Manger librement

Manger librement 💜 Spécialiste du comportement alimentaire
🫵 Change ton rapport à l'alimentation & à ton corps
👋Bye-bye les troubles alimentaires
accompagnement en ligne ⬇️

Une nouvelle approche de l'alimentation qui vous permettra de retrouver le plaisir de manger sans culpabilité!

15/11/2025

Je le précise avant tout :

👉 Ce message s’adresse uniquement à celles et ceux qui mangent souvent au-delà de leur faim.

Si tu manges déjà peu, inutile de réduire encore,

tu as peut-être même besoin de manger plus.

Mais si tu ressens régulièrement :

un inconfort après le repas (sur une échelle de 0 à 10, au-dessus de 6, c’est souvent trop),

une sensation de lourdeur ou de fatigue après avoir mangé,

ou une prise de poids progressive sans grignotage particulier,alors ces astuces pourraient bien t’aider

Voici 3 astuces pour manger moins, sans te priver 👇

1. Ralentis vraiment le rythme

Manger vite t’amène forcément à manger plus.

Le cerveau met environ 20 minutes à percevoir la satiété.

Résultat : si tu manges trop vite, tu dépasses ton besoin avant même de t’en rendre compte.

En ralentissant, tu laisses à ton corps le temps d’envoyer le signal “c’est bon, j’ai eu assez” et tu ressens plus de satisfaction avec moins.

2. Utilise une assiette de taille moyenne

Pas une assiette à dessert, mais pas non plus un grand plat creux.

Une assiette avec rebord, comme à la cantine, suffit largement.

Mieux vaut te resservir si besoin,

plutôt que de te servir trop et de te sentir obligé(e) de tout finir.

3. Apprends à reconnaître le vrai rassasiement

Beaucoup de personnes s’arrêtent de manger quand elles sont pleines,

mais le vrai rassasiement arrive bien avant.

C’est ce moment où tu ressens :

une légère tension abdominale,

la diminution des signaux de faim,

et une sensation de satisfaction, de plaisir comblé.

Tu n’es pas lourd(e), juste apaisé(e).

Et pour ressentir ce point d’équilibre, il faut apprendre à te reconnecter à tes sensations physiques pendant le repas :

la texture, le goût, le plaisir.

Donne toi toujours la possibilité dans ta tête de faire une collation plus t**d si tu vois que tu n’as pas assez mangé à table.

✨ Manger moins sans se priver,

ce n’est pas se restreindre,

c’est apprendre à s’arrêter au bon moment.

💬 Et toi, tu sais reconnaître le moment où ton corps te dit “c’est assez” ?

Dis-moi en commentaire si c’est quelque chose que tu ressens facilement ou non 💛

13/11/2025

Avant, je ne voyais pas à quel point le sucre prenait de la place dans ma vie.

Quand j’étais fatiguée, j’en avais envie.

Quand j’étais triste, j’en avais besoin.

Et même quand j’étais joyeuse, j’avais envie de “fêter ça” avec du sucre.

Tout me ramenait à lui.

C’était devenu un réflexe, presque automatique.

Je me disais souvent :

“Je ne comprends pas, je ne peux pas m’en passer.”

Sur le moment, ça me réconfortait.

Mais juste après, la culpabilité revenait.

Et plus je culpabilisais, plus j’avais envie de recommencer.

Un vrai cercle sans fin.

💬 C’était l’histoire d’une de mes patientes.

Jusqu’au jour où elle a compris que le sucre n’était pas le problème.

C’était une réponse.

Une façon pour elle de combler un manque, d’apaiser un trop-plein,

de se donner un peu de douceur quand rien d’autre ne le faisait.

Alors, on a commencé à explorer ce qu’il y avait derrière :

✅ Le besoin de réconfort, de pause, de douceur

✅ Les émotions qu’elle ne s’autorisait pas à vivre

✅ Et les automatismes créés par des années de “petites compensations”

Peu à peu, le sucre a repris sa place :

un aliment parmi d’autres,

et non plus un refuge émotionnel.

Elle n’a plus eu besoin de lutter,

parce qu’elle a appris à écouter ce qu’il y avait derrière l’envie.

Si tu te reconnais dans cette histoire, retiens ceci :

Ce n’est pas le sucre qu’il faut contrôler,

c’est ton besoin intérieur qu’il faut entendre.

💛 Quand tu apprends à écouter ce besoin,

le sucre n’a plus besoin de parler à ta place.

