passe notre vie à courir après une belle salle de bain, des WC design, une cuisine dernier cri, des fringues qui claquent.
Et bien sûr… le voyage de rêve sur une plage de sable blanc, cocktail à la main.

Et puis un jour, sans trop savoir pourquoi, tu signes pour le Marathon des Sables.
Là où justement, tout ça disparaît.

Tu fais tes besoins dans un sac poubelle, à quelques centimètres de cinq autres tentes.
Plus de salle de bain, plus de do**he — juste des lingettes pour tout.
Tu prends le strict minimum de rechanges, parce que c’est toi qui portes tout.
Tu fais ta lessive dans une bouteille d’eau vide de 5 litres.

D’ailleurs, ces 5 litres… c’est ta ration quotidienne.
Pour boire, manger, te laver.
Pas une goutte de plus.

Le brushing ? Superflu.
Ton parfum Chanel N°5 ? Remplacé par un nouveau best-seller : “J’empeste N°5”.

Et ton téléphone ? Oublié.
Plus de réseau, plus de messages, plus de scroll.
Juste toi, ton souffle, ton silence.

Et cette fameuse plage de sable fin dont tu rêvais…
Dans le désert, tu la hais.
Ce sable mou te bouffe l’énergie, te casse les jambes.
Tu jures, tu râles, tu cries tous les noms d’oiseaux possibles.

Mais tu continues.
Parce qu’il te reste tes yeux pour voir.
Et ton cœur pour ressentir.

Et quand tu franchis la ligne d’arrivée, tu pleures.
De douleur. D’émotion. De nostalgie aussi.

Au début, tu te dis : “Plus jamais.”
Et quelques heures plus t**d, tu te surprends à penser :
“Et si je le refaisais ?”

🌅 Conclusion

Dans le désert, j’ai tout perdu — le confort, le miroir, les certitudes.
Et c’est là, au milieu du rien, que j’ai tout trouvé :
la force, la vérité, et la paix.

🏜️ Marathon des Sables : plus qu’une course, une rencontre avec moi-mêmeIl y a plus d’un an, je me suis embarquée dans c...
08/11/2025

🏜️ Marathon des Sables : plus qu’une course, une rencontre avec moi-même

Il y a plus d’un an, je me suis embarquée dans cette aventure un peu f***e.
J’en ai rêvé. J’en ai cauchemardé.
Et puis… le départ est arrivé.

On n’est jamais prêt pour ce genre d’épreuve.
Pas vraiment. Pas la première fois.

Déconnectée de tout, en plein désert.
Aucune connexion. Aucun message.
Juste moi. Et le silence brûlant du désert du Wadi Rum.

La première étape a été un enfer.
Pas une fois, mais cent fois, je me suis dit :
👉 « Qu’est-ce que tu fous là ? »
Pas une fois, mais cent fois, j’ai voulu enclencher la balise d’abandon.

Le sac pesait une tonne.
La chaleur m’écrasait.
Le sable mou avalait mes pas.

Et puis j’ai pensé à mes fils, à Rémi, à mes petites-filles, à mon mari, à mes proches, à mes client·e·s…
Et surtout, à une personne en particulier.
Mon Nini. ❤️

J’ai pensé à celles et ceux qui ne sont plus là,
à celles et ceux qui se battent encore.

Et là, tout a changé.
Parce que franchement…
C’est quoi le poids d’un sac, la chaleur, la déshydratation…
à côté du poids du deuil, de la maladie, de la vie ?

Alors j’ai continué.
J’ai puisé là où je ne savais même pas qu’il me restait de la force.
Et je n’ai pas abandonné.
Le mental a pris le relais.

💬 Tout ça, juste pour vous dire une chose :
Vous pouvez le faire.
Quelle que soit votre épreuve.

J’ai marché et couru aux côtés de personnes atteintes de maladies incurables, d’autres qui ont surmonté un AVC…
Et ils l’ont fait.

Alors vous aussi.
💪 You can do it.

