Alain Jeantet Conseiller en Nutrition

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10/11/2020

L'annonce lundi de l'américain Pfizer qu'un vaccin contre le Covid serait désormais efficace à 90% suscite beaucoup d'espoirs. Et derrière ce succès médical se cache également une intégration réussie, celle de deux chercheurs allemands issus de l'immigration turque.

20/03/2018

LES OMEGA 3

Certains acides gras sont dits « essentiels », car l'organisme ne peut les synthétiser lui-même. Les besoins doivent donc être comblés par la consommation d’aliments ou de suppléments riches en acides gras polyinsaturés. Ces gras polyinsaturés (de type oméga-3 et oméga-6) participent à une multitude de processus importants : la constitution et l'intégrité des membranes cellulaires, le bon fonctionnement des systèmes cardiovasculaire, cérébral, hormonal et inflammatoire, etc.

Il y a trois sortes d'oméga 3, l'acide alpha-linolénique (ALA) que l'on trouve dans certains végétaux, converti dans l'organisme en acide eicosapentaénoïque (EPA) et acide docosahexanéoïque (DHA), deux oméga 3 encore plus insaturés. L'EPA et la DHA, d'origine marine, sont encore présents, naturellement, dans les poissons gras des mers froides.

Parmi les oméga-3, seul l'acide alpha-linolénique (ALA) est qualifié d’essentiel. En effet, les autres acides gras oméga-3 peuvent être synthétisés par le corps à partir de l'ALA. Il est particulièrement présent dans l’huile et les graines de lin et de chanvre, ainsi que dans l'huile de canola (colza).

Les sources alimentaires sont principalement le maquereau, le saumon, le hareng,les sardines, le thon blanc, l’huile de lin, les noix de Grenoble… Néanmoins en cas de consommation de poisson surgelé, au bout de 6 mois de congélation, le poisson ne contient plus d'oméga-3

Jusqu'en 1920 environ, la fabrication des huiles de consommation se faisait à petite échelle. Les huiles étaient pressées à froid et on se les procurait en petites quantités, car elles ne se conservaient pas longtemps. En effet, les oméga-3 rancissent rapidement lorsqu'ils sont exposés à l'oxygène et à la lumière. Les impératifs de la production alimentaire de masse ont donc poussé l'industrie à privilégier les huiles les plus stables. Ces huiles, sont aussi les moins riches en oméga-3, et elles sont raffinées... avec beaucoup de raffinement, diminuant encore davantage leur teneur en oméga-3. De plus, tandis que la consommation de poisson a diminué, celle des produits transformés, riches en oméga-6, a augmenté. La mise au point de techniques intensives d'agriculture et d'élevage a également mené à la réduction de la teneur en oméga-3 de nombreux aliments, comme les légumes verts à feuilles, les viandes, les oeufs et même les poissons.

Les oméga-3 sont essentiels à la croissance et au développement du fœtus et du bébé. Par conséquent, il est important pour chaque mère d’obtenir suffisamment d’oméga-3 pendant la grossesse et l’allaitement.

Comme les végétariens et les végétaliens absorbent moins ou pas d'EPA et de DHA à travers leur alimentation, les taux d'EPA et de DHA peuvent être significativement plus faibles chez ces personnes que dans le reste de la population.

Au niveau domestique, certaines huiles riches en acides gras oméga 3 (essentiellement ALA) ne supportent pas la friture et le chauffage intense et doivent donc être utilisées en assaisonnement. Les huiles polyinsaturées (riches en oméga-3 ou/en oméga-6) comme l'huile de colza et l'huile de tournesol peuvent être utilisées pour la cuisson mais ne doivent pas atteindre leur point de fumée ( au-delà duquel l'huile se dégrade en glycérol et en acide gras, avec production d'acroléine et de benzopyrène toxiques). Elles ne doivent pas être utilisées pour la friture répétée, les polyinsaturés se dégradant aux hautes températures par oxydation, et aussi au contact des aliments contenus dans le bain de friture. Les huiles de noix, de noisette, de lin ne doivent pas être chauffées.

