Hypnose - Amandine Keller, 6B Rue de l'orge, Wintzenheim (2025)

26/06/2025

TU N’ES PAS UNE MACHINE.
Tu ne peux pas tout gérer, tout supporter, tout encaisser… constamment.

Tu n’as pas été conçu.e pour fonctionner sans pause, sans fatigue, sans émotion. Tu es un être humain, avec des limites, des vagues intérieures, des jours plus gris et des nuits trop longues... Et c’est normal, tu as le droit d’être épuisé·e., tu as le droit de ralentir et tu as le droit de dire non, de poser les armes, de prendre du recul.

Arrête de croire que ta valeur dépend de ce que tu fais, produis, réussis. Parfois, respirer, vivre suffit. Accorde-toi la tendresse que tu offres si facilement aux autres : repose-toi, écoute-toi, soigne-toi.

Amandine 🌷

23/06/2025

Je me suis accrochée à toi comme on s'accroche à une bouée en pleine tempête, persuadée que sans toi je coulerais. J’ai confondu ton regard avec ma valeur, tes silences avec mes fautes, ton absence avec ma fin. Je t’ai aimé plus que moi-même, jusqu’à m’oublier, jusqu’à me trahir. Tu étais devenu mon oxygène, et je suffoquais d’amour, d’attente, de manque, et pourtant j’appelais ça passion. Je croyais que c’était ça, aimer : s’effacer pour l’autre, trembler à chaque éloignement, mourir un peu à chaque distance.

Mais ce n’était pas de l’amour, une peur viscérale d’être seule, un vide que je te demandais de remplir, alors que ce vide, il est à moi. Il vient de loin, de plus profond que toi, et il ne te regarde pas. Ce n’est pas à toi de le combler, ce n’est pas ton rôle.

Alors aujourd’hui, je choisis de partir, non pas parce que je ne t’aime plus, mais parce que je commence enfin à m’aimer moi. Je ne veux plus mendier des miettes d’attention, ni vivre suspendue à tes humeurs. Je veux retrouver ma voix, mon espace, ma lumière. Même si ça fait mal et même si mon cœur saigne à l’idée de te laisser... Je me libère, je me répare, je me choisis.

Et c’est peut-être ça, le vrai amour : savoir quand il faut partir pour se retrouver.

Amandine 🤎

19/06/2025

Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu’un pour te juger.
Tu affirmes tes idées ? On te dira trop sûr de toi.
Tu restes discret ? On te reprochera ton silence.
Tu rêves grand ? Trop ambitieux.
Tu restes prudent ? Pas assez audacieux.

Même ta façon de parler, de marcher, de manger…
Chaque détail deviendra prétexte à un jugement.
Alors souviens-toi : tu n’es pas sur cette Terre pour plaire à tout le monde, c’est ta vie, pas celle des autres.
Sois vrai, sois fidèle à qui tu es, fais les choix qui te nourrissent, qui te libèrent, qui t’apaisent.

Ta paix intérieure et ton épanouissement sont ce qui compte le plus, ne les sacrifie jamais pour des regards qui ne voient pas ton cœur.

Amandine 🏵️

18/06/2025

Les personnes avec des traits narcissiques usent souvent de phrases bien rodées pour manipuler, contrôler et déstabiliser. Ces phrases peuvent sembler banales au premier abord, mais elles servent à semer le doute, culpabiliser, ou affaiblir psychologiquement :

🔸 Pour inverser les rôles / culpabiliser

« C’est toujours moi le méchant. »
Renverse la situation et se pose en victime.

« Tu me fais passer pour un monstre. »
Te culpabilise pour tes ressentis légitimes.

« Tu es trop sensible / Tu exagères. »
Dénigre ton ressenti et minimise ses actes.

« Tu devrais te remettre en question. »
Te pousse à douter de toi, jamais de lui/elle.

🔸Pour faire du gaslighting (doute de la réalité)

« Ça ne s’est jamais passé comme ça. »
Pour te faire douter.

« Tu inventes des choses. »
Nie les faits pour désorienter.

« Tu deviens f***e / fou. »
Dénigre ton équilibre mental.

🔸 Pour isoler et couper des autres

« Tes amis sont jaloux / toxiques. »
T’isole de ton entourage.

« Ta famille ne t’aime pas comme moi. »
Crée une dépendance affective.

« Je suis le seul à te comprendre. »
Te rend émotionnellement dépendant(e).

🔸 Pour séduire / manipuler

« Personne ne t’aimera jamais comme moi. »
Instaure une peur de perdre.

« Tu es parfaite, je n’ai jamais rencontré quelqu’un comme toi. » (phase de love bombing)
Crée un lien rapide et intense.

« On est faits l’un pour l’autre. »
Crée une illusion de destin.

🔸 Pour te maintenir sous emprise

« Sans moi, tu n’es rien. »
Dévalorise pour maintenir le contrôle.

« Tu devrais avoir honte. »
Fait naître un sentiment de culpabilité.

« Regarde tout ce que j’ai fait pour toi. »
appelle sans cesse ce que tu « lui dois ».

