ALIA & ZÉIDA Clinique

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ALIA & ZÉIDA Clinique Clinique de médecine générale et de traitement des addictions. La
première du genre au Gabon.

Située au quartier Awoungou dans la commune d'Owendo,
la Clinique Alia & Zéida est ouverte au
public depuis Juin 2020.

Vous luttez pour ARRÊTER LA DROGUE et reprendre le contrôle de votre corps ? À ALIA & ZEIDA Clinique, en plus de la méde...
23/03/2025

Vous luttez pour ARRÊTER LA DROGUE et reprendre le contrôle de votre corps ?

À ALIA & ZEIDA Clinique, en plus de la médecine générale, nous nous spécialisons dans la lutte contre la dépendance aux substances nocives et dans la perte de poids pour le regain d'un équilibre de vie sain.

Le tout dans un cadre apaisant, propice à la guérison et à la reconstruction de soi.

Chaque patient est unique. Alors, nos programmes sont adaptés pour répondre à vos besoins spécifiques.

Contactez-nous dès aujourd'hui pour plus d’informations sur nos services ou pour prendre rendez-vous pour une consultation personnalisée.

Une randonnée organisée avec les patients et certains personnels du centre de désintoxication ALIA & ZEIDA clinique le d...
09/02/2025

Une randonnée organisée avec les patients et certains personnels du centre de désintoxication ALIA & ZEIDA clinique le dimanche 2 février 2025 à l’arboretum Raponda Walker dans la banlieue de Libreville. C’était simplement magnifique, même si le parcours de 14 km a paru un peu éprouvant pour certains.

01/01/2025

Chers tous,
J’espère que vous passez de merveilleuses fêtes de fin d’année en famille.
Je me permets de vous envoyer ces deux vidéos et ces photos pour attirer votre attention sur les méfaits de la drogue dont l'usage, en période de fête, explose littéralement.
La première vidéo est un reportage sur la consommation des drogues dans notre pays.
La deuxième, quant à elle, est une scène filmée par les caméras de vidéo surveillance de notre centre de désintoxication, ALIA & ZEIDA clinique. Les images montrent comment une jeune femme cocaïnomane de 26 ans, en soin dans notre centre, a déjoué la vigilance des surveillants pour fuguer en pleine nuit. Informés de la situation, nous avons dû, avec l’accord des parents, alerter la PJ pour qu’on la retrouve.
La drogue, on le voit, est en train de détruire notre jeunesse. Si l'on n'y prend garde, c'est toute la société qui va en pâtir. Et demain, il sera trop t**d. Hélas !
Dr Alphonse LOUMA EYOUGHA

Discutons des défis liés à l'alcool, aux addictions et à la violence au Gabon. Il est temps de briser le silence et de c...
20/11/2024

Discutons des défis liés à l'alcool, aux addictions et à la violence au Gabon. Il est temps de briser le silence et de chercher des solutions ensemble.

*Ma vie, mes combats* Je suis né le 27 septembre 1953 à obiligui (actuel village Amono) dans le département de la Sébé B...
02/10/2023