Un grand merci au  pour le bel article qu’il a publié sur mon activité 🙏Je précise simplement qu’il y a une petite coqui...
30/10/2025

Un grand merci au pour le bel article qu’il a publié sur mon activité 🙏
Je précise simplement qu’il y a une petite coquille dans le texte :
➡️ Je n’ai pas de patients, mais bien des clients.

En tant qu’hypnothérapeute et accompagnante du deuil, je ne suis pas une professionnelle de santé au sens administratif du terme — je n’ai donc pas de numéro Adeli et n’utilise pas la terminologie médicale associée.

Cela ne change rien à la qualité ni à la profondeur de mon accompagnement, mais c’est une précision importante 💡
Merci de votre compréhension ❤️

Cette nuit, il a fallu que j'écrive.... Difficile pour moi de trouver le sommeil. après avoir déposé cela, je me suis as...
26/10/2025

Cette nuit, il a fallu que j'écrive....
Difficile pour moi de trouver le sommeil.
après avoir déposé cela, je me suis assoupie quelques heures et un "mauvais rêve" m'a réveillé.

MAMAN,

Hier on a fêté tes 96 ans.
Et aujourd’hui… le pont de bascule est arrivé.
Celui qu’on redoutait, qu’on repoussait sans vouloir y croire.

Tu n’as pas reconnu ton petit-fils.
Tu l’as appelé "Monsieur" et à la fois, tu étais heureuse qu'il soit près de toi tu lui as dit.
Ton "autre petit-fils"💫 , tu n'en as plus parlé depuis le jour de l'accident, surement pour ne pas rajouter de la peine à ma peine, mais j'aurais tellement aimé que tu continues de me parler de "LUI"
Tu n’as pas prononcé le prénom de tes arrière-petites-filles.
Ni celui de ton chat.

Tu as demandé à faire la sieste dans ton fauteuil.
Tu as bavardé un moment avec ton ami imaginaire…
Puis tu t’es endormie.

Quand tu t’es réveillée, désorientée, tu m’as dit :
« Madame, vous pouvez m’aider à me relever ? »

C’est dur, maman.
Tellement dur.

C'est dur de ne plus voir tes yeux pétiller.
C'est dur de ne plus t’entendre dire des bêtises.
C'est dur de te voir décrocher un peu plus chaque jour.

Tu as demandé à rentrer “à la maison”.
On t’a ramenée à l’EHPAD.
Et on ne va pas se mentir : c’est un mouroir, comme tous les autres.
Des couloirs de la mort où les gens s’effacent doucement.

Tu es revenue un instant à la réalité.
En colère. Et lucide à la fois.
Tu savais que tu ne pouvais plus rester seule, que nous travaillons tous.
Et là, avec ta voix ferme, tu m’as dit :
« Emmène-moi chez le véto, là-bas il me fera une piqûre, il ne me laissera pas souffrir. »

C’est dur, maman.
C'est dur de t’avoir entendue dire ça.
C'est dur aussi de m’être surprise à te répondre :
« Maman, si tu veux partir, laisse-toi aller. Ne lutte plus. »

C’est dur d’attendre le téléphone,
de craindre d’entendre : “c’est fini.”

C’est dur de penser qu’un jour tu ne seras plus là.
Que je serai orpheline de père et de mère.
Et déjà mamange de mon plus jeune garçon.

C'est dur de penser que je n’aurai plus d’épaule sur laquelle me reposer.

C'est dur de se réveiller d'un cauchemar , en pleures, où tu rentres de ton périple en Jordanie avec le sourire alors que ton mari, ton fils t'attendent sur le quai de la gare, non pas avec des banderoles mais avec le regard triste et fermé et t'annoncent
"Mamie est partie avec toi pendant ton voyage"

C'est dur maman de réaliser que cela peut arriver à tout moment.
Alors oui, beaucoup vont penser : " Hé c'est bon , elle a bien vécu, elle a 96 ans et puis tu ne vas pas faire ton c**a mou, il y a plus grave ! , t'as perdu un enfant et ton "petit frère" se bat contre ce foutu crabe, tu fais ce que tu peux, et tu as fait ce que tu as pu " .....

