Patricia martin

Patricia martin le cabinet est situé au 32 rue de la poste, 44690 MONNIÈRES

Guérisseuse, Enseignante pour un mieux-être: CNV, gestion des émotions, enfant intérieur, méditations, techniques énergétiques et spirituelles, thérapie vibratoire (Action sur la géométrie sacrée, fondatrice de tout corps humain)

20/11/2025

Il existe un véritable fléau dans le monde de la spiritualité et du développement personnel. C'est celui qui consiste à encourager les victimes à théoriser leurs traumatismes plutôt qu’à les ressentir.

C’est ainsi que des milliers de personnes s’entendent dire, après avoir vécu un traumatisme grave où quelqu’un a cherché à les détruire, que cette épreuve était là pour les faire grandir.

Or, lorsque quelqu’un a cherché volontairement à nous détruire, s’entendre dire « c’est une “leçon”, ou « c’est une opportunité de croissance”, ou « c’est un cadeau déguisé”, est une nouvelle violence.

C’est un discours qui, trop souvent, sert à minimiser l’abus et à éviter de regarder la réalité en face.

Et cette réaction n’est ni saine, ni juste. Lorsque quelqu’un sort d’un tel cauchemar, la première chose à faire est de l’écouter et de reconnaître sa souffrance.

À ce moment-là, il n’est absolument pas opportun de lui faire remarquer que tout ceci est là pour la faire grandir. La seule chose à dire est : « Oui, cette personne a cherché à te détruire, elle t’a fait souffrir et elle n’en avait absolument pas le droit ».

Rappelons ici qu’il existe véritablement des individus qui jouissent de détruire volontairement et consciemment l’autre. Bien souvent, ce qu’ils cherchent à détruire, c’est l’innocence et la pureté qui résident en l’autre, et qu’ils n’auront jamais.

Face à de tels abus, encourager la victime à reconnaître sa colère est salutaire. La colère est une façon de reprendre notre pouvoir et de protéger le sensible et le vulnérable qui vit en nous.

On ne guérit pas en sautant directement à la sagesse, la gratitude ou la spiritualité lumineuse. On guérit en passant par la colère, et en reconnaissant que ce que nous avons vécu était profondément injuste.

Grâce à la colère, nous pouvons même poser les actions nécessaires. Une colère forte peut entraîner des actions vitales pour nous.

On ne tire pas de leçons pendant qu’on saigne et spiritualiser immédiatement un traumatisme est un déni de la réalité.

Dans un véritable chemin de guérison, on ne cache pas ses émotions sous un tapis. On les écoute, on en prend acte, on se positionne, on s’affirme.

La paix viendra plus t**d car elle n’est pas un bouton que l’on peut enclencher immédiatement, contrairement à ce que certains voudraient nous faire croire ; Elle est un processus.

Diana Becker

13/11/2025

Chez Jung, l’anxiété est un phénomène essentiel de transformation psychique, pas seulement un trouble. Elle est la tension entre des forces opposées dans la psyché — entre le conscient et l’inconscient, entre ce que le Moi veut maintenir et ce que le Soi cherche à faire advenir.

C’est donc une souffrance de croissance.

🌗 1. L’anxiété comme tension des opposés

Pour Jung, la psyché est un système vivant qui cherche naturellement l’équilibre (l’individuation).
Mais cet équilibre ne se fait pas dans la paix : il se fait dans la tension.
Quand deux forces contraires (par exemple : désir d’autonomie vs besoin de lien, spiritualité vs instinct, ombre vs persona) se rencontrent, le Moi est mis sous pression.

👉 Cette tension énergétique crée l’anxiété.
Elle signale qu’une énergie psychique est bloquée entre deux pôles qui ne dialoguent pas encore.
Et tant que le Moi refuse d’intégrer l’un de ces pôles (souvent celui qu’il rejette ou qu’il craint), la tension se maintient.

🜂 2. Un signe d’évolution du Soi

Là où Freud voyait un conflit pulsionnel à apaiser, Jung y voit un appel du Soi — c’est-à-dire du centre régulateur et organisateur de la psyché.
Le Soi pousse à la transformation, à l’unification des contraires.
Mais le Moi résiste, car il redoute la perte de contrôle, la déstabilisation, voire la “mort psychique”.