Si tu penses être confronté(e) à ce type de discours dans ta vie personnelle, il est important de ne pas rester isolé(e), parler avec des proches ou un professionnel peut t’aider à reprendre confiance et te libérer de cette emprise.

Amandine 🫶

12/06/2025

En été, quand le soleil brille plus fort et que les journées s’allongent, on pourrait croire que tout va mieux. Le moral semble remonter avec les températures, les obligations s’allègent, et l’envie de souffler prend le dessus. Et c’est normal de profiter mais attention à ne pas confondre le calme de surface avec une guérison profonde.

Prendre soin de sa santé mentale, c’est un peu comme entretenir un jardin même si tout semble pousser joliment en juillet, on ne cesse pas d’arroser parce qu’il a plu deux jours. Le soleil peut masquer les mauvaises herbes, mais elles continueront de grandir si on ne les surveille pas. Ce n’est pas parce que tout semble fleuri aujourd’hui que les racines n’ont plus besoin d’attention.

Beaucoup relâchent leur suivi pendant l’été. On reporte les séances, on se dit que ça va mieux, qu’on n’en a « plus besoin pour l’instant ». Pourtant, c’est souvent à la rentrée que la réalité revient frapper fort, le retour à la routine, au stress, au bruit intérieur qu’on avait mis sur pause, peut provoquer une véritable rechute.

Alors non, ce n’est pas fini parce que ça va bien, c’est souvent quand ça va bien qu’il faut continuer. Pour consolider les progrès, pour aller au fond des choses, pour ne pas recommencer à zéro en septembre. L’été peut être une parenthèse, mais il ne doit pas être une rupture. Même à un rythme plus léger, gardons nos rendez-vous, nos outils, nos repères. Parce que prendre soin de soi, ça ne prend pas de vacances.

Amandine ☀️

09/06/2025

❤️‍🩹 Quand tu fais tout… et que l’autre ne fait rien.

Tu t’adaptes, tu comprends, tu excuses... Tu fais des efforts, tu tends la main. Tu portes la relation comme on porte une valise trop lourde :
en silence, avec l’espoir que l’autre finira par l’attraper aussi.

Mais il ne bouge pas ou si peu, juste assez pour te faire croire que ça va. Alors tu continues, tu t’éteins doucement en pensant que c’est ça, aimer.
Ce n’est pas un manque d’amour, c’est un trop-plein de solitude à deux, c’est ton cœur qui se fatigue. Ton énergie s’effrite, ton regard qui change… Parce que tu ne te reconnais plus.

À force de vouloir sauver le lien, tu t’oublies et parfois, le vrai tournant n’est pas de partir… Mais de te recentrer car tu mérites une relation où l’amour ne demande pas de te sacrifier, où tu n’es pas la seule personne à faire vivre l’histoire.

Amandine 🪻

05/06/2025

🌷 Dix choses que seule la vie peut enseigner:

Je mérite l’amour sans avoir à me battre pour exister.
L’amour véritable ne demande pas de s’effacer pour être accepté, il commence quand je m’accorde de la valeur.

Ma sensibilité n’est pas une faiblesse.
Ressentir profondément est une force rare, elle me connecte à moi-même et aux autres avec une authenticité que rien ne peut imiter.

Dire non, c’est se dire oui.
Chaque limite que je pose est une déclaration d’amour envers moi-même, ce n’est pas de l’égoïsme, c’est de la clarté.

Je ne suis pas défini.e par mes blessures.
Mes douleurs m’ont façonné, mais elles ne me résument pas, ce que je choisis de devenir à partir d’elles est mon véritable pouvoir.

Être seul.e ne veut pas dire être vide.
La solitude est parfois le seul endroit où je peux entendre la vérité de mon cœur.

Les relations saines ne demandent pas de se cacher.
Les bons liens accueillent mes parts sombres autant que mes lumières, je n’ai pas à me travestir pour être aimé.e

Tout ce que je recherche chez les autres commence en moi, la reconnaissance, la sécurité, la paix : elles naissent d’abord dans la relation que j’entretiens avec moi-même.

Le pardon, c’est pour moi d’abord.
Il ne justifie pas, il ne minimise pas. Il me libère du poids que je porte, même si je n’étais pas responsable.

Je ne peux pas sauver tout le monde, et ce n’est pas mon rôle. Aimer, ce n’est pas se sacrifier, parfois, se retirer est la forme la plus sage de compassion.

Je suis toujours en train d’apprendre, et c’est parfaitement OK. La guérison n’est pas linéaire, chaque pas, même hésitant, est une victoire.

Amandine 🩷

19/05/2025

Je me demande pardon pour toutes les fois où j’ai cru que ma douleur était un fardeau à cacher, pour toutes les fois où j’ai souri quand je voulais hurler où j’ai continué à marcher, même avec l’âme criblée.

Je me suis perdue en voulant être forte, jai oublié que guérir, c’est aussi tomber... Je me demande pardon pour la sévérité de mon regard sur moi-même, pour avoir laissé le passé redessiner mon avenir, pour ne pas avoir compris que vivre, c’est avancer… même lentement.