*Ma vie, mes combats*

Je suis né le 27 septembre 1953 à obiligui (actuel village Amono) dans le département de la Sébé Brikolo à Okondja.
Je suis né en brousse, sous un arbre, dans des conditions d’hygiène précaires. Je suis donc une sorte de miraculé. Beaucoup d’enfants nés dans les mêmes conditions n’ont jamais survécu aux infections diverses. Mais, puisqu’il y a prescription, je peux aujourd’hui avouer que, pour les besoins de ma scolarité, j’avais volontairement rectifié ma date de naissance. En 1968, officiellement j’avais 15 ans et je ne pouvais pas passer mon concours d’entrée en classe de 6 ème et espérer aller au Lycée LÉON MBA .
Sans ce mensonge, je ne serais certainement jamais devenu le Dr Alphonse LOUMA EYOUGHA que vous connaissez aujourd’hui.
Le reste de ma vie est une succession de combats, notamment,
réussir ma scolarité au lycée Léon MBA, entre 1968 et 1975. Après le BEPC en 1972, j'ai obtenu mon baccalauréat série D en 1975.
C’est le 17 août de cette année-là, que j’ai consommé le dernier verre d’alcool de ma vie.
De mes études secondaires je peux dire que je n’ai jamais été un excellent élève, mais je n’ai repris aucune classe. J’aimais l’école, comme on dit. Je me battais toujours pour avoir au moins la moyenne, ce qui me donnait le droit de rester à l’internat. Enfant de famille modeste, pour ne pas dire pauvre, comment aurais-je pu survivre à l’externat à Libreville ?
Je retiens aussi ma passion pour les arts martiaux. Je fus même responsable du club de Karaté do shotokan sous la direction de feu Me Michel Mengome. J’ai pratiqué le judo et l’Aikido.
Je suis ceinture noire 2ème dan de karaté que j’ai cessé de pratiquer.
En septembre 1975, je commence mon cursus universitaire à la faculté mixte de Médecine et de Pharmacie de l’université de Dakar qui deviendra plus t**d l'Université Cheikh Anta Diop.
C’est donc dans la capitale sénégalaise que je suis contaminé par le virus de la politique.
Les débats et les affrontements politiques y étaient rudes. Le président Leopold Sédar Senghor à la tête du Parti unique, UPS (Union progressiste sénégalaise) venait d’ouvrir son pays au multipartisme limité à trois, puis quatre courants idéologiques : le courant libéral représenté par le Parti démocratique sénégalais (PDS), de Abdoulaye Wade, le courant socialiste, (UPS) et les Communistes incarnés par quelques anciens militants du PAI (Parti africain de l’indépendance) avec, comme chef de file, le pharmacien Majhmoud Diop.
Pendant ce temps, la lutte d’égos entre deux esprits lumineux, à savoir le président Léopold Sédar Senghor et son opposant Cheikh Anta Diop, battait son plein. J’ai assisté à l’arrestation de Cheikh Anta Diop par la police sénégalaise. J'ai suivi tout le débat sur le refus du gouvernement de légaliser le RND, le parti de Cheikh Anta Diop.
Il a fallu attendre l’accession d'Abdou Diouf à la présidence de la République en 1981 et l’ouverture au multipartisme intégral pour que le RND soit reconnu.
En 1981, quelque chose d’inédit se passe à Libreville, la création du Mouvement de Redressement national (MORENA), parti de l’opposition qui vient défier la toute puissance du PDG de Albert Bernard Bongo.
De nombreuses arrestations arbitraires et des atteintes graves aux droits humains sont perpétrés dans notre pays par le pouvoir en place. Je suis choqué par toutes ces brutalités, mais également par le refus de Bongo d’instaurer le débat démocratique, alors que dans mon pays d’accueil, nous vivons une embellie démocratique. Je suis jaloux de voir les intellectuels sénégalais s’affronter démocratiquement sur le campus universitaire et dans tout le pays. Le Sénégal, pays pauvre à l’époque avec le phosphate et l’arachide comme seules ressources, se développait sous mes yeux. L’université de Dakar à l’époque déjà n’avait pas de commune mesure avec la "porcherie" de l’université de Libreville. La sortie du brûlot de Pierre Péan, "Affaires Africaines", en en 1983 a achevé de me convaincre qu’il fallait faire quelque chose pour chasser Omar Bongo du pouvoir.