Ainsi, l’anxiété est le signe que quelque chose en nous veut naître — mais que le Moi n’est pas encore prêt à céder la place.
Elle est l’entre-deux, le moment alchimique de la nigredo, où les anciennes structures se dissolvent avant la renaissance.

🜃 3. L’anxiété et l’Ombre

Très souvent, l’anxiété surgit quand l’Ombre commence à remonter à la surface.
L’Ombre, c’est tout ce que le Moi a rejeté : les instincts, les désirs, la colère, la vulnérabilité, la puissance…
Lorsque ces contenus cherchent à se manifester, le Moi envoie une alarme : danger !
Mais cette alarme, c’est précisément l’anxiété.

Jung dirait peut être :

“L’anxiété est le frisson qui précède la rencontre avec soi-même.”

Le travail thérapeutique jungien ne cherche donc pas à la faire taire, mais à l’écouter comme le langage de l’inconscient, une invitation à accueillir ce qui a été exclu.

🌬️ 4. La dimension symbolique

Pour Jung, l’inconscient parle en images, symboles, rêves, archétypes.
L’anxiété est une énergie sans image — c’est-à-dire une charge affective encore non représentée.
Quand on parvient à relier cette charge à une image (un rêve, une figure intérieure, un mythe), alors la tension se symbolise, et la peur se transforme en sens.

Autrement dit :

“Ce qui ne devient pas conscient revient sous forme de destin… ou d’anxiété.”

Le processus d’individuation consiste justement à donner une forme à ce qui effraie, à trouver l’image guérisseuse, le symbole qui relie.

🔥 5. Alchimiquement : l’anxiété comme Feu de transmutation

Dans le langage alchimique que Jung affectionnait, l’anxiété est une calcination intérieure.
Elle brûle les formes anciennes, dissout les fausses identités, purifie les métaux lourds de l’âme.
Elle prépare l’or psychique.

Dans ce sens, on peut dire :

L’anxiété, c’est le feu du dragon avant qu’il ne devienne gardien du trésor.
Si on la fuit, elle reste destructrice.
Si on la traverse, elle révèle la lumière du Soi.

Vivienne Vandenborne
13/11/25

Page Soinsdeletre

07/11/2025

« BONJOUR, JE SUIS TON SYMPTÔME »
Bonjour, j'ai beaucoup de noms : douleur au genou, bouton, mal d'estomac, rhumatisme, asthme, mucosités, grippe, mal de dos, sciatique, cancer, dépression, migraine, toux, grippe, mal de gorge, insuffisance rénale, diabète, hémorroïdes, et la liste est encore longue. Je me suis porté volontaire pour le pire travail possible : celui de porteur de nouvelles désagréables pour toi.

Tu ne me comprends pas, personne ne me comprend. Tu penses que je veux t'embêter, gâcher tes projets de vie ; tout le monde pense que je veux leur nuire, leur faire du mal ou les limiter. Et non, ce serait une absurdité complète. Moi, le symptôme, j'essaie simplement de te parler dans un langage que tu puisses comprendre. Que tu saisisses.

Dis-moi, irais-tu négocier avec des délinquants, frappant à leur porte avec une fleur à la main et un T-shirt portant le symbole de la « paix » imprimé dans le dos ? Non, n'est-ce pas ?

Alors, pourquoi ne comprends-tu pas que moi, le symptôme, je ne peux pas être « subtil » et « tout doux » lorsque je dois te transmettre le message ? Tu me frappes, tu me détestes, tu te plains de moi à tout le monde, de ma présence dans ton corps, mais tu ne prends pas une seconde pour raisonner et essayer de comprendre la raison de ma présence dans ton corps.

Je ne t'entends que me dire : « Tais-toi », « va-t'en », « je te hais », « maudite soit l'heure où tu es apparu », et mille phrases qui me rendent impuissant à te faire comprendre. Mais je dois rester ferme et constant, car je dois te faire comprendre le message.