Alors aujourd’hui, je me regarde avec tendresse, et je me dis : tu as le droit d’avoir mal mais tu as surtout le droit d’exister, libre, apaisé.

Je me demande pardon…
Et je commence à me répondre : je te pardonne.

Amandine 🤎

15/05/2025

La peur de réussir : cette barrière invisible que je rencontre si souvent en thérapie. Ce n’est pas toujours l’échec qui fait peur. Paradoxalement, c’est souvent la réussite.

En thérapie, je vois des personnes brillantes qui, sans le vouloir, freinent leur propre élan. Elles repoussent les projets, s’éparpillent, oublient leurs rêves en chemin. Pas par manque de volonté mais parce qu’une part d’elles croit que réussir pourrait coûter trop cher.

Réussir, c’est sortir du connu, c'est prendre le risque d’être vu, peut-être jugé. C’est parfois faire mieux que sa famille, se différencier, grandir au-delà des loyautés invisibles. Et ça, pour l’inconscient, peut être perçu comme dangereux... Alors on se protège : on sabote, on doute, on freine. Parce que réussir, c’est aussi faire face à la peur d’être seul, de ne plus être aimé, de ne pas être à la hauteur.

Mais en réalité, la réussite ne trahit personne, elle révèle. Elle dit : je peux évoluer sans perdre l’amour, je peux grandir sans me renier. C’est ce chemin que l’on emprunte en thérapie : s’autoriser à réussir, pour soi, pleinement.

Amandine 🌿

28/04/2025

Si tu n'as pas le moral aujourd'hui, souviens-toi qu’un bon café, un rayon de soleil ou un message d’un ami peuvent tout changer, qu’une do**he chaude et un peu de musique peuvent déjà remettre ton cœur en mouvement. Souviens-toi que ton lit t’attend ce soir, pour te réparer, te bercer et te préparer à recommencer, qu’une simple balade dehors peut rafraîchir ton esprit et ton énergie.

Souviens-toi qu'un fou rire bête devant une vieille série peut suffire à ranimer ta lumière intérieure, préparer ton plat préféré est aussi un acte d’amour envers toi-même, et parfois, ranger un tiroir ou faire ton lit, c’est aussi remettre un peu d’ordre en toi. Chaque journée compte, même celles passées en pyjama, à ne rien faire, parler à quelqu’un, même cinq minutes, peut te reconnecter à ta propre force. Souviens-toi que demain matin, en t’habillant, tu enfileras aussi une nouvelle chance.

Amandine🌼

16/04/2025

Les mots les plus marquants de mes petits consultants en trois ans :

(8 ans, séparation, garde chez papa) : "Mon cœur sait que je vais voir maman bientôt… mais il a peur tout le temps que c'est la dernière fois."

(10 ans, deuil) : "Avant, le monde avait des couleurs… depuis qu’il est parti papa, tout est un peu gris, même le ciel."

(11 ans, disputes parentales) : "Quand ils crient, j’ai l’impression que c’est mon cœur qu’ils cassent, les bisous ça recolle tous les petits débris."

(13 ans, questionnement sur soi) : "Je sais pas trop qui je suis… des fois j’ai l’impression d’être plein de choses, et des fois rien du tout."

(14 ans, mal-être diffus) : "Je me sens comme un puzzle mélangé… j’ai les pièces, mais je ne comprends pas encore comment les assembler."

14/04/2025

💐 10 vérités sur la blessure d’abandon
(à lire si t’as déjà eu peur qu’on te laisse)

1. Tu peux être entouré.e de monde… et te sentir seul.e. Parce que la vraie peur, c’est qu’un jour, tout le monde parte.

2. Tu t’accroches même quand ça fait mal, parce que l’idée d’être seul.e te fait encore plus peur que la douleur.

3. Tu donnes trop. Tu t’oublies. Parce que dans ta tête, aimer = ne surtout pas perdre l’autre.

4. Tu deviens "facile à quitter" parce que tu crois ne pas mériter qu’on reste.

5. Le silence te tue, l’indifférence t’achève même un "je suis occupé.e" peut raviver une vieille terreur.

6. Tu dis "je vais bien", mais tu cries à l’intérieur, parce que montrer le besoin, c’est risquer le rejet.

7. Tu cherches chez les autres une présence que tu n’as jamais reçue. Un regard qui reste, une voix qui rassure.

8. Tu n’es pas fou, tu n’es pas trop. Tu es blessé.e et c’est normal de vouloir être aimé pour de vrai.

9. Ce n’est pas à toi de te battre pour être choisi.e. Tu mérites d’être aimé.e sans avoir à supplier.

10. Ta présence suffit et un jour, tu verras : toi-même, tu ne te quitteras plus.

Hypnose - Amandine Keller

26/06/2025

23/06/2025

19/06/2025

18/06/2025

12/06/2025

09/06/2025

05/06/2025

19/05/2025

15/05/2025

28/04/2025

16/04/2025

14/04/2025

Adresse

Site Web

Notifications

Contacter La Pratique

Raccourcis

Partager

Type