29/07/2022
PSOAS : LE MUSCLE DE L'ÂME
L'importance du psoas pour notre santé, notre vitalité et notre bien-être émotionnel.
Le psoas est le muscle le plus profond et le plus stabilisateur du corps humain, qui affecte notre équilibre structurel, l'amplitude de mouvement, la mobilité articulaire et le fonctionnement des organes de l'abdomen.
C'est le seul muscle qui relie la colonne vertébrale aux jambes, celui qui nous tient debout et celui qui nous permet de lever les jambes pour marcher.
Un psoas sain stabilise la colonne vertébrale et apporte un soutien à travers le tronc, formant également une bonne étagère pour les organes abdominaux.
Certaines études récentes considèrent en outre le psoas comme un organe de perception composé de tissus bio-intelligent qui incarne littéralement notre désir le plus profond de survie et de s'épanouir.
C'est-à-dire qu'il est le messager principal du système nerveux central, donc il est également considéré comme un porte-parole des émotions.
C'est parce que le psoas est relié au diaphragme via le tissu conjonctif ou fascia, il est donc affecté à la fois dans la respiration et la peur reflet.
Un mode de vie accéléré et le stress génèrent de l'adrénaline qui tend chroniquement le psoas, le préparant à courir, passer en action ou rétrécir pour nous protéger.
Si nous maintenons constamment le psoas sous tension à cause du stress, il commence à se raccourcir et à s'endurcir. Cela rendra notre posture et les fonctions des organes qui habitent l'abdomen difficiles, entraînant des douleurs de dos, des sciatiques, des problèmes de disque, une dégénérescence de la hanche, des règles douloureuses ou des problèmes digestifs.
Par ailleurs, un psoas tendu envoie des signaux de tension au système nerveux, interfère avec le mouvement des fluides et affecte la respiration diaphragmatique. En effet, le psoas est si intimement impliqué dans les réactions physiques et émotionnelles de base, que lorsqu'il est chroniquement contraint, il envoie au corps des signaux de danger continus, donc peut avoir un impact sur l'épuisement des glandes surrénales et du système immunitaire.
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