🤍 Je suis diététicienne comportementaliste, spécialisée dans les TCA.

Je ne suis pas là pour te dire quoi manger,

mais pour t’aider à comprendre ce qui se joue derrière tes envies,

et à retrouver une relation apaisée avec la nourriture et avec toi-même.

💬 Écris-moi en privé si tu veux en parler.

11/11/2025

Ça va sûrement te surprendre…

mais les personnes apaisées avec la nourriture ne font rien de spécial après avoir trop mangé.

Elles ne se jugent pas.

Elles ne compensent pas.

Elles n’essaient pas de “rattraper”.

Elles laissent simplement leur corps retrouver son équilibre.

Parce qu’elles savent qu’un repas plus copieux, parfois, c’est normal.

Le corps sait très bien se réguler tout seul, à condition qu’on le laisse faire.

Souvent, il aura simplement moins faim au repas suivant,

ou envie de quelque chose de plus léger, plus frais.

Mais si tu culpabilises, si tu veux te restreindre,

tu coupes cette régulation naturelle.

Et c’est là que les envies incontrôlées reviennent plus t**d.

✨ Le vrai apaisement, c’est ça :

faire confiance à ton corps, même après un excès.

💭 Alors la prochaine fois que tu te dis “j’ai trop mangé”,

essaie plutôt ça 👇

Respire. Pas besoin de compenser.

Bois un peu d’eau, prends le temps d’assimiler.

Et au repas suivant, écoute ton corps :a-t-il faim ? envie de quelque chose de frais, de simple ?

Souvent, il t’indiquera exactement ce dont il a besoin pour retrouver son équilibre.

Et toi, tu arrives à faire confiance à ton corps après un excès ?

Dis-moi en commentaire ce que tu ressens dans ces moments-là

09/11/2025

Tu t’es déjà demandé si tu avais vraiment faim… ou si c’était autre chose ?

C’est une question que beaucoup se posent, surtout quand les envies arrivent “sans prévenir”.

Alors voici un test simple que je partage souvent à mes patients 👇

1.Regarde l’heure.

La vraie faim revient en général toutes les 3 à 5 heures.

Si ton dernier repas était complet et que tu as mangé récemment,

il est possible que ce ne soit pas une faim physique, mais une envie émotionnelle.

2. Demande-toi : “Est-ce que je mangerais une assiette de carottes râpées ?”

➡️ Si la réponse est oui, c’est probablement une faim réelle : ton corps a besoin d’énergie, peu importe la forme.

➡️ Si la réponse est non, que tu veux “absolument du sucré”, “quelque chose de gras” ou “un aliment bien précis”,

alors tu es probablement face à une envie émotionnelle.

3. Observe ton corps

La faim physique monte progressivement,

elle se ressent dans le corps : gargouillis, baisse d’énergie, sensation de creux.

Elle se soulage en mangeant et apporte une vraie satisfaction.

L’envie émotionnelle, elle, apparaît d’un coup, souvent après une tension, une fatigue, un stress ou un vide intérieur.

Elle est urgente, ciblée (« il faut que je mange un truc qui me fait du bien »)

Ce type d’envie ne cherche pas à nourrir ton corps,

mais à compenser une émotion ou combler un manque :

un besoin de douceur, de réconfort, de pause, de plaisir…

Dis-moi, toi aussi tu confonds parfois faim et envie émotionnelle ?

07/11/2025

🍪 Grignoter ne fait pas grossir.

Ce qui pose souvent problème, ce n’est pas le fait de manger entre les repas… c’est la culpabilité et la perte de repèresque cela entraîne.

Quand on culpabilise, on se déconnecte de ses sensations.

On mange vite, sans plaisir, puis on se promet de “faire attention” après.

C’est ce cercle vicieux qui dérègle l’écoute du corps et crée le sentiment de perte de contrôle.

La réalité, c’est que le corps sait très bien s’adapter.

Si tu grignotes le matin, il t’enverra naturellement moins de signaux de faim au repas suivant.

À condition de l’écouter.

De ne pas te forcer à manger « comme d’habitude » juste parce qu’il est midi.

C’est ça, l’alimentation intuitive :

👉 faire confiance à ton corps pour trouver l’équilibre sur la journée,

👉 observer sans juger,

👉 et ajuster sans chercher à compenser.

Et si un jour tu sens que les grignotages deviennent plus fréquents, plus automatiques ou émotionnels, alors, ce n’est pas ton poids qu’il faut surveiller, mais ton besoin de réconfort. Parce que derrière le geste, il y a souvent une émotion, un vide, un stress, un manque d’énergie.