16/03/2018

La grande importance de l’allaitement maternel

La question de la nutrition se pose dés les premières heures de la naissance d’un enfant. En effet, de grandes différences seront constatées entre les bienfaits d’un allaitement naturel et les conséquences d’un allaitement au lait articiel.

Malheureusement, l’allaitement maternel naturel n’est pas si fréquent. Les mamans manquent parfois cruellement d’assistance en ce qui concerne cette pratique pourtant des plus physiologiques et normale. On devrait pourtant vaillamment encourager et informer les mamans qui désirent allaiter leur bébé car c’est un des plus beaux cadeaux qu’elles font à l’enfant.

Un enfant nourri au sein maternel va recevoir tous les anti-corps dont il a besoin. Il est donc préservé ! Dame Nature sait ce qu’elle fait et Celui qui l’a créée aussi ! Le système immunitaire du bébé étant immature, il lui faut une source extérieure d’anti-corps afin de pouvoir résister aux infections. Il la trouve dans le lait de sa maman.

Le lait maternel contient le facteur bifidus entraînant l’implantation du lactobacillus bifidus qui maintient un PH acide (PH 5), rendant improbable la prolifération des bactéries pathogènes. Protection également valable pour d’éventuels allergènes pouvant pénétrer par voie intestinale.
Si l’enfant est nourri au lait de vache, cette protection n’existe pas. Le PH de l’estomac sera de 6 à 7. PH favorable à la prolifération de Germes Pathogènes et au passage des allergènes dans le Sang et la Lymphe.

Le lait maternel est exempt de β-lactoglobuline, une protéine du lait de vache extrêmement allergisante pour l'être humain. Il faut 100 jours (3 mois et demi) pour que l'intestin du bébé mette en place une barrière anti-allergique efficace contre les protéines non humaines. Avant ce moment, tout apport alimentaire différent du lait de mère est reconnu comme étranger par l'organisme et crée un risque d'intolérance.

Dans le lait maternel, la caséine (4 g/L) est particulièrement digeste. Parmi les trois types alpha, bêta et k, la caséine bêta a un profil particulier pour chaque femme, probablement déterminé par son code génétique. Sa dégradation libère des peptides à activité anti-infectieuse. La caséine k (facteur bifidus) est une glycoprotéine qui stimule la croissance du Bifidobactérium.

Globalement, le lait maternel mature contient 75 g/L de glucides, dont 63 g de lactose et 12 g d'oligosaccharides, alors que le lait de vache ne comporte que du lactose.
Formés de cinq sucres élémentaires (glucose, galactose, N-acétylglucosamine, fucose, acide sialique), de structure ramifiée, les oligosaccharides constituent une originalité majeure du lait maternel. Leur rôle est de favoriser le développement intestinal d'une flore microbienne (lactobacillus bifidus) qui protège la muqueuse intestinale contre les agressions bactériennes.

Nous voyons donc que l’équilibre immunitaire général de l’organisme dépend déjà du tout premier aliment : Le lait.

Les éléments indispensables à une bonne santé, à l’efficacité des neurones, des neurotransmetteurs et à tout l’équilibre psycho-neuro-immunitaire se trouvent en quantité élevées dans le lait maternel et en faibles quantités (ou sont carrément absents) dans le lait de vache. Citons les alkyrols (10 fois plus dans le lait humain), la taurine (40 fois plus), la choline (absente du lait de vache), les gynolactoses (50 variétés pour le lait humain, 1 seule pour le lait de vache), les immunoglobulines (absente du lait de vache).

Pas d’anti-corps dans le lait de vache. Et, de toute façon, même s’il y en avait, nous ne pourrions pas les utiliser. Il n’y en a pas parce que le petit veau, dés qu’il est né, voit son système immunitaire se mettre en route. Ce n’est pas le cas avec celui du bébé ! Il se développe progressivement jusqu’à atteindre sa maturité autour de 18 – 24 mois.

