Valérie Armand psychologue et masso-thérapeute

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On ne peut pas changer son passé mais on peut changer l'histoire qui s'est imprégnée dans le corps
31/08/2025

On ne peut pas changer son passé mais on peut changer l'histoire qui s'est imprégnée dans le corps

Il y a des instants où tout s’arrête.Où le mental se tait, où le besoin de contrôler s’efface.Juste l’instant, pur, viva...
09/07/2025

Il y a des instants où tout s’arrête.
Où le mental se tait, où le besoin de contrôler s’efface.
Juste l’instant, pur, vivant.
Sans même chercher à méditer...
Juste en s'immergeant pleinement dans une activité qui nous fait du bien.
Pour certains, ça se passe dans l’eau, ça vaut bien une chanson! 🌊
Et vous, où touchez-vous à cette paix-là ? 🪷.


Titre : "Dans les bras vastes de l’onde-mère bleue"

(Couplet 1)
Je laisse glisser le temps entre mes orteils
Librement, sans veille ni réveil
Je saute dans l’instant, je plonge sans filet
Là où le contrôle s’efface en secret
Pas de plan, pas de ligne, pas de cage
Juste le plaisir qui me guide, sans âge
Et j’aime tant, me perdre sans détour
Dans ce courant vivant d’amour

(Refrain)
Je joue, je ris, je tourbillonne
Mon cœur s’ouvre, mon corps résonne
Je flotte, confiante, dans l’inconnu
Je sens, je vois ce que je n'ai jamais vu
Je laisse faire, je laisse être
Et c’est là que je récupère peut-être
Mon essence libre, sans armure
Souveraine dévoilée par l’aventure

(Couplet 2)
Je savoure et me laisse aller,
L’eau me soulève, douce à m’aimer.
La mer me murmure : "Tu n’as rien à faire"
Juste être là, te laisser être
Voir avec un autre regard
Explorer dedans, dehors, sans re**rd
Le temps s’étire avec tendresse
La joie s’invite sans promesse

(Refrain)
Je joue, je ris, je tourbillonne
Mon cœur s’ouvre, mon corps résonne
Je flotte, confiante, dans l’inconnu
Je sens, je vois ce que je n'ai jamais vu
Je laisse faire, je laisse être
Et c’est là que je récupère peut-être
Mon essence libre, sans armure
Souveraine dévoilée par l’aventure

(Couplet 3)
Mon corps qui bouge, mon âme en joie,
Dans l’instant, j’oublie les yeux sur moi.
Pas de GPS, pas de trajectoire,
Juste le frisson d’être sans devoir,
Tout est plus vaste, tout est plus vrai,
Quand je laisse le présent me traverser.
La vie me prend, me tend la main,
Avec moi enfin, je n’ai plus peur de demain

(Parlé)
Tant de simplicité...
Et pourtant, on oublie
Qu’il suffit parfois
De ne plus tenir les rênes
Pour que jaillisse la vraie vie

Valérie Armand

06/07/2025

Parfois, on aimerait être plus proche d'un autre — un ami, un amour, un frère, un parent, un collègue — mais quelque chose nous en empêche. Pour ne pas souffrir, on a appris à se protéger : par exemple en se fermant, en contrôlant, en s’oubliant… Des réflexes devenus automatiques, même quand ils ne nous servent plus. Et sans s’en apercevoir, on reste prisonniers de ces coquilles qu’on croyait nécessaires et qui s'entre-choquent quand on veut se rejoindre...
J'espère que mon texte résonnera pour toi 😊

Ma preuve

Ta protection appelle la mienne,
Comme deux coquillages qui se referment
Presqu' à la même seconde, sans s’être concertés.
Ton silence me frôle,
Et je crois qu’il me rejette.
Quand tu refoule ton émotion
Pour ne pas qu’elle déborde,
Je la sens, en écho,
Se figer en moi
Comme une mer qui se retire
Et laisse mes plages à sec.

Parfois,
Ce ne sont que des malentendus.
Je te souris —
Tu ne réponds pas.
Pas par distance,
Mais parce que tu étais ailleurs.
Je crois que tu refuses ma main.
Alors je recule.
Tu me trouves loin.
Tu crois que je ne viens pas.
Tu t’éloignes.
Et j’ai ma preuve.

Mais c’était juste un battement manqué,
Un regard décalé,
Une émotion non nommée.
Nous dressons chacun nos murs,
Cherchant à nous protéger,
Mais ne faisons que creuser
Le fossé de nos peurs partagées.