En 1985, je crée un parti politique d’obédience marxiste léniniste dénommé Union pour la démocratie et le travail (UDT). Parti clandestin, bien entendu.
Un jeune étudiant d’origine altogovéenne a le culot de s’opposer à l'Altogovéen Omar Bongo ? C’était considéré comme un acte de folie .
En août 1985, je profite des vacances pour venir implanter les cellules clandestines de mon parti à Libreville. Et je crois que c’est durant ce mois d’août 1985 que le capitaine Alexandre Mandza Ngokouta est exécuté sur la place publique d’Hollando pour "tentative de coup d’Etat".
En implantant mon parti, je fus trahi par un proche à qui j’avais fait confiance en lui remettant des documents pour m’aider à la création des cellules.
L'intéressé est allé me trahir chez Jean Boniface Assélé à l’époque tout puissant chef de la Sécurité du pays.
Je n’ai eu la vie sauve qu’en quittant rapidement la capitale gabonaise quand j’ai été informé de la trahison que je venais de subir.
De retour au Sénégal j’ai continué à implanter mon parti et préparer en même temps ma thèse de doctorat d’Etat en pharmacie que j’ai soutenue le 16 juin 1986.
Entre temps, au mois de mars 1986, le colonel Conan, l’homme fort du Cedoc (la police politique du régime gabonais) avait dépêché un groupe de policiers pour m'arrêter au Sénégal et me ramener de force au Gabon, tout simplement parce que j'avais osé créer un parti d’opposition, de surcroît communiste. Crime de lèse-majesté s’il en fut. N’oubliez pas que nous étions en pleine période de Guerre froide. Deux blocs idéologiques diamétralement opposés, le courant communiste et le monde capitaliste s’affrontaient. Les Bongo, Houphouet Boigny et autres Ahidjo étaient allergiques au mot Communisme.
À Dakar, mes compatriotes ne me prenaient pas au sérieux quand je les invitais au combat contre le système Bongo PDG. Beaucoup me prenaient pour une taupe au service du pouvoir et pensaient que je les attirais dans mon parti pour ensuite les dénoncer au pouvoir. Ce n’est que quand la nouvelle de la présence de policiers venus du Gabon pour tenter d'obtenir mon expulsion demande vers Libreville s’est propagée dans la communauté gabonaise, que les sceptiques ont commencé à me prendre au sérieux et beaucoup ont adhéré à l’UDT.
Je n’ai eu la vie sauve qu’au refus opposé par le Président Abdou Diouf de m'expédier au Gabon.
Après ma soutenance de thèse je fus reconnu comme réfugié politique par le HCR (Haut commissariat aux réfugiés) et j’ai dû m’exiler en Mauritanie où j’ai travaillé de 1987 à 1989 comme Pharmacien dans la ville frontalière de kaédi.
Je rentre au Gabon en juillet 1989. Deux mois plus t**d je suis convoqué par le tristement célèbre colonel Conan pour y subir un interrogatoire sur mes "activités subversives au Sénégal" durant mes années d’exil. Ces interrogatoires ont duré jusqu’au mois de décembre 1989. J’étais interrogé dans les locaux du Cedoc par Conan lui-même accompagné de son assistant, un jeune lieutenant qui prenait des notes pour le procès-verbal que je devais signer à la fin.
Je n’ai d’ailleurs jamais signé ce PV parce que en fin décembre 1989, Conan tombe gravement malade et est évacué en France. Je crois savoir qu’il n’a plus jamais remis les pieds au Gabon.
Malgré les intimidations et les interrogatoires par les barbouzes du régime, j’ai continué à militer dans la clandestinité. Nous étions de petits groupes de deux ou trois personnes qui écrivions et distribuions les tracts qui ont préparé les événements de l’université de janvier 1990 à Libreville, puis la conférence nationale de mars avril de la même année.
Avec mon épouse de l'époque, Pélagie LOUMA et quelques autres camarades, nous avons créé l’ADHF (l’association de défense de droit de l'homme et de la femme). C’est sous la bannière de cette association que nous avons pris part à la conférence nationale gabonaise. Et nous étions parmi les rares ressortissants de la province du Haut-Ogooué à nous inscrire ouvertement dans le groupe des compatriotes qui revendiquaient l’instauration du multipartisme immédiat dans notre pays.