🌿 Revenir à soi, comprendre ce que ton corps exprime et ce dont il a réellement besoin, c’est ça le vrai travail.

Pas contrôler, mais comprendre.

💬 Et toi, quelle est ta relation avec le grignotage ?

Est-ce que tu arrives à t’adapter, ou c’est encore difficile pour toi ?

Partage ton expérience, on en parle ensemble en commentaire. 💛

05/11/2025

Avant, je pensais que le régime était la seule solution.

Que si je voulais perdre du poids, je devais forcément me priver, contrôler, me montrer “disciplinée”.

Alors j’ai tout essayé :

le sans sucre, le sans gluten, le jeûne, les plans à 1200 calories…

Et à chaque fois, c’était la même histoire.

Les premières semaines, j’étais motivée, fière, persuadée que cette fois serait la bonne.

Puis la fatigue s’installait.

Les envies revenaient.

Et quand je craquais, tout s’écroulait.

Je culpabilisais. Je me jugeais.

Et je me répétais :

“Je recommencerai sérieusement lundi.”

Mais plus je recommençais, plus c’était difficile.

Mon corps était fatigué, mon moral aussi.

Et la balance, elle, finissait toujours par remonter.
💬 C’était l’histoire d’une de mes patientes, jusqu’au jour où elle m’a dit :

“Je ne referai plus jamais de régime.”

Pas par abandon,

mais parce qu’elle avait compris que le problème, ce n’était pas elle, c’était le système.

Alors, on a fait autrement.

Elle a appris à :

✅ Manger de tout, sans peur ni interdit

✅ Écouter ses émotions avant qu’elles ne deviennent des pulsions

✅ Se reconnecter à sa faim, à ses envies et à son plaisir

✅ Et surtout, à refaire confiance à son corps

Aujourd’hui, elle mange sans peur.

Elle n’a plus besoin de compenser ni de se restreindre.

Et son poids ? Il s’est stabilisé, naturellement.

Si tu te reconnais dans cette histoire, retiens bien ceci :

Ce n’est pas ton manque de volonté qui t’empêche de réussir,

c’est le contrôle qui t’éloigne de ton équilibre.

💛 Tu peux apprendre à retrouver une relation apaisée à la nourriture,

sans jamais refaire de régime.

🤍 Je suis diététicienne comportementaliste, spécialisée dans les TCA.

Je ne suis pas là pour te dire quoi manger,

mais pour t’aider à reconstruire une relation sereine avec ton alimentation, ton corps et tes émotions.

💬 Écris-moi en privé si tu veux en parler.

03/11/2025

Tu veux bien faire.

Tu veux manger “sainement”, équilibré, raisonnable.

Mais certaines de ces habitudes, censées t’aider, te poussent en réalité à manger plus… sans que tu t’en rendes compte.

Voici les plus fréquentes 👇

🥦 1. Vouloir que chaque assiette soit “parfaite”

Tu ajoutes systématiquement légumes, protéines, féculents complets, même quand tu n’en as pas vraiment envie.

Ton assiette coche toutes les cases… mais pas celle du plaisir.

Et quand le plaisir manque, ton cerveau finit par le réclamer plus t**d — souvent sous forme de pulsions ou d’envies incontrôlables.

🍽️ 2. Manger “léger” à table pour se contrôler

Tu réduis tes portions, tu te prives un peu, en te disant que c’est mieux ainsi.

Résultat ? Quelques heures plus t**d, tu grignotes ou tu compenses.

Pas parce que tu manques de volonté,

mais parce que ton corps n’a pas eu assez — ni d’énergie, ni de satisfaction.

🍎 3. Choisir un goûter “healthy” plutôt que celui qui te fait envie

Tu prends une pomme alors que tu avais envie de chocolat,

un yaourt nature alors que tu rêvais d’un biscuit.

Et plus t**d… tu finis souvent par manger les deux.

Pourquoi ? Parce que la frustration s’accumule, et le plaisir finit par reprendre sa place.

🧠 Ton corps cherche toujours un équilibre entre besoin et plaisir.

Quand tu lui retires le plaisir, il crée du manque.

Et le manque finit toujours par se compenser, souvent bien plus que ce que tu aurais mangé au départ.

Alors non, l’équilibre n’est pas le problème.

Mais il ne doit pas se faire au détriment de tes envies.

✨ L’objectif, ce n’est pas de choisir entre santé et plaisir.