Dans le lait humain, les acides aminés libres (2 g/L) sont présents dans une proportion 3 à 4 fois plus importante que dans le lait de vache. Ils permettent l’assimilation des lipides et participent à la construction du cerveau.

De plus, les laits artificiels contiennent des vitamines de synthèse (voir l’article sur les vitamines de synthèse).

Et pourtant leur consommation et leur commercialisation n’est jamais remise en cause.

A.J

16/03/2018

D’où la nécessité de manger « juste »

Pour nous être pleinement bénéfique, notre mode alimentaire doit être adapté à notre fonctionnement métabolique et endocrine. Même si, pour savoir si notre mode alimentaire est correct, il existe des règles simples, applicables dans la plupart des cas, notre alimentation doit cependant être individualisée.

Selon notre typologie digestive ce qui sera bénéfique à l’un, pourra être nuisible à un autre. Telle personne pourra consommer des fruits aqueux le matin, au petit-déjeuner, telle autre devra fuir cette pratique et cela à cause des acides fruitariens et aussi pour une question d’enzymes (la plupart des gens assimile mieux les fruits vers 17H/17H30 et c’est d’ailleurs la meilleure plage horaire pour les consommer selon la chrono-nutrition).

Il est donc totalement impossible de définir des « régimes » pour tous. Si une personne est en surcharge pondérale, c’est souvent que son alimentation est trop riche en sucres ou que la charge calorique globale journalière est trop importante. L’usage de boissons sucrées va, comme nous le savons, favoriser grandement la prise de poids. Ce ne sont pas les graisses contenus dans la viande qui sont néfastes mais plutôt les sucres et les sucres cachés qui se trouvent dans l’alimentation industrielle. Le mécanisme serait long à décrire ici en précision, mais nous savons que le sucre ingéré en quantité excessive va immanquablement causer une prise de masse grasse. La viande, qui elle contient des acides aminés indispensables au renouvellement et au remplacement des cellules, ne sera jamais la cause d’ennui de santé. Sauf s’il y a, de façon habituelle, plusieurs sources de protéines dans le même repas : Charcuterie, puis viande, puis fromage, puis dessert contenant du lait et des œufs. En forçant le trait, on pourrait trouver 4 à 5 sources de protéines pour un même repas, ce qui est trop. Mais la consommation d’aliment carné est impérative ou, tout du moins, de protéine d’origine animale.

Alors pourquoi des viandophobes surgissent-ils, toujours plus nombreux ? Le mouvement végan ou végétalien a t’il planté des semences dans l’esprit des gens ? En effet, si une personne est carencée en zinc, qui se trouve principalement dans les viandes, cela peut lui causer un désordre psychique et une imperméabilisation du raisonnement. De même que la vitamine B12 - présente exclusivement dans l’alimentation carnée – qui, si elle se trouve en insuffisance dans un organisme, peut produire un dysfonctionnement du cerveau et du système nerveux. La B12 est également responsable de la fabrication des globules rouges et elle permet l’assimilation du fer. Et, parlant du fer, celui-ci n’est vraiment utilisable que s’il est assimilé au travers des protéines carnées ; donc d’origine héminique, venant du sang. Une carence en fer produirait chez l’individu une sorte d’euphorie artificielle. Cela aurai peut-être pour effet de rendre l’individu carencé en B12, en zinc et en fer, certainement plus facilement manipulable…

De même, tout un tas de courants nutritionnels ont balayé la planète. Certains ne jurent plus que par le « cru ». Manger cru nous permettrai de conserver aux aliments tout leur potentiel nutritif. Vrai, sauf que notre métabolisme est plutôt constitué pour manger des aliments cuits. Bien qu’une portion de crudités midi et soir est hautement recommandable, nous cuisons les viandes, les légumes verts, les céréales… et nous faisons bien.