Après la Conférence nationale nous avons adhéré au PGP et, dans ce parti, certains compatriotes, du fait de mes origines altogovéennes, me prenaient pour un agent infiltré du PDG.
En tant que ressortissant du Haut-Ogooué, il n’a jamais été facile d’être opposant au Gabon quels que soient vos états de service. Dans un parti comme le PGP, après l’assassinat de Joseph Rendjambè, certains de nos camarades nous regardaient avec suspicion.
Même si je n’ai jamais adhéré au PDG, ni porté l’effigie d’un Bongo sur moi. Je suis fier de le dire . Mon intransigeance à défendre mes principes démocratiques est toujours restée intacte.
J’ai pris une part active aux Accords de Paris en novembre 1994. J’étais membre du Directoire du PGP.
Après le décès du Président Omar Bongo Ondimba en juin 2009, j’ai activement battu campagne pour André MBA OBAME à l’élection présidentielle du 30 août 2009.
En 2010 j’ai participé à la création du parti Union nationale, parti de l’opposition radicale.
En 2014 j’étais membre des Souverainistes Écologistes, parti avec lequel mes amis et moi avons aidé Jean Ping à sortir de sa retraite et à se porter candidat à l’élection présidentielle du 26 août 2016.
En 2018 alors que je séjournais dans la capitale française pour une formation post universitaire où je préparais un Diplôme universitaire d’addictologie, je ne manquais pas un samedi pour me joindre aux compatriotes résistants du Trocadéro qui manifestaient contre la dictature du pouvoir Bongo PDG.
Je ne sais pas si la prise du pouvoir, le 30 août 2023, par des militaires qui avaient à leur tête un Altogovéen, en l'occurrence le général Brice Oligui Nguema, parviendra à gommer l’opprobre et la suspicion que les Bongo ont réussi à jeter sur toute la province du Haut-Ogooué. Mais je ne perds pas de vue le fait que, pendant des décennies, les Bongo Ondimba ont jeté en pâture les Altogoveens à la vindicte des autres Gabonais. C'est à se demander si les membres de cette famille-là ont eu la moindre affection pour cette province.
Les Altogovéens vivent dans la plus grande précarité. Les Gabonais qui ont visité des villes de Leconi, Onga, Boumango, Aboumi, ou même Bongoville peuvent témoigner que le Haut-Ogooué n’était qu’un tremplin pour la conservation du pouvoir par les Bongo.
Lesquels ont toujours utilisé les votes des Altogovéens comme variable d’ajustement de la fraude électorale en leur faveur.
Si, pendant longtemps, la Garde républicaine était perçue par beaucoup de Gabonais comme une milice tribale au service des Bongo, le coup de force libérateur de nos forces de défense et de sécurité avec comme locomotive ce corps d'armée, est venu sceller la réconciliation entre les Gabonais et leurs compatriotes en uniformes. En a t-on, pour autant, fini avec les préjugés anti-altogovéens ? L'avenir nous dira...
En attendant, je voudrais évoquer ici, l'autre combat de ma vie : la lutte contre l’alcoolisme, le tabagisme, la drogue et toutes formes d’addictions.
Parce que j’ai perdu des parents, des amis, des proches et des compatriotes anonymes à cause de leurs addictions, j'ai décidé de me battre depuis 1995 pour limiter les dégâts que ces pathologies font dans toutes les couches de notre société.
C’est le combat que j’entends mener jusqu’à ma mort. C’est mon ultime combat.
La consommation d’alcool et des drogues, surtout par les jeunes, hypothèque sérieusement notre chance de développer le Gabon et de vaincre à la fois notre sous-développement et notre sous-population.
Quand notre maison brûle, ne regardons pas ailleurs. Après, il sera trop t**d...
Bien à vous !
Dr Alphonse LOUMA EYOUGHA
Président de l’ONG Agir pour le Gabon
Fondateur du Centre de Réhabilitation et de Traitement des addictions
P.D.G de la pharmacie NOUO Cécile
Trésorier Général de l’Union Nationale.