Si on pouvait juste voir la part de soi
Qui tremble encore dans nos grands corps
Qui veut aimer, mais a appris
Qu’il fallait fuir pour rester en vie
Et si on désarmait ensemble
Toi et moi, juste une seconde
Pour voir que sous la peur, le doute
Il y a l’amour, caché sans doute

Alors aujourd’hui,
Je vois le fil discret
Qui relie nos silences,
Les gestes ratés
Et les mots retenus.
Je tends l’oreille,
Et j’entends, sous le calme apparent,
Ton cœur qui cherche aussi.
Alors je pose mes armes,
Je regarde mes peurs,
Et je fais un pas.
Peut-être maladroit,
Mais vers toi.
Et si tu veux,
On pourra apprendre ensemble
À laisser entrouverts
Nos coquillages...

Valérie Armand

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05/07/2025

Peut-être que toi aussi, il t'arrive de sentir une colère monter en toi, comme si elle voulait tout contrôler?
D'autres fois une fatigue étrange, pesante, sans cause évidente… et derrière elle, peut-être, quelque chose de plus profond, une colère refoulée, combattue sans le savoir...

: "Colère, je t’entends" ( slam)

Colère,
Tu es là.
Tu me tiens.
Tu poses ton poids dans mes deux mains.
Tu souffles sous ma peau,
Tu cognes dans mon ventre,
Tu veux sortir,
Tu veux hurler.
Mais moi,
Moi je retiens.
Parce que j’ai peur que tu blesses.
Comme j’ai été blessée.
Et j’veux pas devenir… l’autre côté.
Alors tu tournes,
Tu t’enroules,
Et tu me manges de l’intérieur.
C’est moi que tu prends.
C’est moi que tu tords.
Mon corps se plie.
Mon ventre se fait refuge.
Comme un chat blessé,
Je me cache dans mes propres plis.
Tu cries,
Mais sans bruit.
Tu m’appelles,
Mais je te fuis.
Parce que j' t’aime pas quand tu débordes,
Parce que je sais pas te laisser faire sans tort.
Et pourtant…
Tu dis vrai.
Pas tout.
Juste une partie du présent.
Et beaucoup de rappel de l’enfance
Un cri jamais crié,
Un "non" jamais dit.
Si un jour,
Quelqu’un m’avait défendu.
Juste un.
Si un adulte avait dit : "Tu peux parler."
"Tu peux avoir mal."
"Tu peux être en colère."
Alors peut-être que tu serais pas là si forte,
En boule,
En feu,
À tout mélanger.

Mais aujourd’hui,
C’est moi qui te regarde.
C’est moi le juge,
Le témoin,
Le gardien de la cage et de la clé.
Et je dis :
Tu as le droit d’exister.
Mais pas de tout casser.
Je veux pas frapper
Comme on m’a frappé.
Je veux pas punir
Ceux qui m’aiment, même s’ils savent pas bien aimer.
Je veux pas faire payer
Aujourd’hui
Pour ce qu’on m’a volé
Hier.

Alors je t’écoute.
Pas pour te suivre.
Mais pour te libérer.
Je te donne la parole,
Sans te donner le pouvoir.
Je te regarde en face,
Et je dis :
Tu es là,
Tu existes,
Mais tu ne diriges plus l’histoire.
Tu n’es pas un monstre.
Tu es une preuve.
La preuve que j’ai eu mal.
La preuve que j’étais seul.e
Mais maintenant,
Je suis là.
Je suis grand.
Et je peux t’entendre…
Sans me détruire.
Sans détruire.
Colère,
Tu es là.
Je t’entends.
Mais moi aussi,
J’ai le droit d’aller bien.

Et pour aller bien,
Faut que j’apprenne.
À dire.
À dire sans crier.
À dire sans trembler.
À dire : J’ai besoin.
Pas pour mendier,
Pas pour forcer,
Mais pour exister.
J’ai besoin qu’on m’écoute.
J’ai besoin d’espace.
J’ai besoin de ne plus me taire
Quand mon cœur se serre.
C’est pas un caprice.
C’est pas une vengeance.
C’est juste ma vie
Qui est prête à oser.

Alors j’apprends,
Tranquillement,
À faire la paix avec mes silences.
À mettre des mots
Là où avant
Je retenais mes poings.
Pour réparer,
Sans oublier.
Et dire enfin ce que j'ai à dire
Parce qu'il n'y a plus de danger aujourd'hui

Valérie Armand

20/03/2025

Adresse

Chemin Des Mauruches Superieures
Vallauris
06220

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