Quelque soit le « régime alimentaire » préconisé, on constatera qu’il sera souvent suppressif et donc induira des carences ou bien, par une incorrecte association alimentaire, produira des maldigestions. Ceci aura pour effet de soustraire de la force vitale au système immunitaire, pour la rediriger sur le système digestif. Et alors ceci nous exposera davantage aux infections…D’où la nécessité de manger « juste ».

Alain Jeantet

13/03/2018

Parce que notre nourriture est le carburant qu'utilise notre corps pour remplir ses fonctions, il est primordial qu'elle soit soigneusement choisie.

En effet, une nutrition inadéquate, déséquilibrée, carencée provoquera, à plus ou moins long terme, des troubles physiologiques et pathologiques à répétition ou de manière chronique (eczéma, troubles du sommeil, ballonnements, bronchites, problèmes ORL,ostéoporose,fatigue,nervosité,allergies diverses…)

A l'inverse, une alimentation qui remplit les conditions requises, nous préserve d'un grand nombre de maladies et peut même aider à la guérison de celles-ci.

Parce que l'être humain est omnivore sa nourriture doit être variée, équilibrée, non carencée et la plus naturelle possible. C'est pourquoi, au milieu de la jungle des régimes fantasques et déséquilibrés qui fleurissent dans notre génération, je vous propose un guide pour trouver ou retrouver le petit sentier d'une alimentation correcte et réellement bénéfique pour votre santé.

Pour ce faire, je vous proposerai un rééquilibrage alimentaire individualisé qui pourra vous permettre de retrouver ou de conserver dynamisme et santé, et ce quel que soit votre âge.

Pour une demande de consultation ou un renseignement vous pouvez soit me laisser un message sur cette page (avec votre nom et un n° de tel où je pourrais vous rappeler), soit me contacter au 06.88.22.71.99.

13/03/2018

PLANETE MARKETING

Aujourd’hui, les sols agricoles ont perdu leur richesse et ont été vidés de leurs substances nutritives par l’utilisation des engrais chimiques. Par conséquent, les productions issues de l’agriculture intensive qui poussent sur ces sols sont pauvres en oligo-éléments et en vitamines. Les déficits en minéraux occasionnés par les procédés modernes de culture et d’élevage peuvent entraîner un affaiblissement du système immunitaire et de l’organisme en général.

Les carences diverses résultant de ce type de culture et de leur consommation peuvent provoquer une faim chronique, l’organisme cherchant à faire ingérer à la personne la ou les substances manquantes dans le corps. Cette faim chronique peut pousser la personne soit à s’alimenter de façon excessive pendant les repas, soit à grignoter toute la journée pour tenter d’apaiser cette faim. Malheureusement, ces pratiques n’apporteront pas à l’organisme les éléments manquants et la pratique du grignotage ou/et de la suralimentation globale finira par causer des effets néfastes sur la santé. De multiples prises alimentaires au quotidien provoqueront un afflux massif de sang au niveau stomacal (une hyperémie). Mais cette hyperémie stomacale ne s’arrêtera pas là et s’étendra à l’œsophage, puis aux voies respiratoires et finalement à toute la sphère ORL. Cela provoquera l’augmentation de la production de mucus où les bactéries pourront plus facilement se multiplier et, ainsi, favoriser l’apparition de bronchites, rhinites, chroniques ou à répétition et bien d’autres pathologies encore.

Le drame, c’est que l’agriculture de type intensif produit plus que ce dont nous avons réellement besoin ! Mais les chaînes de Grande Distribution savent bien qu’un étalage bien rempli va beaucoup mieux attirer le consommateur et également le pousser à acheter davantage. Pour eux, peu importe le gaspillage qui en résulte, il sera toujours compensé par le volume des ventes et la politique des prix bas appliquée aux producteurs, qui chercheront sûrement ainsi à produire toujours plus, ceci causant une dégradation accélérée de la qualité des sols.