Que fais-tu ? Tu m'envoies dormir avec des médicaments. Tu me fais taire avec des tranquillisants, tu me supplies de disparaître avec des anti-inflammatoires, tu veux m'effacer avec des chimiothérapies. Tu essaies, jour après jour, de me couvrir, de me sceller, de me faire taire. Et je suis surpris de voir que parfois, tu préfères même consulter des sorcières et des devins pour que je quitte ton corps de manière « magique ».

Et moi, dont la seule intention est de te donner un message, je suis totalement ignoré.

Imagine que je suis cette alarme avec sirène sur le Titanic, celle qui essaie de mille façons de te dire qu'en face se trouve un iceberg avec lequel tu vas t'écraser et couler. Je sonne et je sonne pendant des heures, des jours, des semaines, des mois, des années, essayant de te sauver la vie, et tu te plains parce que je ne te laisse pas dormir, parce que je ne te laisse pas marcher, parce que je ne te laisse pas travailler, mais tu refuses toujours de m'écouter...

Est-ce que tu commences à comprendre ?

Pour toi, moi, le symptôme, je suis « La Maladie ». Quelle chose absurde. Ne confonds pas les choses.

Tu vas chez le médecin, et tu paies pour des douzaines de consultations médicales. Tu dépenses de l'argent que tu n'as pas en médicaments après médicaments. Et tout cela juste pour me faire taire. Je ne suis pas la maladie, je suis le symptôme. Pourquoi me fais-tu taire, alors que je suis la seule alarme qui essaie de te sauver ? La maladie, « c'est toi », « c'est ton style de vie », « ce sont tes émotions contenues », ça, c'est la maladie. Et aucun médecin ici sur la planète Terre ne sait comment combattre les maladies. La seule chose qu'ils font, c'est me combattre, combattre le symptôme. Me faire taire, me réduire au silence, me faire disparaître. Me mettre un maquillage invisible pour que tu ne me voies pas.

Et oui, ce n'est pas grave si, en lisant ceci, tu te sens un peu agacé. Cela doit être quelque chose comme un « coup dur pour ton intelligence ». Ce n'est pas grave si pour l'instant tu te sens un peu contrarié ou frustré. Mais je peux très bien gérer tes processus et je les comprends. En fait, cela fait partie de mon travail, ne t'inquiète pas. La bonne nouvelle est que ne plus avoir besoin de moi dépend de toi. Cela dépend totalement de toi d'analyser ce que j'essaie de te dire, ce que j'essaie de prévenir.

Lorsque moi, « le symptôme », j'apparais dans ta vie, ce n'est pas pour te saluer, non. C'est pour te signaler qu'une émotion que tu as contenue dans ton corps doit être analysée et résolue pour ne pas te rendre malade. Tu devrais te donner l'occasion de te demander : « pourquoi ce symptôme est-il apparu dans ma vie ? », « que veut-il me dire ? ». « Pourquoi ce symptôme apparaît-il maintenant ? », « Que dois-je changer en moi pour ne plus avoir besoin de ce symptôme ? ».

Si tu laisses ce travail d'investigation uniquement à ton mental, la réponse ne t'emmènera pas plus loin que ce que tu as fait les années passées. Tu dois aussi consulter ton inconscient, ton cœur, tes émotions.

S'il te plaît, quand j'apparais dans ton corps, avant de courir chez le médecin pour qu'il m'endorme, analyse ce que j'essaie de te dire. Vraiment, pour une fois dans la vie, j'aimerais être reconnu pour mon travail, pour mon excellent travail. Et plus vite tu prendras conscience de la raison de mon apparition dans ton corps, plus vite je m'en irai.

Peu à peu, tu découvriras que plus tu es un bon chercheur, moins souvent je viendrai te rendre visite. Et je t'assure qu'un jour viendra où tu ne me verras ni ne me sentiras plus jamais. Au moment où tu atteindras cet équilibre et cette perfection en tant qu'« analyseur » de ta vie, de tes émotions, de tes réactions, de ta cohérence, je te garantis que tu ne consulteras plus jamais un médecin ni n'achèteras de médicaments.