Oui, je sais tout ça....
Mais ça reste MA MAMAN

Aujourd’hui, j’ai une pensée pour toutes les personnes qui accompagnent un proche atteint d’Alzheimer ou d’une autre maladie dégénérative cognitive
Une pensée particulière aussi pour M., celle qui veille sur son mari avec tant de douceur parmi tant d'autres

Pendant ce temps, au Parlement, on débat de la loi sur l’aide à mourir.

Et moi, je me demande :
Pourquoi ne pas élargir le débat à ces situations-là ?
Quel est le sens de vivre dans ces conditions ?
On parle souvent du “business” de la dépendance.
Mais si on se penchait sur le coût de la santé mentale des accompagnants, ( dépression, burn-out, absentéisme, désengagements professionnels....)
Sur ce qu’on perd, sur ce qu’on porte…
peut-être que le regard changerait.

Et vous… qu’en pensez-vous ?

23/10/2025

Je pars ou je pars pas ?

J’entends déjà des voix s’élever en me traitant de barge .
Sauf que ….

C’est mon choix , il est mesuré , pesé .
Si ça se passe mal , bien ça ne sera que moi et personne d’autres .

J’ai l’aval des 2 chir cardio-rythmologue
Tout va bien
Tout s’est bien passé .

Comme je le dis dans la vidéo , je ne joue pas ma maison.
Une fois là-bas si ça ne va pas à la première étape , je rétrograderai à la seconde à 70 kms au lieu de 100 et au pire j’abandonnerai.
Je tiens encore à profiter des miens et de ceux que j’aime.

Si près du but , inscrite en septembre 2024 et me préparer durant 1 an ça aurait été con .

Je ne m’enleverai pas de la tête que mon étoile m’a fait vivre cette expérience pour me protéger du danger car il y avait.
Et je l’aime encore plus haut que les étoiles.🌟 💫🙏🏻🙏🏻

Un grand merci au nouvel hôpital privé les franciscaines à Nîmes

🫀 Ce jour-là, j’ai râlé (comme souvent).Je suis la première à râler quand on me demande un certificat médical pour faire...
19/10/2025

🫀 Ce jour-là, j’ai râlé (comme souvent).

Je suis la première à râler quand on me demande un certificat médical pour faire du sport, parce que tout va bien, j ai une bonne hygiène de vie , je n’ai aucun symptôme ( enfin si mais pour moi c’est dans la normalité puisque je suis née avec et je ne le sais pas )
La première à lever les yeux au ciel quand on me dit :

« À ton âge, il faut faire un test à l’effort. »

Et puis je suis aussi la première à tomber des nues…
Quand le test à l’effort n’est pas bon.
Quand, à l’échographie cardiaque, on me parle d’une voie supplémentaire électrique — un syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW).

Ce truc qu’on découvre souvent par hasard, parfois trop t**d.

🙏 Merci à mon médecin qui, malgré notre proximité, n’a pas cédé à la familiarité :

« Tu vas faire ce test. Point barre. »

Avec le recul, je me dis que j’ai eu de la chance.
La chance de découvrir ça ici, où l’on peut être pris en charge,
et pas au milieu de nulle part, lors d’une sortie ou d’un voyage.

La mort ne me fait plus peur —
mais je veux profiter encore longtemps de la vie,
de mon fils,
de mon mari,
de mes petites filles
de celles et ceux que j’aime
et de tous ces instants simples qu’on croit acquis.

Alors si tu hésites à passer un test,
si tu penses que « c’est pour les autres » —
➡️ fais-le.
Vraiment.

🫀 Ce jour-là, j’ai râlé (comme souvent).Je suis la première à râler quand on me demande un certificat médical pour faire...
19/10/2025

🫀 Ce jour-là, j’ai râlé (comme souvent).