De même, l’alimentation raffinée est conçue pour nous faire manger davantage. Elle apporte non seulement peu d’éléments bénéfiques à l’organisme mais elle pousse à en consommer davantage par le même processus. Il est donc clair que les techniques de cultures et de raffinement actuelles sont conçues pour augmenter la consommation alimentaire et donc la vente et le profit de ces grandes industries sans conscience qui ne recherche que leur enrichissement personnel ! Bienvenue sur la Planète Marketing !

Pour éviter les nuisances causées par ces aliments dénaturés, il convient de consonner une nourriture la plus naturelle possible (Bio) qui, non seulement, apportera les vitamines et les oligo-éléments dont notre métabolisme a besoin pour fonctionner correctement mais qui nous évitera aussi d’ingérer quantité de substances chimiques fortement nuisibles. Dans les années 30, 1 million de tonne de pesticide était répandu chaque année sur la surface du Globe. Aujourd’hui, c’est plus de 4 milliards de tonnes par an !

Il est également parfois nécessaire de supplémenter son alimentation, afin de retrouver de façon optimale toutes ses facultés métaboliques, organiques et même mentale et psychique. Pour cela, il existe toute une palette de thérapies naturelles qui passe par les vrais compléments alimentaires pour combler les carences nutritionnelles et, pour traiter au mieux les pathologies qui auront pu en découler, la Phytothérapie, l’Homéopathie, l’Aromathérapie, la Gemmothérapie…etc.

08/03/2018
07/03/2018

LES VITAMINES DE SYNTHESE

Constatant que l’individu contemporain est souvent carencé et souffre d’une santé fragilisée par la mauvaise qualité des produits alimentaires vendus, notamment, en Grande Surface, les Laboratoires Pharmaceutiques se sont engouffrés sur le marché des vitamines (synthétiques) et des soi-disant compléments alimentaires.

Certes, nous avons souvent besoin de nous supplémenter, car non seulement notre nourriture est moins riche en minéraux indispensables à l’organisme qu’autrefois mais, de plus, la vie moderne avec son rythme trépidant, ses stress répétitifs ou constants et la multiplication des champs electro-magnétiques cause une fuite rénale des oligo-éléments et un manque vitaminique souvent important. Pour suppléer à ce type de besoin, la nature nous apporte le nécessaire. Soit sous forme d’aliments riches de ces éléments indispensables pour notre santé, soit sous forme de compléments alimentaires naturels et donc parfaitement dosés pour les besoins de notre organisme.

Dans la nature, une vitamine met plusieurs mois à se développer. De plus, elle est toujours rattachée à tous les éléments qui vont permettre une parfaite absorption et utilisation de celle-ci. Dans les Laboratoires Pharmaceutiques, celle-ci est élaborée chimiquement et en quelques secondes ! Et les éléments qui, dans la nature, l’accompagne seront ici manquants ! Voilà pourquoi il faut absolument savoir quels sont les vrais compléments alimentaires bénéfiques à notre santé car, non seulement, notre métabolisme ne sait pas utiliser ces vitamines synthétiques mais beaucoup de compléments alimentaires peuvent être mal dosés, sur-dosés ou déséquilibrés dans leur composition. Certaines vitamines permettant l’assimilation de certains minéraux, il est important que leurs associations soit correctes et correctement dosées afin d’optimiser leur effet dans l’organisme.

De plus, afin d’essayer d’utiliser ces vitamines de synthèses, l’organisme crée des chaînes Para-Métaboliques, ce qui peut finir par être préjudiciable à la santé et donc totalement contre-productif !

D’ailleurs, à ce propos, n’est-ce pas criminel de voir toutes ces vitamines de synthèse dans les laits infantiles artificiels ? Et, grâce à l’effet marketing, on fait croire aux parents bien intentionnés mais mal informés que ceci est bon pour leur bébé !

Ainsi, savoir quels sont les Laboratoires véritablement fiables et compétents en la matière permettra d’éviter ces fâcheux désagréments.

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