S'il te plaît, laisse-moi sans travail. Ou penses-tu vraiment que j'apprécie ce que je fais ?

Je t'invite à réfléchir, chaque fois que tu me vois apparaître, à la raison de ma visite. Je t'invite à arrêter de t'en vanter auprès de tes amis et de ta famille, comme si j'étais un trophée. Je suis fatigué que tu dises : « Ah, eh bien, j'en suis toujours à mon diabète, tu vois, je suis diabétique. » « Ah, eh bien, je ne supporte plus la douleur dans mes genoux, je ne peux plus marcher. » « Toujours moi avec mes migraines. »

Tu te vantes de moi comme si j'étais un trésor dont tu n'as pas l'intention de te séparer. Mon travail est honteux. Et tu devrais avoir honte de t'en vanter devant les autres. Chaque fois que tu te vantes de moi, tu dis réellement : « Regardez comme je suis faible, je ne suis pas capable d'analyser ni de comprendre mon propre corps et mes propres émotions, je ne vis pas en cohérence, regardez-moi, regardez-moi ! »

S'il te plaît, prends conscience, réfléchis et agis. Plus vite tu le feras, plus vite je quitterai ta vie !

Sincèrement... Ton Symptôme

07/11/2025

On nous dit souvent d’être « aligné ».
Mais qu’est-ce que cela veut vraiment dire ?

Ce n’est pas simplement suivre une méthode, réciter des affirmations ou cocher les cases d’un développement personnel bien ordonné. L’alignement, ce n’est pas une posture à adopter, c’est un retour vers ce qui est vrai, vivant, profondément sincère en soi.

Être aligné, c’est quand ce que tu ressens, ce que tu penses et ce que tu fais regardent dans la même direction.
C’est quand tes actions ne trahissent plus ta vérité intérieure, quand tu ne te forces plus à jouer un rôle pour être aimé, reconnu, validé.
C’est cette sensation subtile d’être à ta place, même si tout n’est pas parfait, même si le chemin reste flou.

Parfois, être aligné, c’est dire non quand tout le monde attend un oui.
C’est ralentir quand la société te pousse à courir.
C’est choisir la paix plutôt que la performance, la sincérité plutôt que l’apparence.

L’alignement n’est pas un état figé, c’est un mouvement constant , une danse entre ton cœur, ton esprit et ton corps. Parfois tu t’en écartes, parfois tu t’en rapproches, et c’est normal. Ce qui compte, c’est de rester à l’écoute, de sentir quand quelque chose en toi dit : “Là, ce n’est plus juste.”

Être aligné, c’est oser vivre à partir de ton centre, pas de tes peurs.
C’est faire de ta vie un espace où ta vérité a le droit d’exister pleinement.

Charlotte Cellier

07/11/2025

Il est temps d'arrêter de dire que nous attirons à nous certaines personnes malfaisantes parce que,

C'est le karma,
C'est la loi d'attraction,
C'est la loi de la Vibration,
C'est la résultante des contrats d'âmes ou des vies antérieures,
C'est la loi de ce que nous devons payer
Entre autres...

Si des Êtres sont nés pour apporter la Lumière et la manifester, d'autres sont nés pour empêcher cela.
C'est un fait avéré.

S'il existe des porteurs de Lumière, il existe des porteurs du Sombre nés pour servir ça.

Il est temps d'arrêter de s'enfermer dans ces schémas de répétitions qui au fond finissent par maintenir un système qui tourne en rond mais tourne.

L'Éveil ce n'est pas de trouver tout le monde beau et gentil dans un monde à la couleur rose, ou en variante de rose.

C'est surtout de faire un pas en dehors de la boucle et de voir la réalité crue.

Ça c'est douloureux.

C'est aussi admettre d'avoir été à côté de la plaque longtemps.

Le Re-Éveil est douloureux et solitaire.

L'enjeu actuel va bien au delà de ce que nous nous imaginons.

Tous les paradigmes institués pour maintenir ces illusions sont en train de sauter maintenant sans possibilité de marche arrière.

