Avant tout c'est important de dire que l'hypnose n'est pas un état mais un processus. L'expression de conscience modifié est un non-sens puisque par définition un état est toujours modifié. Sait-on ce qu'est la conscience ? Doit-on parler des éléments qui sont dans le faisceau de l'attention ? Une chose est sûre, l'hypnose, aujourd'hui, fait partie de toute la panoplie d'offre de soins. Elle est utilisée par un peu plus de 40% des centres antidouleur, par de nombreux anesthésistes qui l'emploient avec satisfaction et par, de plus en plus, des médecins toutes spécialités confondues. La façon de parler, de regarder dans les yeux, de rentrer en rapport avec la personne, permet une empathie profonde où la thérapie par l'hypnose agit. Il y a deux phases distinctes dans l'hypnose :
- L'Induction - qui consiste en une fixité de l'attention et la concentration de la pensée ;
- La Suggestion - qui désigne, en première lieu, l'influence d'une idée sur le comportement, la pensée, la perception, le jugement ou la mémoire. C'est cet acte ou pensée, tantôt involontaire, tantôt inconscient qui est appelé suggestion. La suggestion hypnotique est destinée à prendre appui sur les ressources de la personne et ses besoins spécifiques pour lui permettre d'avancer vers le changement qu'il désire. La tension et le mal être dans lesquels se trouve la personne et un refus. Elle disparaît lorsque la personne prend la responsabilité de son existence sans en rien rejeter, surtout les éléments qui lui semblent insupportables. C'est l'état d'abandon que propose l'hypnose qui permet une réintégration de son existence. La personne se lâche alors dans sa vie, comme "un trapéziste lâcherait le trapèze".
- L'inconscient comme réservoir de ressources :
l'inconscient renferme les ressources utiles à la guérison, que l'hypnose sen chargera d'activer ou de réactualiser.
- Le thérapeute comme catalyseur :
un des grands principes d'une séance d'hypnose consiste à inviter la personne à lâcher le contrôle et toute exigence de performance. Services à destination des entreprises. Le coaching en entreprise apparaît en France dans les années 90, mais seulement au début de 2000 que le concept de coaching surgit comme un levier de développement. L'expansion du coaching est liée à un contexte socio-économique de plus en plus complexe et international, à l'organisation matricielle des entreprises et à la nécessité de travailler plus vite et selon des modèles de "souplesse" et adaptation évolutives. Ce que implique aux salariés d'avoir un panel élargi de compétences et à adopter des comportements en conséquence. Selon une étude réalisée par Syntec Conseil, seulement 6% des entreprises (françaises) utilisent couramment le coaching, comparé à la Grande Bretagne où 30 à 40% des budgets formation des entreprises sont, aujourd'hui, consacré au coaching. Résultat par le coaching ? Nous pouvons résumer le coaching professionnelle comme un processus de réflexion permettant d'optimiser sa performance individuelle au service de la performance collective. Grâce au travail croisé du coach, les solutions deviennent plus apparentes et ont laisse apparaître des opportunités jusqu'à présent inenvisageables. Une approche orientée solutions et objectifs est mise en place. Coaching en entreprise : Effet de mode ? En réalité c'est une démarche ancienne, éprouvée et sérieuse, qui a prouvé son efficacité notamment dans sa capacité à établir des critères mesurables de performances. Ainsi tous les grands patrons d'entreprise, comme les PDG de Google, recommande fortement de se faire accompagner dans ses problématiques professionnelles par un coach en entreprise. Reconnaissance humaine avant le coaching :
avant tout, toute entreprise examine le rapport qu'elle a avec ses salariés avant de faire appel à un coach. A moyen, long, voir à court terme, c'est avec les bons salariés que l'on garde les bons clients. Malheureusement, dans nos jours, on privilégie les clients avant les salariés. De ce fait il est logique que des sentiments tels que la frustration ou non reconnaissance s'installent chez les salariés. La communication entre l'entreprise et ses employés est vitale d'autant plus que nécessaire. Le rôle du coach est d'instaurer un désir sincère, honnête et surtout humain. Comme disait Spinoza : "le désir est l'essence de l'homme, en clair le désir est le moteur". A partir de là, mon rôle, avec l'implication entière de l'entreprise, feront croire non seulement à votre potentiel mais surtout à une complicité entre les cadres de l'entreprise et les salariés. Voici ma définition d'une entreprise :
gagnant - gagnant ! Ma vision des choses :
Une personne en fauteuil roulant est-elle condamné à être malheureuse ? Une personne pauvre matériellement est-elle forcement dépressive ? Ce n'est pas une situation qui nous rend triste mais la vision et la déformation de la réalité qui permettent cet état. Le contexte n'est pas toujours modifiable. Seule la perception que l'on a peut être changée. L'expérience de la transe hypnotique consiste à modifier cette perception. Une alliance :
l'alliance qui se tisse dans la relation thérapeutique dépend essentiellement de la qualité d'attention respectueuse qu'offre le thérapeute à la personne qu'il accompagne. Le thérapeute ne juge pas. Le thérapeute respecte les croyances éthiques et morales de chaque personne. Le thérapeute suit le code déontologique propre à son activité. Le thérapeute cherche à s'accorder à la personne qu'il accompagne tels deux instruments de musique destinés à jouer au rythme de la même mélodie. Bien à vous.