C’est d’apprendre à faire cohabiter les deux.

De manger équilibré et satisfait.

Parce que quand ton corps et ton mental sont comblés,

tu manges naturellement moins,

et surtout, tu te sens en paix.

💬 Dis-moi, toi aussi tu reconnais certaines de ces “bonnes habitudes” ?

Et si on réapprenait ensemble à équilibrer sans se frustrer ?

🧡 Si tu veux que je t’aide à retrouver cet équilibre entre plaisir et sérénité,

écris “liberté” en commentaire ou en message privé.

01/11/2025

Après une pulsion, on a souvent tendance à vouloir compenser.

Se priver. Se juger. S’en vouloir.

Mais ce réflexe ne fait qu’entretenir le cercle culpabilité et des nouvelles pulsions.

Alors comprend plutôt :

Ce moment n’est pas un échec.

C’est un signal, un message de ton corps.

Il essaie juste de te dire :

“Il y a quelque chose qui ne va pas. Écoute-moi.”

Une pulsion n’arrive jamais par hasard.

Elle traduit souvent un déséquilibre ou un trop-plein :

trop de privations,

trop d’émotions accumulées,

trop de tension,

ou tout simplement, trop peu d’écoute de soi.

Alors la prochaine fois que cela arrive,

plutôt que de te juger,

prends un instant.

Respire.

Et demande-toi :

“Qu’est-ce qui se passe en ce moment ? De quoi j’ai besoin, là, maintenant ?”

Puis, au lieu de chercher à “te rattraper”,

fais l’inverse :

👉 écoute-toi au cours de tes repas suivants.

Tu n’as pas besoin de compenser.

Observe simplement :

as-tu faim ?

as-tu envie de quelque chose de plus léger, de plus frais ?

ou peut-être au contraire besoin d’un repas rassurant ?

Adapte-toi à ce que ton corps te dit.

Et surtout, reprends ta vie normale.

✨ Si ce genre de moment reste occasionnel, c’est ok.

Mais si c’est fréquent,

ce n’est pas la pulsion qu’il faut accuser,

c’est la source qu’il faut comprendre et apaiser.

🧡 Si tu veux que je t’aide à décoder ce qui se cache derrière tes pulsions,

écris “soutien” en commentaire ou en message privé.

30/10/2025

🚫Plus tu t’interdis, plus ton cerveau te pousse à craquer.

Tu l’as sûrement déjà remarqué…

👉 Quand tu t’interdis certains aliments, tu finis souvent par craquer encore plus fort.

C’est ton cerveau qui réagit à la privation.

Quand tu te dis : « Je ne dois pas en manger », ton cerveau entend surtout :

🚫 “C’est interdit, donc précieux, donc il faut en profiter tant qu’il y en a.”

Résultat : dès que tu t’autorises enfin ce qui était “interdit” (bonbons, biscuits, chocolat…),tu veux tout, tout de suite.Pas par faiblesse, mais parce que ton corps cherche à rattraper la frustration accumulée.

🍬 Quand tu as le droit, tu peux choisir.

Un, deux ou une poignée… peu importe.Tu manges par envie, pas par tension. Et c’est ça, la vraie liberté alimentaire.

Dans ma méthode Manger Librement,tu apprendras à :

✨ te reconnecter à tes vrais besoins et limites

🍽️ réintégrer tous les aliments dans ton alimentation de façon sécurisée

⚖️ trouver l’équilibre entre répondre à tes envies et à tes besoins

💫 réguler tes pulsions liées à la privation ou aux émotions… et bien plus encore

💌 Si tu veux la découvrir et apprendre à manger de tout sans stress ni pulsion,écris simplement « méthode » en commentaire ou en message privé ❤️

28/10/2025

Je mange sans faim…

Je continue, même si je sens que j’ai déjà trop mangé.

Je sais que je vais avoir mal… que je vais culpabiliser.

Mais je ne peux pas m’arrêter. C’est plus fort que moi.

Et c’est toujours la même chose :

Je me sens vide, ou stressée, ou juste... épuisée.

Alors je mange. Vite. Trop. Jusqu’à ce que je n’en puisse plus.

Puis vient la honte. La colère. La promesse de me reprendre.

Mais la fois d’après… je recommence.

💬 C’est ce que m’a raconté une de mes patientes, lors de notre première séance.

Elle vivait avec une hyperphagie.

Et cette phrase « c’est plus fort que moi » elle la disait avec honte.