Soit nous y allons et soit... nous y allons d'une manière ou d'une autre.

Cela génère de la résistance de toutes parts.

Cela secoue sans exception.

Chacun récoltera son dû à la hauteur de qui il a servi.

Sonia Tekoma Sonatalya

03/11/2025

UNE VIEILLE SORCIÈRE DIT :

Parfois, dans la vie, tu seras détesté sans aucune raison valable.
Certains te jugeront sans te connaître, te critiqueront en silence, ou murmureront ton nom derrière ton dos.

Mais ce n’est pas toujours de la haine … souvent, c’est simplement de l’envie.
Parce que ton éclat leur renvoie ce qu’ils n’osent pas devenir.
Parce que ton authenticité réveille en eux ce qu’ils ont étouffé depuis trop longtemps.

Souviens-toi : lorsque l’on te déteste sans raison, ce n’est pas toi le problème.
Ce sont leurs ombres qui crient face à ta lumière.
Alors, ne te cache jamais.
Continue à briller, à marcher fièrement, à être toi …. sans t’excuser.

Muriel Pugliese
secrets de magie et de sorcellerie
Tous droits réservés ©️

03/11/2025

Pardonne-toi d’avoir eu besoin de temps pour apaiser ce qui t’a blessé. Le cœur ne guérit pas à la demande, il apprend à respirer à nouveau, morceau par morceau. Tu n’étais pas faible, tu étais en train de comprendre.

Certains jours, tu croyais avoir tourné la page, et la douleur revenait, plus discrète mais toujours là. Ce n’était pas un retour en arrière, c’était une couche plus profonde qui se libérait. Le pardon n’est pas un geste, c’est un chemin.

Et ce chemin, tu l’as pris, même sans le savoir, chaque fois que tu as choisi de ne pas refermer ton cœur.

Tu as eu besoin de temps, et c’est juste. Parce que le vrai apaisement ne se force pas, il se révèle quand le poids devient trop lourd à porter. Tu n’as rien fait de mal. Tu t’es donné la chance de guérir à ton rythme, de comprendre avant de lâcher, d’aimer avant d’oublier.

Aujourd’hui encore, laisse-toi ce droit, le droit d’être humain, d’être lent, d’être sincère. Le droit de ne pas tout régler d’un coup. Car le jour où tu cesseras de vouloir effacer la douleur, elle deviendra lumière.
Acquario Waterman

02/11/2025

On parle beaucoup de spiritualité.
Mais peu savent ce que c’est vraiment.
Ce n’est pas quelque chose de doux.
Ce n’est pas quelque chose de joli.
Et ce n’est surtout pas instagrammable.

La spiritualité… ce n’est pas un refuge.
C’est un feu.
Un feu qui consume tout ce que tu croyais être.
Qui brûle les faux-semblants, les jolis discours et les identités dorées qu’on t’a appris à endosser.

Ce n’est pas une évasion vers la lumière.
C’est une descente dans le ventre du monde,
dans les replis de ton humanité,
là où tu ne peux plus tricher.

Tu crois que tu t’éveilles…
Mais l’éveil, ce n’est pas flotter au-dessus de la vie.
C’est sentir plus fort, pleurer plus souvent, ressentir la beauté jusqu’à la douleur.

C’est t’agenouiller devant la vie telle qu’elle est — injuste, bouleversante, paradoxale —
et choisir quand même d’aimer.

La vraie spiritualité n’est pas un masque de sérénité.
Elle est la traversée nue de ton chaos intérieur.
Elle te demande de tout regarder :
ta jalousie, ta peur, ta colère, tes blessures non refermées.
Non pour t’en libérer à tout prix,
mais pour les reconnaître comme des maîtres.

Elle t’invite à ne plus fuir dans la positivité,
à cesser de travestir ton ombre sous prétexte de lumière.
Car la lumière n’est pas au-dessus — elle est au centre.
Dans l’œil du cyclone.
Dans le lieu exact où tu ne voulais pas aller.

La spiritualité n’a rien d’une mise en scène.
Elle ne t’offre ni gloire ni couronne,
mais le dépouillement le plus pur.