Je suis la première à râler quand on me demande un certificat médical pour faire du sport parce que pour moi , tout va bien.
J’ai une bonne hygiène de vie et une absence de signes ( enfin si , très peu , mais je trouve ça normal puisque c’est depuis toujours )
La première à lever les yeux au ciel quand on me dit :

« À ton âge, il faut faire un test à l’effort. »

Et puis je suis aussi la première à tomber des nues…
Quand le test à l’effort n’est pas bon.
Quand, à l’échographie cardiaque, on me parle d’une voie électrique supplémentaire — un syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW).

Ce truc qu’on découvre souvent par hasard, parfois trop t**d.

🙏 Merci à mon médecin qui, malgré notre proximité, n’a pas cédé à la familiarité :

« Tu vas faire ce test. Point barre. »

Avec le recul, je me dis que j’ai eu de la chance.
La chance de découvrir ça ici, où l’on peut être pris en charge,
et pas au milieu de nulle part, lors d’une sortie ou d’un voyage.

La mort ne me fait plus peur —
mais je veux profiter encore longtemps de la vie,
de mon fils,
de mon mari,
de mes petites filles
de celles et ceux que j’aime
et de tous ces instants simples qu’on croit acquis.

Alors si tu hésites à passer un test,
si tu penses que « c’est pour les autres » —
➡️ fais-le.
Vraiment.

15/10/2025

Levez la main si vous avez déjà vécu un deuil. Maintenant gardez la main levée si, à ce moment-là, vous saviez comment vous en sortir, quoi faire concrètement pour tenir le coup au quotidien. Voilà le problème : on est tous confrontés au deuil, mais personne ne nous donne d'outils concrets...

Hommage ….Aujourd’hui, ça fait trois ans …..que Chantal /Chanchan pour les intimes,  a décidé de tirer sa révérence. Pas...
27/09/2025

Hommage ….
Aujourd’hui, ça fait trois ans …..
que Chantal /Chanchan pour les intimes, a décidé de tirer sa révérence.
Pas n’importe comment, évidemment : à sa manière, avec courage, liberté et entourée des siens.

Chanchan, c’était la mamie, la maman, l’amie, toujours impeccable, toujours coquette, jamais sans ses ongles faits.
Elle savait se battre contre ce foutu crabe, mais quand elle a vu que la partie était perdue, elle a choisi son moment.
Chapeau bas, Chanchan .
En Belgique, on a le choix de choisir son heure.

Et puis Chanchan, c’était notre « Brigitte Bardot » : un chien sous le bras, un chat sur les genoux, l’amour des animaux.
Si seulement elle voyait aujourd’hui Francky et la Vir/ sa fille, avec ce chien… elle lèverait les yeux au ciel et hausserait les épaules comme seule elle savait le faire.
Parce que franchement, ce qu’elle faisait pour son chien, à côté, c’était « du p**i de chat », je te le dis ! 🤣🤣🤣🤦🏼‍♀️🤦🏼‍♀️

Elle reste présente dans nos petites phrases, dans nos éclats de rire. Son « Salut ma grande » me trotte encore dans la tête – et ça m’a toujours fait marrer vu mon mètre -20.
J’étais peut être grande à ses yeux 👀 ?
Chanchan , t’avais des problèmes de vision , tes lunettes ne devaient plus être à ta vue 😉?

Et parlons bulles 🥂🍾 ! Parce que Chanchan, elle adorait ça, les bulles.
La Vir aussi, sa fille, a hérité de ce goût pétillant. Mais cet été, la Vir… elle a troqué les bulles pour le rosé. Beaucoup de rosé 🙄🙄🤣🤣🤫Mais bon, on dira que c’était « à la santé de Chanchan », donc validé.

Alors aujourd’hui, on pense à toi, Chanchan. On lève nos verres – bulles, rosé – peu importe, tant que c’est à ton nom. Et on rigole un peu, parce qu’on sait que tu aurais aimé ça.

Bisous ma Chanchan.
Ta Biscotte va bien , elle aboie toujours pour une mouche ou quand on lui dit « écoute »😉

Bisous en haut 💫💫💫à tous ceux qu’on aime et partis toujours trop tôt.😘😘😘😘

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Uzès
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