27/06/2023

La journée internationale contre l’abus et le trafic illicite des drogues du 26 juin 2023

Mesdames , mesdemoiselles, messieurs,
Instituée le 7 décembre 1987 par l’assemblée générale de l’organisation des Nations Unies, cette journée a pour objectif de renforcer la sensibilisation au danger que constituent les drogues illicites pour la société.
Cette année, le Secrétaire général de l’ONU, M. Antonio Guterres mise sur la désintoxication, la lutte contre l’impunité des trafiquants et l'implication des pouvoirs publics qui doivent montrer la voie.
Dans son message de circonstance, le Secrétaire général de l’ONU déclare entre autre que :
"Des dizaines de millions de personnes souffrent de troubles liés à l’usage de drogues. Moins d’un cinquième d’entre elles reçoivent un traitement.
Les personnes qui font usage de drogues sont victimes à double titre : d’abord des effets nocifs des drogues elles-mêmes, puis de la stigmatisation et de la discrimination." Fin de citation.
Cette année, la journée internationale contre l’abus et le trafic illicite des stupéfiants est axée sur la nécessité de préserver la dignité humaine, en mettant fin à la stigmatisation et à la discrimination, tout en renforçant la prévention.

Comment procéder ? Monsieur GUTTERES préconise de mettre l’accent sur la désintoxication plutôt que sur la répression et l’incarcération pour les infractions mineures liées à la drogue.
Après le décor planté par le Secrétaire général des Nations unies s’agissant des actions à mener pour lutter efficacement contre la drogue, nous voulons profiter de cette journée pour lancer un plaidoyer en direction de toute la société gabonaise pour que nous fassions de la lutte contre la drogue une grande cause nationale.
Pour y parvenir, les pouvoirs publics devront s'impliquer pleinement, car la volonté politique peut permettre d’endiguer efficacement le fléau de la drogue.
Les conséquences de la production, de la consommation et du trafic illicite des drogues ont pour noms : les violences urbaines, les homicides volontaires et involontaires, la maltraitante des enfants, la corruption des élites, le grand banditisme, les échecs scolaires, le financement du terrorisme et des guerres civiles, les maladies, les accidents de la route… cette liste est loin d’être exhaustive.
En prévision des futures échéances électorales, je lance un appel aux populations pour les inviter au discernement face à tous les candidats qui viendront demander leurs suffrages et d’exiger de leurs gouvernants une prise de position claire sur la question de la drogue.
Le gouvernement actuel fait beaucoup dans la répression du trafic illicite de la drogue. Nous avons des policiers et gendarmes bien formés, en témoignent les saisies importantes de drogues de toutes sortes qu’ils font chaque année. Au prochain gouvernement, nous exigerons le renforcement de la capacité opérationnelle des unités de nos forces de défense et de sécurité chargées de lutter contre le trafic illicite de la drogue. Nos frontières maritimes, aériennes et terrestres sont encore trop poreuses. Nous ne devons pas, au 21 ème siècle, lutter contre la drogue comme au moyen-âge.
Les députés et sénateurs de la prochaine législature vont devoir pénaliser davantage les infractions liées au trafic des stupéfiants et au grand banditisme transfrontalier.
Le prochain gouvernement doit obliger les policiers et les gendarmes d’utiliser les ethylotests ou alcootests et faire des prises de sang devant chaque accident de la route. La plupart de ces accidents qui endeuillent des centaines de familles chaque année sont causés par l'alcool ou la drogue au volant.
Il faut rapidement mettre un terme à cet hécatombe.
Il y a trois ans et trois semaines, jour pour jour, que j’ai créé le premier centre de Réhabilitation et de traitement des addictions. Les toxicomanes étaient jusque là pris en charge dans le seul hôpital psychiatrique (hôpital de Melen) du pays qui manque terriblement de moyens.
Le prochain gouvernement doit impérativement reconnaître d’utilité publique ALIA & ZEIDA clinique, notre centre de Réhabilitation et de traitement des addictions situé dans la commune d’Owendo au quartier Awoungou terminus.
Le prochain gouvernement devra créer des structures de traitement des addictions dans tous les CHU du pays et envoyer en formation en addictologie des professionnels de la santé.
Aujourd’hui, malheureusement nos toxicomanes sont encore des laissés-pour-compte de notre système de santé et ce n’est pas acceptable.
C’est de cette discrimination et cette stigmatisation envers les toxicomanes dont parlait Antonio GUTTERES dans son discours à l’occasion de cette journée de lutte contre l’abus et le trafic illicite des stupéfiants.
Les futurs édiles de nos villes doivent désormais voter des budgets conséquents consacrés à la lutte contre les drogues licites ( alcool, tabac) et illicites. Les villes ,aujourd’hui , avec les problèmes d’exode rural sont toxicomanogènes.
La drogue, le chômage, le sida et les différentes formes de violences sont les problèmes de la ville. Et ils nous concernent tous !
Je vous remercie.

Dr Alphonse LOUMA EYOUGHA
Dr en Pharmacie,
Addictologue;
Président Fondateur de l’ONG Agir pour le Gabon;
Président Directeur Général de ALIA & ZEIDA clinique .
PDG de la pharmacie NOUO Cécile -IAI
Libreville. Gabon

Envoyé de mon iPhone

19/06/2023

Billet : la mauvaise humeur

Depuis trois ans ( 1er juin 2020 - 1 er juin 2023) j’ai fait ce que personne n’a fait avant moi et obtenu ce que personne n’a obtenu avant moi, en créant un centre de Réhabilitation et de traitement des addictions. C’est concret et vérifiable. Je soigne les toxicomanes et aide des centaines de compatriotes de leurs addictions et par conséquent, j’aide le gouvernement dans ses missions régaliennes de garantir la santé pour tous. N’allez pas me dire que les autorités officielles du Gabon ne sont pas au courant de cette réalisation …
Beaucoup de familles gabonaises ont retrouvé leur sourire et l’harmonie qu’on perd lorsqu’on a un membre de la parentèle malade de sa consommation de drogue.
Si j’étais un étranger parlant anglais, espagnol ou bambara Ali Bongo Ondimba et ses thuriféraires m’auraient depuis longtemps reçu avec faste au Palais de la république.
La preuve, il suffit qu’un prestidigitateur vienne vendre la poudre de perlimpinpin dans notre pays et nous soutirer des centaines de milliers de francs cfa que le président de la République lui déroule le tapis et face des selfies avec lui, quand il ne lui offre pas la clé du trésor public. Pauvre Gabon! N’allez surtout pas dire que je suis xénophobe, comme c’est la mélodie à la mode, des « accablés » . tchip!
Dr Alphonse LOUMA EYOUGHA
Dr en pharmacie
Addictologue
Président Fondateur de l’ONG agir pour le Gabon
Fondateur de ALIA & ZEIDA Clinique

17/05/2023

🔴Les mensonges dont les gabonais sont victimes

L'être humain devient toujours ce à quoi il pense, les mensonges acquis comme vérité ont le pouvoir de briser une destinée, un avenir, un rêve. Bon nombre de gabonais, sont victimes de nombreux mensonges, qui font taire le potentiel de tout un peuple. Nous présenterons dans cette vidéo, certains d'entre eux.

Retrouvons nous mercredi 17 mai 2023, pour en parler !
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