Elle te prend tes certitudes,
tes appartenances,
tes illusions de contrôle.
Elle te dépouille jusqu’à ce que tu ne sois plus rien — et c’est là, seulement là, qu’elle te rend à ta véritable grandeur :
celle du souffle qui sait qu’il est uni au Tout.

Ne confonds pas le commercial avec le sacré.
Le sacré ne cherche pas à séduire.
Il exige.
Il demande un cœur nu, un esprit lucide, une intégrité sans fard.
Il ne te dit pas “tout est amour” — il te demande :
“Aimes-tu encore lorsque tout s’effondre ?”

Le sacré, c’est ce moment où tu n’as plus de réponses, où tu ne sais plus prier, et où pourtant tu tends encore la main vers le ciel.
C’est là que commence la vraie foi :
dans la perte, pas dans le confort.

La spiritualité n’est pas une collection de rituels.
Elle est le souffle que tu mets dans chacun d’eux.
Ce n’est pas le cristal, mais l’intention.
Pas la sauge, mais la présence.
Pas la forme, mais la vibration.

Et surtout —
ce n’est pas un titre, ni une posture, ni un rôle social.
C’est un rappel à l’essentiel.
Une prière qui vit dans la chair, dans tes regards, tes gestes, tes silences.

La spiritualité véritable t’apprend à ne plus te raconter d’histoires.
À cesser de “chercher à être lumineux”
et simplement à être vrai.
Elle te ramène à ta nature cyclique, à ta dualité, à ta poussière, à la sagesse immémoriale du Vivant qui se connaît à travers toi.

Et quand l’ego tente de reprendre la main,
quand il veut encore paraître sage, éveillé, supérieur,alors le souffle du sacré murmure :
“Tais-toi. Aime. Respire. Écoute.”

Car la spiritualité n’a jamais été une ascension.
C’est une descente.
Une descente dans la chair, dans le cœur, dans le monde.
C’est l’art de rester relié à la Source
au milieu du tumulte et de la poussière.

C’est le courage de rester ouvert dans la tempête.
De tendre la main à l’autre quand il tremble.
De parler vrai quand c’est plus simple de se taire.
Et de prier sans témoin,
juste parce que ton âme le réclame.

🌹 Parole de prêtresse du vrai :
" La spiritualité n’est pas devenir lumière,
c’est cesser de fuir le noir.
C’est marcher pieds nus dans la boue du monde, le cœur grand ouvert, jusqu’à ce que la vie elle-même reconnaisse ton feu.
Aujourd’hui ne cherche pas à t’élever.
Descends.
Descends jusqu’à la racine de ton être.
C’est là, dans la profondeur, que la lumière t’attend — celle que personne ne t’a jamais enseignée,mais que ton âme n’a jamais oubliée. Celle qui fusionnera avec ton ombre pour te faire renaître sous une aurore plus vaste. "

Corinne De Leenheer

31/10/2025

Je suis celle qui est différente.
Je suis celle qui est dérangeante.

Je suis celle qui ne s’excuse pas d’exister.
Je suis celle qui refuse de plier.

Je suis celle qu’on ne possède pas.
Je suis celle qu’on ne dompte pas.

Je suis celle qui avance, même seule, même blessée.
Je suis celle qui se relève quand on la croit brisée.

Je suis celle capable de tout brûler pour se réinventer.
Je suis celle qui refuse de se conformer.

Je suis celle qui tourne des pages.
Je suis celle qui n’est pas toujours sage.

Je suis celle qui sait qu’elle mérite l’amour et le respect.
Je suis celle qui griffe le mensonge et caresse la vérité.

Je suis celle qui n’a pas peur de la solitude.
Je suis celle qui avance avec la foi comme seule certitude.

Je suis celle qui s’est forgée dans le silence et la souffrance.
Je suis celle qui se moque des normes et des apparences.

Je suis celle qui célèbre la liberté et l’indépendance,
Je suis celle capable de toutes les renaissances,
Je suis celle dont on ne peut tuer l’essence.