Comme si elle se sentait fautive d’avoir un trouble qu’elle ne comprenait pas.

Mais ce que je lui ai dit, c’est que cette phrase est vraie.

Oui, c’est plus fort qu’elle, car ce trouble n’a rien à voir avec un simple manque de volonté.

Il est profondément enraciné :

dans les émotions, dans l’histoire personnelle, dans le corps et le cerveau.

Quand tu vis avec un TCA, tu n’es pas “faible” :

Tu es enfermée dans un mécanisme puissant, qui te dépasse et qui mérite un vrai accompagnement.

Avec elle, on a fait ce chemin ensemble.

Pas à pas, elle a appris à :

✅ Manger sans interdit, sans se priver

✅ Écouter ses signaux internes, même quand ils sont flous

✅ Accueillir ses émotions, sans les anesthésier avec la nourriture

✅ Se traiter avec plus de douceur, au lieu de se juger

Et surtout, elle a compris qu’elle n’avait pas à porter ça seule.

Que se faire aider n’est pas un aveu d’échec, mais un acte de force et de soin.

Aujourd’hui, elle avance.

Et cette phrase « c’est plus fort que moi » ne sonne plus comme une fatalité.

Mais comme le point de départ de sa reconstruction.

✨ Si tu te reconnais dans ce témoignage, retiens ceci :

Ce n’est pas ta faute. Et tu n’as pas à t’en sortir seule.

Un trouble du comportement alimentaire n’est pas une faiblesse,

c’est une souffrance réelle, qui mérite un accompagnement.

Ecris-moi en privé ou en commentaire si tu veux en parler.

26/10/2025

Tu connais ce moment frustrant où, malgré toute ta bonne volonté, une pulsion prend le dessus… comme une vague impossible à arrêter ?

Tu t’étais pourtant promis : « Cette fois, je tiendrai bon. »

Mais voilà, la réalité te rattrape. L’impuissance revient, suivie par la culpabilité.

Alors, pourquoi est-ce si difficile de résister, même quand tu en as sincèrement envie ?

Parce que la volonté, à elle seule, ne suffit pas toujours. Ton corps et ton cerveau ont parfois d’autres priorités.

Pourquoi ces pulsions semblent-elles plus fortes que toi ?

1️⃣ Les pulsions émotionnelles

Elles sont souvent une réponse à un trop-plein d’émotions : stress, anxiété, tristesse, solitude…

Ton cerveau cherche alors un moyen rapide de soulagement — comme la nourriture.

Ce réflexe n’est pas une faiblesse, c’est un mécanisme de protection.

2️⃣ Les pulsions liées à la privation

Quand tu te restreins trop, physiquement ou mentalement, ton corps finit par réclamer ce dont il a été privé.

Résultat : une envie soudaine, forte, difficile à contrôler.

Et si en plus tu vis du stress émotionnel… c’est l’explosion.

👉 Ces deux types de pulsions peuvent se cumuler, rendant la résistance encore plus difficile.

Mais cela ne veut pas dire que tu manques de volonté. Ni que tu échoues.

Alors, que faire ?

→ Identifier ce qui déclenche tes pulsions

→ Comprendre si c’est une émotion ou une restriction qui parle

→ Réagir avec bienveillance, en écoutant ton corps plutôt qu’en le combattant

✨ Et si tu choisissais, au lieu de lutter, d’écouter ce que ton corps essaie de te dire ?

Cette écoute bienveillante est souvent le début d’une relation plus sereine avec toi-même.

Tu n’as pas à traverser ça seule.

Si tu sens que tu as besoin de soutien pour comprendre et apaiser ces pulsions, je suis là pour t’accompagner, avec bienveillance, étape par étape.

24/10/2025

🥐 Tu as craqué pour une viennoiserie au bureau ce matin ?

Non, ta journée n’est pas fichue.

En réalité, ton corps sait très bien s’autoréguler.

Si tu écoutes ton niveau de faim réel, il est fort probable que tu aies simplement moins faim à midi.

Le vrai problème, ce n’est pas le croissant…

C’est le “foutu pour foutu” qui s’installe ensuite.

Celui qui te pousse à manger sans écouter ton corps.

👉 Observe plutôt :

À 12h, sur une échelle de 0 à 10, as-tu encore faim ?

Cette simple observation peut tout changer dans ta relation à l’alimentation.

💬 Et toi, comment tu réagis dans ces situations ?

Partage ton expérience en commentaire, je te lirai avec plaisir.

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Villeneuve-lès-Avignon
30400

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