Diana Becker

Texte que vous pouvez conjuguer au masculin

31/10/2025

Les femmes qu’on appelait sorcières n’avaient en fait aucun pouvoir magique. Elles voyaient simplement mieux les choses.
Elles les voyaient pour ce qu’elles étaient - parce qu’elles étaient nées avec la capacité, ou le don (ou, peut-être, la malédiction) de ne pas avoir de filtres sur les yeux ni sur l’esprit : Aucun de ces filtres que nous portons souvent sans nous en rendre compte, qui nous disent comment nous devons voir les choses pour être acceptés, pour paraître justes, pour apparaître ce que nous devrions être - pour nous convaincre que nous sommes vraiment ce que nous voulons faire apparaître.
Elles n’en avaient pas - parce que la conséquence, ou la cause, de leur don ou malédiction était aussi celle-ci :
Ne pas avoir peur de la solitude, ne pas avoir besoin de remplir le silence de bavardages vides, vouloir quelque chose de différent d’un rôle à jouer sur la scène avec tous.
C’est pour ça qu’elles étaient isolées.
Et pour cela elles faisaient peur - comme est effrayant celui qui dit la vérité :
Et souvent on préfère l’accuser et l’anéantir pour ne pas l’entendre, pour ne pas vouloir la voir.
C’est pourquoi les sorcières existent encore aujourd’hui - et il y a des gens qui veulent les brûler.
Nous sommes des sorcières quand nous nous posons des questions, quand nous voulons comprendre.
Quand nous nous rebellons contre une règle, quand nous raisonnons avec notre tête.
Quand nous n’avons pas peur d’explorer nos ombres, admettre nos défauts, avouer ce que nous voulons.
Nous sommes des sorcières - et même si vous voulez continuer à nous brûler... nous sommes toujours ici.

Catherine BLACK

Page : Juste une Messagère
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30/10/2025

LE PARDON

C'est guérir les blessures de mon coeur,
Ce coeur qui a été blessé tant de fois.

Le pardon m'appartient.
Je n'ai pas besoin que celui qui m'a blessé fasse quoique ce soit.
Je peux arriver moi-même à cette libération.

Je pardonne pour mon bien.
Car, je réalise que les rancunes et les blâmes m'emprisonnement et m'empêchent d'être libre, de m'aimer et d'aimer le monde qui m'entoure.

Je prends la responsabilité de la guérison, quelques soient les choses que j'ai vécues.
Je peux guérir et apprendre à ouvrir mon cœur à nouveau.
À faire confiance, confiance aux messages que m'envoient mon cœur.
Confiance aux messages que m'envoie ma tête.
Confiance aux messages que m'envoie mon corps.

Je mérite d'être en paix, de m'accepter, de me respecter, de m'honorer et de m'aimer.
C'est mon droit de naissance.

Le pardon n'est pas de cautionner les actes ou les propos des autres.
Le pardon n'est pas nécessairement de se réconcilier avec l'autre.
Le pardon n'est pas d'oublier ce qui s'est passé mais conserver les enseignements bénéfiques qui m'ont aidé à devenir plus fort, plus intègre, plus résilient, plus HUMAIN.

C'est une décision intime qui m'appartient,
Car je ne veux plus vivre avec ces poisons qui m'accompagnent depuis si longtemps.

Pardonner n'est pas un cadeau que je fais à l'autre.
C'est un cadeau que je m'offre à moi-même,
Car je suis la première personne que j'ai besoin d'aimer sur cette Terre, afin de pouvoir partager cet amour avec d'autres.

Pardonner, c'est renoncer à son rôle de victime,
Car, tant que je me considère comme victime, je donne le pouvoir de ma guérison à celui qui m'a blessé.

J'apprends à pardonner.
Je le mérite.
J'y ai droit.
J'apprends à m'aimer.
Je le mérite.
J'y ai droit.

Roger Baumann
Via Mabulle Fanfan ♥️

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32 Rue De La Poste
Vallet
44330

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Lundi 09:00 - 18:00
Mardi 09:00 - 18:00
Mercredi 09:00 - 12:00
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Vendredi 09:00 - 18:00

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